Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
22 décembre 2023 5 22 /12 /décembre /2023 09:10
Démenties par les faits, les élucubrations du GIEC ne faiblissent pas

L’actu nous a fait un beau cadeau. Alors que les astrologues du GIEC avaient prédit que la Californie allait devenir vers 2025 un désert aride, où plus rien ne pousserait… En ce début 2023 des pluies diluviennes ont fait déborder les rivières et remis en eau un lac asséché depuis 80 ans. Bien qu’ils aient un petit vélo dans la tête, les escrolos ne comprennent décidément rien aux cycles !

Sinon l’inénarrable Jean Jouzel chouine que les merdias, pourtant réchauffards, donnent plus d’importance à l’Ukraine et au 49.3 qu’au dernier tissu d’inepties pondu par le Gang International des Escrologues Climatiques. Sous le titre pompeux de Guide de survie pour la planète, un pavé de 10 000 pages de radotages indigestes financés par les banksters du NWO pour terroriser les populations et les tenir à leur merci.

 

Les mêmes méthodes de lavage de cerveau et d’intimidation depuis 30 ans

« À force de rabâcher nos idées, on en fera des évidences », disait cyniquement Goebbels, le minus disgracieux qui se voyait parangon de la race des seigneurs.

Le GIEC ment effrontément, effraie les gens impressionnables, subjugue ceux qui n’ont pas une culture scientifique et un bagage historique suffisants pour réfuter ses allégations, et menace les vrais savants en usant toujours des mêmes artifices : dénigrement, harcèlements, cenSSure, exclusion, révocations.

La supercherie du consensus réchauffiste

Les réchauffistes piétinent délibérément les principes de base de la recherche scientifique (hors physique quantique) en assénant des axiomes se renforçant les uns les autres.

Jusqu’alors, un consensus s’était établi depuis le XVIIIe siècle sur la nécessité de démontrer des liens de causalité ou de convergence entre des observations, d’en déduire des tendances sinon des lois, de les confirmer par une reproductibilité des phénomènes et d’exposer sa méthodologie en la soumettant à la critique de ses pairs.

Le GIEC ne cherche pas à parvenir à une conclusion logique, en allant de déduction en déduction à partir de l’observation et la vérification des données… Il pose d’emblée une conclusion définitive et cherche ensuite les éléments qui la confortent, en écartant ou en trafiquant à sa guise ceux qui l’infirment.

L’imposture du GIEC : prétendre représenter la communauté scientifique

Le GIEC, c’est quelques centaines de suiveurs qui n’ont rien publié de transcendant et autant de chercheurs qui ne savent trouver que des subventions. En tout 600 médiocres. Contre 31 500 universitaires de renom, directeurs de recherche, présidents d’instituts de classe internationale, membres d’Académies des Sciences, ainsi qu’une brochette de Prix Nobel, qui ont signé « L’Oregon Petition » qualifiant de supercheries les élucubrations réchauffistes.

Mais les merdias y apposent une chape de plomb. Car la pire crainte des réchauffistes est de trouver en face d’eux des debaters d’un niveau supérieur pour réfuter leur allégations. Mieux vaut les cenSSurer, ou les réduire au silence en les faisant révoquer. Comme les savants qui dénonçaient les magouilles des faux vaccins Covid.

 

Toujours la même litanie des catastrophes annoncées depuis plus de 30 ans

Depuis 1990 quand les merdias aux ordres ont commencé à servir la soupe au GIEC, jusqu’alors tenu pour une confrérie de professeurs Tournesol, on a fait gober à des gens sans mémoire ni esprit critique des prédictions qui ne se sont fort heureusement jamais réalisées. Mais qu’importe, les astrologues du GIEC s’y cramponnent, en décalant seulement les dates, d’un rapport au suivant.

Il ne devait plus tomber de neige en France dès 2010. Le plus amusant est que, depuis dix ans, la neige est tombée en hiver dans le Sahara et dans les déserts d’Arabie. Incroyables les effets malicieux de ce « réchauffement ! »

En plus, toute la calotte arctique et le permafrost sibérien devaient disparaître, libérant des virus préhistoriques. Depuis la méga arnaque covidesque, on invente tous les jours ou presque de nouveaux virus, dont l’éclosion serait causée par le prétendu réchauffement climatique… Des « vaxins » sont en préparation.

Or les observations des satellites de la NASA montrent que, comme depuis toujours, d’une année à la suivante, d’une saison sur l’autre, la banquise arctique gagne ici, recule là. Et le passage du Nord-Ouest, « libre de glaces grâce au réchauffement climatique », fut emprunté pour la première fois par Amundsen en 1905 !

De leur côté, les glaciers himalayens gagnent et perdent régulièrement en épaisseur et superficie selon des mouvements cycliques connus… Et les travaux remarquables de Leroy Ladurie montrent que si les glaciers des Alpes ont un peu reculé depuis 50 ans, ils recouvrent encore des zones de pâtures et de cultures du Moyen Âge.

Quant à l’Antarctique, les mesures au sol comme les vues satellite s’accordent sur un refroidissement progressif de ce continent depuis plus de 30 ans, impactant tout l’hémisphère Sud. Au point que les otaries du Pôle Sud viennent, depuis quelques années, nous faire un petit coucou en Polynésie française (du jamais vu auparavant).

 

Histoires d’eaux

On devait voir une submersion des deltas des grands fleuves avant 2010. Le Mississippi, le Gange, mais aussi le Rhône allaient déborder, faisant des millions de morts. Or, si le niveau de la mer est légèrement à la hausse, de l’ordre de 1,5 millimètre par an, cela n’implique en aucune façon une inondation inexorable des îlots et des rivages bas. Car les alluvions fluviaux et les apports de sédiments marins compensent les pertes en créant de nouvelles terres là où il n’y avait rien.

