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6 septembre 2024 5 06 /09 /septembre /2024 05:58
Crédits : Euronews

Crédits : Euronews

Ils nous ont Promis la Disparition des Calottes Glaciaires, mais c'est le Contraire qui se passe, l'Arctique grossis et l'Antarctique bat des Records de Froid ! 
 
 
 
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6 septembre 2024 5 06 /09 /septembre /2024 03:56
Le Méchant CO2, qu'il faut Taxer et Réduire selon les Mondialistes Eugénistes, rend la Terre de plus en plus Vivante et Fertile, donnant plus de Nourriture aux Hommes et aux Animaux ! 
Le CO2 rend la Terre plus Verte
Une étude confirme que le CO2 rend la Terre plus Verte ! 
Les études se multiplient sur l’impact positif significatif du CO2 sur le verdissement mondial, apportant de solides preuves que les fanatiques du Parti du réchauffement climatique ont tort et que l’augmentation des émissions de carbone constitue un avantage net pour la planète et sa biodiversité. 
Le monde devient plus vert grâce aux émissions de carbone, conclut une étude publiée dans Global Ecology and Conservation. 
L'étude, réalisée par la Fondation nationale des sciences naturelles de Chine et le Programme d'innovation en recherche et pratique de troisième cycle de la province du Jiangsu, visait à apporter des éclaircissements sur les résultats mitigés d'autres études récentes sur les tendances mondiales de verdissement et de brunissement.
"La fertilisation au CO2 et la gestion des terres ont été les principaux moteurs du verdissement", ont constaté les chercheurs. 
En utilisant quatre des derniers ensembles de données de l'indice de surface foliaire (LAI), les chercheurs ont constaté que le verdissement mondial a persisté de 2001 à 2020. 
Un verdissement accéléré a été observé dans 55,15% du monde, tandis que l'accélération du brunissement, causée par la sécheresse, a été limitée à seulement 7,28 %. 
Cette tendance au verdissement était particulièrement prononcée en Inde et dans les plaines européennes. 

 
Distribution spatiale de la tendance et de la tendance du taux de croissance basée sur la moyenne de quatre ensembles de données LAI. 
Le jaune et le bleu indiquent que le LAI présente une tendance positive, le jaune indique une tendance négative du taux de croissance du LAI et le bleu indique une tendance positive du taux de croissance du LAI. 
Le rouge et le vert indiquent que le LAI présente une tendance négative, le rouge indique une tendance négative du taux de croissance du LAI et le vert indique une tendance positive du taux de croissance du LAI. 
Dans certains cas, des niveaux d’humidité réduits peuvent en réalité favoriser la croissance des cultures.
"De plus en plus de recherches indiquent que la croissance de la végétation peut être favorisée par les contraintes d’humidité dues à l’augmentation du déficit de pression de vapeur et à la diminution de l’humidité du sol due au réchauffement climatique", ont déclaré les chercheurs. 
Le déficit de pression de vapeur (DVP) représente l’écart entre l’humidité présente dans l’air et la quantité maximale d’humidité que l’air peut contenir à saturation. 
"Une tendance globale au brunissement ne pourrait pas surpasser les effets positifs de la fertilisation au CO2 sur la croissance de la végétation", ont-ils conclu. 
Les chercheurs, issus d'universités chinoises et australiennes, affirment que "le verdissement mondial est un fait indéniable". 
En analysant les données météorologiques, ils ont déterminé que les changements dans les niveaux de CO2 étaient le principal facteur influençant la tendance de l'indice LAI, le "réchauffement climatique" dictant simplement le taux de croissance de l'indice LAI. 
L'étude met effectivement de côté le « changement climatique ».
"Dans les zones homogènes, 64,06% ont affiché un verdissement accéléré, notamment en Inde, dans la plaine européenne et en Afrique de l'Est. 
Les zones où le brunissement s'accélère ne représentent que 2,07%, principalement dans l'est du Brésil !", ont expliqué les chercheurs.
"Seuls 14,44% de la planète ont connu un brunissement, avec des proportions à peu près égales en accélération (7,28%) et en décélération (7,16%)."
 
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26 juillet 2024 5 26 /07 /juillet /2024 00:34
La Faune Polaire se porte très Bien contrairement aux Propos Alarmistes par rapport à un supposé "Réchauffement Climatique" ! 
La Faune Polaire se porte très Bien
Avez-vous vu lu le dernier rapport "Polar Wildlife Report" de la "Global Warming Policy Foundation" ?

