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10 novembre 2025 1 10 /11 /novembre /2025 01:37
Sept preuves de la culpabilité du CO2

L’angoisse devant le changement climatique lié au « CO2 produit par l’homme » est entretenue chaque jour. Nous avons tous été impressionnés par une telle puissance humaine, puissance malfaisante et, tous, nous voulons une planète « comme avant ».  Astronome,  je me renseigne et j’ai pu recenser des faits, veux présenter  7 preuves de « la culpabilité du CO2 », voudrais inciter les lecteurs à se renseigner.

  1. Eunice Newton a toujours beaucoup de succès, entre autres dans les écoles, alors que sa brillante expérience (1856) ne concerne que le pouvoir isolant du CO2, pouvoir identique à celui de l’argon (1 % des gaz de l’atmosphère). L’argon est présenté par le GIEC comme le modèle des gaz sans « effet de serre »…..

2°  Al Gore, en 2006, « démontre » que les 100ppm de CO2 déjà acquis en 30 ans « doivent » faire monter la température terrestre de 10°C quoi que l’on fasse….

Il est bien vrai que nous vivons un été  chaud mais il est tout aussi vrai que des étés chauds et des étés froids alternent depuis la nuit des temps et on est très loin des 10°C promis.

  1. Les géologues ont reconstitué l’histoire de la température de la terre ainsi que l’évolution du taux de CO2 dans l’air. La corrélation est quasi nulle….
  2. Les physiciens Harde et Schnell ont mesuré, en 2022, en laboratoire, l’effet thermique des variations (même 1.000  fois plus) du taux de CO2. Cet effet thermique existe mais est infiniment trop faible pour pouvoir influencer le climat.
  3. Dans son livre, J.M.Moranne présente la courbe d’évolution de la production du CO2 industriel. Alors que chaque année cette production augmente, l’Union Européenne , disciple du GIEC, veut obliger les terriens – en 25 ans – à cesser de produire du CO2 non recyclé pour « sauver le climat ».  Cette courbe n’a aucun sens, cette idée est aussi insensée que monstrueusement coûteuse… et cela ne dérange personne.
  4. Dès 1967, l’effet calculé du taux de CO2 dans l’air sur la température de l’atmosphère a été évalué. Le modèle utilisé est rudimentaire : il n’inclut que très peu de paramètres et n’a jamais évolué…. Le ridicule ne tue pas quand il permet des gains financiers records, gains financiers obtenus par la vente d’énergies « vertes » aussi coûteuses qu’imprévisibles, dangereuses pour la santé animale et humaine, polluantes….
  5. Jancovici, génial quand il parle d’énergie nucléaire, semble obligé de la « justifier » par sa très faible production de CO2. Quand il s’agit de climat, son (seul) argument – la montée de la température de la stratosphère – est INDIRECT et peut être mal utilisé. Il témoigne juste de ce qu’aucune mesure directe dans l’atmosphère du rôle du CO2 n’est scientifiquement possible à ce jour….

Conclusion : si l’homme agit sur le climat, il faut exclure le CO2 de la liste et chercher ailleurs. Il reste malheureusement vrai que « la lutte contre le CO2 » rapporte des fortunes et qu’on ne trouvera pas vite un autre élément pour faire peur aux gens, peur indispensable car, comme disait Machiavel : «  Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes ».

Claude Brasseur

(1) Eunice Newton Foote (Wikipedia)

(2) Une vérité qui dérange, Al Gore, film de 2006

(3) Henri Masson, Alain Préat, La géologie, la température et le CO2

(4) Herman Harde et Michael Schnell, Experimental Verification of the greenhouse Effect

(5) J.M. Moranne, Climat et CO2 : Décryptage d’une manipulation

(6) Synkuro Manabe et Richard T. Wetherald, Thermal Equilibrium of the Atmosphere with  a given Distribution of Relative Humidity

(7) Vidéo vue sur internet …  non retrouvée

 

 

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11 octobre 2025 6 11 /10 /octobre /2025 08:03
Émoi chez les réchauffistes : l’Atlantique se refroidit à une vitesse record

L’océan Atlantique se refroidit actuellement à une vitesse jamais mesurée depuis le début des relevés des températures océaniques. Les scientifiques américains interrogés par New Scientist n’y voient pour l’instant aucune explication satisfaisante.

Dans l’océan Atlantique équatorial, l’alternance entre les « Niños » et les « Niñas » est souvent associée à la force des alizés. Or, alors même que ces vents marins ne se sont pas encore levés, l’Atlantique se refroidit déjà depuis trois mois. Et qui plus est, à une vitesse jamais mesurée depuis le début des relevés océaniques en 1982.

Un phénomène qui laisse les scientifiques perplexes. C’est le cas de Franz Philip Tuchen, de l’université de Miami, en Floride : « Nous avons passé en revue la liste des mécanismes possibles et, pour l’instant, rien ne correspond à ce que nous recherchions. »

Entendons-nous bien : le refroidissement cyclique de l’Atlantique est tout à fait normal. Ce qui ne l’est pas cette année, c’est que ce refroidissement intervienne avec une avance de plusieurs mois et que son amplitude soit totalement inhabituelle.

« Une mauvaise nouvelle », affirme cet article. Pourquoi donc mauvaise ? Sans doute parce que le phénomène est de nature à remettre en cause la doxa réchauffiste. Est-ce que la découverte de la précession du périhélie de Mercure, qui mettait à mal la théorie newtonienne de la gravitation, fut une mauvaise nouvelle ? Sur le moment, à n’en pas douter. Jusqu’à ce que cette « anomalie » ne devienne un argument supplémentaire en faveur de la Relativité générale d’Einstein… Peut-être se félicitera-t-on dans quelques années des émissions de gaz à effet de serre qui viennent modestement contrebalancer l’entrée de la planète dans un nouvel âge glaciaire.

L’article conclut dans la droite ligne du réchauffisme ambiant :

« Une mauvaise nouvelle (sic) qui ne change peut-être pas tant la donne (sic) qu’il n’y paraît. « La fin d’El Niño ne signifie pas une pause dans le changement climatique à long terme, car notre planète continuera à se réchauffer en raison des gaz à effet de serre qui emprisonnent la chaleur », affirmait ainsi dès le mois de juin la secrétaire générale adjointe de l’Organisation météorologique mondiale (…) »

Henri Dubost

 

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5 octobre 2025 7 05 /10 /octobre /2025 10:20
Les otaries du Pôle Sud en Polynésie témoignent du refroidissement climatique

Rien de tel que le réel. La science commence toujours par l’observation des faits. Les explications et les extrapolations viennent après.

Depuis douze ans, tandis que les moyennes fluctuent au Nord, l’hémisphère Sud se refroidit

Les eaux tropicales de l’hémisphère Nord se refroidissent mais le phénomène a commencé bien avant au sud de l’équateur.

En Polynésie, avant 2012, on ne trouvait pas des doudounes ni des couvertures polaires dans les rayons de la grande distribution. Seulement des blousons légers et de fines couvrantes en coton. Pour les matins câlins. Afin d’éviter de se refroidir après le sport.

Puis arrivèrent les couvertures en flanelle et en molleton. En même temps que la température baissait. 16°C au bord de l’eau le matin en 2019, on n’était pas habitués. Depuis, c’est devenu tellement banal que les médias n’en parlent plus. Pour la première fois cette année, j’ai porté un pull-over qui n’était pas sorti de son tiroir depuis mon retour au pays.

Si ça continue, vous viendrez faire du ski à Tahiti. Le volcan Orohena avec ses 2241 mètres (soit 7352 pieds) est un bon candidat. Avec une perte de 2°C/1000 pieds, on n’est plus loin du point de rosée au sommet.

En attendant, sur le « plateau » de la presqu’île, en fait une caldera à 1200 mètres d’altitude, on trouve grâce à la baisse des températures un millier de vaches normandes, des pommiers et l’unique fromagerie d’Océanie.

C’est une chance qu’il n’y ait pas d’ours polaires en Antarctique. Sinon, ils seraient bien fichus de nous rendre visite comme les otaries du Grand Sud en ont pris l’habitude depuis quelques années. Ça aussi, c’est nouveau. Pour les zoologues de Mata Tohora, venir se reposer à terre avant de repartir batifoler au large est un comportement normal. À part qu’elles naviguent très au-dessus de leurs latitudes habituelles.

Les réchauffards nous gavent avec leurs îles-icebergs qui se détachent du continent blanc. Mais ils n’ont pas compris que, portés par les courants vers des eaux plus chaudes, ces énormes glaçons fondent et refroidissent l’océan autour d’eux. Confirmant la brillante théorie du GIEC selon laquelle, plus il fait chaud, plus il fait froid.

Pour les climato-fanatiques, si la réalité n’est pas conforme à l’idée qu’ils s’en font, c’est forcément la réalité qui se trompe !

Les études, les graphes, les statistiques, tout cela peut être interprété sinon truandé. Ouvrant la voie à des discussions byzantines avec les réchauffards, fanatiques obscurantistes ou jobards téléphages, tous de mauvaise foi. Aussi, quand c’était possible, j’étayais mes observations avec des infos relevées dans les médias locaux. Avant que ceux-ci n’aient été repris en main par un ex-gouverneur colonial dont la servilité a été mal récompensée. Viré par le paltoquet pour avoir échoué à nous imposer ses mixtures expérimentales à ARN messager.

