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18 décembre 2023 1 18 /12 /décembre /2023 08:45
GIEC : les déluges, ça fout toujours autant la trouille

Cette photo fait peur. Elle a servi à illustrer la submersion des rivages français par la hausse des océans, consécutive au prétendu réchauffement climatique. En fait, le cliché a été pris en vue plongeante depuis un drone, le 24 mars 2023 à Saint-Malo, lors de l’équinoxe de printemps, à 8h57 au moment de la haute mer. Avec un coefficient de 105, des déferlantes ont éclaboussé la « chaussée du Sillon ». Une grande plage à l’est des remparts. Créant l’illusion d’un tsunami.

Un « phénomène inédit » rapporté il y a 2350 ans par Pythéas de Marseille

Le premier navigateur connu à être sorti de Méditerranée, pour remonter vers le Nord a relaté son étonnement devant ces flux et reflux réguliers. En attribuant les causes à la lune et au soleil. Et en y intégrant les terribles tempêtes d’équinoxe. Car Pythéas était aussi mathématicien et astronome. Mais les Marseillais ayant déjà une solide réputation de kékés, on ne le crut pas à l’époque !

Il fut cependant validé a posteriori de Strabon. Celui-ci avait retrouvé à la Grande Bibliothèque d’Alexandrie, incendiée 1000 ans plus tard par le calife Omar, le récit du voyage des premiers Phéniciens qui avaient fait le tour de l’Afrique, il y a environ 2600 ans. Et ils décrivaient pareillement les marées.

Le détournement de phénomènes naturels est un abus de confiance dont on devrait punir les zékolos en les envoyant bosser dans les mines de cobalt, de lithium et de néodyme, dont ils sont si friands pour leur « tout électrique ».

Les grandes marées d’équinoxe ont lieu tous les ans, à peu près à la même date, autour du 20, en mars et en septembre. Ceux qui dormaient contre le radiateur à la communale ont raté l’explication qu’on donnait aux enfants autrefois, et sont devenus escrolos savants tendance Greta Docteur es pataphysique.

En fait c’est simple. Les équinoxes sont les moments de l’année où le jour et la nuit sont d’égale longueur. En zones tempérées. Parce que, près de l’équateur, c’est toute l’année comme ça.

Lors des équinoxes, le soleil exerce une attraction sur la terre, plus forte que le reste de l’année, en raison de l’alignement de notre étoile avec l’équateur. La masse océanique est attirée par le soleil plus que d’habitude, ça amplifie les marées. Et quand le soleil a rendez-vous avec la lune, dans un alignement cosmique, l’eau est influencée par les deux astres. Marée très haute s’ils sont en conjonction. Ou très basse lorsqu’ils sont en opposition… Ajoutez-y une pincée de marée barométrique et un zeste de vent du large, et vous avez Waterworld.

Dans le Pacifique où, presque partout, l’amplitude des marées est moindre, voire inexistante, on a trouvé d’autres combines pour terroriser les gens.

Le cas hyper médiatisé des Kiribati

Pour les médias mondialistes, cet archipel devait être le premier à disparaître. Un engloutissement digne des plus spectaculaires films catastrophe avec ses cadavres emportés par les éléments, les requins qui rappliquent pour se régaler, les cohortes de réfugiés climatiques affamés et hagards… L’insuffisance des secours face à l’ampleur du désastre, les bateaux qui coulent après avoir été pris d’assaut par des désespérés et les hélicos trop lourdement chargés qui se crashent.

Un bon astrologue ne doit jamais donner de date sinon la réalité le rattrape. En 1990 le GIEC avait prédit qu’au plus tard en 2020, les Kiribati seraient englouties. Des vidéos soigneusement sélectionnées servaient à motiver les bailleurs de fonds. Montrant sans vergogne des inondations produites par des pluies diluviennes, habituelles sous ces latitudes, très vite évaporées.

 

 

Les « sauvages des îles » savaient que ce n’est pas par hasard que les farés traditionnels étaient juchés sur pilotis pour anticiper les inondations cycliques des motus (îlots coralliens) produites par les houles, les tempêtes et les orages. À la différence des maisons modernes construites à même le sol. Qui plus est, les zones momentanément submergées par la mer étaient considérées par les anciens comme un don des dieux, car lorsque l’eau se retire on fait des pêches miraculeuses.

