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13 mars 2025 4 13 /03 /mars /2025 12:31
De plus en plus d'Études Démontrent que la Planète Terre a eu des Périodes plus Chaudes qu'Aujourd'hui et que ces Périodes étaient Bénéfiques pour la Vie et les Hommes !
 

Les graphiques en forme de crosse de hockey, qui montrent une forte hausse des températures ces dernières années, sont devenus un outil central pour promouvoir l’alarmisme climatique. 

La dernière affirmation en date – selon laquelle les 12 derniers mois ont été les plus chauds depuis 150.000 ans – est manifestement absurde. 

Dans le rapport du GIEC de 1990, les scientifiques ont reconnu qu’il y a environ 5.000 ans, lors du maximum de l’Holocène, la Terre était nettement plus chaude qu’aujourd’hui.

Le Dogme Climatique ne tient pas la Route

Plusieurs sources du début des années 1990 le confirment.

En voici un autre :

 

Principes de géologie physique de Holmes » 4e éd. (1993)


Le passé avait radicalement changé à la fin des années 1990, en grande partie grâce aux réécritures de Michael Mann .

Jetez un œil au troisième rapport d'évaluation du GIEC de 2001 (chapitre 2, page 134) qui a basé sa nouvelle reconstruction de la température sur le nouveau "bâton de hockey" de Mann :
 


L'article de Mann et al. de 1998 a cependant été largement tourné en dérision après sa publication, et pour cause. 

 

Le statisticien et professeur américain respecté Edward J. Wegman a été l'un des premiers à analyser la méthodologie et les résultats de Mann. 

 

Il est arrivé à cette conclusion :

"Dans l’ensemble, notre comité estime que les évaluations de Mann selon lesquelles la décennie des années 1990 a été la décennie la plus chaude du millénaire et que 1998 a été l’année la plus chaude du millénaire ne peuvent pas être confirmées par son analyse."

Aie ! 

Mais plus important encore, les preuves contre le réchauffement brutal des années 1990 vont bien au-delà des rapports critiques des pairs.

Selon le Service géologique de Norvège, il y a 6.000 à 7.000 ans, l’océan Arctique était périodiquement libre de glace. 

En revanche, le niveau actuel de la banquise correspond étroitement à la moyenne sur 30 ans et l’Arctique, même au plus fort de l’été, est loin d’être libre de glace.

La banquise s'est avérée stable et la population d'ours polaires augmente assez rapidement. 

En fait, il y a tellement d'ours au Canada et au Groenland cet été que les habitants doivent les abattre pour des raisons de sécurité :
 

 

Autre preuve : il y a 5.000 ans, les arbres poussaient beaucoup plus au nord que leur aire de répartition actuelle. 

Une souche d’arbre vieille de 5.000 ans près de l’océan Arctique au Canada montre que les arbres les plus proches se trouvaient autrefois 80 à 100 km plus au nord. 

En Russie, les forêts s’étendaient jusqu’au littoral arctique il y a entre 9.000 et 7.000 ans. 

Il a dû faire plus chaud pendant l’optimum de l’Holocène qu’aujourd’hui.

La limite des arbres s'élevait à des altitudes plus élevées, suggérant des climats de montagne plus chauds.

D'après la croissance des arbres, les températures il y a 5.000 ans étaient probablement 2°C plus élevées qu'aujourd'hui. 

L'historien Hubert Lamb a documenté ce réchauffement dans Climate History in the Modern World , montrant comment les périodes plus chaudes ont conduit à des civilisations florissantes. 

En Chine, déclare Lamb, les températures annuelles moyennes étaient 2°C plus élevées et les températures hivernales étaient 5°C plus élevées qu'aujourd'hui.

Les civilisations ont prospéré pendant ces périodes chaudes, notamment en Europe et en Chine, et ont connu des difficultés pendant les périodes plus froides. 

Le point essentiel à retenir est clair : il y a 5.000 ans, la Terre était nettement plus chaude, ce qui remet en cause la fiabilité des graphiques modernes en forme de crosse de hockey.

Les graphiques du GIEC de 1990, qui ont montré le maximum de l’Holocène, sont bien plus précis que ceux qui ont suivi.

Avant que Michael Mann ne réécrive l’histoire du climat il y a 25 ans, les données montraient que la Terre était plus chaude lorsque les niveaux de CO2 étaient plus bas, ce qui contredisait directement le récit selon lequel le dioxyde de carbone contrôle les températures mondiales. 

La crosse de hockey a été introduite parce qu’elle montrait que les températures montaient en flèche lorsque les niveaux de CO2 dépassaient 300 parties par million. 

Mais l’absurdité engendre l’absurdité, et en s’appuyant sur les fondements de la crosse de hockey, il s’ensuit que les 12 derniers mois ont été les plus chauds depuis 150.000 ans.

Même si les données indiquent le contraire, le train catastrophique du réchauffement climatique d’origine anthropique doit continuer sa route, aucun retour en arrière n’est autorisé.

Je terminerai avec une citation raisonnable de Holmes (responsable du deuxième graphique de cet article) :

« Le passé récent a été marqué par des changements climatiques et environnementaux radicaux et fondamentaux qui ont affecté la Terre entière, du sommet des plus hautes montagnes jusqu'au fond des océans les plus profonds. De plus, nombre de ces changements se sont produits à une vitesse surprenante. Bien que l'environnement terrestre puisse aujourd'hui changer en réponse aux activités humaines, même sans elles, des changements rapides et radicaux dans l'environnement se produiraient tout naturellement. »

 

 
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13 mars 2025 4 13 /03 /mars /2025 08:58
L’Urgence climatique de l’ONU

Un article de Simon Kent (traduit par Magali Marc pour Dreuz) nous apprend pour la  centième fois depuis bientôt 40 ans que « la fin est proche ». Des experts en climatologie soutiennent l’avertissement catastrophique de l’ONU…..

             Il y a quelques années, le futur Charles III d’Angleterre nous laissait 8 mois pour supprimer les énergies fossiles si nous n’acceptions pas de périr !

Soyons précis : quelle est, selon l’ONU, la menace annoncée ? Elle est que la température moyenne augmente de plus de 0,3°C et que le gain de température total depuis 1850 passe de 1,2 à plus de 1,5°C. L’horreur !! l

Il est sûr que, si la fantaisie permanente du climat nous avait prodigué 2°C de plus, l’ONU annoncerait une tragédie au-delà de  2,5°C…..

Histoire de fous ! Sourions si nous ne sommes pas trop préoccupés par les fortunes que certains engrangent grâce à la peur savamment entretenue, rappelons-nous la parole de Machiavel : « Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes. ». Rappelons-nous aussi l’histoire de la terre : notre planète vieillit et on  constate que, depuis un million d’années, des périodes glaciaires de 100.000 années  se succèdent et accompagnent – plus ou moins régulièrement –  10.000 ans de climat chaud semblable au climat actuel.

L’ONU observe actuellement que le gaz rare appelé CO2 a vu sa présence augmenter un dix millième (0,0001) de l’air. A la fin des périodes glaciaires, c’est aussi une augmentation de 0,0001 que l’on observe et – étonnons – nous – un gain de 10°C de plus….. et pas 0,3°C

La question à poser après cette constatation: pourquoi l’ONU hurle-t-il de terreur en imaginant 0,3°C de plus alors que nous bénéficions de 0,0001 de CO2 de plus ? Sans doute parce que, durant les 170 dernières années, nous avons bénéficié de 1,2°C de plus et que cela ne ferait pas très sérieux de nous menacer des 10°C de plus  de fin de glaciation?

Bref, on nous affole avec…. le beau temps dont nous avons actuellement la chance de bénéficier…..

Claude Brasseur

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13 mars 2025 4 13 /03 /mars /2025 04:55
Crédits Factuel AFP

Crédits Factuel AFP

Le Changement Climatique serait une Escroquerie liée à la Géo-Ingénierie et au Contrôle de la Météorologie, par ceux qui Contrôlent le Monde en Imprimant l'Argent ! 


Stew Peter reçoit un spécialiste des manipulations climatiques par les mafias qui gouvernent et qui explique que tous les pays sont contraints de s’y soumettre bon gré mal gré. 
Dane Wigington, un expert américain en ingénierie climatique, affirme que le changement climatique est un canular. 

Le climat change en raison de projets de géo-ingénierie, de contrôle du temps et de guerre climatique, tout cela provoque des catastrophes naturelles, la destruction des récoltes, et l’absorption de nanoparticules nocives pour la santé qui ont été répandues interntionnellement. 
Tous les pays sont impliqués. 
Les responsables sont ceux qui contrôlent l’impression de l’argent. 
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13 mars 2025 4 13 /03 /mars /2025 00:48
La découverte surprenante selon laquelle les Arbres absorbent également du Méthane et ce que cela signifie pour la lutte contre le "Changement Climatique" ! 
 Les Arbres Absorbent le CO2 et le Méthane
Les arbres absorbent également le méthane, le gaz à effet de serre, présent dans l'atmosphère terrestre. 
C'est ce qu'a découvert une équipe internationale de scientifiques, démontrant pour la première fois comment les arbres peuvent éliminer ce gaz qui contribue au réchauffement de la Terre. 
Selon les chercheurs, cette découverte pourrait avoir de grandes implications dans la lutte contre le changement climatique. 
Lorsque les arbres effectuent la photosynthèse, leurs feuilles absorbent le dioxyde de carbone (CO2) et le stockent sous forme de biomasse dans leurs troncs et leurs branches, assurant ainsi un stockage de carbone à long terme. 
Mais cette nouvelle recherche révèle désormais un autre avantage climatique important des arbres : les microbes vivant dans leur écorce peuvent absorber le méthane à une échelle égale ou supérieure à celle du sol, un autre puits (ou processus d'élimination) important pour le méthane.  
Comme le disent les scientifiques, parvenir à des réductions significatives des émissions de méthane dans l’atmosphère aurait un effet rapide et significatif dans la lutte contre le réchauffement climatique.

