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21 novembre 2024 4 21 /11 /novembre /2024 09:24
Les Affirmations selon lesquelles les "Émissions de Carbone" causeraient le "Réchauffement Climatique" sont fausses, selon des Études ! 
Le Discours Anti-Carbone est un Canular
Frank Bergman

Une nouvelle étude évaluée par des pairs et menée par un groupe de chercheurs de premier plan en Grèce a révélé que le discours mondialiste anti-carbone est un canular. 
Selon l’étude, les affirmations populaires selon lesquelles les changements liés au dioxyde de carbone (CO2) entraînent des changements de température actuels ou dans un passé lointain sont fausses. 
Les chercheurs affirment que ces affirmations, souvent utilisées pour faire avancer le programme vert mondialiste, "sont basées sur l’imagination et des modèles climatiques remplis d’hypothèses". 
Cette nouvelle étude complète détaille une évaluation stochastique de la séquence des variations du CO2 par rapport aux variations de température depuis les années 1950, au cours des 2.000 dernières années (l’ère commune) et au cours des 541 derniers millions d’années. 
La conclusion irréfutable est que la direction de la causalité – en comprenant que les causes sont en avance et les effets en retard – montre clairement que les changements de température sont en avance et les changements de CO2 en retard sur les échelles annuelles, décennales et centennales/millénaires. 
En d’autres termes, "la direction de causalité inverse [CO2]→T devrait être exclue".
L’affirmation selon laquelle l’augmentation du CO2 provoque le "changement climatique" par le biais des changements de température n’est donc qu’un "récit". 
Les scientifiques préviennent que l’affirmation selon laquelle "les humains, par leurs émissions issues de la combustion de combustibles fossiles, sont responsables des changements climatiques que nous observons" peut être considérée comme une "question non scientifique".

Au cours des dernières années seulement, l’auteur a publié une série d’articles scientifiques évalués par des pairs appuyant cette même conclusion : 
Koutsoyiannis et al., 2020 ,
Koutsoyiannis et al., 2023 ,
Koutsoyiannis, 2024 ,
Koutsoyiannis, 2024

Étant donné que ces articles remettent en cause avec tant d’acuité le discours dominant sur le réchauffement climatique anthropique, le Dr Koutsoyiannis a naturellement été la cible d’un antagonisme proche du vitriol de la part des partisans de l’agenda vert. 
Cela inclut les commentaires des évaluateurs pairs. 
Ainsi, dans un effort apparent de promotion de la transparence, il a rendu publics les commentaires des évaluateurs sur ce dernier article. 
Cette étude intervient alors qu’un nombre croissant d’experts continuent d’avertir que le discours sur le "changement climatique" est un canular.  
Comme l’a rapporté Slay News, plus de 1.600 scientifiques du monde entier ont uni leurs forces l’année dernière en signant une déclaration affirmant que les allégations d’une "urgence climatique" menaçant la Terre sont fausses. 
Un groupe massif de scientifiques, dont font partie deux lauréats du prix Nobel, a signé la Déclaration Mondiale sur le Climat (WCD). 
La WCD rejette l’existence d’une "crise climatique" et insiste sur le fait que le dioxyde de carbone est bénéfique pour la Terre. 
Cette déclaration entre en conflit direct avec le discours alarmiste populaire selon lequel les humains détruisent la planète avec leurs émissions de carbone. 

Comme l’a rapporté Slay News, l’agenda anti-carbone fait partie des objectifs "Net Zero" promus par le Forum Économique Mondial (WEF) et d’autres organisations mondialistes non élues. 
Cependant, le "Net Zero" dicte de plus en plus la politique gouvernementale ces dernières années. 
Le "Net Zéro" était même devenu un élément fondamental du programme du Président Démocrate Joe Biden. 
L’Amérique a même rejoint 13 autres nations en signant un pacte mondial visant à réprimer l’agriculture pour "sauver la planète" des "émissions de carbone". 
Le WCD a été créé par le Global Climate Intelligence Group (CLINTEL) et a été publié pour la première fois début août 2023, comme l'a rapporté Slay News à l'époque. 
Depuis sa publication, des centaines de scientifiques ont signé la WCD.
"Il n’y a pas d’urgence climatique", déclare la WCD.
"La science du climat devrait être moins politique, tandis que les politiques climatiques devraient être plus scientifiques." 
"Les scientifiques devraient ouvertement aborder les incertitudes et les exagérations dans leurs prévisions sur le réchauffement climatique, tandis que les hommes politiques devraient évaluer sans passion les coûts réels ainsi que les avantages supposés de leurs mesures politiques."

En savoir plus : Une étude de premier plan confirme que les allégations de l’ONU sur la "crise climatique" sont un canular

https://slaynews.com/news/claims-carbon-emissions-cause-global-warming-false-study-finds/
 
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21 novembre 2024 4 21 /11 /novembre /2024 00:42
La saison de navigation dans l'Arctique se raccourcit
La Saison de Navigation dans l'Arctique se raccourcit d'environ une Semaine par An depuis 15 ans à cause du Refroidissement, alors qu'ils avaient prévu la Disparition des Glaces pour Bientôt ! 