Ainsi la comparaison des relevés actuels du Bangladesh avec les cartes marines de l’Amirauté britannique du XIXe siècle montrent une surface émergée supérieure de nos jours !

Dans le même ordre d’idées, les Madame Irma du GIEC prédisaient un engloutissement des atolls du Pacifique au plus tard en 2020. Or les atolls sont stables ou sujets pour les 2/3 à un exhaussement léger mais constant du fait de la sédimentation des rivages, par croissance des coraux et apports de matériaux par l’océan, s’ajoutant aux mouvements de la lithosphère. Car ces volcans, dont seule émerge une corolle, ne sont pas tout à fait inactifs et leur magma pousse vers le haut. Parfois, mais c’est plus rare, jusqu’à produire des atolls surélevés.

L’engloutissement prévu devait être renforcé par des cyclones ou typhons de plus en plus violents qui arracheraient la moindre parcelle de rivage bas pour produire un Waterworld. Or Richard Lindzen, physicien au MIT, démissionnaire avec fracas du GIEC comme tant d’autres, muselés ensuite par les médias propriétés des magnats du NWO, a démontré que : « Si le réchauffement climatique était avéré, la réduction du différentiel de température entre les zones tempérées et tropicales de notre planète rendrait l’énergie cyclonique beaucoup moins dévastatrice. »

Et contrairement à ce qu’ânonnent les diffuseurs de prêt-à-penser, si l’on fait une statistique depuis le temps de la flibuste dans les Caraïbes (grâce aux ecclésiastiques qui notaient tout et aux livres de bord des capitaines) l’importance et la fréquence des tempêtes tropicales et des cyclones tendent à diminuer sur une période longue.

Dégringolade des productions agricoles et famines mondiales

L’inéluctable (sic) diminution des forêts et des surfaces cultivées promet à une humanité qui s’accroît sans cesse des famines sans précédent. C’est pour ça que les maîtres du monde du Bilderberg et de Davos veulent réduire les populations à coups de vaccins poisons qui leur rapportent au passage des milliards de dollars.

Mais la Banque mondiale affirme dans une étude documentée qu’entre 1990 et 2010 la part des forêts naturelles sur l’ensemble des continents est passée de 31,8 % à 32,2 % tandis que les forêts d’exploitation et les surfaces cultivées s’accroissaient de 2 à 6 % selon les continents, la production suivant une courbe exponentielle, cumulant les effets bénéfiques du CO2 et des progrès des engrais et de l’irrigation.

Les chiffres magiques du GIEC

Si la température augmente de 1,5°C , c’est la fin des haricots ! Or si on a observé une légère augmentation de température de 1,4°C (en moyenne car elle n’est pas partout égale) mesurée à partir de 1860 (fin de la petite ère glaciaire) celle-ci est en stase depuis 1998 et en décroissance depuis 2015. Mais les réchauffards n’en démordent pas. Et les gogos téléphages hallucinés récitent pieusement leurs mantras.

N’empêche que lors de l’optimum médiéval (de 950 à 1350) les températures étaient supérieures en moyenne de 3 ou 4° C par rapport à aujourd’hui. Et les humains n’ont pas disparu de la surface de la Terre. Par ailleurs, la réduction d’activité solaire depuis 2015 permet de formuler l’hypothèse d’un prochain minimum de type Maunder, en clair une nouvelle petite ère glaciaire pouvant commencer vers 2030.

Vite, vite, vite, signez pour ne pas rater la bonne affaire !

Cette méthode de conditionnement du client, employée pour lui faire souscrire n’importe quoi sans laisser au gogo le temps de réfléchir est, depuis une dizaine d’années, la politique de marketing du GIEC dans la pêche aux subventions.

Bien que les chiffres montrent qu’après la stase du début du XXIe siècle, les températures ont commencé à décroître partout depuis 2015, la « communauté scientifique » (qui ? 600 charlatans contre 31 500 savants) aurait établi que le réchauffement climatique causé par l’activité humaine se produisait plus vite et plus fort que prévu. Avec le risque d’atteindre des points de bascule irréversibles.

Les escrologues réchauffards insistent sur l’urgence. C’est le mot clé ! Urgence pour leur donner plus de pouvoir et toutes les bonnes places. Université, médias, politique. Urgence pour leur filer plus de pognon. Urgence pour faire taire leurs contradicteurs. Comme on a favorisé les vaccinators corrompus.

Plutôt que d’accepter un débat scientifique ouvert, avec des personnes capables d’argumenter, ils cenSSurent, bannissent, ostracisent, méprisent, interdisent, font fermer blogs et sites, et IRL révoquent les hérétiques. Les éjectent des revues à comités et des colloques dont ils ont pris le contrôle. Aidés par les États sous influence. Cette attitude ne favorise pas le dialogue que, de toute façon, les réchauffistes esquivent en traitant par  l’anathème et l’excommunication leurs contradicteurs. On ne discute pas avec le diable !

Enfin, ajoutant l’odieux de la culpabilisation aux mensonges de la propagande, les réchauffards tentent de manipuler les foules en leur martelant tel un leitmotiv : « Vos enfants vous reprocheront le monde que vous allez leur laisser. »

Monter les enfants contre les parents, le summum de l’abjection quand on est à court d’arguments. Une méthode employée par les sbires de Hitler, Staline, Mao et Pol Pot. Ainsi, par ce biais, les crapules réchauffistes rejoignent les pires criminels de masse qui ont sévi depuis 100 ans.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

Partager cet article
Repost0

commentaires

Présentation

  • : Le Blog de Lazare
  • : Etude des Prophéties, Fin des Temps et préparation à l'ère nouvelle.
  • Contact

Recherche Dans Le Blog