Les cuistres réchauffards n’ont pas réussi à changer la réalité. Celle du refroidissement des îles hautes et de la bonne santé des atolls et des récifs coralliens. Qui devaient être engloutis au plus tard en 2020 (prévisions COP 16) et se portent mieux que jamais.

Les « savants » n’avaient sans doute pas entendu parler des marées barométriques, des violents courants dans les passes, de l’érosion des rivages par les houles et des ravages des cyclones, qui faussent les mesures. Avec autant de conséquences positives que négatives, puisque ce qui est enlevé d’un côté est redéposé de l’autre… En témoignent les villages abandonnés au fil des siècles et reconstruits sur un autre motu en fonction du remodelage de la géographie locale.

Le microcosme réchauffard avait oublié que depuis les années 1950, des relevés aériens étaient régulièrement effectués, anticipant les photos satellite, mettant à notre disposition une base de données comparatives sur un ¾ de siècle.

 

La terre remonte plus vite que la mer !

Si le niveau de la mer est actuellement à la hausse, de l’ordre de 1,5 millimètre par an, on observe un exhaussement de la plupart des atolls et une augmentation de leur surface, du fait de la sédimentation corallienne associée à des phénomènes locaux de volcanisme ou de mouvements de la lithosphère. Au minimum, la plupart des formations restent stables.

Géographe à l’université de La Rochelle, Virginie Duvat a étudié en 2015 4 atolls des Tuamotu en Polynésie française. Sa conclusion : « Ils ne disparaîtront pas de sitôt. » On est loin de Waterworld !

Les phénomènes d’érosion les plus marqués existent là où des Paumotu ont agrandi leur territoire en empierrant des terre-pleins, et en construisant des pontons, des digues et des ports, sans mesurer l’impact que ces aménagements avaient sur l’environnement. Les remblais et les murets loin de protéger la côte la détruisent !

Quand la côte est bordée d’ouvrages, elle ne peut plus être nourrie en sable, en corail et en sédiments apportés par les vagues et les courants marins. Cela entrave le phénomène naturel d’exhaussement, c’est-à-dire le gain faible mais constant du terrain en volume et en hauteur.

L’argument de l’augmentation du CO2 dissous dans l’océan augmentant son acidification et entraînant la mort des coraux se retourne contre lui. Puisque les coraux morts contribuent à renforcer les rivages en s’y accumulant et servent de substrat à des madrépores vivants eux aussi apportés par les mouvements de l’océan.

Virginie Duvat a récidivé quelques années plus tard en publiant une étude élargie portant sur une centaine d’îles du Pacifique soit 400 motus: archipel Marshall, Kiribati, Tuvalu, États fédérés de Micronésie, Tuamotu. Une belle balade…

La statistique confirme les premières observations : 77 % sont stables, 15 % sont en expansion et 8 % en légère régression. En d’autres termes, si le niveau de la mer monte un peu, les îles montent plus vite.

 

Le cas hypermédiatisé des Kiribati et des Tuvalu

Pour les médias menteurs, ces archipels devaient être les premiers à morfler. Un engloutissement de film catastrophe avec ses cadavres emportés par les éléments, les requins qui rappliquent pour se régaler, les cohortes de réfugiés climatiques affamés et hagards, l’insuffisance des secours, les bateaux qui coulent après avoir été pris d’assaut par des désespérés et les hélicos trop lourdement chargés qui se crashent.

Un bon astrologue ne doit jamais donner de date sinon la réalité le rattrape. Le GIEC avait prédit qu’au plus tard en 2020, les Kiribati seraient entièrement submergées. Des vidéos soigneusement sélectionnées abondaient dans ce sens. Des inondations résultant de pluies diluviennes très vite évaporées entretenaient la terreur.

Des chercheurs de l’université d’Auckland (NZ) ont publié une étude dans la revue « Nature Communications » pour expliquer pourquoi la réalité n’était pas conforme aux prévisions. Ils ont analysé une multitude de photos aériennes et satellites prises entre 1971 et 2014, répertoriant les 9 atolls principaux des Tuvalu comprenant 101 petits motus coralliens.

Cette observation sur plus de 40 ans montre que la taille de 8 atolls sur 9 ainsi que celle des 3/4 des îlots coralliens ont augmenté en surface de l’ordre de 3%. Les autres étant sans altération notable. Ce qui devrait inciter Wikipédia à rectifier ses infos apocalyptiques sur ce sujet.

Un tel constat conduit ces chercheurs NZ à inviter la communauté scientifique à repenser sa vision dogmatique des archipels. « Nous avions tendance à considérer les atolls du Pacifique comme des formations géologiques statiques, qui vont simplement être inondées au fur et à mesure de l’augmentation du niveau des océans, mais il existe de multiples preuves que ces îles sont géologiquement dynamiques et en constant changement », indique le co-auteur de l’étude Paul Kench.

Les scientifiques avancent des explications retenues ailleurs : le mouvement des vagues qui déplace les sédiments. Le sable, les coquilles et les débris divers qui s’accumulent, s’agrègent et se stratifient sur le pourtour des îles. Avec les matériaux apportés par les tempêtes qui compensent le phénomène d’érosion côtière. Et la pousse du corail assez rapide pour rendre obsolètes en quelques décennies les cartes marines. À cela s’ajoute un volcanisme résiduel et une lente remontée de la lithosphère liée aux mouvements des plaques tectoniques.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

 

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1 octobre 2025 3 01 /10 /octobre /2025 10:41
Des Scientifiques constatent que le Gulf Stream ne s’est pas effondré au cours des 40 dernières années, mais qu’il est resté "remarquablement stable" !
Le Gulf Stream est stable depuis 40 ans
 
Par Chris Morrison via dailysceptic

L'année dernière, Georgina Rannard de la BBC a rapporté que "les scientifiques disent" qu'un Gulf Stream affaibli pourrait s'effondrer dès cette année, entraînant des changements catastrophiques dans la météo dans l'hémisphère Nord. 
Il s’agit bien sûr d’une campagne alarmiste de routine de la part de la BBC faisant la promotion de Net Zero, et cette crainte du "point de basculement" est courante parmi les alarmistes. 
Après tout, tout le monde connaît le blockbuster dystopique hollywoodien Le Jour d’après de 2004. 
"La plupart d’entre nous vont mourir" est un excellent scoop, c’est juste dommage pour les faits. 
De nouveaux travaux révolutionnaires réalisés par des scientifiques de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) ont révélé que le vaste flux d’eau tropicale traversant le détroit de Floride est resté "remarquablement stable" pendant plus de 40 ans. 
Le courant de Floride est un élément clé du Gulf Stream, qui constitue une partie importante de la circulation méridionale de retournement de l'Atlantique (AMOC). 
Ce courant circule vers le nord et augmente les températures jusqu'à 10°C dans les latitudes plus élevées. 
Les eaux tropicales chaudes s'écoulent entre la péninsule de Floride, Cuba et les Bahamas à des vitesses allant jusqu'à sept kilomètres par heure, fournissant l'essentiel de la chaleur transportée vers le nord par l'AMOC. 
Le document note que plusieurs études récentes ont utilisé une éventuelle baisse du débit pour spéculer sur un effondrement du Gulf Stream et de l'AMOC. 
Les articles scientifiques sur les pièges à clics s'appuyant sur des modèles informatiques ont été exploités par les grands médias et les politiciens pour attiser les craintes d'une catastrophe du Gulf Stream. 
En utilisant des données dérivées des changements induits par le mouvement dans les tensions des câbles sous-marins et après avoir corrigé les erreurs causées par le traitement des données géomagnétiques dans le passé, les scientifiques de la NOAA affirment que leur nouveau record sur 40 ans bat le précédent "défi" des affirmations faites sur le déclin statistiquement significatif de la tension des câbles sous-marins. Électricité de Floride. 
La climatologue respectée Judith Curry a qualifié le nouveau document du service météorologique américain "d'important", notant que l'AMOC ne faiblit pas bien qu'il soit présenté comme un point de bascule climatique.

Il est peu probable que les grands médias abordent ce document, car il éclipse une grande partie de leurs propos alarmistes à propos du Gulf Stream. 
La fureur de l'année dernière suggérant un effondrement imminent a été provoquée par un article de Peter Ditlevsen de l'Université de Copenhague, qui a déclaré au Guardian, toujours inquiet, que "nous devrions être très inquiets". 
Le professeur alarmiste Stefan Rahmstorf, de l'Institut de recherche sur l'impact climatique de Potsdam, a déclaré que l'article de Ditlevsen constituait une "preuve" supplémentaire que l'effondrement de l'AMOC est "beaucoup plus proche que nous le pensions ». 
Nous ne pouvons pas exclure la possibilité que le point de bascule soit dépassé au cours des dix ou vingt prochaines années, a-t-il ajouté. 
Les scientifiques de la NOAA notent que la plupart des modèles climatiques prédisent une diminution de 34 à 45% de la force actuelle de l'AMOC en moins de 80 ans. 
Un certain nombre d’enregistrements "proxy" suggèrent que l’AMOC a peut-être déjà ralenti sur une période de 100 ans. 
Les résultats de Ditlevsen ont été critiqués et une publication ultérieure a déclaré que les incertitudes, en particulier dans les données sur la température de surface de la mer, sont trop grandes pour prédire un point de basculement pour l'AMOC. 
Le manque de fiabilité des modèles climatiques est si grand que le point de bascule pourrait se situer entre aujourd’hui et l’infini. Je suppose que tout dépend de ce qui est mis dans le modèle. 
Mais quel que soit le contenu du modèle, il semble presque garanti que des militants incontestés dans les grands médias diffuseront tout message alarmiste à un public plus large.