On pense que la fonte des glaces dans l’Arctique rend le passage du Nord-Ouest, une voie de navigation reliant les océans Atlantique et Pacifique, plus accessible. 
Cependant, une nouvelle étude examinant l’évolution de la saison de navigation de 2007 à 2021 dresse un tableau différent. 
L’étude, qui a analysé la navigabilité du passage du Nord-Ouest (PNO), a révélé que la saison de navigation est en réalité de plus en plus courte sur la majeure partie de la route. 
Cette découverte est importante, d’une part parce que l’on espérait que le "Réchauffement Climatique Imaginé" serait utilisé comme une alternative plus courte et plus économique aux voies de navigation traditionnelles comme les canaux de Panama et de Suez. 
La route du nord, en particulier, montre une diminution significative de la durée de la saison de navigation. 
L'est de la mer de Beaufort, le détroit de M'Clure et le détroit du Vicomte de Melville, qui font tous partie de cette route, ont connu des réductions substantielles du nombre de semaines pendant lesquelles les navires peuvent naviguer en toute sécurité dans ces eaux. 
Dans la partie orientale de la mer de Beaufort, par exemple, la saison de navigation a diminué de 14 semaines sur une période de 15 ans, un changement substantiel qui pose des défis tant pour la navigation commerciale que pour les missions de réapprovisionnement des Communautés Autochtones Isolées ! 
 
 
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7 novembre 2024 4 07 /11 /novembre /2024 00:26
Les Périodes Romaines et Médiévales furent Plus Chaudes que maintenant et ont été des Périodes de Prospérité et de Développement des Civilisations !
Les périodes Romaines et Médiévales furent Chaudes
L’époque Romaine était un "optimum" parce qu’il faisait plus chaud. 
La fonte des Glaciers révèle des routes romaines dans les alpes qui étaient sous la glace depuis 2000 ans. 
Confirmé en 1991, par une étude EDF & Électricité de Suisse de recherche d’opportunités de nouveaux barrages dans les Alpes qui a recensé des centaines de souches d’arbres sous le recule des glaciers datant de 2000 et 1000 ans.


Le débat sur les caractéristiques et l’impact de la Période Chaude Médiévale (PCM), datée approximativement de 950 à 1250 après J.-C., est au cœur des discussions sur la variabilité historique du climat et ses implications pour la compréhension du changement climatique actuel.

Suite à la publication du troisième rapport d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) en 2001 , le graphique MWP a été pratiquement effacé des archives paléoclimatologiques au profit du graphique en "crosse de hockey". 
Cette disparition reste un point de discorde particulièrement important dans le débat public et scientifique. 
Le graphique en forme de crosse de hockey, publié pour la première fois par Michael Mann, Raymond Bradley et Malcolm Hughes en 1999, a représenté les anomalies de température au cours du dernier millénaire. 
Il a montré des fluctuations de température relativement mineures pendant la majeure partie du dernier millénaire (le "manche" de la crosse de hockey) et une forte augmentation des températures au XXe siècle (la "lame" de la crosse de hockey). 
Cette présentation suggère que la période de réchauffement moderne a été sans précédent au cours du dernier millénaire. 
Cette constatation a été au cœur des appels à des mesures énergiques visant à lutter contre le changement climatique.
 
Trois différentes reconstructions de température indirecte, toutes utilisant la méthode de l’échelle composite plus ("CPS"). 
Source : https://www.semanticscholar.org/paper/Global-temperature-changes-of-the-last-millennium-Connolly-Connolly/bff8b6202d05bf8bbb68a7f99ebd7f535f90a534

Les sceptiques affirment cependant que la période de réchauffement climatique était à la fois mondiale et plus chaude que les températures actuelles dans de nombreuses régions. 
Les preuves de cette hypothèse proviennent de plusieurs angles, suggérant que le discours établi sous-estime la chaleur et la portée géographique de cette période. 
J’explore ici ces points de vue sceptiques, en tenant compte des preuves et des arguments qu’ils avancent. 
Premièrement, la distribution géographique des indicateurs climatiques, tels que les cernes des arbres, les carottes de glace, les carottes de sédiments et les relevés historiques, constitue un point de discorde important. 
Les premières recherches se sont concentrées sur l’Europe et l’Atlantique Nord, dressant le portrait d’une période nettement plus chaude dans ces régions pendant la période de réchauffement climatique mondial. 
Les critiques affirment que cette focalisation initiale a conduit à une perception biaisée de la période de réchauffement climatique mondial comme un phénomène essentiellement régional. 
Cependant, à mesure que les recherches se sont étendues à des zones géographiques plus diverses, les données suggèrent qu’une période chaude plus synchronisée à l’échelle mondiale est apparue. 
Les scandinaves colonisent alors l’archipel des Orcades (800 AD), les Féroé (860 AD) puis l’Islande qui est investie par vagues d’immigration successives principalement entre 874 et 930 AD. À la fin du Xe siècle, l’Islande compte plus de 50.000 habitants ; l’île connaît alors une sévère famine. 
Ce contexte tourmenté ouvre la voie à la colonisation du Groenland menée en l’an 986 par Eirikr Thorvaldson (940-1010 ou 950-1003) plus connu sous le nom d’Erik le Rouge 
Au-delà de l’aspect romanesque de l’aventure viking dans le sud du Groenland (qui débute avec Erik le Rouge en 985 et se termine vers 1450), cette épopée constitue un modèle de référence particulièrement adapté pour l’étude des relations entre une communauté humaine et son environnement, de la conquête à l’abandon.