Plus puissant que le CO2 ! 
Le méthane est le deuxième gaz à effet de serre le plus abondant après le CO2 et est responsable d'environ 30% du réchauffement climatique depuis l'époque préindustrielle. 
Au cours des deux dernières décennies, les concentrations de méthane dans l’atmosphère ont augmenté rapidement, principalement en raison des activités humaines. 
Il s'agit d'un problème sérieux pour le climat de la Terre, car le méthane est 28 fois plus puissant que le CO2 pour piéger la chaleur dans l'atmosphère. 
Les microbes vivant dans l'écorce des arbres peuvent absorber le méthane à une échelle égale ou supérieure à celle du sol. 
Cependant, alors que le CO2 peut rester dans l’atmosphère pendant des centaines d’années, le méthane y reste environ 10 ans. 
"Cette courte durée de vie atmosphérique signifie que tout changement dans les sources de méthane ou dans les processus qui l'éliminent de l'atmosphère (appelés puits de méthane) peut avoir des effets rapides", explique Vincent Gauci, chercheur à l'École de géographie et des sciences de Earth and Environment de l’Université de Birmingham et auteur principal de l’étude.
"Si l’élimination est améliorée, cela pourrait constituer une victoire climatique rapide qui contribuerait à atténuer le changement climatique croissant."
 
 
Élimination du méthane ! 
La plupart des émissions de méthane sont éliminées par des processus atmosphériques. 
Mais les sols regorgent de bactéries qui absorbent le gaz et le décomposent pour l’utiliser comme énergie. 
On pensait que le sol était le seul puits terrestre de méthane, mais des recherches ont montré que les arbres peuvent être tout aussi importants, voire plus, pour éliminer le gaz. 
Pour cette étude, les chercheurs ont analysé des arbres provenant de forêts tropicales, tempérées et boréales. 
Plus précisément, ils ont pris des mesures dans les forêts tropicales de l'Amazonie et du Panama, dans les forêts tempérées de feuillus de Wytham Woods dans l'Oxfordshire, au Royaume-Uni, et dans les forêts boréales de conifères en Suède. 
Les sols sont remplis de bactéries qui absorbent le méthane et le décomposent pour l'utiliser comme énergie. 
Ils ont découvert que l’absorption de méthane était la plus forte dans les forêts tropicales, probablement parce que les microbes se développent dans des conditions chaudes et humides. 
En moyenne, selon les chercheurs, l’absorption de méthane récemment découverte ajoute environ 10% aux avantages climatiques apportés par les arbres tempérés et tropicaux.
 

Contribution globale ! 
En étudiant l'échange de méthane entre l'atmosphère et l'écorce des arbres à différentes hauteurs, ils ont pu montrer que, même si au niveau du sol les arbres émettaient probablement une petite quantité de méthane, à partir de quelques mètres vers le haut, la direction de l'échange change et le méthane de l'atmosphère est absorbé. 
De plus, pour savoir si ce processus avait une importance mondiale, les chercheurs ont utilisé une technique appelée balayage laser terrestre pour calculer la surface totale de l'écorce des arbres forestiers à l'échelle mondiale. 
Ils ont découvert que si l’écorce de tous les arbres du monde était étendue à plat, elle couvrirait toute la surface de la Terre. 
Leurs calculs préliminaires indiquent que la contribution mondiale totale des arbres se situe entre 25 et 50 Tg (millions de tonnes) de méthane chaque année, la plus grande contribution ayant lieu dans les forêts tropicales. 
"Cela représente potentiellement une vaste zone d'échange gazeux entre l'écorce des arbres et l'atmosphère, mais ce mécanisme est encore mal compris", explique le professeur Gauci. 
Bien que les chercheurs soulignent que l’élimination du carbone de l’économie mondiale est essentielle pour lutter contre le changement climatique, cette capacité des arbres à absorber le méthane offre un autre outil naturel pour résoudre le problème climatique mondial. 
Le professeur Gauci explique qu'il pourrait y avoir de nouvelles façons d'améliorer l'absorption du méthane, comme la sélection d'arbres particulièrement efficaces pour éliminer le gaz ou la modification des communautés microbiennes dans l'écorce des arbres. 
Et il estime que des incitations plus importantes pourraient également être accordées aux nations pour qu'elles préservent les forêts naturelles existantes et empêchent une nouvelle déforestation. 
"La principale façon dont nous considérons la contribution des arbres à l'environnement consiste à absorber le dioxyde de carbone par la photosynthèse et à le stocker sous forme de carbone", explique le professeur Gauci. 
"Cependant, ces résultats montrent une nouvelle façon remarquable dont les arbres fournissent un service climatique vital."


BBC News Mundo : 
https://www.bbc.com/afrique/articles/cmj2rjv387po
 

 

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27 février 2025 4 27 /02 /février /2025 01:03
Pollution : ces mensonges matraqués…

Comme nous le répétons au RPF, avec comme retour l’appellation fourre-tout et bien pratique de « complotistes », le narratif carbone employé à toutes les sauces et particulièrement quand il s’agit d’extorquer de l’argent aux entreprises et contribuables a du plomb dans l’aile… et il ne s’agit pas du métal lourd. La mauvaise nouvelle, carrément dérangeante, provient d’études très sérieuses qui mettent en évidence le fait que la baisse de la pollution à l’échelle de la planète aggrave le réchauffement climatique. Conclusion : l’activité industrielle humaine n’y est pour rien. Cela était déjà confirmé par de nombreuses carottes, prélevées en plusieurs zones terrestres et permettant de retracer les quantités de carbone présentes dans l’atmosphère au cours des âges. Il s’avère que non seulement le carbone a été bien plus présent dans l’atmosphère terrestre par le passé, avant même l’apparition de l’homme, mais également après son apparition, à des âges pré-industriels, où la planète était globalement plus chaude, ou plus froide. Mais seuls les scientifiques aux pattes bien graissées sont invités à pérorer sur les plateaux de télévision, ressassant sur commande le narratif climat permettant d’instaurer des « taxes carbone », un marché international du carbone, une recherche et développement bas carbone… en bref, d’assujettir la Terre entière à des taxes et des obligations de frugalité énergétique, le tout par des types richissimes qui viennent distiller leurs leçons de sédentarisme écologique en jet privé.

La pollution de l’air a baissé globalement dans le monde comme le montrent les contrôles de la qualité de l’air menés depuis les années 1990. La disparition de pas mal d’industries lourdes ou leurs progrès en matière de traitement des rejets ont porté leurs fruits et donc l’atmosphère est plus propre qu’au vingtième siècle. Mais cela a un effet retors et aggrave en partie le réchauffement climatique : la baisse de la pollution serait responsable de la moitié de l’accélération actuelle du taux de réchauffement, pourrait représenter 40 % de l’augmentation de l’énergie qui a réchauffé la planète entre 2001 et 2019.

Les particules de pollution en suspension dans l’atmosphère réfléchissent la lumière dans l’espace et provoquent donc un refroidissement. Si on en a moins, il y a réchauffement. Les particules peuvent aussi augmenter le nombre de gouttelettes dans l’air, contribuer à de plus grands nuages, qui durent plus longtemps, lesquels aussi réfléchissent la lumière. La Terre polluée est donc plus réfléchissante et non polluée, elle est plus sombre et capte plus la chaleur du soleil. Non seulement ce phénomène est connu depuis longtemps, mais si complexe qu’il rend toute prédiction très difficile. À ramener donc aux « climatologues » d’opérette qui vous assènent au dixième de degré près la température qu’il fera en 2100. À rapprocher aussi des « spécialistes » qui nous racontaient dans les années 70 la fin du pétrole pour l’an 2000 et en 1980, la fonte du pôle Nord pour 2012.

Bien sûr, au RPF, nous avons un programme écologique et nous ne nions en aucune manière les variations climatiques, mais la problématique ne réside pas dans la taxation permanente orchestrée par des oiseaux de mauvaise augure. La mauvaise qualité de l’air provoque chaque année plus de 4 millions de décès prématurés sur la planète et il faut le prendre en compte. Pour le reste, l’essentiel du programme écologique devrait consister en du nettoyage : le plastique des océans, les pesticides et les métaux lourds dans la terre, les décharges sauvages… Également recycler, utiliser la pyrolyse pour le plastique, mettre au point des processus de recyclage économes en énergie, rendre le produit recyclé moins cher que le produit neuf, ferrouter les camions. Mais encore trouver des énergies de transport plus propres, l’électrique à batteries n’étant qu’une vaste fumisterie. Laisser les ingénieurs travailler et le meilleur produit imposer ses qualités, plutôt que de décréter politiquement le progrès technique. Et enfin, prendre acte du réchauffement climatique comme un phénomène liés aux variations du système solaire et bâtir de quoi nous y adapter.