Concernant la récente controverse, les scientifiques de la NOAA notent que la capacité des indices basés sur la température à représenter l'AMOC a été remise en question. 
La récente baisse des températures de surface de la mer dans l'Atlantique Nord subpolaire est souvent considérée comme le signe d'un ralentissement de l'AMOC, mais les scientifiques soupçonnent que cela pourrait être "en grande partie causé par l'atmosphère seule, sans aucun changement dans la circulation océanique". 
Plus haut dans le Gulf Stream, entre le New Jersey et les Bermudes, les auteurs du NOAAS notent que les mesures directes de 1992 ne confirment pas l'hypothèse d'un ralentissement significatif de l'AMOC. 
Bien que les données hydrographiques soient rares, "aucun affaiblissement significatif de l’AMOC n’a été détecté". 
Les fluctuations de l'AMOC sont très controversées en science. 
La plupart des recherches sur cette importante circulation océanique sont encore nouvelles et il reste encore beaucoup à apprendre. 
Les auteurs de la NOAA notent que l'étude de la variabilité du courant de Floride est "particulièrement importante pour détecter et mieux comprendre les changements dans le système climatique terrestre et pour interpréter les variations régionales du temps, du niveau de la mer et des écosystèmes". 
Mais nous constatons trop souvent à quel point la science "établie" – une réticence pernicieuse à considérer autre chose que la variabilité climatique d’origine humaine – sape bon nombre de ces efforts. 
Des listes noires de climato-sceptiques sont créées, des universitaires perdent leur carrière et des amendes et des peines de prison sont exigées pour ceux qui ne respectent pas la ligne officielle. 
Les grands médias semblent uniquement intéressés par des prédictions ridicules de science-fiction sur l’assèchement imminent du Gulf Stream. 
Cela fait la une des journaux, c'est facile si vous pouvez vous le permettre, et cela s'inscrit dans un récit politique convenu. 
À l’instar de la croissance record des coraux sur plusieurs années de la Grande Barrière de corail, des fluctuations cycliques de la glace de mer arctique, des biais évidents de nombreuses mesures de température et de l’étonnant "verdissement" de la planète par le CO2, les mensonges sont propagés en omettant des éléments évidents et facilement visibles. 

Chris Morrison est le rédacteur environnemental du Daily Sceptic. 
https://uncutnews.ch/schocknachrichten-zum-golfstrom-us-spitzenwissenschaftler-stellen-fest-dass-die-stroemung-in-den-vergangenen-40-jahren-nicht-zusammengebrochen-sondern-bemerkenswert-stabil-ist/
 

 

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5 septembre 2025 5 05 /09 /septembre /2025 07:49
Le GIEC, un instrument de domination du Nouvel Ordre Mondial

Depuis 35 ans, les imprécations du GIEC tournent à la monomanie. Il faudrait réduire à tout prix les émissions de CO2. Sinon ça va chauffer pour vos fesses. Qu’une demeurée comme Greta croie ça, n’étonnera personne. Mais que des gens plus évolués ignorent que le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau, ça vous troue le QI.

Ceux qui ont un palmarès universitaire sont des crétins instruits. Tout autant que des politicards bien pourris comme les autres.

Le GIEC est une mafia inter étatique qui compte plus d’administrateurs de banques, d’avocats véreux et de recalés du suffrage universel que de scientifiques. Ils n’ont aucun labo, aucune structure d’analyse. Ils pillent les rapports des autres, ne retenant que ce qui va dans leur sens. Au besoin en ajoutant à leur écrémage des faux fabriqués de toutes pièces.

Le GIEC raisonne comme si le monde ne comptait que des pays développés, soit 1,2 milliard d’humains, sur un total de 8 milliards. Or pour sortir de la pauvreté, les pays en développement ont un besoin vital, comme nous naguère, d’une énergie abondante. Et l’Inde et la Chine le rappellent, l’essentiel de cette énergie ne peut-être que d’origine fossile.

Les élucubrations du GIEC permettent aux maîtres du monde de devenir encore plus riches au détriment des plus pauvres

Peu importe au GIEC que la première cause de mortalité mondiale soit liée au manque d’infrastructures en gaz, pétrole et électricité pour se chauffer, se soigner et cuisiner. Des besoins auxquels les éoliennes et les photovoltaïques ne peuvent répondre de manière continue et suffisante.

Peu importe les cinq milliards de pauvres qui utilisent, au péril de leur santé sinon de leur sécurité, le bois, le charbon ou les excréments d’animaux pour préparer leur nourriture. Et peuvent manger un peu, grâce à la pêche intensive. Ou grâce à une agriculture non-bio avec des engrais chimiques et des pesticides offerts par des ONG moins obtuses que les écolos.

Le GIEC ment délibérément quand il prétend que l’humanité pourrait se passer des énergies fossiles en 2050 et que 80 % de ses besoins en énergie pourraient déjà être fournis par les énergies dites renouvelables. L’auteur de ces calculs de pataphysique est un écolo dépourvu de toute formation scientifique sérieuse, il se dit « coordinateur international de Greenpeace pour les questions climatiques ». Détail intéressant : ce bon apôtre est rémunéré par l’industrie photovoltaïque.

Les projections des économistes montrent que les « renouvelables » sont distancés par les exigences de la croissance mondiale et ne pourront la rattraper. Dans 25 ans ils assureront au maximum 15% des besoins et les énergies fossiles 85 %. Mais les Nations Unies sont depuis 35 ans sous la tutelle des grandes ONG écologistes qui diffusent une vision culpabilisante des humains pour mieux les manipuler et les racketter avec la complicité des États-voyous et des banksters.

Le pataquès de Glasgow ou quand les pauvres se rebiffent

Douze mensonges du GIEC, écrit par Christian Gérondeau, est un ouvrage de référence. Il rappelle, dans le silence assourdissant des médias français, les turbulences lors de la conférence de Glasgow, dite COP 26, tenue en novembre 2021. Quand l’Inde de Modi a mis un terme à la tradition du « bal des menteurs » dont l’Allemagne est un des principaux meneurs, en proclamant son opposition, et celle de la Chine, à la cessation progressive et définitive du recours au charbon et au pétrole dans la production des énergies.

Une claque sur les joues de Choupinet (lui rappelant son dressage par Brichelle ?) quand il se targue au nom de la France de rejeter moins de 1% de CO2. Alors que l’Inde, la Chine et les pays en voie de développement, la plupart affiliés au BRICS, représentent les deux tiers des émissions mondiales. Et n’ont pas l’intention de saborder leur développement pour satisfaire les lubies de quelques bobos privilégiés.

Naturellement, ces chiffres ont suscité des réactions indignées dans le monde occidental, sauf aux USA qui émet 15% du CO2 mondial et n’entend pas ruiner ses industries pour faire plaisir aux écolos. Tandis que, de leur côté, l’Inde et la Chine ouvrent des dizaines de nouvelles mines de charbon, et se réjouissent de leurs nouvelles perspectives de développement. Des débouchés fondamentaux quand on considère que la prospérité, l’espérance de vie et le recul de la mortalité infantile, dépendent de manière prioritaire de l’accès à l’énergie.

Grâce au recours au charbon, au gaz naturel, au pétrole et à l’électricité, 500 millions de Chinois sont parvenus à accéder au niveau de vie de l’Occident en trois décennies, en partant de la plus extrême pauvreté. De son côté, l’Inde est en train de rattraper son retard.

Gérondeau affirme à juste titre, arguments à l’appui, que les efforts déployés par les pays développés ne peuvent avoir un effet significatif sur le stock de CO2, et a fortiori sur le climat, à supposer qu’il y ait une interaction. Tandis que les restrictions exigées des pays en voie de développement provoqueraient des centaines de millions de morts.

Le recul perceptible de la pauvreté dans le monde, hors zones de guerre, depuis le sommet de Rio de 1992 s’est produit au prix d’une inéluctable augmentation des émissions de CO2. Entraînant un accroissement des forêts naturelles qui dépolluent. La nature aime le CO2 ! Un caillou de plus dans les savates des écolos.

Écologie = fausse science sans conscience ni consistance

H2O représente 2% de l’atmosphère soit 50 fois plus que le CO2 (= 0,04%) La vapeur d’eau possède de larges bandes d’absorption qui recouvrent en intensité et fréquences celles du CO2 avec un ratio de 50 pour 1. C’est la vapeur d’eau qui absorbe par saturation la quasi-totalité de la chaleur, soit 90% des infrarouges, le reste étant imputable à d’autres gaz comme l’ozone ou le méthane.

En outre, les « savants » du GIEC oublient le gradient thermique vertical : L’air chaud monte et perd 2°C/1.000 pieds. Quand il fait 25°C au sol, il ne fait plus que 12° à 2000 m.