Ils ont été choqués de constater que la faune et la nature étaient en plein essor : 
"Aucun rapport provenant des deux hémisphères en 2022 ne suggère que la faune polaire souffre de la réduction de l'étendue de la glace de mer ; 
la productivité primaire globale (photosynthèse des plantes) a augmenté ; 
un nouveau modèle de prévision de la glace de mer reconnaît les défauts antérieurs et ne prévoit pas de déclin futur avant 2050 au plus tôt."

Nous sommes tous pour prendre mieux soin de notre planète - mais nous ne soutenons PAS "l'alarmisme climatique" ni le fait de prétendre que le CO2 est le problème. 
Le climat change constamment, et les plantes sont les terraformeurs de la nature - elles créent des microclimats stables et contrôlent même le temps.

 
 
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8 juillet 2024 1 08 /07 /juillet /2024 03:54
Crédits :  AFP Factuel

Crédits : AFP Factuel

Non l'augmentation du CO2 ne fait pas disparaître la Vie, la Faune et la Flore des Poles Nord et Sud se porte Bien malgré les Projections Alarmistes ! 
 
 
 
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7 juillet 2024 7 07 /07 /juillet /2024 23:52
Réchauffement climatique : les Verts, rouges de rage, font grise mine

La lecture des mainstream peut être agréable. Quand des imposteurs experts en trucages et manipulations s’inquiètent de leur perte d’audience… Ou quand leur secte en rajoute tant qu’il devient assez facile de réfuter leurs interprétations farfelues des phénomènes naturels.

Vagues scélérates et tsunamis, non, réchauffement climatique !

Surfant sur le faible niveau scientifique des téléphages, tous les mensonges sont bons pour duper le public. Avec la complicité de journaleux ignares ou corrompus. Des débordements suite à de violents orages ? Un tsunami après des mouvements volcaniques ou tectoniques ? Des vagues scélérates produites par de fortes houles croisées ? C’est le réchauffement climatique et le nouveau déluge ! Rares sont les infos honnêtes sur les inondations aux îles Marshall.

Alliance contre nature des rouges-verts anticapitalistes avec l’hyper-capitalisme mondialisé

Des réchauffards corrompus par les dons des banksters du NWO croient tout le monde pourri comme eux. À les entendre, les réticences aux hypothèses bancales du réchauffement anthropique seraient aux USA le fait de groupes de réflexion liés au Parti Républicain, et de lobbies de grandes entreprises du secteur pétrolier.

Aux États-Unis, le premier amendement de leur Constitution garantit la liberté d’expression. Les réchauffards ont beau glapir qu’il s’agit d’un déni de faits sur lequel tous les scientifiques seraient d’accord… Les plus de 35.000 signataires de l’Oregon Petition, universitaires, ingénieurs et chercheurs du monde entier leur rentrent leurs mensonges dans la gorge.

On ne peut bâillonner tous les hérétiques. Tout au plus les discréditer. En mettant en cause leurs compétences. Quand on sait que le GIEC a été dirigé par des gens qui n’avaient qu’une formation et une pratique très limitées en climatologie. Un ingénieur ferroviaire et un physicien atomiste auxquels ont succédé des laborantins et des petits profs. Le dernier en date serait un expert en énergies renouvelables.

En Europe, et tout particulièrement en France où fleurissent les délits d’opinion, on voudrait vous faire rentrer les bonnes pensées dans le crâne à coups de marteau sur la tête. Interdits de séjour sur les médias audio-visuels, leurs éditeurs menacés de contrôle fiscal, leurs sites web caviardés ou fermés sans préavis, les climatoréalistes semblaient en mauvaise posture depuis le début du troisième millénaire.

Les réchauffards s’en félicitaient cyniquement au moment de l’Accord de Paris de 2015 qui était censé nous donner le coup de grâce. Entre fermetures des labos, mises à la retraite d’office ou déclassement dans des bureaux des scientifiques fonctionnaires, seuls des électrons libres pouvaient continuer le combat pour dénoncer ces supercheries.

Mais au désarroi des verdâtres qui fêtaient leur victoire idéologique, un retournement d’opinion s’est opéré. Les gesticulations du lunatique Macron pour capter quelques voix écolos ont déconsidéré le réchauffisme. La loi Climat Résilience de 2021 votée à la hâte a fait pschitt.