Toujours dans le souci d’optimiser le potentiel productif du milieu, les pionniers vikings vont aussi développer la pratique de la transhumance. 
Des ruines singulières ont été découvertes tardivement, entre 1974 et 1979, lors de prospections archéologiques (Albrethsen and Keller, 1986) dans la vallée de Qorlortoq. 
Situées entre 200 et 400 mètres d’altitude et de construction simple, ces structures ne sont pas à proprement parler des fermes mais sont apparentées aux sæters islandais et norvégiens. 
Le terme norvégien sæters réfère en effet à des groupes de maisons utilisées pendant la transhumance estivale (Sæterbruk). Les troupeaux étaient alors menés de pâtures en pâtures où chaque sæter servait de camp de base tandis que les terrains à proximité des fermes, fertilisés et irrigués, étaient préservés pour la production de fourrage. 
Le changement permanent de pâture permet aussi aux animaux de sélectionner les jeunes pousses plus riches en nutriments, ce qui donne des résultats positifs en termes de prise de poids et de quantité/qualité du lait produit. 
Ainsi, certains sæters devaient servir d’unité de production de lait et les enclos permettaient le ramassage du fumier, d’autres servaient uniquement à produire du fourrage. 
Les ruines des sæters de Qorlortoq sont les témoins d’une stratégie agro-pastorale "décentralisée" permettant d’exploiter au mieux toutes les ressources du milieu. 
Il existe des preuves de la présence d’environ 500 exploitations agricoles dans la colonie orientale, alors que la colonie occidentale n’en comptait qu’une centaine. 
Ces exploitations ne fonctionnaient pas nécessairement en continu, de fait, certaines n’étaient utilisées que périodiquement, en fonction de l’état de la végétation. 
On estime actuellement que la communauté norvégienne du Groenland comptait en moyenne 1.400 personnes, avec un pic de plus de 2.000 individus vers l’an 1200. 
En ce qui concerne les exploitations, le facteur prépondérant était l’emplacement. 
En effet, les colons recherchaient en priorité des plaines morainiques proches des fjords ainsi que des vallées abritées aux terres fertiles. 
Erik le Rouge, qui fut, bien entendu, le premier à choisir son terrain, bâtit son domaine à Brattahlíð (dans la colonie de l’Est) dans ce qui est encore aujourd’hui l’un des meilleurs sites agricoles du Groenland, douillettement blotti à l’intérieur d’un fjord, à l’abri du brouillard côtier et des eaux glaciales. 
En revanche, les régions plus élevées n’étaient guère épargnées par les éléments, mais il était possible d’y survivre en se concentrant davantage sur la chasse. 

L’ÉCONOMIE DES NORVÉGIENS DU GROENLAND ÉTAIT FONDÉE SUR UN MÉLANGE D’AGRICULTURE PASTORALE, DE CHASSE ET DE PÊCHE, SOUTENU PAR L’EXPORTATION DE PRODUITS ARCTIQUES TELS QUE LES PEAUX, LES CUIRS ET L’IVOIRE. 
Les bovins, les ovins et les caprins, tous transportés par bateau, s’adaptèrent aux conditions groenlandaises et étaient élevés principalement pour leur lait, ainsi que pour le fromage et le beurre qui en découlaient, la laine des moutons étant également très appréciée. 
Les bovins devaient rester à l’abri pendant de nombreux mois, mais les moutons et les chèvres parvenaient à survivre à l’extérieur. 
Les fermes étaient exploitées selon un système d’assolement et de pâturage, le bétail paissant dans les pâturages pendant l’été, tandis que les champs étaient fumés ou même irrigués pendant la saison de production. 
La viande provenait essentiellement de la chasse au caribou et au phoque. 
Toutefois, certaines des exploitations parmi les plus grandes mettaient à contribution leurs troupeaux de bovins. 
Après une période de colonisation plus uniforme, les exploitations agricoles se sont diversifiées : les grandes exploitations à statut élevé privilégiaient les maisons longues et leurs bâtiments étaient assez dispersés, tandis que les petites exploitations étaient plus centralisées et conservaient leurs maisons, étables, écuries et granges si proches les unes des autres que l’on pouvait passer de l’une à l’autre sans avoir à sortir, en réponse au changement climatique. 
Les propriétaires les plus affluents s’emparaient souvent des parcelles offrant les meilleurs rendements. 
Ceci, en contribuant à l’augmentation de leur richesse, leur permettait d’entretenir un bétail prestigieux, mais par ailleurs assez peu utile. 
Ils parvenaient ainsi à cimenter leur place au sein de l’élite par des ajouts tels que des salles de fêtes et des églises. 
Cependant, les fermes de toutes tailles semblent avoir été autosuffisantes, faisant bon usage des opportunités de chasse plutôt que de compter uniquement sur leur bétail.

Source 
Publié par Paul : https://echelledejacob.blogspot.com/2024/08/les-periodes-romaines-et-medievales.html#more
 
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20 octobre 2024 7 20 /10 /octobre /2024 11:20
Hommage à Eunice Newton Foote pour l’ingéniosité de ses recherches

Le langage de Christian Navis parlant d’Eunice Newton Foote m’a étonné ! Cette femme mérite toute notre admiration pour l’ingéniosité de ses recherches et les résultats qu’elle a obtenus. Toutefois, ses expériences et ses mesures ne concernent pas la thèse du GIEC (!) selon laquelle plus de CO2 dans l’air expliquerait  une croissance de la température au sol : les mesures faites pour la première fois  en laboratoire (car dans le ciel c’est trop complexe) en 2020 [Seim et Olsen (1)] et  en 2021 [Harde et Schnell (2)] témoignent de valeurs trop faibles pour pouvoir  jouer un rôle thermique dans l’atmosphère.

