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25 avril 2024 4 25 /04 /avril /2024 23:57
Dr Chris Shoemaker : des données fausses nous ont été données par Pfizer…

Intervention du Dr Chris Shoemaker lors du Sommet international de Crise à Bucarest le 19 novembre 2023 à propos de la crise du COVID

Nous remercions les personnes qui nous ont invités, le formidable peuple roumain, le formidable Parlement roumain. Nous sommes tous honorés d’être ici. Et nous remercions les partis minoritaires et les partis majoritaires. Le peuple roumain nous a donné un tel exemple, parce que le choix des gens a été de se faire vacciner si modérément, environ 30 %.

Ce n’est pas quelque chose qui a été spécifiquement dicté par le gouvernement. Le gouvernement n’a pas dit : « Venez peu nombreux pour vous faire vacciner ». Mais le peuple roumain, dans son cœur et son esprit, a connu de nombreuses luttes au cours des 60 dernières années, et il sait qu’il n’est pas toujours judicieux d’écouter tout ce que vous dit votre gouvernement. Et j’applaudis cette prise de conscience nationale et le fait que la Roumanie soit en mesure d’afficher des taux de mortalité inférieurs à ceux de nombreux autres pays, en raison de leur utilisation réduite du vaccin. Nous vous remercions donc tout particulièrement pour cela.

Maintenant, je souhaite également remercier nos hôtes, les personnes qui nous ont accueillis ici, Lily et Robert. Je les connais personnellement et je sais que vous avez une équipe autour de vous. Je tiens donc à remercier l’ICS (Sommet International de Crise) pour avoir merveilleusement créé cet événement, ici, en Roumanie. Mais nous allons maintenant poursuivre, si vous le permettez.

Je suis le Dr Chris Shoemaker, merci à tous. je voulais vous remercier d’être restés jusqu’aux trois derniers exposés de la journée. Je suis heureux d’être ici. C’est un sujet très personnel pour moi.
En tant que médecin urgentiste, j’ai toujours su que la rapidité de mon action et la précision de ma pensée pouvaient faire la différence entre la vie et la mort de la personne en face de moi, de son enfant ou d’un être cher. Il est important de faire preuve de justesse dans ces moments-là. Aujourd’hui, j’ai l’intention d’être tout aussi précis, lorsque je parlerai à tous les Roumains et en fait, à tous les Européens, du phare de sécurité que la Roumanie vous a montré. Mais nous devons aussi vous dire qu’on nous a menti. Des données totalement fausses nous ont été fournies par Pfizer, Moderna, l’OMS, tous les pays et toutes les agences de santé qui les ont écoutés. Nous remercions les merveilleux médecins et scientifiques qui m’ont précédé sur la scène aujourd’hui. Vous connaissez déjà les mensonges abyssaux de l’État profond, des élites menteuses et des médias mondiaux payés qui voulaient qu’une seule histoire soit vraie.

Vous savez maintenant, « qu’il n’y a pas d’ADN dans les vaccins ». Oups ! C’est un mensonge complet. C’est ce que les médias grand public nous ont dit la première et la deuxième année. Aucun ADN ne peut affecter votre génome. Les discussions d’aujourd’hui nous ont appris que c’était faux.

Vous savez que « les vaccins restent dans l’épaule ». Le Dr Byram Bridle a été le premier à nous montrer que c’est un mensonge complet. Et nous avons connaissance de la myocardite. On nous a dit qu’il s’agissait d’un cas sur un million, comme c’était déjà le cas avant le vaccin. Un autre mensonge complet. Pourquoi ? Parce que nous savons, d’après des recherches menées à Bâle, en Suisse que 5 à 9 % des participants à cette étude ont subi des lésions cardiaques importantes.
5 à 9 % représente 50 000 à 90 000 cas de lésions cardiaques pour chaque million de citoyens ayant reçu le vaccin. C’est une triste vérité.