Plus globalement, on est en train de s’apercevoir que nous sommes menés en bateau en permanence, avec des narratifs insensés, montés de toutes pièces et destinés à la fois à entretenir un climat de peur et justifier de taxations permanentes ou des transferts massifs d’argent public vers des intérêts privés : vaccins, éoliennes, taxes carbone, voitures électriques, logements bas carbone, pandémies… se traduisent tous par des spoliations systématiques de l’argent ou des biens du contribuables, les narratifs générant à dessein des normes contraignantes et coûteuses et des privations de libertés. Outre le ménage à mener sur l’ensemble de la planète, il y en a un autre, très sévère, à réaliser chez les oracles de malheurs, à cravate, à nattes et à petites lunettes, tous comploteurs, idéologues hors-sol ou idiots utiles.

https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com

https://t.me/R_P_France

Pierre Duriot

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15 février 2025 6 15 /02 /février /2025 09:36
L’énorme mensonge planétaire sur le climat

Tout d’abord, nous allons partir sur une base objective et universelle selon laquelle tout candidat futur responsable politique est rarement intelligent et rarement honnête. Pour accéder au pouvoir et à l’argent public qui coule à flot, avant son élection, pendant son élection et après son élection, il mentira toujours. Le mensonge est la clef de la réussite en politique. Ils mentent pour être élus, puis pour rester en poste, puis pour grimper plus haut, et ils mentent lorsqu’ils ont fait des bêtises, et que ce n’est jamais de leur faute, mais celle des électeurs, du parti adverse ou plus, généralement, en France, à cause du Front National devenu le Rassemblement National. Chacun sait que le RN est toujours responsable de tout ce qui se passe dans le pays. Sauf que le RN n’a jamais gouverné la France… Contrairement à la gauche dont on a constaté à chaque fois les résultats catastrophiques qui ont conduit à la ruine du pays.

Donc, en résumé, en politique le mensonge est omniprésent et permanent.

On va essayer d’aborder les choses avec des notions scientifiques claires et élémentaires et non pas purement politiques auxquelles personne ne comprend rien tant elles sont fausses, détournées, confuses et embrouillées volontairement…

Pour mieux gouverner et écraser les peuples et leur imposer de nouvelles contraintes absurdes et de nouvelles taxes, ils ont inventé le réchauffement planétaire, la transition climatique, la transition écologique et le bilan carbone, avec la « décarbonation » et toutes ces âneries du même tonneau.  Il est vrai que le trou dans la couche d’ozone avait été un pétard mouillé et avait donc fait long feu.

Le grande mode est d’ailleurs aux transitions… Transition démographique, raciale, religieuse, culturelle, sexuelle, etc.

Pour donner du corps à leurs mensonges, ils ont aussi réuni tout un tas de menteurs et de manipulateurs professionnels qui constituent le GIEC.
En savoir plus sur le GIEC :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_d%27experts_intergouvernemental_sur_l%27%C3%A9volution_du_climat

La base des informations de l’Union Européenne sur le climat de la Terre repose sur les observations de l’organisation « Copernicus » qui est elle-même totalement subventionnée par l’UE et donc absolument pas fiable. Disons que pour ce qui concerne la météo ordinaire, les prévisions maritimes pour la navigation et autres, ça peut être utile, mais pour tout ce qui touche au réchauffement climatique relatif actuel c’est une autre histoire où tout est bidouillé pour concorder avec le discours politique imposant la seule responsabilité de l’activité humaine. Ce qui est précisément le fond du mensonge général sur la question.
https://www.copernicus.eu/fr/propos-de-copernicus

Politiquement, donc, comme Copernicus, le GIEC, comme l’ONU dont il dépend, l’OMS, l’OTAN et toutes ces organisations aux buts, agissements et décisions flous, est un truc américain, sous la coupe, l’hégémonie et la diffusion des idées américaines car les USA veulent que tout sur Terre soit sous contrôle américain.

Le GIEC, né en 1988 du G7, produit des rapports sur le Climat de façon périodique assez régulière, 1990, 1995, 2001, 2007, 2014, 2023.
Mais ces rapports sont faussés, tendancieux et essentiellement politiques.

Aujourd’hui, les humains n’ont plus beaucoup confiance dans les politiques qui sont à peu près tous corrompus, mais ont plus confiance dans le vrai monde scientifique (pas celui des politiques) qui est encore supposé travailler dans la clarté et diffuser des informations à peu près fiables.
Le principe de ces organisation politiques est donc de laisser croire que les données qu’elles diffusent sont d’émanation scientifique pour endormir le public. Mais ça commence quand même à poser problème, car le concept est grossier.

En effet, lorsqu’on lit le site Wikipédia cité plus haut et quand on voit comment les rapports supposés à la base scientifiques sont lus et relus, analysés, décortiqués, interprétés et réécrits par des organismes glauques missionnés par des politiques, on sent bien qu’on s’éloigne beaucoup de la pure démarche scientifique au profit d’un discours politique monolithique et le plus souvent mensonger.
C’est comme ça. C’est humain.

Alors, qui croire ?

Lorsque vous écoutez la radio ou regardez des émissions télévisées sur le climat, que voyez-vous et entendez-vous ? Des animateurs de radio et de télé qui invitent des « spécialistes » le plus souvent non scientifiques qui rapportent des informations édulcorées allant dans le sens des politiques et de la doxa climatique généralisée.
Vous trouverez à la fin de l’article quelques liens très intéressants de scientifiques climato-sceptiques sur ce sujet.

Les écolos sont une sorte de nouvelle religion, d’idéologie aveugle ou de courant politique absurde dans sa vision du monde. Les écolos de base, pas très futés et abrutis par leur religion, portent à leur tête des politiciens sans scrupule qui ne cherchent qu’à accéder à des positions élevées dans les structures de l’État ou de l’UE.

Sinon, les écolos de base ont une vision grotesque des problèmes de la nature et du climat de la Terre. Ils se croient tout puissants car ils veulent « sauver la planète ! » qui n’a aucun besoin d’être sauvée de quoi que ce soit. Mais ils ignorent et ne tiennent pas compte des innombrables paramètres naturels et technologiques qui entrent en ligne de compte. Ils veulent tout interdire. L’élevage, l’agriculture, l’industrie, les transports, les sources d’énergie (charbon, bois, fioul, nucléaire), l’industrie minière, la construction de nouvelles villes, de ports, d’aéroports (bétonnage) de cités dortoirs. Ils veulent aussi des millions d’éoliennes et de gigantesques champs photovoltaïques de dizaines de milliers d’hectares qui sont tous des hérésies anti-écologiques. Les éoliennes et le photovoltaïque sont les pires sources de pollution pour les fabriquer et ensuite pour les éliminer en fin de vie.

En bref, ils veulent anéantir l’humanité.

Notez que les éoliennes coûtent des fortunes, sont fabriquées en Chine et ne font pas travailler des européens, sont souvent en panne (ne tournent pas par grand vent) ne sont pas orientables et ne fonctionnent que sur le vent dominant du lieu, produisent très peu d’électricité, prennent feu et explosent à l’occasion…

Bien sûr, il y a des choses à faire pour aller dans le bons sens, mais ces choses doivent être présentées par des scientifiques du climat et non par des bobos stupides gavés de subventions.

Ils veulent que tout le monde se déplace à l’électricité, sauf les riches, bien sûr. Pour que tout le monde accepte (et c’est le contraire qui arrive) les véhicules électriques, il faudrait déjà que ces véhicules soient capables de faire au moins 500 kilomètres sans recharge. La réalité c’est qu’ils en font beaucoup moins et encore pire l’hiver, par grand froid, avec le chauffage de la batterie et de l’habitacle qui pompent les deux tiers de la batterie.

Aujourd’hui, la voiture électrique, c’est l’échec total et ceux qui en ont acheté font tout pour s’en débarrasser. Et ça les médias ne vous en parlent pas. Pas plus, d’ailleurs, qu’ils ne vous parlent de toutes celles (plus les bus) qui prennent feu et explosent en route ou à froid en stationnement…

De plus, pour que tout le monde roule à l’électrique, il faudrait une dizaine de centrales nucléaires supplémentaires tournant à plein régime 24/24.  Mais pour toute notre consommation ordinaire il faudrait déjà 20 nouvelles centrales nucléaires nouvelle génération qui sont loin d’être seulement en début de construction.  À noter qu’il existe une autre source d’énergie électrique qu’on a un peu oubliée, c’est l’énergie marémotrice, l’hydroélectricité (EDF), comme dans l’usine marémotrice de la Rance (rivière) en Normandie qui produit un peu d’électricité : 500 gigawatts/heure par an !
https://www.edf.fr/usine-maremotrice-rance/Produire%20de%20l%27%C3%A9nergie%20renouvelable

On pourrait sans doute en implanter d’autres sur les côtes normandes et atlantiques…

– Pas d’agriculture, pas de nourriture, pas de viande, pas de céréales ni fruits et légumes et donc enrichir l’étranger et subir leurs pesticides, car les écolos se foutent des pesticides venus d’ailleurs, comme ils se foutent des gosses qui meurent pas milliers en Colombie, aux Philippines, en Chine (80%), etc. dans des carrières et des mines de métaux rares pour fabriquer les batteries de voiture. Au total 17 métaux et terres rares (en voie d’épuisement) : scandium, yttrium, et les quinze lanthanides (Lanthane, Cérium, Praséodyme, Néodyme, Prométhium, Samarium, Europium, Gadolinium, Terbium, Dysprosium, Holmium, Erbium, Thulium, Ytterbium, et Lutécium)
La pollution pour l’extraction et le raffinage en est hallucinante…!

– Pas d’industrie (tout est parti à l’étranger) donc pas de biens de consommations, pas de travail en France et des millions de chômeurs en plus puisque tout sera fabriqué à l’étranger.