Mais revenons à Eunice Foote Newton : elle a observé en 1858 qu’une bouteille en verre transparente remplie de CO2 et placée au soleil chauffait plus vite et plus fort qu’une autre bouteille semblable remplie d’air. Cette très intéressante expérience n’a toutefois aucun lien avec le réchauffement climatique prêté au CO2 par le GIEC. La preuve de ce manque de lien : quelques décennies après l’expérience d’Eunice Foote, l’argon a été découvert (1/100e de l’air). Si une bouteille de verre transparente remplie d’argon est placée au soleil, elle chauffera comme celle remplie de CO2 car
ces 2 gaz ont presque la même masse moléculaire.

Le GIEC classe l’argon – qu’Eunice Foote ne connaissait pas – comme le modèle de gaz PAS à « effet de serre » et ce alors que l’argon chauffe comme le CO2 !

Claude Brasseur

(1) Seim et Olsen, The Influence of IR Absorption  and Backscatter Radiation  from CO2on Air Temperature during a simulated Earth/Atmosphere Experiment. (2020)
(2) Harde et Schnell, Verification of the Greenhouse Effect in the Laboratory (2021)
 
Claude Brasseur
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20 octobre 2024 7 20 /10 /octobre /2024 03:00
Crédits : France Info

Crédits : France Info

Des Gains Remarquables cet Été sur la Calotte Glaciaire du Groenland, à une Période où elle devrait Fondre ! 
Le mardi 30 juillet 2024, la calotte glaciaire du Groenland a enregistré un gain remarquable d'environ 3 gigatonnes en juillet. 
Les données de l'Institut météorologique danois (DMI) montrent qu'il s'agit de l'un des ajouts quotidiens estivaux les plus élevés depuis le début des relevés en 1981. 
Ce chiffre n'est dépassé que par les ≈4 Gigatonnes établis au début du mois, le 1er juillet 2024. 
Les zones bleu foncé sur la carte ci-dessous visualisent les gains de masse importants, se produisant principalement dans le sud :

 

Les moyennes de 1981 à 2010 prévoient une fonte estivale importante à cette période de l'année ; ce que nous avons vu hier était un gain de 3 gigatonnes.

 

Même si tout ne s'est pas déroulé sans heurts (notez le plongeon de deux jours à la mi-juillet), cette saison, dans son ensemble, s'avère une nouvelle fois frustrante pour les alarmistes ; elle semble vouée à être une autre année de SMB supérieur à la moyenne pour la calotte glaciaire du Groenland : 
 

Malgré les obscurcissements et les fabrications flagrantes des médias, la tendance s'est clairement inversée en faveur de la calotte glaciaire du Groenland depuis 2012 : 
 

Le glacier Petermann du Groenland , par exemple, a grandi de près de 16 kilomètres depuis 2012, lorsque la presse a annoncé de manière hystérique la disparition imminente du glacier : 
 
Au-dessus : 14 août 2014 ; au-dessous : 28 juillet 2024
 
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19 octobre 2024 6 19 /10 /octobre /2024 23:37
On attend le réchauffement climatique depuis 1856

Eunice Newton Foote (1819-1888) fut une « scientifique » médiatisée bien avant Greta et ses doctorats de complaisance. Dès 1856, Eunice avait prédit que des variations des niveaux atmosphériques de vapeur d’eau et de CO2 entraîneraient un changement climatique cataclysmique.

On l’a redécouverte en 2022 quand l’Union géophysique américaine a institué une médaille Eunice Newton Foote afin de récompenser des avancées scientifiques « exceptionnelles ». Comprendre les élucubrations d’Al Gore et de Greta, les glapissements d’Aymeric Caron, de Claire Nouvian et de Sardine Ruisseau.

Une théorie qui, déjà, ne tenait pas la route !

La première faille dans la « découverte » de l’autodidacte Eunice est due à son ignorance des lois de la physique et des rayons cosmiques. Elle n’a pas imaginé que l’absorption et l’émission dénergie radiante dans la plage infrarouge constituent les paramètres de base de l’effet de serre. Compensés par l’albedo qui renvoie dans l’espace l’excès d’énergie.

Scientifique amateur, Madame Newton Foote a mené une série d’expériences sur les effets de la lumière (sic) sur différents gaz, découvrant qu’une éprouvette contenant du CO2 placée au soleil voyait sa température augmenter. Encore plus vite si on y ajoutait de l’eau… Sans considérer les effets de la pression liés à l’altitude, établis en 1820 par le Français Joseph Fourier.

Mais à l’époque, une « femme savante» faisait sensation. Elle a eu l’honneur des gazettes et en a profité pour annoncer la prochaine fin du monde par réchauffement. Alors qu’en 1856, on était à la fin du petit âge glaciaire commencé vers 1650, caractérisé par des hivers longs et froids et une température moyenne basse dans les zones tempérées.