En tant que médecin, je sais que si vous contractez une myocardite, si vous avez une myocardite diagnostiquée, je le sais depuis 45 ans et c’est toujours vrai, 75 % d’entre vous seront morts dans les dix ans. Je suis vraiment désolé de dire cela aux familles et aux personnes qui ont un enfant ou qui sont elles-mêmes atteintes de myocardite. C’est ça ou une transplantation. Vous pourriez survivre si vous bénéficiiez d’une greffe. Voilà les choix qui s’offrent à vous. Si vous souffrez d’une myocardite induite par un vaccin, avec des dommages évidents, 50 % des patients mourront dans les cinq ans, 75 % mourront dans les dix ans. C’est le problème avec la vérité. Elle est triste.
Et c’est le problème quand on nous a menti et qu’on a permis que des vérités comme celle-ci se produisent dans nos corps et dans les corps de nos chers disparus.

Autre vérité, nous savons que des nombres massifs d’anomalies menstruelles et d’infertilité se propagent par le biais du vaccin. C’est ce que nous a dit le Dr James Thorp. Et je crois que les gynécologues et les obstétriciens qui se sont exprimés plus tôt dans l’après-midi y ont fait allusion, de même que le Dr Dalgleish, spécialiste du cancer, et bien sûr, le Dr Cole nous a également fait savoir que les turbo-cancers agressifs se propagent dans la population vaccinée.
Et Jessica Rose nous en a donné la raison. Tout se met donc en place, n’est-ce pas ?

Il s’agit d’un grand mensonge effroyable qui a pu se répandre parce que le mensonge était si bien contrôlé. Le mensonge a été si bien raconté par de multiples institutions qui étaient manifestement en contact les unes avec les autres. Très clairement en contact les unes avec les autres.

Aujourd’hui, j’aimerais que vous pensiez un instant que vous n’êtes pas au Parlement, mais dans la salle d’urgence de votre nation, et que le patient est la santé et la fertilité de votre nation. Lorsque le patient est devant vous, vous devez agir. Vous devez prendre une décision rapide et précise pour sauver vos proches du mensonge. Alors, pour vous aider à sortir du mensonge, je vais vous montrer la vérité. La vérité, c’est que les vaccins Covid-19 nocifs raccourcissent la vie. Ils sont toxiques. Ils favorisent le vieillissement prématuré. C’est ce que nous voyons autour de nous. Puis-je avoir le diaporama ? Cette belle photo de ma chère amie. Elle est là, sur les deux photos. C’était avant son vaccin. Une belle jeune femme, au sourire radieux. Deux ans plus tard, elle ressemble à ceci, une femme triste, défigurée, vieillie, avec des poches sur le visage. Une femme dont le mari vacciné n’a plus que trois mois à vivre, parce qu’il est atteint d’une lésion vaccinale et d’un cancer post-Covid-19. Une femme dont le fils de 23 ans, auparavant en bonne santé, a souffert d’une embolie pulmonaire massive. C’est post-vaccination pour lui aussi. Il s’agit de Colleen, une belle infirmière canadienne, diplômée et mère de famille. Voici les résultats dans son corps et sur son visage de deux vaccins nocifs de Pfizer. La peau des jambes tachée et striée de traces de sang. Il s’agit d’une vidéo qu’elle a posté personnellement pour faire savoir à ses amis et à sa famille, où elle en était par rapport à tout ce qui s’était passé. En une minute et 11 secondes, elle a pu montrer la transition qui s’est produite après 24 mois. Et en 18 mois, ces lésions cutanées, cette vasculite, d’autres troubles neurologiques également, un brouillard cérébral sévère, une fatigue de la mémoire, des choses de ce genre. Les photos de la vidéo sont tout à fait dramatiques. Je pleure pour elle.

Je pleure pour tous les innocents profondément blessés à qui l’on a menti et que l’on a contraints mentalement à absorber cette toxine. Nous allons maintenant passer rapidement à un autre domaine où les enfants ont subi les effets néfastes des vaccins. Je dois parler de ces grossesses et des risques pour le fœtus, et le risque pour les mères de ne pas donner naissance à l’enfant. Il existe de nombreuses façons d’examiner les chiffres, mais Pfizer nous a donné le chiffre le plus important de tous. Une partie de la population a été étudiée. Ce tableau montre un graphique dans lequel ils ne nous ont pas dit ce qui est arrivé aux 238 autres, ils nous ont dit ce qui est arrivé à 29 membres spécifiques de leur étude. Ils n’ont pas voulu publier cette information, mais elle a été diffusée de manière quelque peu accidentelle : 28 femmes sur 29 n’ont pas eu d’enfant.