Difficile de faire gober au plus grand nombre les fariboles du réchauffement quand les moyens de communication modernes montrent qu’il a neigé plusieurs fois dans le Sahara et en Arabie, que des otaries de l’Antarctique viennent batifoler dans les eaux de la Polynésie, que les glaciers de l’Himalaya n’ont pas fondu comme prévu, et que les atolls qui devaient être engloutis avant 2020, sont toujours là…

Le bon sens semble reprendre ses droits malgré le matraquage des médias serviles. Pas besoin d’être titulaire d’un Ph.D pour comprendre qu’il est normal qu’il fasse froid l’hiver et chaud l’été, et que les cycles climatiques ont toujours existé, de façon naturelle, en fonction des variations d’intensité du soleil et des évolutions de l’orbite terrestre. Même si Greta croit que Milankovitch était un vendeur de bicyclettes.

Finalement, tout ça c’est la faute de l’extrême drouâte!

Un certain Christophe Cassou du CNRS (la planque des chercheurs qui ne trouvent rien), membre éminent du Gang International des Escrocs du Climat, s’est plaint d’avoir été critiqué par des climatosceptiques sur le web. C’étaient des patriotes qui plus est. Circonstance aggravante !

Cet homme qui se dit ouvert à la discussion ne palabre que si on est d’accord avec lui. Toute argumentation susceptible de remettre en cause ses croyances est perçue comme une agression haineuse et violente. Pour ce militant « les attaques climatosceptiques sont nauséabondes, délétères et puantes.» On retrouve là toute la dialectique pavlovienne des gauchistes frénétiques. Entre secte et croyances aveugles.

Sous divers aspects, le réchauffisme est une religion laïque comme le communisme au siècle dernier. Avec son dogme, ses rites, ses grand messes, son haut et bas clergé, ses ouailles, sa bureaucratie, sa sainte gourdasse, sa propagande, ses interdits alimentaires (« devenez végétariens pour sauver le monde ») et son inquisition médiatique prompte à punir de la mort sociale les blasphémateurs et les hérétiques.

Cette attitude ne favorise pas un débat scientifique, que les réchauffistes esquivent en traitant par l’anathème et l’excommunication leurs contradicteurs. On ne discute pas avec le diable !

« Reporterre » cellule gauchiste ripolinée en vert s’affole

Ils se disent « indépendants». Mais ils défendent les escrolos violents qui nous bassinent. Soutiennent les opposants à Poutine, comme ils attaquaient naguère Bolsonaro. Et bien sûr prennent le parti du Hamas contre les Israéliens. Symptômes de la peste gauchiste qui veut donner des leçons au monde entier. Alors qu’ils ne représentent qu’eux-mêmes.

C’est dire si j’ai été heureux de lire l’aveu dépité de ces crapules, reconnaissant leur échec. « Alors que les effets du changement climatique (fini le réchauffement ?) sont de plus en plus couverts par les médias, les climato-sceptiques prospèrent.»

Ces prophètes de malheur admettent mal qu’un nombre croissant de scientifiques, en dehors du microcosme des subventionnés et des médiatisés, récupèrent les mêmes données satellite, croisent les mêmes statistiques et utilisent les mêmes algorithmes qu’eux… Et en tirent, par le raisonnement et le calcul, des conclusions diamétralement opposées.

Lueur de réalisme dans ces esprits bornés, ils avouent que, selon un sondage IPSOS et Cevipof de 2023, la moitié des Français ne croient plus à la fable du réchauffement anthropique. Et cette lucidité est partagée par des chefs d’États comme Xi Jinping (Chine), Vladimir Poutine (Russie), Javier Milei (Argentine), Salman Al Saoud (Arabie), des leaders en orbite d’attente comme Geert Wilders (Hollande) et Trump (USA), et d’anciens présidents influents comme Jair Bolsonaro (Brésil).

En outre, en Australie, aux USA, au Canada, en Finlande, en Norvège, une forte proportion de la population, jusqu’à 65 %, ne gobe plus les fables du GIEC. Malgré la cenSSure de Google, YouTube, MSN, Chrome, Twitter, Facebook, au service des réchauffards… Le CO2 peut-il faire oublier la pédophilie de certains de leurs dirigeants, clients assidus de Jeffrey Epstein et autres salopards du même tonneau ?

Plutôt que de reconnaître leurs erreurs, les enfumeurs du GIEC voudraient punir les coupables de leur perte d’influence

Les climato-réalistes reviennent de loin. Les brimades et exclusions des réseaux dont certains ont changé de nom comme des voyous après un mauvais coup ne sont rien à côté des menaces de quelques fous furieux menés par le fantasque ex vice-président US Al Gore.