Un très léger réchauffement ne s’amorcera que dans les années 1950, attribué par des ignares aux automobiles, aux usines et aux avions. Or depuis la fin du petit âge glaciaire, la courbe des températures suit les périodes d’activité solaire et n’est en aucune façon corrélée au CO2.

Ignares, crétins et escrocs se partagent l’héritage d’Eunice

On peut pardonner à Greta ses inepties. Avec un intellect limité, et faute d’être allée à l’école, les principes de la thermodynamique appliquée aux volumes atmosphériques lui échappent complètement… Mais que dire des pseudo-savants qui soutiennent ces énormités ? Veulent-ils surpasser Lyssenko et l’homme de Piltdown au palmarès des supercheries scientifiques ? Ou sont-ils stipendiés pour colporter une panique irraisonnée sur laquelle s’engraissent toutes sortes d’entreprises troubles qui prétendent sauver la planète ?

La question mérite d’être posée quand on voit avec quelle mauvaise foi les médias menteurs appartenant au Nouvel Ordre Mondial parlent d’unanimité et de consensus, alors que la doctrine du GIEC n’est validée que par 600 personnes environ… Quand 35.000 scientifiques du monde entier, Ph.D, ingénieurs, universitaires et chercheurs, dont une brochette de Prix Nobel, refusent de se laisser intimider et dénoncent l’imposture du prétendu réchauffement anthropique.

Mais ces gens-là, quand ils n’ont pas perdu leur travail, sont bannis des médias, des colloques et des revues scientifiques. Sur le web, la plupart des moteurs de recherche les ont déréférencés. Et les réseaux sociaux de même que les plate-formes dites d’information les ont muselés.

Perfidies et mises en scène des réchauffistes

Michael Mann avait créé sa fameuse courbe en crosse de hockey pour démontrer le réchauffement cataclysmique, en « oubliant » l’optimum médiéval et en exagérant les données du XXe siècle. Considérée comme une fraude par de nombreux scientifiques, condamnée par la justice, après avoir été invalidée par le M.I.T, on croyait l’affaire enterrée.

Elle revient à la une avec des titres frauduleux : Mann aurait fait condamner un climato-sceptique qui avait osé critiquer son travail ! Alors qu’il s’agit d’un différend privé avec une personne qui l’avait traité de pédophile. Rien à voir avec le climat, mais c’est une illustration des manigances des réchauffards pour duper le public. Et le GIEC, trop heureux, ressuscite la courbe de Mann.

Le dioxyde carbone n’est pas un poison

Bien au contraire, il est indispensable à la vie ! C’est l’aliment de base des plantes. Avec l’eau et le rayonnement solaire. Sans CO2 il n’y aurait pas de plantes et une grande partie de l’atmosphère que nous respirons ne se renouvellerait plus. La concentration de CO2 dans l’atmosphère aujourd’hui est de 0,04 % à niveau stable. Le CO2 d’origine anthropique représente 4 % du total soit 0,0016 % de l’air.

Aux ères des dinosaures, le niveau de CO2 a atteint des valeurs proches de 10.000 ppm (partie par million) soit 25 fois la concentration actuelle. Ce fut pourtant l’époque d’une flore et d’une faune géantes d’une extraordinaire diversité… Perdre la moitié de la concentration actuelle, de l’ordre de 400 ppm, conduirait à l’extinction d’une grande partie de la végétation et donc des animaux qui s’en nourrissent. Avec à l’horizon, la famine pour la plupart des humains, végans ou pas.

Caniculi Canicula

Les réchauffards sont les premiers à dire qu’il ne faut pas confondre météo contingente et climat rémanent. Mais dès qu’il s’agit de canicule, changement de discours : le casuel et le provisoire, liés à des phénomènes locaux, deviennent l’expression du réchauffement planétaire global. Alors on va leur rafraîchir la mémoire :

En 994, Hugues Capet régnant, l’absence prolongée de pluies assécha les fleuves et les lacs, tuant tous les poissons. La chaleur enflamma des forêts entières avec leur gibier et anéantit les prairies, les moissons et les troupeaux. Une reconstitution modélisée de ces phénomènes extrêmes conclut à des températures supérieures à 42°C pendant au moins 6 à 8 semaines. Les chroniqueurs de l’époque évoquent une chaleur infernale pendant près de 3 mois !

Des canicules de plusieurs mois, tarissant puits et fontaines, faisant des fleuves de simples ruisseaux, détruisant les récoltes tandis que hommes et bétail mouraient littéralement de soif et de faim, on en connut 8 majeures jusqu’en 1682. Les plus meurtrières furent celles de 1540 et de 1636 qui tua 500.000 Français.

Le climat se dérégla à nouveau en 1694, en 1718 et 1719 avec 700.000 morts, puis 1767, 1778, 1803, 1817, 1825, 1842, 1858, 1875, 1893. Avec des pics de mortalité et de chaleur en 1846 et 1859.

Et ça continua ainsi jusqu’au XXe siècle. Mais les astrologues du GIEC n’ont probablement jamais entendu parler de la canicule de 1911 qui fit 45.000 morts en France (19.000 pour celle de 2003 attribuée au prétendu réchauffement) pas plus que du pic de chaleur de 56,7°C enregistré en Californie en juillet 1913.

C’est dans leurs têtes que ça chauffe !