– Pas de constructions (« artificialisation des sols », selon les écolos), on finira tous dans la rue.

– Plus de chimie, plus de médicaments, des millions de malades et de morts.
Un exemple :
« Biogaran bientôt indien, comment on coule l’industrie française »
https://resistancerepublicaine.com/2024/04/22/biogaran-bientot-indien-comment-on-coule-lindustrie-francaise/
et : « « Pénurie de médicaments en France de pire en pire ! L’effondrement de la Corée de l’Ouest ». L’édito de Charles SANNAT »
https://insolentiae.com/penurie-de-medicaments-en-france-de-pire-en-pire-leffondrement-de-la-coree-de-louest-ledito-de-charles-sannat/

– Plus de médecins (on n’en forme plus), car impossible de travailler sans pharmacie.

– Plus de transports, c’est la mort assurée de notre économie.

La seule bonne et inépuisable source d’énergie c’est le nucléaire et peut-être ITER dans 10, 20, 50 ou 100 ans… L’atome est bien moins polluant que les voitures électriques au niveau mondial.

Quant à l’effet de serre, je suis désolé, mais c’est du pipeau. C’est très difficilement démontrable et c’est tout sauf nouveau sur la Terre qui a connu des pollutions massives pendant des millions d’années qui n’ont jamais empêché la vie de croître, de se développer et de se multiplier. Mais ça fait partie de ces choses invérifiables qui permettent aux politiques de culpabiliser tous les bobos et de leur extorquer des taxes et des impôts et de les enfermer chez eux.

La couche supérieure de CO2, le bilan carbone et tout ça sont des choses absurdes et contraires à la réalité.

En effet, les hautes couches de l’atmosphère terrestre composent l’enveloppe gazeuse qui nous protège d’une part du grand froid cosmique et en même temps de la chaleur excessive du Soleil en filtrant énormément les rayons solaires ultraviolets et autres. Sans ce filtrage, la chaleur empêcherait toute vie sur Terre.

En fait, le climat de la Terre est un subtil équilibre entre trop chaud et trop froid qui a permis l’apparition et le maintien de la vie.
Notre atmosphère (en air sec) se compose approximativement de 78% de diazote, de 21% de dioxygène, de 1% d’argon, de 0,04% de dioxyde de carbone, et de traces d’autres gaz. L’atmosphère protège la vie sur Terre en filtrant le rayonnement solaire ultraviolet, en réchauffant la surface par la rétention de chaleur (effet de serre bénéfique) et en réduisant partiellement les écarts de température entre le jour et la nuit. Les hautes couches gazeuses de l’atmosphère sont donc normales et pas excessives et nous permettent de vivre le mieux possible. Ensuite, les événements climatiques brefs qui nous posent problème actuellement sont normaux et généralement passagers.

En réalité, la Terre vit sa vie et elle va très bien.
La Terre est normale, ni malade ni agonisante, car sa véritable nature intrinsèque est d’être variable et changeante.

Alors, arrêtez d’écouter les écolos et de voter pour eux car ils ne feront jamais rien pour vous, tout en profitant bien de tout ce qui existe, car ils ne vont pas s’isoler sur des îles désertes, croyez-moi !

Bref, on vous ment, on vous raconte des salades et on vous anesthésie pour que vous ne cherchiez surtout plus à comprendre…

Ces bonnes choses utiles et nécessaires étant dites, nous allons aborder le vrai sujet qui nous intéresse.

Le réchauffement climatique c’est quoi ?

C’est simplement une phase parfaitement naturelle, transitionnelle, temporaire, imprévisible, d’une durée inconnue, d’une intensité non mesurable et d’une importance variable qui révèle simplement une modification périodique par vagues du climat de notre planète depuis la création de la Terre il y a 4 milliards d’années.

C’est quelque chose de normal contre quoi on ne peut en aucun cas s’opposer ni rien faire pour l’empêcher, le stopper ou le modifier.
Cela n’a aucun rapport avec l’activité humaine sur Terre et aucune tentative d’action de l’humanité pour y changer quoi que ce soit ne pourra l’empêcher.

Il faut bien comprendre que l’humanité et ses activités ne représentent à peu près rien sur la surface de la Terre et que les conséquences actuelles de l’ensemble de l’activité humaine peuvent représenter à peu près 0,1% dans l’état et la vie de la planète au milieu des activités naturelles telluriques, océaniques et solaires qui constituent tout le reste.
C’est donc très peu de chose et la seule attitude intelligente à adopter par les humains est de l’accepter et de s’y habituer le temps que ça durera.
Car un jour on se retrouvera avec un refroidissement climatique majeur et les écolos viendront encore pleurnicher en prétendant que c’est de la faute des humains…!

Tous ceux qui se croient très intelligents (les écologistes) et affirment le contraire de ces principes sont des menteurs et des affabulateurs ou au mieux dans l’erreur, dont les dirigeants sont encore une fois attachés à des intérêts privés et à recevoir des subventions nationales et internationales.  Ce sont leurs seules préoccupations.  D’ailleurs, on voit bien qu’ils se fichent complètement du climat selon les régions de la terre. Ils sont surtout actifs dans les pays riches où il y a beaucoup d’argent à prendre. Les masses grouillantes et inintelligentes qui véhiculent ces croyances quasi-religieuses sont la plupart du temps de gauche et ignorent superbement tout ce que la science pourrait expliquer.

Pour ma part, en tant qu’auteur de cet article, je vous dirai que je ne suis d’aucun bord politique, que je me fous de la politique et que je me borne à regarder le monde et à décrire ce que j’observe.
Je me fous également complètement de l’écologie politique dans la mesure où elle n’est que politique et ignore la vie sur Terre.
Je me gausse des manipulations des verts écolo-gauchiste, notamment quand ils brandissent leur poupée de chiffon à moitié autiste, cette pauvre Greta Thunberg qui s’est un temps prise pour une star et s’est ridiculisée à la face de toute l’humanité.

Si écologie il doit y avoir, c’est une science et pas une affaire de politique ou d’idéologie. Les idéologies relèvent la plupart du temps de la stupidité crasse des masses incultes.
Et si l’écologie est une science, j’aimerais bien entendre ses scientifiques sur les médias.

Et si de vrais scientifiques de la Terre et du climat de la Terre ont quelque chose à dire, ce sera que la terre a toujours connu, depuis sa création, des vagues climatiques d’amplitudes différentes incluses les unes dans les autres, de grandes vagues climatiques qui ont donné des ères climatiques et au milieu de ces ères, des vagues de moindre importance les unes dans les autres, tout comme, par comparaison, l’océan contient une « houle » importante (des vagues longues, arrondies, non déferlantes pouvant atteindre 20 mètres de hauteur et jusqu’à 300 mètres entre deux crêtes) qui contient elle-même des vagues de moins en moins importantes les unes dans les autres. https://fr.wikipedia.org/wiki/Houle

Il est à noter que pendant les 4 milliards d’années de la vie de la Terre, des événements climatiques majeurs et très différents se sont succédés, allant d’une Terre presque toute verte entièrement tropicale à une terre toute blanche (dite boule-de neige) presque entièrement recouverte de glaciers de plusieurs centaines de mètres d’épaisseur par endroits, figeant en glaciers sur les continents les eaux océaniques et diminuant parfois de plusieurs dizaines à centaines de mètres les niveaux des mers et des océans.

Vous vous doutez bien que le climat de la Terre dans son ensemble a pas mal varié entre ces ères très chaudes et très froides…
https://lelephant-larevue.fr/thematiques/histoire/le-climat-de-la-terre-une-histoire-mouvementee/

Si je me passionne pour ces sciences de la Terre, je ne suis néanmoins qu’un néophyte et je n’apporte ici qu’une vision vulgarisée de ce sujet.

Il faut bien sûr tenir compte des différents paramètres qui ont influé sur la Terre et engendré ces grandes modifications climatiques.
La Soleil a lui aussi eu une activité très riche en variations de chaleur, de vents solaires et de rayonnement et ces variations ont énormément joué sur le climat de la terre.
La Terre, de son côté, est en perpétuel mouvement pendulaire (oscillations sur son axe nord-sud) très lent d’inclinaison et de présentation de ses pôles vers le Soleil à tour de rôle.
La Terre est un morceau d’étoile refroidi ou une petite étoile qui ne s’est pas développée. La chaleur interne de la Terre et son activité magmatique intense et oscillante et aussi volcanique a aussi eu un grand rôle dans ses variations climatiques.
Le cœur de la Terre (noyau) atteint environ 3800° à 5600° selon la profondeur. Cette température est proche de celle qu’on retrouve à la surface du Soleil, environ 6000°. Tandis que le cœur du Soleil, lui, est à environ 15 millions de degrés !