Enfin le GIEC ne tient pas compte de l’accélération du cycle de l’eau qui se traduit avec la chaleur par un épaississement des couches nuageuses, avec pour effet d’accroître l’albédo de la terre et donc de renvoyer davantage de rayons solaires vers l’espace, diminuant ainsi l’effet de serre et le réchauffement tant redouté.

Prière de ne pas oublier les pauvres en France !

La catégorie des « précaires énergétiques » est apparue avec le doublement du prix du kilowattheure depuis 2010, passé de 12 centimes d’euros à 20 centimes, en attendant 30 centimes prévus pour 2030. Mais les politicards continuent à subventionner des énergies alternatives, alors que le nucléaire aurait suffi à répondre aux besoins nationaux et à contenir la hausse des prix.

Les énarques qui méprisent le peuple se sont enferrés dans des mesures insensées comme l’interdiction du chauffage au gaz dans les immeubles construits à partir de 2022. Pour favoriser le chauffage électrique de plus en plus hors de prix. La France engourdie dans ses wokes, sa diversité, son genrisme, ses repentances, ses délits d’opinion et son crétinisme télévisé, se réveillera-t-elle un jour ?

La cenSSure dans tous ses états

Quand on voit la gueule de Claire Nouvian ou d’Aymeric Caron, réchauffistes fanatiques, ça fait peur. Ils suent la haine et la bêtise. Confits dans la fatuité des ignares, et l’autosatisfaction des donneurs de leçons. Mais ils ont le pouvoir. Médiatique pour l’une, politique pour l’autre. Et les tribunaux sont prêts à les suivre.

Une plainte a été émise contre Gérondeau par la responsable française du GIEC auprès du CSA (Conseil Supérieur de l’Audiovisuel) pour diffusion de « fake news », à la suite de l’entretien qu’il a eu sur une chaîne de télévision à l’occasion de la sortie de son livre, alors qu’il dénonçait les plus gros mensonges du GIEC.

Le physicien François Gervais, auteur de « L’urgence climatique est un leurre » a été ciblé par de minables petits commissaires politiques. L’ARCOM plus politisée que son prédécesseur a inventé un délit de désinformation climatique que André Bercoff et Sud Radio ont étrenné. Les écolos jubilent. Et leurs officines réclament encore plus de subventions pour faire taire les hérétiques.

Tous ceux qui n’approuvent pas les crapules du GIEC (Gang International des Escrocs Climatiques) sont dans le faux et dans le mal. Ils menacent la survie de l’humanité. Les réchauffistes ont donc le devoir de museler ceux qui contestent leurs lubies. Et s’ils insistent, le droit de les envoyer en camps de rééducation. C’est une logique d’inquisiteur. Ou de stalinien. Ou de khmer rouge repeint en vert. Que ne ferait-on pas pour « sauver la planète » ?

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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26 août 2025 2 26 /08 /août /2025 10:41
Plus du tiers des Français ne croient pas au prétendu réchauffement

Horreur, consternation, enfer et damnation ! Selon « National Geographic » officine bien pensante, au service de la mondialisation heureuse, 37 % des Français se considèrent climato-sceptiques.

Les vrais chiffres doivent être plutôt : 50 % qui ne gobent plus les vaticinations de Greta la gratteuse. Un quart qui s’en fout. Et un quart irréductible d’anxieux, perturbés et névrosés, qui vivent dans la hantise de la fin du monde. Ces 25 % ont toujours existé. C’est la variable d’ajustement des politiciens, des religieux et des médias.

La peur les rend paradoxalement heureux car elle sécrète de la dopamine, des endorphines et de la noradrénaline. Les manipulateurs d’opinion le savent intuitivement. Ils n’ont pas attendu que la science leur livre les secrets des neurotransmetteurs et la façon d’en provoquer les sécrétions.

De Quintilien (Institution oratoire en l’an 92 de notre ère) à Gustave Le Bon qui a théorisé la psychologie collective à la fin du XIXe, ils ont compris que la foule est stupide. Suiviste. Passive. Conformiste. D’autant plus facile à manipuler qu’on lui fout la trouille et qu’on la rassure par des promesses. Ou des théories fumeuses, ce qui revient au même. De Mahomet à Paul Watson, tous les prophètes exsudent leur fureur dans cette faille de l’esprit humain.

Rappel pour les cancres qui ont séché les cours d’histoire

Hannibal a pu franchir discrètement les Alpes avec ses éléphants il y a 22 siècles parce qu’il n’y avait pas de glaciers sur sa route. L’optimum climatique romain redécouvert par « Nature » en 1999 a duré 650 ans. De 250 avant JC à 400 après.

En 994, Hugues Capet régnant, l’absence prolongée de pluies assécha les fleuves et les lacs, asphyxiant tous les poissons. La chaleur enflamma des forêts entières avec leur gibier et anéantit les prairies, les moissons et les troupeaux. Une reconstitution modélisée de ces phénomènes extrêmes conclut à des températures d’au moins 42°C pendant 6 à 8 semaines. Les scribes de l’époque évoquent une « chaleur infernale » pendant près de 3 mois !

Des canicules de plusieurs mois, tarissant puits et fontaines, faisant des fleuves de simples ruisseaux, détruisant les récoltes tandis que hommes et bétail mouraient littéralement de soif puis de faim, on en connut en France 8 majeures jusqu’en 1682. Les plus meurtrières furent celles de 1540 et de 1636 qui tuèrent 500.000 croquants, puis de 1719 où l’on compta 700.000 morts.

Plusieurs dizaines de canicules se succédèrent, entrecoupées de stases. Suscitant une vingtaine de jacqueries qu’on qualifierait aujourd’hui d’émeutes de la faim. La Révolution de 1789 fut moins un élan en faveur de la liberté qu’un cri des ventres vides.

Et ça continua ainsi jusqu’au XXe siècle. Avec des pics de mortalité et de chaleur en 1846 et 1859. Mais les astrologues du GIEC n’ont probablement jamais entendu parler non plus de la canicule de 1911 qui fit 45.000 morts en France (19.000 pour celle de 2003 attribuée au léger réchauffement cyclique) pas plus que du pic de chaleur de 56,7°C enregistré en Californie en juillet 1913.

Les scientifiques sont muselés en France, mais ailleurs le couvercle bouge au dessus de la marmite des impostures

La supercherie consistant à présenter le léger réchauffement cyclique du XXe siècle comme un fait unique est d’autant plus patente que la science démontre aujourd’hui qu’il y a 15.000 ans des changements climatiques très brutaux, probablement liés à des modifications de la circulation atmosphérique, se sont produits à deux reprises dans l’hémisphère Nord selon une étude publiée dans la revue Science.

Le climat a d’abord basculé il y a 14 700 ans avec une augmentation des températures de plus de 10 degrés Celsius, en seulement 3 ans ! Puis, après un nouveau coup de froid, une hausse équivalente s’est produite en 60 ans il y a 11 700 ans, à la fin de la dernière période glaciaire. Nous vivons encore sur cette lancée qui a permis l’agriculture et l’élevage et amorcé la civilisation.

« Des analyses des isotopes d’oxygène emprisonnées dans des carottes de glace du Groenland ont montré que ces renversements climatiques se sont produits « aussi abruptement que si quelqu’un avait soudainement appuyé sur un bouton », souligne Dorthe Dahl-Jensen, de l’université de Copenhague, co-autrice de l’étude avec des chercheurs japonais et des Français du CEA et du CNRS.

N’en déplaise aux réchauffards qui nient l’influence des variations solaires sur le climat, les glaces ont conservé des marqueurs isotopiques des éruptions et super-éruptions du soleil, correspondant à des bouleversements climatiques rapides. La dernière période glaciaire s’est donc achevée de manière très brutale, avec deux épisodes de réchauffement intense interrompus par une brève période froide. En l’absence de tout dégagement de gaz à effet de serre (CO2, méthane…) d’origine humaine. 

Quant à la dendrochronologie, étude des cernes des arbres y compris pétrifiés, considérée comme une des meilleures méthodes de datation utilisées en archéologie pour les périodes remontant jusqu’au Mésolithique (env. 9000 ans B.P) elle enregistre des changements extrêmement brutaux et rapides, plus chaud, plus froid, plus humide, plus sec… Sans aucune influence anthropique bien évidemment.

Confrontés à ce genre d’études, les réchauffards n’ont d’autre alternative que s’enferrer dans  le déni, tricher délibérément ou coller l’étiquette de « fascistes » à leurs contradicteurs.

National Geo est un cas d’école, à la limite de la caricature

Comme au temps du référendum volé de 2005, la propaganda staffel réchauffarde qui contrôle la plupart des médias, se déchaîne. À coup de poncifs humiliants destinés à filer des complexes à quiconque s’écarte de la doxa. Pour entretenir le doute chez ceux qui ne disposent pas d’un solide bagage scientifique et d’un moral à toute épreuve.

Les climato-réalistes seraient, comme les eurosceptiques, des gens qui savent à peine lire et écrire et ont un QI à deux chiffres. Des caractériels psychorigides. Hermétiques à l’effort méritoire des médias pour les « éclairer » avec leurs « vérités ». Un cas d’école de projection freudienne. Ou jungienne si on raisonne en termes d’inconscient collectif.