Pour les pseudo-experts du GIEC constitués en 1980 en grands chamanes de la religion réchauffiste, vers 2040 la température moyenne de la terre dépasserait de 1,5°C celle du début de l’ère industrielle, deux siècles plus tôt, si les émissions de leur obsessionnel CO2 devaient se poursuivre au rythme actuel… Et ce serait alors la fin du monde !

La belle affaire quand on sait que, lors de l’optimum médiéval de 950 à 1350, il faisait selon les endroits entre 2°C et 5°C de plus qu’aujourd’hui, en fonction des reliefs et des courants marins et aériens. En un temps où le Groenland était la terre verte des Vikings, quand la vigne poussait en Scandinavie et à Terre Neuve. Et si on remonte plus loin dans le temps, Hannibal a pu franchir discrètement les Alpes avec ses éléphants il y a 22 siècles parce qu’il n’y avait pas de glaciers sur sa route. L’optimum climatique romain a duré d’environ 250 avant JC à 400 après.

Au XXIe siècle, on observe une stase depuis 25 ans, avec une tendance à la diminution des températures moyennes dans l’hémisphère Nord. Et un refroidissement plus accentué au Sud de l’équateur. On commence à voir des otaries du Pôle Sud dans les lagons polynésiens !

L’effet de serre… Imposture ou ignorance ?

On peut se poser la question. Car il n’y a aucun lien démontré entre un léger réchauffement et les émissions de CO2. Ce gaz a un effet de serre négligeable. Le surplus est absorbé par les océans et par la végétation.

Le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau aux effets bien plus significatifs. Puisque H2O représente 2 % de l’atmosphère soit 50 fois plus que le CO2. C’est la vapeur d’eau qui absorbe par saturation la quasi-totalité de la chaleur, soit 90 % des infrarouges, le reste étant imputable à d’autres gaz comme l’ozone ou le méthane. Mais la chaleur ne s’accumule pas par additions successives !

En outre, les « savant » du GIEC oublient le gradient thermique vertical. L’air chaud monte et perd 2°C/1000 pieds. Quand il fait 25°C au sol, il ne fait plus que 12°C à 2000 mètres… Et ils ne tiennent pas compte de l’accélération du cycle de l’eau qui se traduit avec la chaleur par un épaississement des couches nuageuses, avec pour effet d’accroître l’albedo de la terre et donc de renvoyer davantage de rayons solaires vers l’espace, diminuant ainsi l’effet de serre et le réchauffement.

La population éduquée dans les pays avancés est de moins en moins instruite scientifiquement. Très peu de gens sont capables d’analyser l’empreinte carbone réelle. Et de dénoncer les supercheries. Les médias et les gouvernements en profitent pour propager leur idéologie du réchauffement anthropique, afin d’instaurer toutes sortes de mesures coercitives et punitives pour « sauver le monde» et vider les porte-monnaie.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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12 octobre 2024 6 12 /10 /octobre /2024 11:56
Climat : le Giec contre le débat scientifique

Rares sont ceux qui ont le courage de lire tous les écrits retenus par le GIEC, même parmi ses membres, et j’ai particulièrement apprécié le travail de Pascal IRIS, ingénieur, mathématicien, familier de la recherche, retraité, et je suis heureux de pouvoir résumer quelques points abordés dans « Science du climat : faiblesses et manquements ». (1)

– Tous les scientifiques reconnaissent qu’il n’y a aucune mesure directe possible d’un réchauffement de l’atmosphère par le CO2. Certains, comme JM Jancovici, prêtent au CO2 la responsabilité d’observations faites dans l’atmosphère… mais on reste dans le domaine du possible, sans plus, pas de preuve directe.

– En pratique, le GIEC se réfugie dans des modèles mathématiques qui prédisent entre 0,3 et 10°C de croissance de la température d’ici 2100. Assez curieux comme écart…

– Pascal Iris  relève que, parmi les climatologues admis par le GIEC, certains mettent en doute la valeur de ces prédictions. Eux seuls parleront dans ce texte. Comme ces modèles mathématiques donnent facilement des valeurs insensées, F. Hourdin constate que, sans la plus petite trace de raison physique, des paramètres sont « réglés » pour que les valeurs prédites soient plausibles. Cette façon de « régler » condamne évidemment ces modèles ! On peut carrément dire que les valeurs utilisées sont inventées dans la plus grande opacité. Un tel manque de transparence est absolument non conforme aux règles de l’art !

– Comme la turbulence, la convection ou les nuages ne peuvent être prédits, on leur attribue une valeur moyenne. Si le climat devait fraîchir, ce que certains climatologues prédisent, 100 % de ces modèles seraient faux.

– Gavin A. Schmidt constate que le GIEC prédit le futur en faisant la moyenne d’une centaine de modèles. Dans la réalité, ces modèles  sont reconnus tous faux avec le temps et avec des écarts de valeurs extrêmes… Et on pense à ce qui se passe dans l’enseignement : si des élèves sont questionnés, peut-on considérer comme meilleure réponse celle qui est la plus fréquente ? Et Gavin A. Schmidt conclut : « La terre est un système complexe dans lequel les océans, la glace et l’atmosphère sont interconnectés, et aucun modèle informatique ne pourra jamais en simuler exactement tous les aspects. […] »

En conclusion, pour le GIEC notre avenir est décidé sur la base de modèles tous réglés à la hausse de température, modèles qui nous terrorisent mais qu’il est impossible de mettre en parallèle avec la réalité. Et pour nous imposer cette vision de l’avenir, Radio France prend position : « Article I : nous nous tenons résolument du côté de la science, en sortant du champ du débat de la crise climatique, son existence comme son origine humaine. Elle est un fait scientifique établi, pas une opinion comme une autre. » « Vous avez le devoir de réduire au silence ceux qui s’opposent au GIEC » (Al Gore, conférence donnée au Geophysical Institute Union, San Francisco en 2008).