Cet autre « Mozart de la finance » qui, lors de la crise des subprimes a planté Goldman Sach de 10 milliards de dollars, renfloué sur des fonds fédéraux, voulait instaurer un crime contre l’humanité de climato-scepticisme. Avec une cour pénale façon Nuremberg pour condamner à la prison à vie tous ceux qui réfuteraient les élucubrations du GIEC.

Prédicateurs ou prédateurs, les objectifs des réchauffistes

Les gens du GIEC racontent n’importe quoi pour satisfaire leurs sponsors. Ils en attendent des dividendes sous forme d’honneurs, de postes convoités, de crédits de recherche, de publications favorisées et bien sûr de rémunérations confortables. À ce tarif là, ils justifient par tous les moyens trois objectifs principaux :

D’abord assujettir les États-Nations à une plate forme de décision mondiale, en commençant par des traités contraignants d’abandons de souveraineté, anticipant un gouvernement global aux ordres des conglomérats financiers. Avec au début des simulacres d’élections, sans que les dirigeants désignés soient responsables devant le peuple. Le tout enrobé d’une propagande menaçante que chacun doit reprendre en chœur s’il veut éviter l’exil intérieur.

Ensuite détourner le regard des Occidentaux vers la menace fantôme du réchauffement cataclysmique, en occultant la menace réelle de l’invasion migratoire qui est en train modifier radicalement leurs équilibres sociétaux ainsi que leurs modes de vie… Tout en attirant au profit des banksters des foules de manœuvres aisément manipulables ou remplaçables, pour peu qu’on satisfasse leurs lubies religieuses.

Enfin parachever une paupérisation généralisée compensée par un assistanat réduit au minimum vital destiné à rendre les gens encore plus dépendants et à enrayer toute velléité de contestation.

Avec à la clé une restructuration économique destinée à favoriser la transition de l’économie réelle vers le monde de la finance pure... Sans se priver du bonus de la docilité des peuples muselés. Abrutis par les mass médias et assez soumis pour avoir subi, sans se rebiffer, les diktats expérimentés de façon concluante lors de la crise sanitaire provoquée.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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20 juin 2024 4 20 /06 /juin /2024 08:02
Photo by Jonathan NACKSTRAND / AFP)

Photo by Jonathan NACKSTRAND / AFP)

En matière de climat, les « scientifiques » du GIEC nous présentent l’apocalypse qui s’approche, diverses variantes de cet apocalypse, car le temps varie sans arrêt – comme il a toujours changé depuis que le monde existe – mais ce qui ne peut surtout pas changer, c’est la PEUR : l’homme qui a PEUR du changement climatique qu’il favoriserait lui-même par ses actions inadaptées, acceptera de se laisser ruiner « pour la planète », « pour l’avenir de ses enfants »…..

             Il me semble que nous sommes déjà bien ruinés  et j’ai lu avec plaisir  les Questions à poser par les journalistes aux « scientifiques » du GIEC du 26/01/2024

« bernarddonnier » pose un lot de bonnes questions et l’une d’elles dénonce la volonté de Jean Jouzel de tromper la population. Il met aussi en vedette Michael Mann qui a été condamné par la justice pour avoir refusé de donner les sources de ses mesures, refus qui n’a pas de sens en science.

D’autres faits condamnent le GIEC, service administratif de l’ONU, qui avoue à l’occasion n’avoir jamais pu lier augmentation de CO2 et augmentation de température…. mais avoir pu l’imaginer ! Ceci par la croyance en « l’effet ping-pong » selon lequel l’intensité de l’émission du CO2 serait égale à son pouvoir d’absorption, phénomène impossible.

Précisons que le pouvoir émissif réel du CO2 a été mesuré pour la première fois par les scientifiques Harde et schnell (1) en 2021 (!) et il s’avère particulièrement faible. Ils concluent, comme Seim et Olsen (2) que – même si un effet réel existe – le CO2 est innocent et n’a pas d’effet mesurable sur la température.

Et parlons « pollution » : si, par filtrages efficaces, les véhicules à propulsion par des sources fossiles ne libèrent en ville que H2O et CO2, il n’y a rien à leur reprocher et, dans tous les cas, il faut faire des bilans totaux des pollutions. Ainsi, et pour autant que je sache, on ne nous parle pas des pollutions horribles au moment de l’extraction en quantités gigantesques des métaux nécessaires à la fabrication des voitures électriques. Serait-ce parce que nous habitons loin des sources, parce que « certains » gagnent des milliards grâce à cette extraction, parce que la vie humaine n’a aucun poids là où nous ne vivons pas ?