Certes un danger pouvait provenir des grandes houles produites par des phénomènes extrêmes. Mais dans ce cas, elles apporteraient aussi des matériaux pour reconstituer le rivage. Celui-ci pouvant être renforcé par des « miki miki » (pemphis acidula) dont les Paumotu ont depuis longtemps compris l’intérêt. Ces arbustes de bois très dur, hauts de 3 à 5 mètres, supportent les sols calcaires salés, peuvent se passer d’eau douce et ont des racines assez fortes pour solidifier leur emprise. Ses graines sont apportées par la mer, mais rien n’interdit d’aider la nature.

Des « savants » à la mode Greta, annonçaient qu’au premier cyclone venu, ce qui restait de ces malheureuses îles serait balayé. À part que ces îles sont situées très près de l’Équateur. Et que la force de Coriolis qui fait tourner les cyclones y est nulle !

Et puis en Océanie, on survit à tout, même aux cyclones et aux tsunamis

Le 6 février 1992, le cyclone Cliff a ravagé la petite île de Puka Puka, des vagues énormes arrachant tout sur leur passage. Aujourd’hui encore, 30 ans après, les trois-quarts de cet atoll fermé sont pelés comme le crâne de Ciotti.

La France avait expédié ses pandores pour compter les morts et promis de reconstruire les habitations et le petit port. On attend toujours. Et les insulaires vivent dans des cases bidonvilles… Sans aides sociales, les habitants de Puka, qui se cramponnent à leur terre, survivent chichement de pêche, d’exploitation du coprah et d’agriculture vivrière.

Nos 160 compatriotes du bout du monde ne présentent aucun intérêt. Ils ne viendront pas tout casser en métropole comme les millions d’allogènes qu’on entretient et bichonne.

https://www.youtube.com/watch?v=dRcsXcs_AEI

Des trucages bien orchestrés

Au hit-parade du bourrage de crâne, deux faits réels ont été détournés : d’abord les mouvements de population déjà observés, présentés avec insistance comme le début d’un exode, mais qui n’ont rien à voir avec la catastrophe climatique annoncée.

Les micro-États indépendants du Pacifique font quasiment partie du quart-monde. Grande pauvreté et désert sanitaire. Quand c’était possible (double nationalité ou états associés) la moitié des populations ont émigré en Australie ou en Nouvelle-Zélande. Il s’agit donc d’exilés économiques, pas de migrants climatiques.

Ensuite, dans le cas du Kiribati, des études récentes ont montré que l’affaissement spectaculaire de certains rivages était lié à l’exploitation excessive des « lentilles », ces poches d’eau de pluie retenues entre deux couches de sous-sol corallien. Trop sollicitées, elles finissent par se creuser et s’effondrer.

Pour préserver cette ressource, sans nuire au développement touristique, on a installé des petites unités de dessalement de l’eau de mer. Depuis, le rivage s’est stabilisé. Il ne reste plus qu’à attendre que les dépôts de sédiments naturels le renforcent. Cette dernière considération n’est pas limitée aux Kiribati. D’autres atolls recevant de nouvelles infrastructures touristiques ont connu le même problème et réagi à temps.

Après avoir nié cette explication avec véhémence, les réchauffards l’ont récupérée en prétendant que la quasi-totalité des motus habités allaient s’effondrer parce que l’eau de mer envahirait les lentilles, rongeant les sols et cuisant la végétation. Pour les géologues ce n’est même pas envisageable dans un cas sur 100. Les Austronésiens ne sont pas près de mourir de soif. Même si l’eau douce doit être gérée avec parcimonie. Et stockée pendant les grandes pluies. Mais il en a toujours été ainsi sur les atolls.

Ce genre de mauvaise foi est habituelle dans la secte catastrophiste. Ainsi, en 2018, quand un banc de sable qui marquait un haut fond au large de Honolulu fut déplacé par une tempête, ils parlèrent d’île engloutie ! Et sans vérifier, les médias dociles entonnèrent la chansonnette. La peur est la clé du pouvoir. Et les pouvoir sait récompenser ses perroquets les mieux dressés.

Les Tuvalu, d’autres îles qui osent contredire le GIEC

Alors qu’on avait prédit une submersion imminente des Tuvalu, en même temps que les Kiribati, cet archipel polynésien du centre Pacifique voit la surface de son territoire s’étendre progressivement.