Les propagandistes les moins fanatiques de Nat Geo émettent l’hypothèse que la tendance à dénigrer les réchauffistes serait révélatrice d’une défiance généralisée à l’encontre des colporteurs d’information, des faiseurs d’opinion et des politicards. Trop insistants. Trop donneurs de leçons. Trop excessifs dans leurs anathèmes. Il y a un peu de ça.

Mais personne n’évoque le bannissement des hérétiques dans les médias mainstream. Et même sur les chaînes privées du web. Invité à débattre en téléconférence sur l’une d’entre elles, j’avais fait l’effort de vulgariser les cycles de Milankovitch sur le long terme, graphes à l’appui. Déprogrammé. Et mon interlocuteur n’a plus jamais été joignable.

Si vous ne croyez pas au réchauffement, c’est parce que vous êtes sidérés (sic)

Nouvelle explication de Nat Geo. Il y a trop d’universitaires, y compris des Nobel, trop d’ingénieurs et des sur-diplômés en toutes disciplines scientifiques pour continuer à les faire passer pour des ignares. 35.000 signataires à ce jour de l’Oregon Petition, dont un tiers titulaires d’un Ph.D, et plus de la moitié d’un diplôme d’ingénieur, contre les 600 guignols subventionnés du GIEC. Ça commençait à se remarquer !

Alors les propagandistes du réchauffement ont trouvé une autre explication. La remise en question du prétendu réchauffement anthropique proviendrait de la sidération qui nous paralyse. On n’est plus des beaufs ignares. Seulement des pétochards au cerveau lent.

Des experts en sondages d’opinion (les mêmes qui vous prédisent les résultats des élections pour orienter vos votes) sont parvenus à des « conclusions irréfutables ». Selon ces truqueurs éhontés et ceux qui les rémunèrent, nous ressentirions un « sentiment d’insécurité climatique » tellement perturbant que nous préférons le nier.

Certes il y a eu de fortes sécheresses suivies de pluies diluviennes. Certes, il y a eu des orages, des tempêtes, des cyclones et des feux de forêts. De la neige, du brouillard et du verglas. De la grêle et des coups de vent. Des arbres déracinés et des toitures arrachées. Mais c’est tout à fait nouveau. On n’avait rien vu de tel depuis le néolithique. Il faut le croire. Puisqu’ils le disent à la télé.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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10 août 2025 7 10 /08 /août /2025 11:21
La fable du carbone

On n’entend parler que du carbone et d’une industrie décarbonée. On engloutit des milliards en Recherche et Développement pour essayer de tout décarboner, au prétexte que cela serait dangereux pour la planète, mais uniquement dans le discours, parce que dans la pratique, on fait exactement le contraire. En réalité, dans cette fable carbonique, rien ne tient la route et les failles sont partout. État des lieux :

En premier lieu, la réalité scientifique et parfaitement factuelle : le taux actuel de CO2 dans l’atmosphère terrestre est le même qu’il y a un million d’années et des carottes prélevées dans les glaces du Groenland révèlent que deux violents réchauffements climatiques se sont produits voici plus de dix millénaires et donc l’homme n’y était pour rien. La teneur du CO2 dans l’atmosphère a beaucoup varié, passant de 10 % il y a 4,6 milliards d’années à 0,041 % actuellement, soit un chiffre dérisoire. Cependant, il est vrai que la teneur en CO2 augmente depuis 150 ans en raison des activités humaines, mais dans des proportions assez peu conséquentes. Que sont des pots d’échappement en regard d’une éruption volcanique de plusieurs semaines, ou d’immenses feux de forêts ? Il n’y a pas dans cette affaire, un bon carbone, qui serait celui du volcan et un mauvais, celui des avions, c’est le même. Et donc faire la part de l’activité humaine et des cycles naturels de la Terre est assez hasardeux. Le GIEC le dit… allons donc, le GIEC apparaît plus comme un organe de propagande que comme une officine scientifique et ses publications sont très loin de faire consensus. Elles le font en apparence, simplement parce que les scientifiques d’un autre avis sont juste priés de se taire. Il faut se souvenir que des prophètes du même acabit nous avaient prédit le grillage avec le trou dans la couche d’ozone, la dissolution dans les pluies acides, la tasse aux Maldives qui devaient être englouties et le passage maritime nord en toutes saisons grâce à la fonte des glaces du pôle Nord… rien de tout cela ne s’est produit et les fables précédentes n’ayant été que des prophéties mortifères qui n’ont engagé que ceux qui y ont cru, on se demande bien pourquoi nous devrions croire au narratif carbone. Il faut se souvenir que tout cela a été popularisé par une gosse de 16 ans, manipulée et d’un niveau d’étude calamiteux.

Soyons vraiment très naïfs…

Mais bon, soyons naïfs, le GIEC a raison et nous pouvons inverser, avec nos petits bras, le cours du climat planétaire. Et donc von der Leyen, la grande prêtresse climatique, pense qu’en torturant 400 millions d’Européens, face à 6,5 milliards d’autres humains qui n’ont strictement rien à battre de sa fable carbone, elle va gagner un degré en moins en 2100 ? Il faudrait être totalement crétin pour y croire. Mais bon, soyons vraiment très très naïfs : admettons que c’est possible.

Si on suit son envie de décarbonation, la dame devrait promouvoir l’agriculture locale et l’autosuffisance alimentaire de l’Europe. Elle fait le contraire et détruit l’agriculture européenne, faisant venir de l’autre bout du monde, à grand renfort de trajets carbonés, des produits que nous savons faire ici et de meilleure qualité.

Elle devrait privilégier le pétrole et le gaz russes qui arrivaient par pipelines, de manière décarbonée. Elle fait venir, pour des raisons parfaitement idéologiques, du gaz et du pétrole arabes, américains, ou africains par bateaux géants, donc, elle augmente la production de carbone.

Elle devrait promouvoir des voitures simples à produire, avec un équipement minimaliste, ce n’est toujours pas en roulant à 80 km/h que nous avons besoin de 15 airbags par voiture et de systèmes électroniques de sécurité à n’en plus finir. Elle fait le contraire et empile les normes nécessitant une fabrication coûteuse en carbone, avec le transport sur des milliers de kilomètres de composants toujours plus nombreux. L’obsession de von der Leyen n’est ni le carbone ni la sécurité, elle veut en fait une surveillance totale. Nous y sommes, les dernières automobiles sont contrôlables à distance, permettent d’écouter à distance les conversations téléphoniques passées depuis la voiture et sans doute, même, les conversations dans l’habitacle entre les passagers, en plus du traçage géographique permanent.

Les avions ? On investit en recherche décarbonée, mais cela n’est pas pour demain, très loin s’en faut. Si on peut limiter, par pseudo-souci écologique, la vitesse des voitures, il n’en va pas de même pour les avions, sinon, ils tombent. Et tout en hurlant au carbone, on prévoit ni plus ni moins que le doublement de l’activité aérienne sur les vingt prochaines années. Les chaînes de production d’Airbus et de Boeing, les deux leaders, tournent à plein régime et ne sont limitées que parce que les sous-traitants n’arrivent pas à suivre les cadences. Sans compter les sorciers du climat qui se baladent en jets privés pour distiller la bonne parole. Von der Leyen elle-même se pavanant en Audi à moteur V8.

L’obsession carbonique de façade se réduit donc à forcer les quatre cents millions de moutons européens à acheter des voitures électriques, qui viennent de Chine, qui ne sont pas écologiques, qui surveillent leurs occupants et qui en plus sont un très mauvais produit dont les ventes ne décollent pas plus que cela, malgré un matraquage médiatique abrutissant. Et cela est censé changer le climat planétaire dans un siècle ? Levez le doigt ceux qui y croient encore. Avec le même genre de fable médiatique, on a réussi à faire prendre aux mêmes Européens trois à quatre doses d’un produit inconnu, dont on sait maintenant qu’il a été inutile, dangereux et parfaitement inefficace. En mars 2022, la France très vaccinée était le pays le plus contaminé au monde.

Mais cela se traduit par un commerce sonnant et trébuchant de la production de carbone, avec des amendes et des taxes à la clé. En y réfléchissant bien, le carbone est bien le seul composant de l’atmosphère que l’on pouvait utiliser pour bâtir une supercherie aussi rentable que celle d’un virus de laboratoire. Le problème est que cela occulte les vrais problèmes de pollution : les ordures, le plastique dans les océans, les produits phytosanitaires dans le sol, l’eau et l’air. Et encore, à la seule condition que les pays pollueurs soient des pays de chrétiens blancs. Par exemple, 80 % de la pollution de la Méditerranée vient de ses côtes sud et est, Maghreb, Égypte, Turquie, mais on n’a le droit de ne parler que des 20 % de pollution qui concernent la côte européenne, par correction politique évidemment.