Ma conclusion est  simple, évidente : chers concitoyens, renseignez-vous. Vous constaterez vite qu’on vous raconte des « faits » invérifiables, qu’on vous présente comme exceptionnels des phénomènes climatiques qui existent depuis toujours et vous comprendrez  vraiment que nous vivons – comme au Moyen Age – une période où la PEUR des uns doit enrichir les autres : nous payons des énergies « vertes » pour éviter la catastrophe climatique comme nos ancêtres payaient des indulgences pour s’éviter l’enfer….. A l’heure actuelle, on va jusqu’à nous effrayer avec le beau temps : 30 années favorables aux récoltes transformées en « introduction à une planète en feu » ! Nous acceptons qu’Antonio Guterres, Secrétaire Général de l’Onu, répète ce mantra……

Claude Brasseur

(1) Hermann Harde, Michael Schnell, Verification of the Greenhouse Effect in the Laboratory

(2) T.O.Seim, B.T.Olsen, IR Absorption and Back Radiation from CO2 in a simulated Eart/Atmosphere Experiment.

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27 mai 2024 1 27 /05 /mai /2024 11:13
Tim Stewart : L’activisme climatique radical est “presque une crise de santé mentale”

Tim Stewart estime que les manifestations contre le changement climatique sont devenues tellement saturées que les activistes sont amenés à se distinguer par “des protestations de plus en plus radicales et de plus en plus stupides”.

Tim Stewart explique également que les manifestations contre le changement climatique en Occident sont presque une épidémie de santé mentale.

“C’est triste de voir tant de jeunes gens qui ont été programmés sur la fin du monde et qui ont une série ininterrompue de faux prophètes qui font de fausses prophéties. Ces pauvres enfants sont rongés par la dépression et la culpabilité, et c’est le seul moyen qu’ils ont de gérer cela. D’une certaine manière, je compatis avec eux”, déclare Stewart.

Source : Just The News

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Gaïa pour Dreuz.info.

 

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14 mai 2024 2 14 /05 /mai /2024 08:37
Et un de plus ! Une éminente climatologue censurée partout, doute de la véracité du réchauffement climatique
Un nouveau livre rédigé par une éminente scientifique spécialiste du changement climatique doute des théories du réchauffement planétaire.

Avec la publication en 2023 de Climate Uncertainty and Risk : Rethinking Our Response, la géoscientifique Judith A. Curry, Ph.D., reconnaît qu’en 2007, elle a “rejoint le consensus” en soutenant le quatrième rapport d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations unies comme faisant “autorité”.

Puis elle a changé de point de vue.

Climatgate

Pourquoi ? C’est le Climategate, dont les médias ont tout fait pour que vous l’oubliiez : c’était la publication non autorisée, en 2009, d’emails échangés entre les climatologues de l’Unité de recherche climatique de l’Université d’East Anglia et les auteurs du GIEC, et qui se mettaient d’accord sur les résultats qu’il fallait obtenir et présenter, confirmant ses “inquiétudes et ses soupçons” selon lesquels “la politique et les agendas personnels” avaient empiété sur le processus d’évaluation du GIEC.

En 2017, Mme Curry a démissionné d’un poste prestigieux de présidente de l’École des sciences de la terre et de l’atmosphère de l’Institut de technologie de Géorgie. “À la suite de la polarisation de la science du climat, j’ai constaté que j’avais perdu mon amour de la science dans le contexte de l’écosystème universitaire”, dit-elle.

Mme Curry travaille actuellement dans le secteur privé en tant que présidente de Climate Forecast Applications Network (CFAN), une entreprise qu’elle a cofondée en 2006 dans le cadre du programme VentureLab de Georgia Tech. Elle participe à la “prise de décision dans le monde réel pour gérer les risques liés au temps et au climat”. Elle a également créé le très respecté blog Climate Etc. pour lequel elle a écrit de nombreux articles.

Le changement de climat “a été la norme tout au long des 4,6 milliards d’années de l’histoire de la Terre”

Dans son nouveau livre, Mme Curry rappelle que :

  • le changement de climat “a été la norme tout au long des 4,6 milliards d’années de l’histoire de la Terre”.
  • Elle refuse d’abandonner l’idée que l’homme “modifie également la composition de l’atmosphère en augmentant les émissions de CO2 et d’autres gaz à effet de serre”,
  • mais elle ajoute une mise en garde importante : Cette redéfinition du “changement climatique”, qui se réfère uniquement aux modifications de la composition de l’atmosphère causées par l’homme, a éliminé le changement climatique naturel du débat public.