Des chercheurs de l’université d’Auckland (NZ) ont publié une étude dans la revue Nature Communications, expliquant pourquoi la réalité n’était pas conforme aux prévisions. Ces scientifiques ont analysé une multitude de photos aériennes et satellites prises entre 1971 et 2014. Ces clichés répertorient les 9 atolls principaux des Tuvalu ainsi que 101 petits motus coralliens.

Ces observations sur plus de 40 ans montrent que la taille de 8 atolls sur 9 ainsi que celle des 3/4 des îlots coralliens ont augmenté en surface de l’ordre de 3% et se sont légèrement rehaussées. Les autres étant sans altération notable.

Un tel constat conduit ces chercheurs NZ à inviter la communauté scientifique à réfuter sa vision dogmatique des archipels. « Nous avions tendance à considérer les atolls du Pacifique comme des formations géologiques statiques, qui vont simplement être inondées au fur et à mesure de la montée du niveau des océans, mais il existe de multiples preuves que ces îles sont géologiquement dynamiques et en constant changement », indique le co-auteur de l’étude Paul Kench.

Les scientifiques avancent des explications : le mouvement des vagues déplace les sédiments et le sable, les coquilles et débris divers s’accumulent, s’agrègent et se stratifient sur le pourtour des îles. S’y ajoutent les matériaux apportés par les tempêtes qui compensent le phénomène d’érosion côtière. Sans oublier la pousse du corail assez rapide pour rendre obsolètes en quelques décennies les cartes bathymétriques. Et un volcanisme pas tout à fait éteint, avec une lente remontée de la lithosphère qu’on constate sans s’accorder sur la périodicité et les fréquences.

Wikipédia devrait rectifier ses délires apocalyptiques sur l’engloutissement des îles… Mais sans doute serait-ce trop demander à cette officine de propagande du Nouvel Ordre mondial, dont le proprio est le milliardaire Jimmy Wales. Un financier qui, après avoir fait fortune en spéculant sur les fluctuations des taux d’intérêt et de change, a eu une idée géniale : inventer un medium d’apparence objectif et ouvert, pour imposer en douceur et par la persuasion les thèmes et concepts de la doxa, confortant la domination de sa caste.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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30 novembre 2023 4 30 /11 /novembre /2023 11:48
Les Déserts verdissent avec l'augmentation du CO2 alors que les Catastrophistes du Réchauffement Climatique prévoyaient l'inverse !
Les Déserts verdissent avec l'augmentation du CO2
Le dioxyde de carbone, selon les mesures officielles, augmente - et à partir de niveaux historiquement bas. 
Mettons-nous d'accord là-dessus. 

Pourtant, contrairement à tous les proclamations des alarmistes qui appelaient à corréler catastrophes planétaires et diminution de la biodiversité, la planète verdit, environ 15% plus verte qu'elle ne l'était en 2000. 

C'est une augmentation énorme, une superficie plus grande que les États Unis.
C'est une bonne chose, il faut le supposer… non… ? 
Ce devrait être une information célébrée et transmise à la hâte aux nombreuses âmes pauvres, en particulier les enfants, qui perdent le sommeil à cause de croyances semées de manière malveillante selon lesquelles la planète n'a plus que quelques années à courir avant son anéantissement. 
Le verdissement le plus remarquable, selon la NASA, s'est produit et continue de se produire dans les zones semi-arides, ce qui est très certainement contraire à l'affirmation des alarmistes selon laquelle les déserts s'étendraient et la biodiversité diminuerait à mesure que la planète cuisait. 
L'une des raisons en est que les plantes ont, ces dernières années, développé des pores plus larges afin de se nourrir des niveaux toujours plus faibles de dioxyde de carbone atmosphérique. 
Ces pores plus larges signifient également que les plantes perdent plus d'eau par évaporation, ce qui, en conséquence, les a obligées à s'adapter d'autres manières aux conditions plus sèches. 
Et maintenant que les niveaux de CO2 ont recommencé à augmenter, les plantes sont non seulement mieux équipées pour tirer parti des niveaux plus élevés de dioxyde de carbone (pores plus grands), mais elles ont également évolué pour survivre, voire prospérer, dans des environnements plus secs. 
Nous voyons des plantes "infiltrer" les déserts à un rythme prestigieux, abritant une nouvelle vie et augmentant la biodiversité au fur et à mesure. 
Peut-être que la Terre Mère a permis la prolifération des humains parce que nous augmentions les niveaux de CO2. 
Le dioxyde de carbone était à environ 150 ppm avant notre arrivée, un niveau proche du point où la vie complexe ne peut pas être maintenue.