L’origine protostellaire (dont la masse insuffisante ne lui a pas permis de parvenir au stade d’étoile) de la Terre, sa chaleur centrale et son caractère éruptif sont bien observables en Islande, actuellement. Et l’homme n’y est pour rien…
Par ailleurs, le noyau ferreux en fusion de la Terre émettrait un champ magnétique qui protégerait la planète des bombardements cosmiques…
Étapes de la formation de la Terre il y a un peu moins de 5 milliards d’années : https://acces.ens-lyon.fr/acces/thematiques/limites/Temps/allee/comprendre/les-etapes-de-la-formation-de-la-terre

Aujourd’hui, le phénomène de montée du niveaux des océans est normal dans la mesure où les glaciers fondent sans que l’homme y soit pour quoi que ce soit.  L’érosion des côtes des continents est aussi naturelle et l’homme n’y a rien à voir, tout comme la submersion maritime actuelle des côtes. Ce sont des phénomènes naturels, normaux et réversibles dans le temps.  Savez-vous que l’on pouvait se rendre de France en Angleterre sans avion ni bateau ni tunnel, il y a 10 000 ans ? Simplement à pied !
Explication : https://secouchermoinsbete.fr/59691-on-pouvait-aller-en-angleterre-a-pied-il-y-a-seulement-10-000-ans
et : https://www.curieuseshistoires.net/relier-la-france-a-langleterre-a-pied-cetait-possible/

Si vous tenez compte de tous ces éléments que je vous donne et les combinez les uns avec les autres en fonction des périodes et des âges de la Terre, vous pourrez comprendre que la Terre n’a pas attendu l’avènement de l’humanité pour vivre sa vie. Nos premiers ancêtres primitifs les plus lointains dateraient de 7 millions d’années.
https://www.grandpalais.fr/fr/article/premieres-dates-de-lhumanite

Mais les premiers humains à avoir créé une activité dite industrielle ne datent que d’à peine un ou deux siècles.  Aujourd’hui, on sait néanmoins que le lobby pétrolier en prend à son aise et n’est pas près de cesser ses forages et ses extractions, car des milliers de milliards de dollars ou d’euros de profit sont en jeu. Par ailleurs, les énergies fossiles sont indispensables à tout le monde et pour longtemps, y compris aux écolos. Et la promesse fantaisiste et illusoire de limiter le réchauffement de la planète à 1,5 degré est impossible à prévoir ni à tenir. En fait, personne n’en sait rien. « Observation sur le gaz et le pétrole »
https://globalenergymonitor.org/fr/report/drilling-deeper-2024-global-oil-gas-extraction-tracker/

 

Alors, en connaissant l’histoire de toutes les fantaisies de notre belle planète bleue, je me demande bien où les écolos sont allés chercher des théories fumeuses comme ils en répandent aujourd’hui.

La Terre vit sa vie et les hommes n’y jouent qu’un rôle très secondaire et ne pourront jamais rien y changer. Ceux qui évoquent un « dérèglement climatique » ne sont que des clowns et des profiteurs qui en tirent de nombreux avantages personnels. Il n’existe nulle part aucun « bouton de réglage » du climat et les humains n’ont qu’une seule attitude à avoir face aux caprices de la Terre, c’est de s’y adapter.

L’homme doit respecter la Terre, bien sûr, ainsi que les océans et l’atmosphère et toutes les formes de vie qui les habitent. Chaque humain doit faire sa petite part en essayant déjà de ne pas trop aggraver les choses. Mais les nations du monde n’ont pas toutes le même niveau de richesse, de développement démographique, social et technologique et ne peuvent pas contribuer à la même hauteur économique à la supposée sauvegarde de notre planète. Mais si les hommes persistent dans cette absurde idéologie de vouloir dominer le climat et de refuser de s’y adapter, ils ne gagneront jamais la bataille.

C’est à l’homme, depuis toujours, de s’adapter à la Terre et non de prétendre stupidement qu’il peut modifier quoi que ce soit à la vie de la planète. Et si les écolos et les verts veulent revenir une fois pour toutes dans les années 70, voire à la préhistoire, qu’ils y aillent tout seuls et arrêtent leurs délires de « dérèglement climatique. » Le climat de la Terre n’a jamais été « réglé », il est éminemment variable et instable et il faut faire avec, tout simplement.

Une chose est aussi à souligner, c’est que beaucoup de personnes confondent « météo » et « climat ». La météo c’est sur quelques jours, tandis que le climat c’est sur des siècles et des millénaires.  Et quant aux inondations, à la montée du niveau des mers et à la submersion des terres, aux sécheresses, aux incendies de forêts, aux vents violents, aux tornades, aux cyclones, aux violentes tempêtes sur toute la planète, ce sont des conséquences simplement normales de la très légère (dans l’absolu) modification climatique actuelle. Même si des millions de malheureuses victimes souffrent effectivement de ces événements dramatiques.

Vous trouverez pas mal de réponses dans cette vidéo d’une interview de Christian Gerondeau, ingénieur polytechnicien et auteur de plusieurs ouvrages sur les questions environnementales : « Changement climatique : 30 ans de mensonges dénoncés par un polytechnicien »
https://www.youtube.com/watch?v=nxdluq4znP0

Également, le GIEC remis en question dans cette vidéo-débat sur le sujet :  Vincent COURTILLOT, géophysicien, débat de la question avec Jean JOUZEL, climatologue, après la diffusion d’un document illustré : « Le réchauffement climatique, vérité ou intox ? »
https://www.youtube.com/watch?v=bC9Xdczv66E

Ici, 500 scientifiques climato-réalistes de 13 pays dont la France expriment leurs doutes face au discours ambiant sur le climat : « Des scientifiques de 13 pays écrivent au secrétaire général des Nations unies contre l’alarmisme climatique ».
https://www.climato-realistes.fr/des-scientifiques-de-13-pays-ecrivent-au-secretaire-general-des-nations-unies-contre-lalarmisme-climatique/

« La France compte désormais plus de 40% de climato-sceptiques et c’est une catastrophe » (pour les dirigeants écolos !).
https://vert.eco/articles/la-france-compte-desormais-plus-de-40-de-climatosceptiques-et-cest-une-catastrophe

Cela dit, si nos ancêtres ont pu résister aux pires conditions climatiques depuis des dizaines à des centaines de milliers d’années, c’est qu’ils étaient forts et résistants et se battaient pour leur survie au lieu de se perdre en éternelles, vaines et ridicules palabres politiciennes.

La Terre vit sa vie et elle va très bien. La Terre est normale, ni malade ni agonisante, car sa véritable nature intrinsèque est d’être variable et changeante.

Laurent Droit

* Et en cadeau cet article de notre ami Jacques Guillemain qui se suffit à lui-même pour expliquer bien des choses, hors climatiques, dans notre pays : « Macron nous conduit vers l’abîme : en 7 ans, la France s’est effondrée ».
https://ripostelaique.com/macron-nous-conduit-vers-labime-en-7-ans-la-france-sest-effondree.html

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15 février 2025 6 15 /02 /février /2025 00:46
Les plus gros bobards réchauffistes flingués par la science

Des mensonges, il y en a tellement qu’il a fallu faire un tri. Mon choix a été guidé par des articles ou des liens qui m’ont valu d’être banni d’Agoravox, Facebook et Twitter. Sans doute parce que j’énonçais des vérités dérangeantes. Insupportables pour les mystificateurs.

Changements climatiques rapides du passé

La supercherie consistant à présenter le léger réchauffement climatique du XXe siècle comme un fait unique est d’autant plus patente que la science démontre aujourd’hui qu’il y a 15 000 ans des changements climatiques très brutaux, probablement liés à des modifications de l’intensité solaire, se sont produits à deux reprises dans l’hémisphère Nord, selon une étude publiée par la revue « Science ».

Le climat a d’abord basculé il y a 14 700 ans avec une augmentation des températures de plus de 10 degrés Celsius, en seulement 3 ans ! Puis, après un nouveau coup de froid, une hausse équivalente s’est produite il y a 11 700 ans, à la fin de la dernière période glaciaire.

« Des analyses des isotopes d’oxygène emprisonnées dans des carottes de glace du Groenland ont montré que ces renversements climatiques se sont produits aussi abruptement que si quelqu’un avait soudainement appuyé sur un bouton » souligne Dorthe Dahl-Jensen, de l’université de Copenhague, co-autrice de l’étude avec des chercheurs japonais et français du CEA et du CNRS.

N’en déplaise aux réchauffards qui nient l’influence des variations solaires sur le climat, les glaces ont conservé des marqueurs isotopiques des éruptions et super-éruptions du soleil, correspondant à des bouleversements climatiques rapides. La dernière période glaciaire s’est donc achevée de manière très brutale, avec deux épisodes de réchauffement intense interrompus par une brève période froide. Le tout, évidemment, en l’absence de tout dégagement de gaz à effet de serre (CO2, méthane…) d’origine humaine.

Sur des temps plus courts, la dendrochronologie (étude des cernes des arbres y compris ceux pétrifiés), considérée comme une des meilleures méthodes de datation utilisées en archéologie pour les périodes remontant jusqu’au Mésolithique (environ 9000 ans B.P) enregistre des cycles climatiques extrêmement brutaux et rapides, en plus chaud, plus froid, plus humide, plus sec… L’optimum médiéval, attesté par les chroniqueurs de l’an mil et les Vikings au Groenland, mais aujourd’hui nié par les idéologues, et le petit âge glaciaire sont les derniers en date.

Glaciers de l’Himalaya

En 2010, le GIEC a diffusé une étude prospective affirmant que tous les glaciers de l’Himalaya auraient fondu d’ici à 2350. La plupart des glaciologues de montagne tiennent cette évaluation pour hautement improbable. Les astrologues du GIEC ont alors délibérément interverti les chiffres pour annoncer la fin du dernier glacier himalayen en 2035 !

Ainsi le GIEC a écrit dans son rapport AR4 que « au rythme actuel, les glaciers de l’Himalaya auront reculé de 500 000 km2 et disparu d’ici 2035 ». Un rapport d’une nullité crasse selon Current Science.