La science progresse à travers des débats et des expériences mais, depuis 30 ans, il est progressivement interdit de chercher, de débattre, et même les climatologues sérieux du GIEC n’osent pas signaler que le GIEC les trahit… Ils attendent d’être retraités pour oser parler ou ils s’inventent un faux nom !

Claude Brasseur

(1) Science du climat : faiblesses et manquements – IREF  Europe FR

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7 octobre 2024 1 07 /10 /octobre /2024 23:33
Les Nations Unies avertissent que la Géo-Ingénierie pour lutter contre le Changement Climatique pourrait créer plus de Problèmes que de Solutions !  
La Géo-Ingénierie plus Dangereuse que Positive ?
Le rapport s’inquiète du fait que les réflexions à court terme et au niveau local pourraient conduire à des problèmes plus larges qui menacent la prospérité d’autres personnes. 
L’Organisation des Nations unies (ONU) a publié un rapport dans lequel elle avertit que certains efforts déployés pour lutter contre les effets du changement climatique peuvent entraîner des risques supplémentaires. 
Le rapport souligne à quel point notre système est interconnecté et fragile au XXIe siècle et nous invite à ne pas nous focaliser sur des solutions à court terme qui pourraient avoir un impact sur la prospérité à long terme. 
Le rapport constitue un appel aux armes, nous invitant à réfléchir et à répondre aux divers défis émergents susceptibles de perturber le bien-être de notre planète. 
Pour ce faire, il examine huit changements majeurs dans le monde, notamment le développement rapide de technologies telles que l’intelligence artificielle, la montée de la désinformation, les déplacements forcés de populations et la concurrence accrue pour des ressources naturelles limitées. 
Parallèlement, le rapport examine comment les expériences de géo-ingénierie, comme la modification du rayonnement solaire (SRM) et d’autres technologies de modification du climat, pourraient être plus néfastes à long terme. 
Le concept consiste à ensemencer les nuages avec des substances qui les rendent plus réfléchissants, ce qui renvoie la lumière du soleil dans l’espace. 
L’éclaircissement marin des nuages est l’une de ces techniques, qui utilise du sel marin pour modifier les nuages dans une région donnée. 
Bien qu’elle semble prometteuse, cette technique est controversée, car son utilisation locale peut modifier les conditions météorologiques ailleurs sur la planète, sans pour autant s’attaquer aux problèmes sous-jacents qui sont à l’origine du changement climatique.
"Reconnaissant que les technologies SRM restent spéculatives et très controversées, un examen scientifique et un discours public plus ouvert sur les implications […] sont essentiels à ce stade", explique le rapport.
"Choisir d’ignorer complètement les MRS à ce stade pourrait comporter ses propres risques, laissant la société et les décideurs mal préparés et potentiellement mal orientés."

La compensation des émissions de carbone est également une préoccupation majeure. 
Il s’agit d’une tactique largement utilisée par les particuliers, les entreprises ou les gouvernements qui tentent d’annuler leurs émissions de combustibles fossiles en finançant des pratiques équivalentes de réduction ou d’élimination des émissions dans d’autres pays. 
Ces pratiques comprennent des éléments tels que la plantation d’arbres ou la restauration de forêts ou de zones humides, ou la prévention des émissions en premier lieu, grâce à des améliorations de l’efficacité énergétique ou en évitant de détruire des zones naturelles. 
Cependant, de nombreuses pratiques de compensation impliquent une série de problèmes et d’activités douteuses qui nuisent à leur efficacité.
"Les problèmes vont de la faiblesse des processus de vérification, qui permettent à des projets fictifs ou frauduleux d’être certifiés, à la fausse représentation du potentiel de séquestration d’une activité ou à la vente en double de crédits individuels à de multiples acheteurs", indique le rapport. 
Il y a de plus en plus de preuves et d’inquiétudes que les initiatives de compensation à grande échelle, même celles qui sont considérées comme ayant une "haute intégrité", ont surestimé leur capacité à contribuer à la limitation des émissions de gaz à effet de serre dans l’atmosphère.

Malgré la nature inquiétante de certains des défis abordés dans le rapport, les auteurs tiennent à souligner qu’il existe encore des solutions.
"Face à la triple crise planétaire du changement climatique, de la perte de la nature et de la biodiversité, et de la pollution et des déchets", explique Inger Andersen, directrice exécutive du Programme des Nations unies pour l’environnement, dans l’avant-propos du rapport, "nous pourrions facilement lever les bras au ciel et imaginer le monde de 2050 – dans 25 ans seulement – comme un endroit dangereux, endommagé, où la société humaine et l’environnement qu’elle habite sont confrontés à des menaces nouvelles et accrues".
"Toutefois, le but de ce rapport n’est pas de prédire l’avenir." 
Il s’agit plutôt de "prévoir l’avenir", en s’appuyant sur l’expertise et les voix de divers milieux. 
Cela peut sembler être une distinction sans différence, mais M. Andersen pense qu’il y a plus que cela.
"Quelle est la différence ? 
La prédiction est passive : elle consiste à s’enfermer dans une vision de l’avenir. 
La prospective consiste à imaginer l’avenir et à chercher comment le changer."