La Terre Mère – ou la Nature – ne doit pas être sous-estimée, du moins c'est mon propos. 
La planète est loin d'être aussi fragile/ayant besoin de notre contribution que les élites dirigeantes en ont convaincu les idiots utiles et les scientifiques de la pop parmi nous. 
La Terre est plus que capable de réguler ses propres biomes et de soutenir la vie même pendant les événements les plus tumultueux et véritablement catastrophiques du passé historique, le Younger-Dryas étant le plus récent (environ 12 000 ans BP). 
Cet événement a entraîné un retour brutal aux conditions glaciaires (un refroidissement à 20°C sur une courte période) qui a temporairement inversé le réchauffement climatique consécutif à la période glaciaire précédente et provoqué l'extinction de nombreuses mégafaunes, dont les mammouths. 
Les conditions actuelles sont comparables aux luttes sombres d'un passé relativement récent, et l'augmentation du CO2 devrait être considérée comme une bonne chose. 
Ce n'est pas difficile à comprendre si vous posez la capacité de penser de manière critique. 
Ceux qui sont gouvernés par la propagande, en revanche, comme la plupart des gens le sont grâce à un système d'école-usine d'élevage de conformité, alors, eh bien, vous aurez peut-être du mal à accepter cela. 
Mais ça tient, si vous croyez au réchauffement climatique catastrophique , alors pourquoi la biodiversité augmente-t-elle ? 
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30 novembre 2023 4 30 /11 /novembre /2023 08:40
Les aventures du CO2

Comme tout le monde, j’ai admis la théorie du CO2 humain faisant chauffer la planète. Je n’imaginais pas que des scientifiques – ici ceux retenus par le GIEC – puissent nous servir une théorie aussi importante sans bases solides. Et puis j’ai vu le film d’Al Gore…..

Dans le film du futur prix Nobel Al Gore – Une vérité qui dérange – il apparaît que les variations de température de l’ordre de 10°C lors des ères glaciaires s’accompagnent de variations de 100 parties par million du taux de CO2 dans l’air. Par contre, l’augmentation de 100 ppm entre 1960 et 2006 n’entraînerait que 0,5°C de plus… si on arrêtait d’en ajouter !

De qui se moque-t-on ? On ajoute même que ce CO2, attribué à l’industrie, resterait des siècles dans l’air… Quelle est cette magie ? Une magie qui l’empêche d’être absorbé par les océans comme le CO2 “ordinaire” !

Depuis, je me renseigne sur les travaux mesurant les effets thermiques du CO2 dans l’air. Si vous posez la question à ChapGPT, il vous avouera, comme le fait Jean-Marc Jancovici, son impuissance en ne vous donnant que des réponses du style « consultez les rapports du GIEC ». J’ai essayé, n’ai rien appris et seul un article interpelle. Cet article de Feldman et al. de 2015 (1) met des valeurs en évidence qui sont appliquées par Andrew G.Pauling et al. (2) en 2023 à une éruption du mont Pinatubo. Ces valeurs témoignent d’un effet microscopique du CO2 sur la température…

En fait, c’est déjà en 2021 que Hermann Harde et Michaël Schnell ont mesuré pour la première fois et finement l’effet de l’augmentation du taux de CO2 dans l’air (3). Il est microscopique et ne peut en aucun cas interférer avec le climat.

L’explosion démographique actuelle, qui fait suite à tous les progrès apportés par la science occidentale, a peut-être un effet sur le climat mais il faudra chercher le mécanisme ailleurs que dans une culpabilité des « gaz à effet de serre », qui sont la vapeur d’eau (un gaz dans l’air, invisible pour l’œil) et des traces de CO2, N2O, CH4, O3 etc.

Il reste que nous bénéficions à l’heure actuelle, et par un hasard comme la planète en a déjà connu dans sa longue histoire, d’une période exceptionnelle où les températures sont clémentes, les récoltes très favorables. Réjouissons-nous au lieu de trembler !