23 ont perdu leur bébé dans les 20 premières semaines et les cinq autres l’ont perdu… il s’agissait d’un enfant mort-né, d’une mort in utero. Un seul enfant vivant sur 29. Données de Pfizer. Ce sont les données que Naomi Wolf a trouvées en parcourant ces 75 000 pages. Elle a trouvé des données terribles, terribles, terribles. Et ce avant qu’elles ne soient communiquées à l’ensemble de la population. C’était chez les personnes qui s’étaient portées volontaires pour « faire des tests sur moi. Je suis enceinte, mais vous dites que vous allez le donner aux femmes enceintes. Je vous en prie, allez-y, je participerai à l’étude ». Les décès dans ce groupe ont été terribles et ils ont été le révélateur d’un danger qui aurait dû empêcher le monde entier de prendre ce médicament.

Comme le Dr Thorp nous l’a dit, le fait qu’ils aient fait croire que les femmes enceintes et leurs enfants pouvaient en bénéficier et qu’ils aient menti pour dire que tout allait bien, c’est ce qui a convaincu le reste du monde. Oh, nous ne pouvons pas nous inquiéter maintenant parce que mon Dieu, les femmes enceintes sont approuvées par notre FDA et d’autres. Mais les chiffres n’étaient pas là pour attester de la sécurité. Les chiffres étaient là pour prouver le danger. Encore une fois, c’est terrible.

Comment cela a-t-il pu se produire ? Comment ce mal a-t-il pu se produire ? Quelles sont les personnes qui ont fait ça intentionnellement ? Il semblerait que rien d’aussi horrible n’arrive par hasard. Je suis tout à fait d’accord avec le Dr David Martin. Il n’y a rien d’accidentel dans cette affaire. De nombreux dossiers et brevets prouvent qu’il s’agit d’un acte délibéré. Et je m’en tiendrai là. J’accuse en particulier le Dr Anthony Fauci et sa coopération avec le Dr Ralph Baric, de Caroline du Nord, ainsi que sa coopération avec Peter Daszak et EcoHealthAlliance. Ils peuvent s’asseoir à une audience et nous dire qui étaient leurs patrons, s’ils le souhaitent, mais c’est ce qui doit se passer. Ces trois personnes doivent nous dire qui sont leurs patrons qui ont fait en sorte que cette chose délétère se produise pour nous tous, en Afrique, en Amérique du Sud, ici en Europe, au Canada, en Angleterre, en Australie, en Chine, car tout n’a pas commencé en Chine. Tous les brevets relatifs à cette création génomique, les génomes qui sont entrés dans le pseudo-virus aérosolisé et dans les vaccins, sont des génomes identiques. Les Dr Fauci et Baric ont été à l’origine de cette création.

Deux courtes vidéos traitent de l’apparition précoce des premiers mensonges. Il faut savoir que la communauté scientifique nord-américaine a passé 15 ans à réfléchir à ce qu’il fallait faire lors de la prochaine épidémie de Covid. C’est entre 2000 et 2003 que SARS-COV-1 s’est manifesté, et toutes sortes d’expériences ont été menées pour déterminer quelle serait la réponse utile si un événement similaire se produisait. Et les recherches ont été menées à bien. Tout était terminé en 2015, 2016. Et la DARPA, la branche américaine de recherche de l’armée américaine, savait spécifiquement et a recommandé et transmis l’information au CDC que l’ivermectine, en particulier, était le produit n° 1 absolu à utiliser en cas de pandémie de coronavirus. Il était parfaitement connu que l’ivermectine et certainement aussi l’hydroxycholoroquine étaient hautement antiviraux et immuno-modulateurs. Ces deux éléments étaient la clé pour stimuler la réponse immunitaire et pour être également antiviraux. Ces deux éléments ont été totalement prouvés in vitro et in vivo sur des animaux, de sorte que l’on savait ce qu’il en était. Et bien sûr, nous savions qu’ils étaient totalement sûrs pour les humains, car ces médicaments sont utilisés depuis 35 à 40 ans chez l’homme. Voilà donc ce qui était prêt à être utilisé pour la prochaine pandémie. Cela figurait dans tous les documents scientifiques. Les gens savaient dans le monde entier qu’après le premier Covid, le SARS-COV-1, il y avait deux choses sur lesquelles on avait fait des recherches pendant 13 ans pour savoir ce qui serait utilisé. Et tout le monde était un peu rassuré, parce que les scientifiques chevronnés du monde entier savaient que la DARPA avait fait des tests et que l’ivermectine et l’hydroxycholoroquine étaient les médicaments de référence qui nous aideraient en cas d’épidémie de COVID.
L’événement COVID se produit donc, et aucun de ces scientifiques chevronnés ne nous le dit. La DARPA se tait ou on dit aux gens de se taire. Et ils publient alors de fausses études qui impliquent que l’ivermectine est une chose nocive.