Il en résulte que le langage courant parle de “changement climatique”, sans mentionner la variabilité naturelle du climat.

  • Tout changement observé au cours du siècle dernier est désormais implicitement considéré comme étant causé par les émissions humaines dans l’atmosphère.
  • Cette hypothèse conduit à relier tout événement météorologique ou climatique inhabituel au changement climatique causé par les émissions de combustibles fossiles.
  • Ayant reconnu que le changement climatique est la “norme” tout au long des 4,6 milliards d’années de l’histoire de la Terre, Curry comprend que cette attribution politisée de tous les changements climatiques à l’homme qui brûle des hydrocarbures est un non-sens.
Raisonnement mathématique

Parfois le papillon provoque une tornade, et parfois non

Le cœur de l’argumentation de Mme Curry est mathématique, et son principal objectif est de redéfinir la manière dont les modèles climatiques pilotés par ordinateur sont conceptualisés. Curry comprend ce que le mathématicien et météorologue du MIT Edward Norton Lorenz a prouvé avec ce qui est devenu “l’effet papillon”. Lorenz a démontré que les mathématiques du climat impliquent des équations différentielles non linéaires dans lesquelles un changement dans une variable indépendante ne produit pas un résultat déterministe dans les variables dépendantes connexes.

Dans son livre The Essence of Chaos, Lorenz a également démontré que de petites différences dans les mesures initiales peuvent produire des différences spectaculaires dans les résultats des modèles climatiques. Ainsi, le battement d’ailes d’un papillon en Chine peut affecter le développement de tornades au Kansas, mais parfois, lorsqu’un papillon bat des ailes en Chine, il n’y a pas d’effet sur les tornades au Kansas. Le battement d’ailes est une petite différence dans une mesure initiale qui peut avoir un effet énorme sur les résultats climatiques. Mais si le battement d’ailes en Chine ne provoque pas toujours une tornade au Kansas, c’est parce que les équations régissant le climat ne sont pas linéaires, de sorte que parfois le papillon provoque une tornade, et parfois non.

Ni le temps est pas prévisible, ni l’ampleur d’un éventuel réchauffement climatique

Les incertitudes inhérentes au climat signifient que nos prévisions météorologiques et climatiques sont incertaines

En d’autres termes, le temps n’est pas prévisible et nous ne pouvons pas non plus déterminer avec précision l’ampleur du réchauffement climatique qui résultera d’une augmentation donnée du CO2 atmosphérique. C’est pourquoi Curry a abandonné l’espoir que le climat puisse être modélisé de manière déterministe par un ordinateur, et insiste plutôt sur le fait que les incertitudes inhérentes au climat signifient que, au mieux, nos prévisions météorologiques et climatiques sont incertaines, mesurables uniquement par la théorie des probabilités.

Tous les modèles climatiques sont condamnés à l’échec

Curry, comme Lorenz, a conclu que la nature non linéaire des équations climatiques et les limites inhérentes aux mesures quantitatives des variables climatiques (dans une mathématique qui implique des nombres irrationnels avec une infinité de décimales) condamnent tous les modèles climatiques à l’échec.

Elle écrit :

“De nombreux processus dans l’atmosphère et les océans sont non linéaires, ce qui signifie qu’il n’y a pas de relation simple entre la cause et l’effet. L’imprévisibilité inhérente au système climatique condamne tous les modèles météorologiques informatisés à l’échec dans un sens déterministe. Pour la météo, cette échelle de temps de prévisibilité est une question de semaines”.

Bien que Mme Curry prenne soin de ne pas contrarier les hystériques du réchauffement climatique qui dominent le monde intellectuel aujourd’hui, ce qu’elle dit, c’est que les modèles du GIEC dictant que nous devons limiter les températures mondiales à 1,5 °C au-dessus des niveaux préindustriels au cours des trente prochaines années pour éviter un réchauffement climatique catastrophique reflètent un parti pris politique, plutôt que des conclusions tirées d’une science climatique légitime.

Un changement de paradigme s’impose

Abandonner les modèles climatiques en tant que “machines à prédire”

Mme Curry est favorable à un changement du paradigme climatique, passant d’une pensée déterministe produisant des scénarios apocalyptiques à un modèle probabiliste reconnaissant les incertitudes des résultats inhérents au climat de la Terre. Au lieu de se débarrasser des modèles climatiques pilotés par ordinateur, elle souhaite abandonner leur utilisation en tant que “machines à prédire” au profit d’une utilisation en tant que “générateurs de scénarios”.