Claude Brasseur

(1) Observational Determination of Surface radiative Forcing by CO2 from 2000 to 2010

(2) The Climate Response to the Mt. Pinatubo Eruption does not Constrain Climate Sensitivity

(3) Verification of the Greenhouse Effect in the Laboratory

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24 novembre 2023 5 24 /11 /novembre /2023 11:53
Et le GIEC a toujours raison

Les chutes de neige en été en Allemagne donnent au climatologue Wim Thiery l’occasion de nous avertir :  « Ce n’est qu’un avant-goût de ce qui sera normal à l’avenir à cause du réchauffement de la planète. »

La thèse du GIEC se veut scientifique, mélange le chaud et le froid,  mais rien n’est démontré par des mesures directes et ne pourrait l’être puisque le climat fonctionne selon des tas de paramètres connus ou encore inconnus…

             Plus de CO2 ferait monter la température. C’est l’unique thèse du GIEC. Cela semble simple, évident à prouver. Pourtant, suivre les innombrables phénomènes atmosphériques est hors de portée de l’homme. Cette impossibilité n’a pas empêché la thèse concernant le CO2 de traîner dans des travaux scientifiques depuis sa naissance au XIXe siècle parce que, comme tous les gaz lourds, il chauffe vite et fort…Si mille preuves indirectes ont témoigné de ce que jamais le CO2 n’a eu le moindre effet mesurable sur la température terrestre, il est vrai que c’est seulement en 2021 que les physiciens Harde et Schnell (1) ont mesuré pour la première fois, en laboratoire, l’effet de la concentration du CO2. Cet effet est réel mais minime et ne laisse aucun rôle au CO2 sur le climat.

Ainsi, si JP. van Ypersele, le plus connu des climatologues belges, a écrit un livre qui se veut convaincant sur le climat, je n’y ai trouvé aucune mesure ou référence à l’effet du CO2.

Et si vous demandez au GIEC d’évaluer l’effet du CO2 sur la température, le GIEC répond uniquement : nous avons des modèles ; si vous consultez ces modèles, vous verrez qu’ils prévoient entre 0,3 et 10°C de croissance de la température. Et si vous insistez, le GIEC répond qu’il faut considérer la moyenne. La moyenne de cent erreurs devient la vérité pour les médias qui doivent convaincre les citoyens.

Toutes les incompétences sont tolérées ! Et on sait que la politique « climatique », uniquement occidentale, si elle devait aboutir, coûterait selon le FMI plus de cent milliards de dollars, dépenses toutes totalement sans objet autre que celui d’enrichir quelques grands escrocs de la mondialisation….

On ne sait jamais, l’homme a peut-être un effet sur le climat. On pourrait faire de vraies recherches au niveau de la planète. Ainsi, on relate de nombreux déboisements de pays entiers où le climat a changé. Durant la même période, le taux de CO2 a augmenté de 50 % et ce CO2 a fait verdir la planète. Un phénomène compense-t-il l’autre ? Rappelons que, dans les temps anciens, l’atmosphère contenait souvent dix fois plus de CO2 que durant les temps modernes et la nature était exubérante…. Restons modestes pour les courtes périodes (100 ans) et acceptons que le futur climatique soit imprévisible, sachons que la politique climatique occidentale qui nourrit si bien les marchands d’énergies dites « vertes » est un saut dans le vide, un saut qui nous ruine !

Claude Brasseur

(1) Verification of the Greenhouse Effect in the Laboratory

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24 novembre 2023 5 24 /11 /novembre /2023 09:47
Les réchauffistes sont des voyous, leurs suiveurs des crétins

« Le contrôle des foules repose sur la peur qu’elles éprouvent et les promesses d’échapper au pire qu’on leur fait. Les morts ne servent à rien, ils ne vont plus aux champs, ils ne font plus tourner les fabriques, ils n’achètent plus rien (…) Un leader avisé doit faire trembler le peuple et le protéger contre des ennemis imaginaires. Le peuple lui sera alors reconnaissant de sa tyrannie » (William Mac Dougall in Introduction to social psychology, 1911). Macronescu a bien entendu le message.