Le chercheur américain, qui est lui-même médecin et officier des forces armées des Etats-Unis, a dit très clairement que le vaccin et le vecteur du virus ont été conçus en même temps, dans la même fenêtre de six mois, et qu’ils ont tous deux été réalisés à l’étranger, mais avec une technologie qui a vu le jour aux États-Unis, et qui a été mise au point sous l’égide du Dr Fauci. Si le Dr Fauci s’appelait Fauci « Hitler », qu’il était prouvé qu’il a contribué à la poursuite de ces recherches, voudrions-nous que cette même personne, ce mythique Dr Fauci « Hitler », soit également en charge du programme de vaccination, alors qu’il a en réalité combiné les deux, dès le départ ? Voilà la réalité.

D’autres noms sont associés à cette affaire. Ces noms, nous les connaissons. Il s’agit de personnes très puissantes, très liées financièrement. Et ils avaient beaucoup à gagner à ce que seuls les vaccins soient utilisés comme traitement. Ce qui est fou, c’est que nous disposons des données. Comment les utiliser pour l’arrêter ? Utilisez-les pour que que tout le monde les regarde une demi-heure. Et croyez-moi, parce que je vous dis la vérité. Je ne crains rien pour mon université, ni pour d’autres circonstances, parce que je vous dis la vérité. Cette dernière vérité vous intéressera. Je n’ai appris qu’il y a 48 heures un fait certain. J’ai toujours pensé qu’il y avait peut-être un millier ou tout au plus 10 000 de ces ARNm, qui entrent dans votre corps pour générer une réponse immunitaire. Je sais, par exemple, que dans le cas de la polio, il ne suffit que de 80. 80 particules virales doivent être introduites pour produire une réponse immunitaire acceptable. Ces personnes introduisent les particules glissantes, ils ont placé l’ARNm chacun dans un brin d’ARNm individuel, à l’intérieur de ce que l’on appelle une nanoparticule, ce qui signifie vraiment minuscule et vraiment glissante. Ces minuscules particules glissantes peuvent pénétrer dans le cerveau. Elles peuvent passer dans les ovaires. Elles peuvent traverser le placenta et pénétrer dans le fœtus. Elles peuvent aller n’importe où. Elles peuvent atteindre les testicules. Elles peuvent aller jusqu’au cœur, la rate, le système immunitaire. Elles vont partout.

Et voici la quantité. Le nombre de particules glissantes contenant de nombreuses protéines Spike, génératrices de saloperies, est de 40 000 milliards. C’est le nombre de copies d’ARNm qui se retrouvent dans le bras de chacun, tous les trois, six ou neuf mois. Merci Mr Trudeau.

Tous les trois, six ou neuf mois, vous voulez introduire 40 000 milliards de messages d’ARNm. Des messages qui vont nuire à votre système immunitaire, détruiront vos lymphocytes T, augmenteront vos risques de cancer, et vous tueront complètement si vous n’avez pas de chance au cours des six premiers mois. Je sais que je suis un peu dramatique en ce moment. Pourquoi ne le serais-je pas ? Ces chiffres sont terriblement dramatiques. ce sont des chiffres inacceptables, qui montrent que quelqu’un, au sommet, quelque part au début de tout ce gâchis, en voulait à la société. Arrêtez de prendre ces vaccins. Messieurs les juges, cessez d’autoriser la poursuite de ces injections de quelque manière que ce soit. Politiciens, pour l’amour de Dieu, réveillez-vous ! Soyez humains ! Protégez vos petites filles, protégez vos mères, protégez-vous !