Au RPF, nous avons déjà évoqué cette fable qui masque les vrais problèmes écologiques. Pour le réchauffement, il faut s’y adapter, par la technologie et l’aménagement. Nous savons depuis toujours que cette planète est vivante : glaciations, réchauffements, montées des eaux ont eu lieu maintes fois avant l’apparition de l’homme. Et se concentrer sur les problèmes qui sont à notre portée : éviter les échanges internationaux inutiles, promouvoir une autosuffisance alimentaire et énergétique, mieux recycler, mieux nettoyer la nature, étudier d’autres sources de carburants, d’autres techniques nucléaires, simplifier la fabrication des voitures en supprimant de nombreuses normes inutiles, notamment pour des voitures qui sont à près de 100 % pour des usages locaux, sur des trajets de moins de 10 km. Ferrouter les camions, revenir aux hydrocarbures russes, plus proches de nous. Aménager le territoire pour rendre les services plus proches des usagers. Réutiliser les friches industrielles et les lieux déjà bétonnés. Tout en lisant sa fable carbone à des enfants européens bien trop sages, l’autorité européenne fait en réalité tout pour que nous produisions plus de carbone et en réalité elle cherche, avec d’ailleurs beaucoup de succès, à détruire tout ce qui faisait la force de l’Europe. Le carbone ne sert en définitive qu’à justifier notre liquidation.

https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com

https://t.me/R_P_France

Pierre Duriot

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10 août 2025 7 10 /08 /août /2025 08:17
C’est le Rayonnement du Soleil, et non le CO2 promu par le GIEC, qui déterminerait le Climat de la Terre !
Le Soleil plus Important que le CO2 pour le Climat ?
Des études antérieures ont signalé une diminution de l’albédo planétaire (ndlr : Albédo = c'est le pourcentage de réflexion du rayonnement par la surface prise en compte !) et une augmentation de l’absorption du rayonnement solaire par la Terre depuis le début des années 1980, et surtout depuis 2000.  
Cela aurait dû contribuer au réchauffement observé à la surface. Cependant, l’ampleur de cette contribution solaire est actuellement inconnue, et la question de savoir si une absorption accrue d’énergie à ondes courtes par la planète représente ou non une rétroaction positive à un réchauffement initial induit par l’augmentation des concentrations de gaz à effet de serre n’a pas été résolue de manière concluante. 
Le 6e rapport d’évaluation du GIEC n’a pas non plus correctement évalué cette question. 
Ici, nous quantifions l’effet de la diminution de l’albédo observée sur la température globale de l’air à la surface de la Terre (GSAT) depuis 2000 en utilisant des mesures du projet Clouds and the Earth’s Radiant Energy System (CERES) et un nouveau modèle de sensibilité climatique dérivé de données planétaires indépendantes de la NASA en utilisant des règles de calcul objectives. 
Notre analyse a révélé que la diminution observée de l’albédo planétaire ainsi que les variations signalées de l’irradiance solaire totale (TSI) expliquent 100% de la tendance au réchauffement climatique et 83% de la variabilité interannuelle du GSAT, telles que documentées par six systèmes de surveillance par satellite et au sol au cours des 24 dernières années. 
Les changements dans l’albédo des nuages de la Terre sont apparus comme le facteur dominant du GSAT, tandis que le TSI n’a joué qu’un rôle marginal. 
Le nouveau modèle de sensibilité climatique nous a également aidé à analyser la nature physique du déséquilibre énergétique de la Terre (EEI) calculé comme une différence entre le rayonnement à ondes courtes absorbé et le rayonnement à ondes longues sortant au sommet de l’atmosphère. 
Les observations et les calculs du modèle ont révélé que l’EEI résulte d’une atténuation quasi adiabatique des flux d’énergie de surface traversant un champ de pression atmosphérique décroissante avec l’altitude. 
En d’autres termes, la dissipation adiabatique de l’énergie cinétique thermique dans les particules d’air ascendantes donne lieu à un EEI apparent, qui ne représente pas un "piégeage de chaleur" par l’augmentation des gaz à effet de serre atmosphériques comme on le suppose actuellement. 
Nous fournissons des preuves numériques que l’EEI observé a été interprété à tort comme une source de gain d’énergie par le système terrestre sur des échelles de temps multidécennales. 
Voir plus !

 

Il faut retenir que 80% du refroidissement de la Terre n’est pas concerné par les gaz à effet de serre, ceux-ci étant contournés par la convection de l’atmosphère. 
Document de 30 pages sur le climat tant attendu a été publié aujourd’hui : https://mdpi.com/2673-7418/4/3/17/pdf… 
Il s’agit d’une étude fondamentale, qui démontre par des observations et des mathématiques que c’est le Soleil (et non le CO2) qui détermine le climat de la Terre !

Par FH.

Bonjour à tous, 
J’ai réécrit cette tribune en tenant compte des informations qui me sont parvenues par la suite, dont les deux références ci-contre : 
https://www.nationalgeographic.fr/sciences/espace-changement-climatique-la-stratosphere-se-refroidit-et-cest-un-probleme 
Jancovici : Le rechauffement climatique – 24/09/2019 (youtube.com)

Ayant vu avec Hervé Covès, Samuel Bonvoisin et Konrad Schreiber l’influence de l’évapotranspiration des plantes sur le climat, je peux en déduire que c’est l’effet conjugué du réchauffement climatique avec le déboisement qui conduit à ce qu’il pleuve plus sur les océans et moins sur les continents. 
C’est de ce point de vue que le réchauffement climatique est associé avec raison à l’idée de sécheresse. 
 Il y a plus d’évaporation sur les mers mais l’eau y revient aussitôt dans un cycle beaucoup plus court et violent, et quand il pleut sur les terres, c’est aussi dans des proportions catastrophiques.
 
 
La Terre doit évacuer sous forme de rayonnement infrarouge la même quantité d’énergie qu’elle reçoit du soleil. 
 Le GIEC nous dit que ces infrarouges partent de sa surface et que comme ils doivent traverser l’atmosphère de plus en plus chargée en gaz tri-atomiques et plus (CO2, CH4 et N2O), ceux-ci les absorbent en rendant l’air plus opaque, ce qui empêcherait la Terre de se refroidir. 
La Terre, c’est l’ensemble sols, océans et atmosphère.

(1) C’est faux: le rayonnement infrarouge que la Terre envoie dans l’espace part peu de sa surface (20%) 
 Il part du sommet des nuages en haute altitude (en haut de la troposphère) donc au dessus des gaz à effet de serre. 
Celui-ci existe réellement, il maintient les 15°C environ de température moyenne à la surface de la Terre mais il est également contourné, d’autant plus que le gaz à effet de serre le plus important dans une énorme proportion est la vapeur d’eau. 
 La vapeur d’eau est en réalité le fluide caloporteur qui emmène sous forme de chaleur latente de vaporisation et par l’intermédiaire des mouvements de convection de l’atmosphère (qui font le vent, les dépressions et les anticyclones) en haute altitude là où elle peut décharger vers l’espace l’énergie libérée par sa condensation (540 calories par gramme) et sa cristallisation (80 calories par gramme). 
La moitié du rayonnement infrarouge est peut être émise vers le bas, mais on est sûr et certain que l’autre moitié (310 calories par gramme d’eau) est émise vers l’espace et celle-ci peut être vue par les satellites d’observation de la NOAA et leurs caméras infrarouges. 
Ce transport de chaleur par la vapeur d’eau représente 50% du refroidissement de la Terre. 
En réalité, le refroidissement du sol et de la basse atmosphère par rayonnement direct vers l’espace se fait la nuit en l’absence de nuages, donc sous les anticyclones une fois que le vent est tombé. 
Ce n’est que là que l’influence du CO2 pourrait être mesurée, l’air qui redescend de la haute atmosphère étant sec.
 

(2) Le CO2 qui se trouve en altitude basse ou moyenne sous les nuages est échauffé par les rayons infrarouges provenant du sol dans les longueurs d’onde qui le concernent et devenant ainsi plus léger comme l’air autour de lui, il est également entrainé par les mouvements de convection vers la haute altitude où il se refroidit comme l’eau en rayonnant vers l’espace (les 30% restant) Le rétro-rayonnement des GES vers le sol ne peut pas exister pour une raison qui relève de la thermodynamique: un corps ne peut pas transmettre de la chaleur y compris par rayonnement à un autre corps dont la température est supérieure à la sienne, c’est impossible. 
Or la température de l’atmosphère est réglée par son gradient thermique gravitationnel qui est sur terre de 6,5°C de baisse par km en prenant de l’altitude. Il fait plus chaud au niveau du sol que au dessus par la simple contrainte physique de la pression atmosphérique qui ne peut que baisser en montant vers le ciel sauf au passage des perturbations où il y a inversion des couches d’air. Le réchauffement climatique ne peut donc pas être dû à un rétro-rayonnement qui ne peut exister que sous les nuages de pluie et encore moins à l’immobilité de l’air dans une atmosphère stable qui n’existe pas. 
Or tous les discours climato-catastrophistes font semblant d’ignorer la convection de l’atmosphère ou quand ils y font allusion comme Jean Marc Jancovici dans la vidéo ci-dessus, cet élément essentiel du refroidissement de la Terre est négligé. 
Le GIEC n’a jamais dit qu’il est prouvé que les gaz à effet de serre retiennent la chaleur parce que l’intensité du rayonnement infrarouge qui parviendrait aux satellites diminue, ou si au contraire elle augmenterait, ce qui prouverait que la terre chauffe. 
 Cette contradiction est pour moi évidente: c’est l’un ou l’autre. 
Le rayonnement infrarouge étant en même temps le transporteur de chaleur et le messager, le message ne peut pas indiquer le contraire de la variation de l’intensité du flux de chaleur. 
 