Les glaciers de l’Himalaya occupent une surface totale de 60 000 km2. Cela figure toujours dans les manuels scolaires, là où l’école à l’ancienne perdure… Une enquête a établi que l’étude menée par des        « experts éminents qui passent à la télé » avait été publiée par le WWF, le fonds pour la préservation de la faune sauvage, ami des tourterelles, des lémuriens et des pandas. Lequel n’a aucune compétence en matière de glaciologie et dont le siège social se trouve en Suisse à Gland (ça ne s’invente pas !).

Derrière ces incohérences, un nom apparaît de façon récurrente : celui de Rajendra Pachauri. Cet Indien décédé début 2020 était ingénieur ferroviaire ! Comme l’écolo Jouzel est ingénieur en réacteurs nucléaires… La climatologie a du être leur violon d’Ingres.

Pachauri patron du GIEC indien était aussi président du TERI (The Energy and Resources Institute) une entité liée au groupe industriel Tata : aciéries, usines de fabrication de véhicules, centres de télécoms, commerce agroalimentaire, holdings financières… Pour un chiffre d’affaires de l’ordre de 150 milliards de dollars US. La préoccupation réchauffiste de Pachauri relève d’une vocation vraiment tardive !

Un de ses anciens comparses, Sri Murai Lal, a affirmé au Daily Mail que les rédacteurs du GIEC savaient parfaitement que les prévisions concernant les glaciers de l’Himalaya étaient erronées mais considéraient que le discours sur la fonte des glaciers servait à encourager les décideurs politiques à passer à l’action. Et à la caisse.

Macron gate n°1 ou waterworld pour les nuls

Le 21 septembre 2017, le parti politique du Conducator publie sur son site une page bourrée de chiffres effrayants sur les risques du réchauffement climatique. Calculés par Bulot Le Maire, ancien ministre de l’Agriculture, qui ne sait pas combien il y a de m2 dans un hectare ?

Les « experts » du Président affirment que 7 800 000 litres de glace fondent chaque seconde en Antarctique. Présenté de la sorte, ça fout la trouille (c’est d’ailleurs le but recherché) Mais 7 800 m3 multipliés par 31 536 000 secondes, cela fait 246 milliards de m3 fondant chaque année. Or le volume total de glace du pôle Sud est de 24 millions de milliards de m3. Donc le chiffre des experts macronards représente 0,001 % du total de ces glaces polaires.

En outre la NASA en 2015 affirmait que « les gains de masse de l’Antarctique sont supérieurs aux pertes ». Les chiffres présentés par la cellule élyséenne correspondent uniquement à la fonte, en oubliant les gains. Si on rétablit la balance, la perte annuelle représente, dans l’hypothèse la plus défavorable, 246 km3 de glace. C’est du même ordre de grandeur que les calculs d’une autre étude de la NASA chiffrant en 2016 à 232 km3 la fonte de la banquise. Compensée par un gain moyen de 245 milliards de tonnes de glace annuels.

Or la surface totale des océans est de 360 milliards de km2. La fonte de la glace continentale impacterait la montée des eaux de 0,68 mm par an, soit 7 cm par siècle… Nonobstant les mouvements vers le haut de la lithosphère et les apports des alluvions fluviaux et sédiments marins. Ainsi pour les satellites de la NASA, la fonte actuelle produit une hausse observée du niveau des mers de 0,4 mm/an, soit 4 cm par siècle… Tandis que la glace arctique, si elle fondait, ne ferait pas plus monter le niveau des mers qu’un glaçon ne fait déborder votre verre de whisky on the rocks.

Amazonie Gate

Un rapport du GIEC prétendait que 40 % de la forêt amazonienne souffrait gravement d’une baisse des précipitations causée par le prétendu réchauffement global. La source émane encore du WWF et de l’IUCN, une autre organisation intergouvernementale dont le siège se trouve aussi à Gland (décidément ils le font exprès !) Tandis que l’article alarmiste mis en avant par le GIEC a été écrit par un éditorialiste politique et un pigiste, écologiste activiste, selon le Daily Telegraph.

L’article de ces deux propagandistes donne pour unique source une étude de « Nature », revue scientifique sérieuse mais qui n’est pas hermétique aux pressions des réchauffards. Or le GIEC a choisi de ne pas mentionner cette revue qui lui est plutôt favorable. Pourquoi ?

Jacques Duran, décédé en 2018, directeur de recherches au CNRS et patron de l’Institut supérieur de physique de Paris, auteur de « Pensée scientifique unique » un ouvrage aujourd’hui introuvable, expliquait que l’article de « Nature » évoquait une perte de biomasse provoquée par la déforestation et les feux de forêts, mais en aucun cas liée à une diminution du niveau des précipitations.

Macron gate N° 2 promenons-nous dans les bois

Toujours en 2017, repris en 2018, le site « En Marche » affichait un chiffre apocalyptique sur une image stressante : 1 km2 de forêt disparaît à chaque seconde ! Sachant qu’il y a 31 536 000 secondes/an, hors années bissextiles, une telle cadence anéantirait 31 millions de km2, soit 25 % de la couverture végétale des terres émergées chaque année. En mai 2021 la Terre aurait dû ressembler à la planète Mars !

Quant à « l’inéluctable accélération du processus de destruction » selon les macronards, cette prédiction est démentie par le professeur émérite David South de l’université d’Alabama qui, auditionné en 2018 par le sénat US rappela que si 2017 avait vu brûler environ 6 millions d’hectares… en 1930 on en avait dénombré 21 millions partis en fumée !

Dans le même ordre d’idée, la Banque mondiale, qui finance des filières bois, affirme dans une étude documentée qu’entre 1990 et 2010 la part des forêts naturelles sur l’ensemble des continents est passée de 31,8 % à 30,8 % avant de remonter au dessus de 32 % tandis que les forêts d’exploitation et les surfaces cultivées s’accroissaient, gagnant sur les déserts.

En effet les forêts représentent environ 45 millions de km2 sur des 150 millions des terres émergées. Les marcheurs se sont encore mélangé les pinceaux ! Une diminution de 1 % en 25 ans correspond à une perte de 0,45 millions de km2. Soit 18 000 km2/an. On est loin du chiffre mis en avant par ces marcheurs qui voulaient vous faire marcher.

L’hypothèse d’une telle erreur est peu vraisemblable. Même si leur comité scientifique a repêché des universitaires à la ramasse confinés dans des tâches administratives. On pense plutôt à une tentative d’enfumage pour récolter des fonds. Les zélites visées devaient donner 500 € minimum pour « sauver la planète ». Le double pour être invités aux apéros saucisson pinard dans les préfectures. Et paraît-il, avec dix fois plus, on gagnait le droit de voir Brichelle dans les jardins de l’Élysée.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com

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5 février 2025 3 05 /02 /février /2025 12:07
Rions un peu avec les climato-rigolos

En 1972, le magazine « Time » rapporte les conclusions « indiscutables » de scientifiques prédisant un nouvel âge glaciaire imminent. Leurs observations sur l’accroissement (minime) de la calotte glaciaire arctique, et la diminution (infime) des températures depuis 1940 étayent des certitudes irréfragables.

En 1975, « Newsweek » en rajoute une couche : le refroidissement climatique avéré est causé par l’impéritie de l’homme. En 1977, un groupe de scientifiques à la ramasse, souvent de ceux à qui on a refusé des postes valorisants, martèle l’évidence d’un refroidissement durable. Inéluctable. Et déplore l’inertie des politiques devant cette catastrophe prévisible.

En 1978, le « Los Angeles Times » remet les couverts avec un refroidissement climatique qui va durer des décennies. Ou des siècles… Pourtant ces annonces terrifiantes ne sont pas suivies du même élan idéologique, quasi métaphysique, que les élucubrations qui, quinze ans plus tard, prophétiseront le « réchauffement climatique ». La raison semble évidente : la religion obscurantiste du GIEC et ses cathédrales médiatiques n’existent pas encore.

Steven Koonin, un climato-sceptique très politiquement correct

En France, la propaganda staffel assimile ceux qui doutent du prétendu réchauffement climatique à l’extrême droite, vilipendée dans tous les médias main stream. Pour d’obtus journaleux panurgiques, ceux qui bousculent la doxa seraient des ignares doublés de fachos.

Steven Koonin est un physicien de très haut niveau. Universitaire distingué, il a été le plus jeune prof de physique théorique en Californie, avant de diriger le département « Science et progrès » de l’université de New York. En outre, c’est un progressiste ! De 2009 à 2011, il occupe le poste de secrétaire d’État à la science dans le gouvernement d’Obama.

Il a perdu son job pour avoir publié un article dans le Wall Street Journal, dans lequel il exposait avec moult arguments que les mesures actuelles du climat ne permettent pas de démêler les effets des influences humaines et ceux résultant des changements naturels. 

Koonin ajoutait que les résultats des différents modèles climatiques sont en désaccord ou se contredisent, quand ils ne sont pas « arrangés ». Quant aux communiqués de presse, résumés et reportages ils ne reflètent qu’une opinion unique, celle du GIEC… Pour Koonin, la science n’est pas en mesure de faire des projections sur l’avenir du climat, ni sur les effets que les actions humaines présentes ou futures pourraient avoir sur lui.

Les 40.000 scientifiques du monde entier qui ont signé l’Oregon Petition sont d’accord. Mais les 600 pistonnés du GIEC ont plus de poids qu’eux !