Ne prenez pas ces vaccins ! Ils sont nuisibles pour le système immunitaire. Nous le savons tous.
40 billions à chaque injection, 40 000 milliards, 40 x 10 puissance 12. Si vous êtes bons en maths, mesdames et messieurs, c’est trop de particules virales qui entrent dans votre corps. Arrêtez, s’il vous plaît ! Je vous remercie.
C’était à la fin du mois d’août 2022. Pendant dix jours d’affilée, je me suis tenu devant l’hôtel de ville pour essayer d’informer tout le Canada et le monde entier que le Danemark avait déjà annulé le vaccin pour les enfants. En septembre 2022, le Danemark a cessé d’autoriser les parents à faire vacciner leurs enfants contre le COVID-19, à une très rare exception près, une circonstance spécifique, lorsque le système immunitaire est endommagé. Quand les enfants ont déjà des cancers ou des choses de ce genre, si les parents le réclamaient, ils ne refuseraient pas. Mais ils ont dit que pour la population en général, il était beaucoup trop préjudiciable pour l’enfant de le prendre, il était beaucoup trop dangereux de le prendre plutôt que de ne pas le prendre et d’être en bonne santé. C’est pourquoi je tiens le drapeau du Danemark. Ce n’est pas le drapeau canadien. Je brandissais le drapeau du Danemark et je leur disais : « Hé ! Le Danemark sait lire les études scientifiques. Ils s’inquiètent des risques liés à ces vaccins et les jeunes de moins de 18 ans ne peuvent plus être vaccinés depuis le 1er septembre de l’année dernière ». Deux mois plus tard, le Danemark a annulé le vaccin pour les personnes de 50 ans et moins. Le Dr Stephanie Seneff ainsi que de nombreux autres excellents scientifiques dont certains sont assis dans cette salle, mais je me contenterai de la mentionner. Elle a montré les risques, le rapport bénéfice-risque, et il n’y avait aucun avantage pour les personnes de moins de cinquante ans à prendre ces vaccins. Tout ce que cela a fait, c’est augmenter, comme le Dr Ryan Cole nous l’a dit, la mortalité toutes causes confondues chez les 49 ans, les 38 ans, les 27 ans, et les 17 ans.

La mortalité toutes causes confondues monte en flèche, montait en flèche, et continuera à monter en flèche parce que nous savons que ces vaccins contiennent toutes sortes de choses terribles.
Et il est probable qu’au cours de l’année à venir, nous apprendrons encore une ou deux choses que nous ne connaissons même pas encore. Mais nous connaissons le sujet. Nous savons ce qu’il nous a fait. Nous savons ce que cela a fait à des enfants de six mois, qui tètent le sein de leur mère qui a reçu une injection et qui deviennent bleus à cause de ce produit. Le truc chargé de Spike qui provient du lait maternel et le bébé meurt à 6 heures de l’après-midi. C’est la réalité.

Nous savons tous que c’est vrai. C’est de cela que je parlais, et notamment d’un chiffre précis.
Il y a un an, les gens ne connaissaient pas ce chiffre. C’est pourquoi je me suis présenté devant la caméra et j’en ai parlé et j’ai dit : « Savez-vous combien il y a de spikes, ou combien d’usines générant des spikes, à chaque vaccin ? Car ce n’est pas la Spike elle-même, c’est l’ARNm qui permet de factoriser la Spike. Et ce n’est pas 80 comme un vaccin contre la polio. Non, ce n’est pas 80. Ce n’est pas cent, pas mille, c’est 40 000 milliards, 40 000 milliards d’ARNm qui entrent à chaque injection. Et nous avons appris depuis, grâce aux scientifiques qui viennent de nous le rappeler cet après-midi, qu’il s’agit en fait de 13 trillons de produit ADN et 26 trillons d’ARNm. Car si vous avez fait l’analyse, comme l’a fait le Dr McKanan, et que vous constatez qu’un tiers du poids est constitué d’ADN. Bien sûr, il s’agit de petits morceaux, de filaments, de plasmides, il ne s’agit pas d’une boucle d’ADN continue. Mais en poids, deux tiers sont une protéine générant de l’ARNm, et l’autre tiers est constitué de morceaux d’ADN qui aident à la fabriquer. Et je dirais qu’ils ont été laissés là intentionnellement. Ce n’est pas un hasard.
On ne laisse pas autant de détritus dans le liquide qui va se retrouver dans de petites fioles et dans les bras des gens. On ne laisse pas cela par accident, pas avec un tel pourcentage. 33 %.