L’essentiel de l’inquiétude de Curry est que :

  • notre compréhension du climat de la Terre est limitée.
  • même les scénarios de résultats climatiques possibles générés par des modèles climatiques élaborés peuvent, au mieux, être considérés comme des possibilités et non comme des certitudes.
  • Le fait que nous devions nous fier à des probabilités climatiques est un autre aveu de taille, compte tenu de la nature cataclysmique des changements survenus sur Terre au cours des temps géologiques – l’élévation des montagnes, le mouvement des continents et l’impact des astéroïdes, pour n’en citer que quelques-uns.
  • La Terre a connu cinq extinctions massives de presque tous les êtres vivants avant l’apparition de l’homo sapiens.

Le fait qu’une géoscientifique de l’envergure de Judith Curry soit prête à critiquer le GIEC sur le réchauffement climatique en s’appuyant sur les mathématiques de ses modèles climatiques aurait de quoi ébranler le monde, sans la censure médiatique absolue.

Sans ses modèles climatiques, le GIEC perdrait sa crédibilité en matière de prévision des catastrophes climatiques.

Curry expose cette nouvelle facette de l’animosité néo-marxiste à l’égard des Etats-Unis et des puissances capitalistes : supprimez les sources d’énergie fiables – les hydrocarbures – vous détruisez l’énergie abondante et abordable dont le capitalisme a besoin pour maintenir l’état industriel moderne. Reste la Chine, qui est excusée par les écolo totalitaires de sa pollution.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Traduit et adapté depuis un article paru sur American Thinker

 
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12 mai 2024 7 12 /05 /mai /2024 11:13
La “science” du climat est bonne pour la poubelle, mais l’Administration Biden s’en sert pour garder le pouvoir

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article d’Andrea Widburg, paru sur le site d’American Thinker, le 21 février.

 

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Tandis que la “science” du climat s’effondre, l’Administration Biden s’en sert à des fins “anti-racistes”

La panique du “changement climatique” repose sur des modèles informatiques, qui sont utiles pour des projets limités, tels que le calcul de la tension du métal, la conception d’une chaise ou la fabrication de prothèses dentaires.

Cependant, pour quelque chose d’aussi complexe que le climat de la Terre, avec ses variables infinies, la seule constante des modèles informatiques est GIGO (“garbage in, garbage out“: bon pour la poubelle).

Un nouveau rapport concernant une défaillance majeure de ces modèles, à savoir la mauvaise compréhension de l’apport de vapeur d’eau, le prouve.

Ce rapport a été publié au moment même où Richard Levine, le fétichiste sexuel du HHS (le département de la Santé et des Services sociaux des États-Unis), a diffusé une vidéo utilisant le “changement climatique” pour attiser les divisions raciales, mettant ainsi en évidence ce que le “changement climatique” signifie réellement : Le pouvoir.

Toute personne attentive sait que la manie du “changement climatique” est une fraude.

1) Tout d’abord, le climat de la Terre a changé sans relâche pendant toute sa durée de vie, bien avant que l’homme ne commence à utiliser des quantités massives d’hydrocarbures pour produire de l’énergie.

2) Deuxièmement, si vous connaissez un tant soit peu le développement humain, vous savez que les hommes ont prospéré pendant les périodes de réchauffement et ont souffert quand il faisait froid. Par exemple, dans son livre magistral sur la peste noire, qui a tué 1/3 à 1/2 de la population mondiale, John Kelly explique que le refroidissement global a été l’élément déclencheur. Grâce à la période de réchauffement médiévale, la population mondiale a augmenté rapidement parce qu’il y avait plus de nourriture. Lorsque le mini âge glaciaire a commencé, la famine s’est installée.

La tendance au refroidissement a également modifié les routes commerciales, faisant passer les marchands par des régions peuplées de rongeurs porteurs de la peste. La population affaiblie par la famine était mûre pour qu’une bactérie agressive se déchaîne.

3) Troisièmement, de manière générale, c’est le froid, et non la chaleur, qui tue les gens. Plus il fait froid, plus les gens meurent.

4) Quatrièmement, les gauchistes sont catégoriquement opposés à l’exploration de l’énergie nucléaire, qui est la meilleure option pour fournir de l’énergie au monde moderne sans augmenter la production de CO2.