Quand l’intensité lumineuse du soleil augmente de façon naturelle, il arrive plus de chaleur au sol, il s’évapore plus d’eau des océans, le flux de chaleur latente transporté par plus de vapeur qui monte au ciel augmente ainsi que la condensation de cette eau qui envoie vers l’espace ce supplément d’énergie. 
Cette autorégulation ne pouvant pas être immédiate, elle peut expliquer un réchauffement momentané du climat. 
Le GIEC et Jean Marc Jancovici argumentent avec le fait que la stratosphère se refroidirait parce qu’elle recevrait moins de chaleur venant de la troposphère en dessous tout en reconnaissant qu’elle s’est appauvrie en ozone, la fameuse couche d’ozone qui doit arrêter les rayons ultraviolets du soleil. 
 Or la densité, la pression atmosphérique de la stratosphère est extrêmement faible (environ 1 cent millième de la pression de l’air au niveau du sol), le seul gaz à effet de serre capable de freiner les rayons infrarouges qui la traversent est donc l’ozone produit localement par l’agression des rayons ultraviolets du soleil sur les molécules d’oxygène. 
L’affirmation suivant laquelle la stratosphère recevrait moins de chaleur qu’avant de la part de la troposphère est extrêmement fragile ne serait-ce que par la difficulté de mesurer sa température avec précision, de sa transparence vis à vis des infrarouges et de l’absence de mélange donc de conduction entre ces deux couches d’air. 
 Je constate que le document de National Geographic dont j’ai mis le lien d’accès en première ligne relève plus de la spéculation que de la preuve scientifique. 
Il ne distingue pas la troposphère de la stratosphère, deux couches d’air très différentes entre lesquelles il y a très peu d’échanges !
Un dernier point concerne la chasse à la pollution par les poussières atmosphérique dans certains pays, évidement en Europe, qui contribue au réchauffement. 
 Ces particules de poussière en suspension dans l’air réfléchissent la lumière du soleil vers l’espace. 
 Ces particules participent aussi à la formation des gouttelettes d’eau des nuages qui eux aussi réfléchissent la lumière vers l’espace. 
C’est ce que font les éruptions volcaniques. 
Moins de pollution, c’est plus de chaleur qui arrive au sol. 
 

(3) La troisième anomalie dans le discours du GIEC concerne le méthane et le protoxyde d’azote. 
Le taux de CH4 dans l’air est 0,0000001923%. 
Le taux de N2O est 0,00003358% alors que l’espérance de vie de cette molécule dans l’air serait de un siècle ! 
Ces chiffres sont comparer avec celui du CO2 qui est 0,0420%. 
 
(4) Comment ces taux peuvent-ils être aussi faibles alors que parait-il, ils sont un problème ? 
 Tout simplement parce que ces gaz s’autodétruisent. 
Le N2O est une molécule fragile, instable, parce que endothermique, comme tous les oxydes d’azote. 
Les rayons ultraviolets du soleil la cassent en libérant de l’oxygène monoatomique qui est extrêmement réactif 
 
(5) C’est la "matière active" de l’eau de javel, de l’eau oxygénée, de l’ozone, du chlorate de soude. 
 Cet atome d’oxygène libre cherche à brûler tout ce qu’il trouve et il trouve le méthane, le combustible qu’il côtoie dans l’air. 
 On peut admettre que les émissions de ces deux gaz augmentent du fait des activités humaines mais tant que ces émissions sont à peu près simultanées, il y a d’autant moins lieu de s’en préoccuper vu que l’effet de serre n’a que peu d’influence sur le climat, comme nous l’avons vu plus haut.
 

Ceci n’est évidemment pas une raison pour gaspiller les ressources d’énergies fossiles qui ne sont pas inépuisables, il est de notre devoir d’en laisser aux générations futures. 
Ensuite, les émissions de CO2 n’intervenant que pour 20% dans le changement climatique, prendre des mesures correctives ne justifie pas de se ruiner en faisant n’importe quoi comme avec la folie des éoliennes. 
 L’autre grande conclusion est que l’agriculture n’est pas le problème, elle est au contraire la solution en utilisant toutes les ressources techniques de l’agroécologie, comme la réhabilitation du bocage et surtout le stockage du carbone dans les sols sous forme d’humus. 
 C’était l’objet de l’initiative 4/1000 de Stéphane Le Foll qui doit être une priorité du point de vue agronomique. 
FH

Sources : 
(1) Camille Veyres ingénieur polytechnicien 
(2) Jacques-Marie Moranne ingénieur centralien 
(3) Une publication sur internet du Commissariat à l’Energie Atomique 
(4) Ces chiffres ont été donnés par le magazine écologiste Good Planet Mag. 
(5) C’est pour cette raison que dans la stratosphère il se combine à la molécule d’oxygène O2 pour former de l’ozone O3 elle-même étant instable. Il y a en permanence fabrication et autodestruction de l’ozone, celle-ci étant stimulée par la présence de chlore ou de fluor provenant de la pollution industrielle. Les rayons ultraviolets absorbés par ces réactions sont réémis avec une fréquence plus faible donc ils perdent leur nocivité.

Par Hélène Banoun. @BanounHelene

Source : https://les7duquebec.net/archives/293870
Le rapport en Anglais sous PDF CLIMAT-geomatics-04-00017-v2 
En complémentaire à propos du "consensus scientifique" entourant le Réchauffement Climatique changement climatique anthropique en fichier Word : CLIMAT-CO2
Le résumé en Anglais : 
Ned Nikolov, Ph.D. @NikolovScience. 20 août 2024. 
BREAKING: Our long-awaited 30-page climate paper was published today: -MDPI Geomatics website: https://mdpi.com/2673-7418/4/3/17… -PDF: https://mdpi.com/2673-7418/4/3/17/pdf… This is a seminal study, which demonstrates through observations and math that the Sun (not CO2) drives Earth’s climate! 
https://numidia-liberum.blogspot.com/2024/09/cest-le-soleil-et-non-le-co2-qui.html
 
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10 août 2025 7 10 /08 /août /2025 01:08
Le Froid tue 15 fois plus que le Chaud, mais l'ONU lance une "Alerte Rouge" Mondiale pour un Réchauffement qui serait Catastrophique ! 
Le Froid tue 15 fois plus que le Chaud
L'ONU appelle à une "alerte rouge" mondiale malgré les évidences qu'il n'y a pas de péril en vue ! 
La récente hausse des températures en 2023 et au premier semestre 2024 peut s’expliquer entièrement par des facteurs naturels, et non par une crise climatique incontrôlable. 
Un puissant phénomène El Niño, l’éruption sans précédent du volcan sous-marin Hunga Tonga et un maximum solaire d’une intensité inattendue ont tous contribué à la hausse des températures mondiales – nul besoin d’un épouvantail du CO2.
L’éruption du Hunga Tonga est particulièrement significative, car elle a injecté une quantité extraordinaire de vapeur d’eau – environ 150 millions de tonnes – dans la stratosphère. 
La vapeur d’eau est un puissant gaz à effet de serre, bien plus puissant que le CO2, et le volume ajouté à l’atmosphère est un facteur à court terme distinct – bien que souvent ignoré – des températures récentes. 
L'éruption du Tonga est sans précédent dans l'ère moderne en termes d'apport de vapeur d'eau stratosphérique, et ses effets persisteront probablement, bien qu'à un degré de plus en plus faible, pendant plusieurs années encore ( étude ). 
Parallèlement, l'activité solaire a dépassé les attentes ces derniers mois, le maximum solaire actuel affichant un nombre de taches solaires presque deux fois supérieur aux prévisions officielles. 
Bien qu'il soit encore bien plus faible que les puissants cycles du XXe siècle, le SC25 ajoute des niveaux d'énergie plus élevés que prévu au système climatique de la Terre. 
Le puissant phénomène El Niño de 2023 est un autre facteur naturel et cyclique de réchauffement climatique ! 

Malgré ces facteurs naturels temporaires , qui peuvent à eux seuls expliquer la chaleur récente, les autorités continuent de véhiculer un discours fondé sur la peur. 
L'ONU, par l'intermédiaire de ses agences météo et climatique, s'est emparée de cette flambée et a lancé un appel à une "alerte rouge" mondiale. 
La directrice générale de l'Organisation météorologique mondiale (OMM), Celeste Saulo, fait partie de celles qui tirent la sonnette d'alarme : "Il est clair que les températures augmentent... au-delà de ce que nous souhaiterions... [ce que nous attribuons à] une action climatique insuffisante." 
On ne sait pas exactement dans quelle mesure Saulo souhaite un réchauffement. 
Je suppose qu'un peu de réchauffement est acceptable, compte tenu de sa formulation, et aussi du fait que le froid tue 15 fois plus de personnes aux États-Unis que la chaleur.

Les chiffres sont encore plus prononcés à l’échelle mondiale. 
La chaleur est préférable, selon les données.