Les réchauffistes sont des voyous, leurs suiveurs des crétins

Dans leur propagande, ils calomnient et déprécient des gens qui ont consacré toute leur vie à la science et à la recherche, s’ils sont en désaccord avec le dogme… Tout en valorisant de façon bassement démagogique des minus au bagage restreint mais qui adhèrent à la doxa. En encourageant leurs fantasmes : posséder la science infuse. Être un individu exceptionnel sans effort. Tout comprendre sans jamais avoir ouvert un livre. Avec pour emblème qui les représente tous, une mongolienne déscolarisée à l’intellect en capilotade.

La clientèle de prédilection des faiseurs d’opinion climato-frénétiques possède un profil bien particulier : celui de complexés qui croient se donner de l’importance en régurgitant le dégueulis idéologique des meneurs. Parce que l’autorité scientifique, avec ses principes stricts et ses protocoles contraignants, évoque la crainte révérencielle du père à laquelle l’enfant voudrait se soustraire. La rigueur des sciences exactes renvoie l’image détestable de l’autorité, celle de l’enseignant qui morigénait le mauvais élève, de l’adjudant qui punissait le troufion maladroit, du contremaître qui aboie ses ordres brutaux, du patron pète-sec qui terrorise ses salariés, ou encore un(e) conjoint(e) envahissant, castrateur, liberticide.

Après la forme, le fond

Le premier mensonge et le plus sournois, destiné à accréditer une autorité indiscutable, commence quand les médias connivents se gargarisent à présenter Jean Jouzel comme un « prix Nobel ». Comme si ses travaux scientifiques en climatologie lui avaient valu cet honneur. Or le Nobel de la paix a été octroyé collectivement au GIEC et Jouzel est un ingénieur atomiste qu’on a recasé là pour d’obscures raisons. Rien que son premier métier devrait faire frémir d’horreur les zékolos !

Mais ce n’est pas tout. Le GIEC, présenté comme un comité de savants soucieux du bien être futur de l’humanité, est en fait un organisme politique interétatique, créé en 1988 par l’ONU lors du G 7 à la demande insistante de ces deux grands zékolos que furent Margaret Thatcher et Ronald Reagan.

La Dame de Fer utilise alors la fiction d’un réchauffement lié aux émissions de CO2 pour mater les syndicats de mineurs de houille et promouvoir l’énergie nucléaire au Royaume-Uni où l’opinion est réticente. Tandis que Reagan, à qui ses conseillers ont soufflé les théories de Schumpeter, parvient à relancer l’économie en amenant les businessmen à relever le défi de nouveaux objectifs, la destruction créatrice générant des innovations sources de croissance et de profits.

À ses débuts le GIEC n’est pas encore une machine à faire du pognon. Mais très vite, les États vendent des permis de polluer : achats de crédits carbone ou de droits d’émission de produits toxiques dans l’air, la mer et les rivières, à des labos gouvernementaux compréhensifs… Comme naguère les ecclésiastiques distribuaient des indulgences aux pécheurs en échange d’espèces sonnantes et trébuchantes, et vendaient le Paradis aux plus généreux des libertins… Du coup, Milankovich est placardisé. Et étouffé par un silence coupable.

https://www.youtube.com/watch?v=FTzmqjDNMmM

Au début du XXIe siècle le réchauffement s’arrête. Il neige dans le Sahara et en Arabie Saoudite. Le GIEC ne parle plus que de changement climatique. Les subventions diminuent. Les crédits de recherche, mais aussi de quoi assurer un train de vie princier aux astrologues de l’ONU… Ils se ressaisissent vite et lancent des tonnes d’imprécations visant à culpabiliser les populations et annoncent la fin du monde. Vieille peur millénariste qui fonctionne toujours aussi bien.

Naturellement ils bénéficient de l’appui des gouvernements et des médias aux ordres, puisque des gens paralysés par une culpabilité contre laquelle il n’y a d’autre repentance que de bêler avec les moutons se laisseront tondre par de nouvelles taxes sans regimber. Et subiront l’érosion de leurs libertés qui fondent comme neige au soleil. Le seul effet mesurable du réchauffement jusqu’à présent !

Les réchauffistes sont des voyous, leurs suiveurs des crétins

Des hésitations aux mensonges délibérés

Après avoir annoncé la fonte prochaine des glaciers de l’Himalaya, les prédicateurs du GIEC reconnaissent s’être trompés. Quant aux atolls du Pacifique qui devaient disparaître avant 2020, ils sont toujours là et même se rehaussent pour diverses raisons telles que la remontée de la lithosphère, la sédimentation des rivages par les dépôts marins et la croissance des madrépores… Des dizaines de scientifiques démissionnent et refusent de continuer à travailler avec ces charlots.