5) Cinquièmement, les gauchistes n’ont généralement pas été ébranlés par les destructions causées par leurs programmes d'”énergie alternative”, qu’il s’agisse

  • d’oiseaux découpés en tranches et en dés par d’affreuses éoliennes ou cuits par des fermes solaires;
  • de la déforestation pour faire de la place aux éoliennes et aux fermes solaires;
  • de la disparition potentielle des baleines associée aux éoliennes offshore;
  • des vastes décharges nécessaires pour les éoliennes et les panneaux solaires tombés en panne, qui ne peuvent pas être recyclés efficacement;
  • de la pollution due à l’extraction des minéraux nécessaires aux batteries des voitures électriques;
  • de l’esclavage des enfants associé à cette même exploitation minière;
  • de la pollution générée par le processus de fabrication des batteries; ou
  • des risques environnementaux à long terme de ces batteries, qu’elles soient brûlées ou mises en décharge.

6) Sixièmement, il y a le fait que les prévisions concernant le changement climatique sont presque toujours erronées.

Ces prévisions climatiques erronées nous ramènent à mon premier point sur le GIGO. Une nouvelle étude montre que les modèles n’ont pas tenu compte de la façon dont la vapeur d’eau affecte la capacité de la Terre à contrôler le climat :

Une nouvelle étude publiée dans PNAS a démontré, une fois de plus, que les modèles climatiques ne parviennent pas à simuler ce qui se passe dans le monde réel en ce qui concerne les variables fondamentales du changement climatique, telles que la vapeur d’eau. Il s’agit d’une découverte dévastatrice, car la vapeur d’eau est le gaz à effet de serre le plus important en raison de sa capacité présumée de “rétroaction”, qui accélère le réchauffement bien au-delà de ce que le CO2 serait capable de faire à lui seul.

Les auteurs ne sous-estiment pas l’importance de cet échec de la modélisation climatique.

Cela représente une lacune majeure dans notre compréhension et dans la fidélité des modèles climatiques qui doit être comprise et corrigée dès que possible afin de fournir des projections hydroclimatiques fiables pour les régions arides/semi-arides dans les décennies à venir.

Il est réconfortant de savoir que nous ne serons pas ébouillantés de sitôt.

Cependant, je peux vous assurer que les pouvoirs en place, que ce soit aux États-Unis, en Europe ou au sein du trop puissant Forum économique mondial, un groupe de fous mégalomanes et fortunés, ne tiendront pas compte de cette information, comme ils ont ignoré toutes les autres preuves que le changement climatique anthropique n’est pas réel.

 

(La pollution est réelle, et il nous incombe d’y remédier, bien entendu).

La raison pour laquelle ils ignoreront cette étude importante est le mot clé du paragraphe ci-dessus : “pouvoir“.

Terrifier les gens avec l’idée du changement climatique permet aux gouvernements et aux ONG d’influer sur les politiques, qui visent toutes à éloigner le pouvoir des États-nations pour le confier à la gouvernance mondiale de l’ONU et de l’OMS, avec le WEF (le World Economic Forum) comme intermédiaire.

Dans les pays occidentaux, la folie du changement climatique permet aux gouvernements de punir leurs ennemis politiques et de récompenser leurs amis politiques.

En outre, comme le révèle cette récente vidéo du Secrétaire adjoint à la santé Richard Levine (un déviant sexuel exhibitionniste qui se présente comme une femme nommée Rachel Levine), la panique climatique est utile pour créer un clivage racial :

Aucune donnée ne détournera jamais les gauchistes de leurs cris sur le changement climatique. C’est trop utile politiquement.

Cependant, nous, le peuple, devons exercer notre pouvoir dans les urnes pour nous débarrasser des politiciens de gauche qui exploitent cyniquement la peur d’un faux phénomène pour obtenir et conserver le pouvoir politique.

 

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : American Thinker

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20 avril 2024 6 20 /04 /avril /2024 00:04
KLA.TV : La Guerre Mondialiste contre les Éléments Essentiels aux Cycles Naturels de la Vie ! 
KLA.TV : La Guerre Mondialiste contre la Vie

Est-il concevable qu’il existe des forces qui déclarent la guerre à des éléments aussi vitaux que le carbone, le dioxyde de carbone, l’oxygène et l’azote ? 

L’émission "War on Elements" (Guerre contre les éléments) explique les tenants et les aboutissants de cette guerre contre la vie elle-même.

Cliquez sur ce LIEN si vous ne voyez pas la vidéo.

 

KLA.TV est un média indispensable de nos jours pour diffuser de réelles informations. 

https://www.etresouverain.com/kla-tv-la-guerre-mondialiste-contre-les-elements-de-la-vie/

 
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