La réponse mondiale est, à ce jour, mitigée. 
La résilience locale devient plus évidente alors que les gouvernements peinent à répondre aux catastrophes et qu’à leur place, les communautés locales se mobilisent pour faire face à la situation. 
Bien que la situation soit loin d’être idéale, elle montre que les réseaux locaux peuvent jouer un rôle précieux dans la lutte contre les problèmes environnementaux. 
Le rapport arrive deux mois avant le début du Sommet de l’avenir des Nations unies à New York. 
Les discussions porteront sur la manière dont la communauté mondiale peut respecter ses engagements et relever les nouveaux défis. 
Le rapport insiste notamment sur la nécessité pour les pays de définir des objectifs à plus court terme qui leur permettront de mesurer leur efficacité. 

Source : IFLScience – Traduit par Anguille sous roche 
https://www.anguillesousroche.com/nature/les-nations-unies-avertissent-que-la-geo-ingenierie-pour-lutter-contre-le-changement-climatique-pourrait-creer-plus-de-problemes-que-de-solutions/#google_vignette
 
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6 septembre 2024 5 06 /09 /septembre /2024 05:58
Crédits : Euronews

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Ils nous ont Promis la Disparition des Calottes Glaciaires, mais c'est le Contraire qui se passe, l'Arctique grossis et l'Antarctique bat des Records de Froid ! 
 
 
 
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6 septembre 2024 5 06 /09 /septembre /2024 03:56
Le Méchant CO2, qu'il faut Taxer et Réduire selon les Mondialistes Eugénistes, rend la Terre de plus en plus Vivante et Fertile, donnant plus de Nourriture aux Hommes et aux Animaux ! 
Le CO2 rend la Terre plus Verte
Une étude confirme que le CO2 rend la Terre plus Verte ! 
Les études se multiplient sur l’impact positif significatif du CO2 sur le verdissement mondial, apportant de solides preuves que les fanatiques du Parti du réchauffement climatique ont tort et que l’augmentation des émissions de carbone constitue un avantage net pour la planète et sa biodiversité. 
Le monde devient plus vert grâce aux émissions de carbone, conclut une étude publiée dans Global Ecology and Conservation. 
L'étude, réalisée par la Fondation nationale des sciences naturelles de Chine et le Programme d'innovation en recherche et pratique de troisième cycle de la province du Jiangsu, visait à apporter des éclaircissements sur les résultats mitigés d'autres études récentes sur les tendances mondiales de verdissement et de brunissement.
"La fertilisation au CO2 et la gestion des terres ont été les principaux moteurs du verdissement", ont constaté les chercheurs. 
En utilisant quatre des derniers ensembles de données de l'indice de surface foliaire (LAI), les chercheurs ont constaté que le verdissement mondial a persisté de 2001 à 2020. 
Un verdissement accéléré a été observé dans 55,15% du monde, tandis que l'accélération du brunissement, causée par la sécheresse, a été limitée à seulement 7,28 %. 
Cette tendance au verdissement était particulièrement prononcée en Inde et dans les plaines européennes. 

 
Distribution spatiale de la tendance et de la tendance du taux de croissance basée sur la moyenne de quatre ensembles de données LAI. 
Le jaune et le bleu indiquent que le LAI présente une tendance positive, le jaune indique une tendance négative du taux de croissance du LAI et le bleu indique une tendance positive du taux de croissance du LAI. 
Le rouge et le vert indiquent que le LAI présente une tendance négative, le rouge indique une tendance négative du taux de croissance du LAI et le vert indique une tendance positive du taux de croissance du LAI. 
Dans certains cas, des niveaux d’humidité réduits peuvent en réalité favoriser la croissance des cultures.
"De plus en plus de recherches indiquent que la croissance de la végétation peut être favorisée par les contraintes d’humidité dues à l’augmentation du déficit de pression de vapeur et à la diminution de l’humidité du sol due au réchauffement climatique", ont déclaré les chercheurs. 
Le déficit de pression de vapeur (DVP) représente l’écart entre l’humidité présente dans l’air et la quantité maximale d’humidité que l’air peut contenir à saturation. 
"Une tendance globale au brunissement ne pourrait pas surpasser les effets positifs de la fertilisation au CO2 sur la croissance de la végétation", ont-ils conclu. 
Les chercheurs, issus d'universités chinoises et australiennes, affirment que "le verdissement mondial est un fait indéniable". 
En analysant les données météorologiques, ils ont déterminé que les changements dans les niveaux de CO2 étaient le principal facteur influençant la tendance de l'indice LAI, le "réchauffement climatique" dictant simplement le taux de croissance de l'indice LAI. 
L'étude met effectivement de côté le « changement climatique ».
"Dans les zones homogènes, 64,06% ont affiché un verdissement accéléré, notamment en Inde, dans la plaine européenne et en Afrique de l'Est. 
Les zones où le brunissement s'accélère ne représentent que 2,07%, principalement dans l'est du Brésil !", ont expliqué les chercheurs.
"Seuls 14,44% de la planète ont connu un brunissement, avec des proportions à peu près égales en accélération (7,28%) et en décélération (7,16%)."
 
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