Il rend accessibles à tous des concepts complexes

Son livre, Climat, la part d’incertitude est paru en avril 2021 aux USA et a été traduit en français en octobre 2022. Accueilli dans un silence médiatique assourdissant. Pourtant c’est un best seller grâce à Internet où il y a moins d’abrutis que devant les télés. Et il fait des conférences à guichets fermés, dans des auditoriums privés où les gens payent pour s’instruire, puisque l’Université toujours aussi tolérante l’a interdit de séjour.

Koonin a déclenché un tollé lorsqu’il a proposé, sans suite, de réunir un nombre égal de scientifiques réchauffistes et climato-réalistes pour qu’ils échangent publiquement leurs arguments et que ceux-ci soient compilés dans un rapport exhaustif. Personne n’a osé s’y frotter. Prétendant qu’on ne discute pas avec les hérétiques.

Une dérobade pour masquer que les plus virulents réchauffistes du GIEC n’ont pas le niveau requis. Un simple bac sciences d’avant 1968 devait être plus calé que la plupart d’entre eux. Or, c’est une chose de faire le kéké devant des journaleux complaisants et ignares, c’en un autre de discuter et disputer avec des vrais scientifiques. Et de soumettre la teneur des débats à l’appréciation collective de leurs pairs. Loin du prétendu unanimisme rabâché comme un mantra par les médias.

Les prophéties climatiques depuis trente ans

« Plusieurs pays et villes vont disparaître sous les flots d’ici dix ans », affirme, péremptoire, le directeur du bureau de l’environnement de l’ONU en 1989. Les Pays-Bas, les Maldives, les Caraïbes, New-York et Venise, seront submergés avant l’an 2000. Préparez vos bouées canard !

Comme la nature refuse de coopérer, on repousse les dates. En 2004, The Guardian se réfère à un rapport du Pentagone : « Les villes côtières en Europe seront noyées par la montée des flots et le Royaume Uni sera plongé dans un climat tropical d’ici 2020. » À cause du Brexit ?

En 2006, dans son film de propagande destiné à lever des fonds « Une vérité qui dérange » un navet qui lui vaudra avec le GIEC un prix Nobel, l’ex vice président de Clinton, Al Gore, prédit un océan Arctique sans glace en 2013, une montée des eaux de six mètres, la Floride et Pékin submergés par les flots en 2024. Alors qu’est-ce qu’on attend ?

Pour faire bon poids, il annonçait que l’archipel des Tuvalu allait être englouti avant 2020. Saloperie de Nature, elle refuse de se plier aux prophéties ! Depuis trente ans le niveau du Pacifique a augmenté d’environ 4 mm et les atolls des Tuvalu sont toujours là. L’archipel s’est même agrandi du fait d’une remontée des sols liés au volcanisme, d’apports d’alluvions et de la sédimentation des rivages.

Cela n’empêche pas leurs gouvernants de continuer à empocher de confortables subventions onusiennes au nom de la « justice climatique». Comme s’il était trop injuste que tous les pays n’aient pas le même climat tempéré doux. Ont-ils pensé à écrire au Père Noël ?

« La montée des eaux est devenue une rente financière », écrit dans la revue « Conflits », le professeur de géopolitique Jean-Baptiste Noé. C’est son vrai nom. En contrepartie de dotations pour empêcher un déluge imaginaire, des États soi-disant « menacés » monnaient leurs voix à l’ONU et dans toutes les instances internationales. Acquérant ainsi une influence que leur importance réelle ne leur aurait jamais permis d’obtenir.

Un peu de sagesse viendrait-elle à la capricieuse mongolienne suédoise ? Ou ses parents-imprésarios veillent-ils au grain ? Un des plus fameux tweets de Greta a disparu. Celui dans lequel elle annonçait en 2018 que l’humanité allait être détruite par le réchauffement climatique dans les cinq années à venir. Et dire que cette petite conne a été reçue par des gouvernements, dont celui de la France, avec tous les honneurs dus à des chefs d’États !

Esbrouffeur, c’est un métier !

Qu’ils annoncent le froid ou le chaud, les pythies du climat ne sont jamais tièdes. Annoncer des catastrophes imminentes permet à ces vaticinateurs d’exercer leur emprise sur les esprits simples, et d’inquiéter quelques incrédules, soumis à un matraquage de désinformation permanente à sens unique… Les affabulateurs du climat y gagnent la renommée, la fortune et une position sociale que leurs seuls mérites ne leur auraient jamais permis d’espérer.

Les astrologues du roi, comme la plus modeste Madame Irma dans sa roulotte de fête foraine, le savent bien : S’ils veulent durer, les prophètes, pythonisses, sybilles et autres aruspices doivent rester vagues. Sur le fond, énoncer des généralités, mélangeant des prédictions positives et négatives, interprétables selon l’humeur de chacun. Et surtout, en aucun cas, ne jamais donner de dates. Pas même approximatives… Le risque est trop grand d’être démenti par la réalité.

Pour avoir ignoré les règles élémentaires du métier, les oracles du climat puis les bouffons du GIEC se sont couverts de ridicule. Du moins aux yeux de ceux qui ne sont pas amnésiques et ne répètent pas comme des perroquets les absurdités qu’ils entendent à la télé.

La pire catastrophe des trois dernières décennies n’est pas le prétendu réchauffement climatique, mais le GIEC. Un monstre bureaucratique inventé en 1988 pour terroriser les populations. Et les inviter à échanger leurs libertés contre la protection du Nouvel Ordre Mondial.

Au GIEC sévissent beaucoup de fonctionnaires de la peur, administrateurs déclassés ou politicards recasés, provenant de pays où des technocrates et des économistes gèrent leurs carrières en circuit fermé, aidés par des ONG parasites avides de subventions. Tous renforcent leur emprise sur la société par le biais de médias complaisants. Mais les scientifiques de haut niveau ont pris leurs distances… Ceux qui ne risquaient pas d’être chassés de l’université ou des labos ont démissionné depuis longtemps. Certains ont même interdit au GIEC d’utiliser leurs travaux parce que ses petites têtes les interprétaient à leur manière. Erronée et tendancieuse.

Ce pandémonium d’ambitieux incompétents profite aux trusts qui ont ripoliné en vert leurs usines, aux entreprises créées pour bénéficier des cadeaux fiscaux sur les énergies renouvelables, d’une efficacité contestable, et aux responsables d’associations qui, avant de sauver la planète, s’assurent un train de vie princier.

On est loin du premier rapport du GIEC de 1990 qui avouait ses difficultés à mesurer un hypothétique changement climatique et à identifier une éventuelle cause humaine à ce changement. Mais, au tournant de l’an 2000, la machine idéologique s’est emballée. L’écologie radicale monopolise les débats, l’incertitude scientifique est écartée, seul compte le dogme du CO2 anthropique. La propagande se fait de plus en plus alarmiste et on excommunie les incroyants. Là, on ne rigole plus !

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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5 février 2025 3 05 /02 /février /2025 09:05
La Suisse condamnée pour « inaction climatique »

Il y a une dizaine d’années, l’État de Californie a traîné une entreprise pétrolière devant la justice pour « son rôle dans la destruction du climat de la planète ». La thèse des accusateurs est que l’augmentation du taux de CO2 dans l’air renvoie sur le sol plus de rayonnement thermique et fait monter gravement la température.

On nous fait craindre un réchauffement mortel, des catastrophes de différentes natures et le bon peuple tremble de peur, se soumet à diverses exigences sans se renseigner, sans chercher à comprendre….

La réalité est que, depuis 30 ans, les récoltes sont très favorables sur notre planète mais il est vrai que l’être humain craint, depuis toujours, l’avenir imprévisible ! Et comme disait Alphonse Allais : « La santé est un état précaire qui ne présage rien de bon. »

Quoi qu’il en soit, trois (vrais) climatologues (une science en train de naître) avec à leur tête William Happer, ont adressé spontanément au juge un document qui démontre que le rôle prêté au CO2 n’est pas mesurable par les moyens de la science.

Aujourd’hui, la situation a changé, il est maintenant possible d’être précis : on a mesuré en laboratoire que le CO2 n’a pas d’effet notable sur le climat ! Mais, pour se prémunir des faits, pour pouvoir continuer à alimenter une peur qui remplit pas mal de gros portefeuilles, les alarmistes ont fait voter des lois qui nous obligent à nous « protéger » contre une menace qui n’existe pas !

C’est donc au nom de ces croyances que la Suisse a été condamnée. On se croirait à une lointaine époque où des chrétiens se faisaient condamner pour avoir osé dire que la terre est ronde et non plate…

L’IPCC dit s’appuyer sur un « consensus », notion qui n’a jamais été un élément de démonstration en sciences. Toutes les découvertes ont brisé un consensus…

Heureusement, cette cour de Justice qui a condamné la Suisse n’a pas de pouvoir vis-à-vis de la Suisse et on doit espérer que le peuple suisse prenne la peine de se renseigner. Mais, malheureusement, cette « condamnation » symbolique pourrait en inspirer d’autres s’il continue à faire beau dans l’ensemble car la PEUR est depuis toujours un levier exploité par tous ceux qui ont les moyens et le manque de moralité nécessaires.

Ma conclusion est une grande tristesse devant l’inertie de mes concitoyens qui ne se renseignent pas, qui font confiance aux « grosses poches » qui contrôlent les médias, citoyens qui acceptent la ruine pourvu qu’elle leur évite d’être brûlés !