Une fois de plus, si l’on présente une année et demie anormalement chaude comme un motif d’inquiétude, un prétexte pour mettre en œuvre des politiques destructrices de prospérité qui visent à asservir les pauvres et à donner du pouvoir aux puissants, il faut la replacer dans son contexte. Les forces naturelles actuellement en jeu – des injections de vapeur d’eau sans précédent, El Niño et un cycle solaire plus fort que prévu – signifient que ces augmentations de température peuvent être entièrement expliquées par la variabilité naturelle, et non par une crise incontrôlable induite par le CO2.

Le discours politique néglige ces mécanismes naturels, les minimise ou les ignore carrément, et des chefs comme Saulo amplifient consciencieusement l'urgence au détriment de la logique. 
L'establishment perpétue des messages fondés sur la peur, utilisant n'importe quel temps pour faire avancer son argumentaire en faveur d'une "action climatique". 
Malgré l'impact significatif et évident du Hunga Tonga sur le réchauffement climatique, les scientifiques établis continuent de travailler dur pour le minimiser.  
Un article de juillet 2024 dans le Journal of Geophysical Research : Atmospheres soutient qu'à la fin de 2023, tous les effets climatiques de l'éruption se seraient complètement dissipés. 
En ce qui concerne spécifiquement l'impact du Hunga Tonga sur la récente hausse des températures : "Nous pouvons en toute confiance l'exclure comme un contributeur important", affirme l'auteur principal Andrew Dessler, directeur du Center for Climate Studies de Texas A&M. 
Je souligne ceci :

 

Le rapport de mélange de vapeur d'eau dans la stratosphère est un indicateur climatique clé après l'éruption sous-marine sans précédent du Hunga Tonga-Hunga Haʻapai. 
Ce graphique "interactif " fait partie d'un nouveau site Web que je suis en train de coder et qui sera lancé demain (6 septembre). 
Si vous comptez injecter plus de 10% de vapeur d’eau supplémentaire dans la stratosphère, si vous combinez cela avec un maximum solaire à peu près correct et si vous ajoutez une cerise sur le gâteau El Niño, alors vous pouvez vous attendre à un feu d’artifice. 
D’un autre côté, maintenant que ces trois facteurs naturels s’affaiblissent (quoique lentement), les années à venir devraient nous ramener là où nous nous étions arrêtés début 2023 (c’est-à-dire en dessous du niveau de référence) : 
 
Filibert : Vu les statistiques de mortalité par le chaud et par le froid, un réchauffement climatique pourrait sauver plusieurs millions de personnes tous les ans qui ne seraient par tuées par le froid, sans compter de meilleures récoltes pour nourrir les populations ! 
Donc tout l'inverse de ce que nous annoncent les Mondialistes qui veulent restreindre nos libertés par tous les moyens qu'ils peuvent inventer ! 
Au Moyen Âge, en France, on vivait beaucoup mieux, pendant l'optimum médiéval, avec deux ou trois degrés de plus qu'aujourd'hui, qu'au petit âge glaciaire qui a suivi où les récoltes étaient bien moindre, conduisant à des famines endémiques avec un froid hivernal vigoureux qui tuait les moins vigoureux ! 
 

Publié par Paul : https://echelledejacob.blogspot.com/2024/09/lonu-appelle-une-alerte-rouge-mondiale.html#more
 

 

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21 juillet 2025 1 21 /07 /juillet /2025 00:42
En Suisse, on Dresse les Élèves à l'Agenda 2030 avec un Test d’Opinion sur le Climat et d'Habitudes de Vie dans certains Manuels Scolaires Suisses !
Suisse : L'Écofascisme est en Marche
Un manuel scolaire dans les écoles primaires suisses soumet les élèves à un test d’opinion sur le climat. 
A mille lieues de tout fondement scientifique. 
Le chapitre porte le titre sans équivoque de "Climate check". 
Il ne provient toutefois pas d’une brochure de Greenpeace ou de la fanatique Jeunesse pour le climat, mais d’un manuel officiel d’anglais de la célèbre maison d’édition scolaire Klett und Balmer à Baar, en Suisse. 
"Young World 4" s’adresse aux élèves de 6e année primaire. 
Sur l’histoire du "Pupil’s Book", on peut lire (traduit en français) à côté de l’illustration d’un animal à fourrure en sueur : "Observe l’ours polaire. Lis le texte et discute de ce qui pose problème." (Ndlr : Les Glaces de l'Arctique et l'Antarctique ne disparaissent pas et au Canada, la multiplication des ours pose des problèmes de sécurité pour les habitants !)
 
"Observe l’ours polaire. Lis le texte et discute de ce qui pose
problème." (Photo wikipedia)
 
Pour que même le dernier des derniers le comprenne, on continue sur cette lancée : "Le réchauffement climatique nous concerne tous. 
Pour les ours polaires, cela signifie qu’ils ne pourront plus vivre nulle part si la glace du pôle Nord fond." 
Ainsi mis dans l’ambiance émotionnelle et sur la bonne voie, les élèves doivent ensuite passer un véritable test d’opinion afin de déterminer leur prétendue "empreinte climatique". 
Pour ce faire, loin de toute méthodologie scientifique, des points sont attribués pour les réponses correctes en matière de climat. 
Les questions correspondantes évaluent non seulement le comportement des élèves, mais également le mode de vie des parents.
 
L’évaluation sur ce que l’on mange ! 
Mise en garde contre la consommation de viande !
Le "test climatique" aborde différents domaines. 
Sur le thème "Manger et faire ses courses" ("Eat and shop"), on peut lire : "Je ne vide jamais complètement mon assiette." 
Cela donne lieu à quinze points de pénalité. 
Celui qui "jette parfois de la nourriture" est pénalisé de dix points de malus. 
Ceux qui adoptent le comportement souhaité et mangent "toujours" tout, reçoivent cinq points.  
Les élèves sont évalués sur leur consommation de fruits et légumes de saison et sur le fait que les aliments sont régionaux et biologiques ("organic"). 
Ceux qui mangent ce qu’ils aiment sont plafonnés à 25 points. 
Selon le manuel, les élèves qui mangent de la viande ou du poisson plus ou moins ("more or less") tous les jours (-30 points) font encore pire que ceux qui s’offrent une banane ou une pomme à la mauvaise saison. 
La seule chose qui serait encore mieux pour le climat serait de ne rien manger.

Bien entendu, les habitudes alimentaires dépendent également dans une large mesure du foyer familial, mais la question du mode de chauffage devient un véritable tribunal pour les parents. 
Quiconque indique que "notre maison est chauffée à l’énergie solaire ou à une autre forme d’énergie renouvelable" obtient +10 points. 
En revanche, celui qui vit dans un logement chauffé par une énergie conventionnelle obtient -40 points. 
Un pouah! moyen (-20 points) est attribué aux enfants qui prennent un bain une fois par semaine (autrefois, on les aurait félicités pour cela). 
Ceux qui prennent une douche tous les jours sont tout de même sanctionnés de -10 points. 
En revanche, ceux qui coupent l’eau pendant qu’ils se savonnent sont récompensés (+5 points), sans qu’on leur demande à quelle fréquence et pendant combien de temps ils ont l’habitude de se doucher de cette manière intermittente.

Les questions concernant la "température ambiante" visent à nouveau directement les parents. 
Les enfants des ménages qui déclarent : "We never wear pullovers at home in wintertime because they would be too warm", c’est-à-dire qui ne portent pas de gros pulls à la maison en hiver, sont très mal vus (-40 points). 
Les familles qui font sécher leurs vêtements dans le sèche-linge sont également réprimandées (20 points).
 
Peine maximale pour les voyages en avion ! 
Enfin, le comportement en matière de mobilité est passé au crible : les enfants se rendent-ils «toujours» à l’école à pied ou à vélo (0 point)? Utilisent-ils parfois ("sometimes") les transports publics (-5 points)? 
Ou sont-ils même conduits par leurs parents (-10 points)? 
Même les vacances sont dénigrées : on dirait presque une incitation à la délation lorsque les élèves doivent indiquer s’ils ont pris l’avion avec leurs parents au cours des cinq dernières années ("in the last 5 years") (-40 points). 
Les vacances en Suisse ou les voyages en train dans les pays voisins sont semi-autorisés, mais également peu appréciés (-10 points). 
Les personnes qui partent chaque année en vacances avec leur famille reçoivent le plus de coups: ils écopent de -150 points de pénalité.

A la fin, les élèves ont pour consigne de mettre en relation le nombre de points obtenus avec le bien-être de l’ours polaire ("How is your polar bear doing ?"), de se mettre d’accord dans le cadre de discussions de groupe sur un comportement plus respectueux du climat ("Talk about what you can do") et de s’engager également individuellement à adapter leur propre mode de vie. 
Au bout d’un mois, les élèves doivent vérifier s’ils ont vraiment adapté leurs actions et leurs activités – et ils doivent comparer cela avec les autres élèves de la classe. 
Any questions ? Y a-t-il des questions ?

Philipp Gut 
Source : "Weltwoche". https://weltwoche.ch/story/haben-deine-eltern-eine-solarheizung/ 
(Traduction "Point de vue Suisse") 
Vu ici : https://www.schweizer-standpunkt.ch/news-detailansicht-fr-schweiz/tes-parents-ont-ils-un-chauffage-solaire.html 
Publié par Paul : https://echelledejacob.blogspot.com/2024/09/en-suisse-on-dresse-les-eleves-lagenda.html#more
 

 

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