La dernière chose que j’ai apprise récemment, c’est que nous ne pouvions pas dire avec autant de certitude ce que nous pouvons maintenant affirmer au sujet de l’ADN. Il y a six ou sept mois, nous ne pouvions pas affirmer avec certitude qu’il y avait de l’ADN dans les vaccins. Mais nous pouvons désormais l’affirmer avec certitude. Je ne sais pas, si dans six mois, nous aurons la certitude absolue que Karen Kingston a raison, dans son analyse scientifique des poids, des éléments de l’hydrogel et d’autres choses de ce genre, le genre de choses qui peuvent permettre à certains caillots de se perpétuer dans vos artères. Mais elle est certainement préoccupée, comme d’autres scientifiques, par le fait qu’il peut y avoir une certaine orientation, une orientation appliquée à ce qui est déjà en nous. Il y a déjà un potentiel. Je ne dis pas que c’est vrai, mais certains scientifiques affirment que la 5G pourrait aggraver ce qui se trouve à l’intérieur de nous.

Les formes d’ondes de la 5G, si elles sont produites à grande échelle, et si cela devait se produire, eh bien, ce qu’il y a à l’intérieur de nous va s’aggraver. Je ne peux pas vous dire quelle serait la solution. Je laisse à d’autres scientifiques le soin de nous le dire dans cinq ou six mois.
Mais il y a une chose que je dirai à la Roumanie : que faisons-nous pour rester en bonne santé ?
Que disons-nous au reste de l’Europe pour qu’elle se porte bien ? Parce que c’est la réalité, les gens qui nous regardent à Berlin, en Ecosse, au Portugal, et à Buenos-Aires, tout ce que les médecins et scientifiques vous ont dit ces derniers jours est tout à fait réel. Je détruirais toutes les tours 5G dans tous les pays. Elles sont trop dangereuses et ce qu’elles peuvent nous faire à bien des niveaux, pas seulement en faisant exploser quelque chose en nous à cause de l’injection d’ARNm, mais les choses qu’elles font déjà à nos ondes cérébrales, à la production de tumeurs et à d’autres choses de ce genre. La 5G est pratique, mais je ne pense pas un instant qu’elle soit notre amie en termes de santé.

La deuxième chose que je ferais serait d’interdire les injections de nanoparticules lipidiques et de plasma de tous types. Le Dr Malone sait pourquoi l’ARNm n’a pas progressé de manière significative. Je ne sais pas si je peux le citer, je ne citerai pas le Dr Malone. Je le respecte beaucoup. Je dis simplement que sous votre direction, l’ARNm n’a pas été utilisé à d’autres fins  que la recherche sur le cancer pour les personnes à qui il restait cinq mois ou moins à vivre. C’est la seule utilisation potentielle, je crois, que les scientifiques avec lesquels le Dr Malone travaillait, il y a de nombreuses années, autorisaient parce qu’il y avait un risque avéré.
Des études animales ont montré que les nanoparticules lipidiques en elles-mêmes pouvaient être nocives, voire mortelles.

Enfin, je dirais que les médicaments seront l’un des principaux moyens de lutter contre la présence de ces substances nocives à l’intérieur de nous. Ivermectine, hydroxychoroquine, doxycycline, quercétine, pulbenlazol sont autant de solutions qui seront de plus en plus démontrées. D’autres thérapies basées sur la forme d’ondes sont également bénéfiques, de même que la vitamine C à haute dose. Mais je ne vais pas l’affirmer catégoriquement. Je suis un médecin qui n’a plus le droit de prescrire parce qu’on m’a retiré ma licence, parce que j’ai osé dire à la société qu’il y avait un risque à utiliser ces produits. Tout ce que je peux vous dire, c’est que je pense que 99 % de ce que je vous ai dit est la vérité. Et le 1 % qui pourrait ne pas l’être, c’est une erreur honnête, parce que j’essaie juste de raconter toute l’histoire. Et j’espère que nous irons tous bien. Et j’espère que nous ne miserons pas sur des transporteurs (vaccins) qui peuvent nous nuire, surtout avec l’ADN qu’ils contiennent. Merci beaucoup.

Retranscription écrite de l’intervention du Docteur Chris Shoemaker.

Jean Saunier

 

 

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