Claude Brasseur

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24 janvier 2025 5 24 /01 /janvier /2025 04:46
Les réchauffistes sont pour le vaxxin, pour l’Ukraine et pour l’islam

Bien sûr que non ! Puisque ce sont des gobe-mouches qui croient tout ce que racontent les propagandistes du Nouvel Ordre Mondial sur les chaînes de désinformation continue. Ils ont peur du réchauffement, du covid et de Poutine. Par contre, ces petites têtes ont déjà oublié la ruine de la France, la dictature sanitaire et la menace islamiste permanente.

Seule la peur peut sauver des crapules comme Choupinet et Pustula, qui ont vendu leur pays aux émirs, après l’avoir saigné. Seule la peur peut leur éviter, après la destitution, de passer en Haute Cour pour y répondre de leurs crimes contre l’humanité.

Il est donc vital pour eux de rabâcher inlassablement les mêmes mensonges, tant que les gobe-mouches seront majoritaires. Et puisque ces crétins aiment les insectes, on va leur faire bouffer de la purée de cafards, des sauterelles rôties et en dessert de la compote d’asticots. C’est une alternative acceptable pour les mauvais esprits qui refusent de devenir herbivores. Ils en redemanderont !

La peur, toujours la peur, pour contrôler les peuples

Pour le secrétaire général de l’ONU António Guterres « L’effondrement climatique a commencé ». Qu’est-ce qu’il en sait ? L’homme est un technicien en électronique qui a vendu des téléphones pendant deux ou trois ans avant de se consacrer à la politique. Cela ne qualifie pas particulièrement en climatologie, astrophysique et physique de l’atmosphère. Or ces trois disciplines sont liées pour comprendre les évolution climatiques.

Ses prédictions apocalyptiques sont de nature à terroriser les masses, que seules les Zélites pourraient sauver. Avec pour principales cibles les jeunes gens. De moins en moins instruits dans les matières scientifiques. Et de plus en plus déconnectés des réalités par les réseaux asociaux. Où la ré-information reste un murmure fliqué par les cenSSeurs.

Les vaticinations de Guterres, nouveau professeur Philippulus, ne proposent que des solutions bancales au prétendu réchauffement climatique, en surfant sur la hantise du CO2, dont la traque est propre à ruiner l’Occident suicidaire, sans empêcher l’Inde et la Chine, regroupant 40 % de la population mondiale, de continuer à construire les centrales thermiques dont elles ont besoin pour leur développement.

La réalité n’est pas conforme aux prédictions, donc la réalité a tort !

Parmi les prédictions des savants autoproclamés : plus de neige en France dès 2010… Submersion des deltas des grands fleuves autour de l’an 2000… Engloutissement des atolls du Pacifique au plus tard en 2020… Fonte de la calotte arctique et du permafrost sibérien libérant des virus préhistoriques en 2020… Fonte des glaciers de l’Antarctique dans le même laps de temps… Disparition des « neiges éternelles » de l’Himalaya avant 2030.

Fort heureusement, rien de tout cela ne s’est produit : la neige continue à tomber l’hiver… Les deltas se sont légèrement développés grâce aux apports en alluvions des fleuves et des courants marins… Les atolls sont stables ou sujets à un exhaussement constant du fait de la sédimentation des rivages et des mouvements de la lithosphère… Les glaciers himalayens gagnent et perdent régulièrement en épaisseur et superficie selon des mouvements cycliques connus.

La Sibérie est soumise à des phases cycliques de chaud et de froid depuis toujours, sans que les humains qui y vivent aient été terrassés par des virus inconnus… Quant à l’Antarctique, des mesures au sol et des vues satellite s’accordent sur une refroidissement progressif depuis 30 ans.

Nous allons tous cramer, c’est la panique !

Un des plus grosses escroqueries des réchauffards est d’évoquer des températures de 55 ou 60° C. Elles sont rarissimes. On les trouve en de rares endroits sur la planète, généralement dans les déserts. Mais l’étude de la dislocation minérale sous l’effet de la chaleur diurne et de la froidure nocturne, prouve qu’il en est ainsi depuis des centaines de milliers d’années. Et les humains n’ont pas disparu pour autant.

Certes le corps humain ne pourrait pas supporter longtemps ces températures. Mais elles sont relevées « sous abri ». Comprendre, dans nos contrées, sous des verrières où la chaleur s’accumule, où l’hygrométrie est faible et où le vent n’entre pas. Comme la chaleur infernale dans une automobile fermée, restée trop longtemps en plein soleil.

J’ai passé de nombreuses années de ma vie dans des pays tropicaux. Les indigènes appliquent des recettes empiriques venues de la nuit des temps. Installation au fond de vallées aux parois abruptes sur lesquelles les rayons du soleil s’arrêtent, provoquant des brises thermiques et de la condensation qui rafraîchissent. Occupation de rivages balayés par les alizés ou les moussons. Construction de maisons de couleur claire, sous la canopée, ou semi troglodytes, avec des ouvertures étudiées pour favoriser les courants d’air. À proximité d’un ruisseau ou d’un plan d’eau douce ou salée pour se rafraîchir.

Tout le monde va boire la tasse

La hantise du waterworld prochain est une des antiennes les plus infondées et en même temps une des croyances les mieux ancrées chez les téléphages.

L’universitaire Virginie Duvat a publié une étude portant sur une centaine d’îles du Pacifique : archipel Marshall, Kiribati, Tuvalu, États fédérés de Micronésie, Tuamotu. La statistique confirme les observations : 77 % des atolls sont stables, 15 % sont en expansion et 8 % en légère régression. En d’autres termes, si le niveau de la mer monte un peu, les îles montent encore plus vite. Des sismographes ont enregistré des signaux de mouvements tectoniques provoquant une dilatation du magma qui pousse la lithosphère vers le haut.

Par ailleurs, des chercheurs de l’université d’Auckland (NZ) ont publié une étude dans la revue « Nature Communications » après avoir analysé une multitude de photos aériennes et satellites prises entre 1971 et 2014. Ces clichés répertorient les 9 atolls principaux des Tuvalu qui devaient être engloutis avant 2020. Cette observation sur plus de 40 ans montre que la taille de 8 atolls sur 9 ainsi que celle des 3/4 des îlots coralliens ont augmenté en surface de l’ordre de 3 %. Les autres sont sans altération notable.

Les humains vont tous mourir de faim

Le prétendu réchauffement climatique est supposé réduire les rendements agricoles de moitié. Or les chiffres de la FAO montrent que les rendements agricoles mondiaux ont triplé depuis les années 1960. Grâce à la sélection des semences, à la mécanisation et à l’amélioration des techniques, on produit déjà plus que ce qu’on consomme ! Les disparités locales sont affaire de répartition sous la coupe de monopoles, ou de mauvaise gestion. Comme la population mondiale semble devoir se stabiliser, avec le coup de pouce du covid, de nombreuses surfaces de culture et d’élevage commencent à être rendues à la nature. Une première depuis le néolithique !

Quelques changements ici ou là, mais pas la fin du monde

Les humains ont prouvé depuis longtemps leurs grandes capacités d’adaptation. Notre espèce occupe, en dehors des zones tempérées, des espaces difficiles comme des déserts arides, des hautes montagnes glacées et des banquises. Là où la mer constituait une barrière, on a construit des esquifs pour aller voir au delà de l’horizon et s’y installer.

Depuis les premiers Sapiens, éventuellement croisés de Néandertaliens, nos ancêtres ont survécu à trois périodes glaciaires sévères et autant de réchauffements importants… Il y a eu des déluges, des retraits des rivages, des éruptions volcaniques, des fleuves et lacs asséchés… Il y a 25.000 ans, un glacier de plusieurs kilomètres d’épaisseur descendait jusqu’en latitude d’Orléans… Dans le même temps, le Sahara était une zone tropicale humide avec des rivières, des lacs, des jungles, des gazelles, des girafes, des éléphants et des hommes qui les chassaient.

L’ingérence climatique, un nouveau colonialisme

Et si c’était ça, le but ultime de l’alarmisme climatique ? Forcer les politiques régionales à s’adapter à la globalisation ? Intimider les chefs d’États et se donner le droit d’aller chez ceux qui n’obéissent pas assez vite aux injonctions de la mondocrature pour les contraindre à faire ce qu’on exige d’eux ? Dans leur intérêt. Bien évidemment.

Le club Bilderberg, la commission Trilatérale, l’open society de Soros, les forums de Davos et la fondation des Young Leaders sont prêts à faire profiter de leurs lumières tous les égarés. Pour « sauver la planète ». Et l’urgence climatique impose des déplacements de populations… Là où les banksters ont besoin de renouveler leur cheptel d’esclaves, on a recours aux méthodes des Soviétiques et des nazis : déplacer des populations entières contre leur gré, là où elles gênent. Ou là où on pourrait en avoir besoin.

Comme tout le monde ne peut pas se prétendre persécuté politique, les faiseurs d’opinion consolident un nouveau concept, celui de « réfugié climatique ». Qu’on ne peut pas refuser d’accueillir. À moins d’être des monstres conspués par la vertueuse communauté internationale. Et d’en subir les représailles diplomatiques et économiques.

On est en train de nous faire le coup avec le Sahel et le Proche-Orient. Comme on a réussi à déporter en Nouvelle-Zélande des habitants des Kiribati qui n’avaient rien demandé à personne, en prévision de l’engloutissement de leurs îles avant 2020. Parole de GIEC… Vivant heureux chez eux dans une société océanienne traditionnelle, ces gens sont aujourd’hui parqués dans des suburbs où règnent la violence, la drogue, le suicide et le racisme. Pas vraiment ce qu’on leur avait promis en les faisant déménager pour échapper à la fin du monde !

Christian Navis

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