Mais les erreurs et les fraudes ne ralentissent pas le prosélytisme des prêcheurs. Ainsi dans le film d’Al Gore, qui croyait favoriser ainsi sa carrière politique jusqu’à la Maison-Blanche, la courbe illustrant le réchauffement avait été sciemment falsifiée. Suite aux protestations d’une partie de la communauté scientifique, la courbe fut modifiée et le GIEC avoua une « erreur ». La sanction de ce trucage fut une avalanche de prix de toute sortes dont le Nobel de la paix. Et l’idée qui chemina selon laquelle les climato-réalistes seraient des délinquants qu’il faut punir.

Dans les années suivantes, on jeta aux orties les principes de base de la recherche scientifique classique (auxquels déroge la physique quantique, mais je doute que beaucoup de réchauffistes soient capables d’alimenter le débat) en posant des axiomes se renforçant les uns les autres.

Jusqu’alors, un consensus s’était établi depuis le XVIIIe siècle sur la nécessité de démontrer des liens de causalité ou de convergence entre deux observations, de les conforter par une reproductibilité des phénomènes, et d’exposer sa méthodologie et ses conclusions en les soumettant à la critique de ses pairs. Or le GIEC refuse l’évaluation collective des données et des moyens permettant d’aboutir à ses prédictions en dehors d’un petit nombre de ses membres triés sur le volet, depuis qu’ils ont été pris en flagrant délit de trucage des observations et des calculs.

Les premiers climate gates reposent sur des mails hackés et publiés bruts de décoffrage, laissant à chacun(e) le soin de se faire une opinion sur la sincérité et la fiabilité des climato-fanatiques. Quoi de plus révélateur que les propos de l’illustre Phil Jones directeur du centre de recherche climatique à un de ses complices du GIEC : « J’ai utilisé l’astuce de la publication de Mike dans “Nature” consistant à ajouter des températures dans chaque série afin de masquer la baisse. »

Plus opaque tu meurs !

Et tandis que les climato-frénétiques réfutaient tous les propos contraires à leur croyance, tels les adeptes d’une secte en pleine crise de dissonance cognitive, l’illustre Kevin Trenberth coordinateur général du GIEC écrivait à un de ses comparses : « Nous ne comprenons pas le manque de réchauffement, aussi tu dois arrêter tes communications. »

Un des corollaires de la dissonance cognitive est l’effet Pygmalion ou prophétie auto-réalisatrice. L’art de la persuasion a besoin de la soumission à une autorité reconnue (d’où la soupe servie au GIEC par les médias pour le crédibiliser) qui va marteler sans cesse le même message.

N’importe quelle sornette, dès lors qu’elle aura été matraquée ad nauseam, va imbiber comme une éponge le cerveau des gens ignorants et crédules et les inciter à colporter l’intox tout en l’amplifiant. Le mensonge s’auto-nourrissant au détriment de l’esprit critique. Apportant la confirmation d’un adage résumant la pensée magique : Plus on y croit, et plus la perception qu’on a de la réalité finira par y ressembler.

Pour les anthropologues, c’est un rétrécissement du champ perceptif. On l’observe chez les chamanes en transes métaphysiques, dans les sectes, chez les fanatiques religieux comme chez les dictateurs paranoïaques, les criminels de guerre et certains serial killers, convaincus de la justesse de leur cause et d’agir pour le bien de l’humanité.

Une seule explication pour tout

La pensée magique ou enfantine a besoin de certitudes pour se rassurer. Les prédictions du GIEC, dont aucune ne s’est réalisée, servent à expliquer des phénomènes connus de tous temps comme les inondations, la sécheresse, les cyclones, la raréfaction de certaines espèces et l’augmentation des mouches tsé-tsé qui endorment les gogos.

S’ajoute le faux argument d’autorité destiné à rassurer les hésitants : tous les scientifiques seraient climato-fanatiques. Dans la réalité, 35.000 scientifiques ont dénoncé les lubies des 600 moutons du GIEC. Mais on préfère les traiter de complotistes, ça évite de débattre.

Quand la plupart des médias mainstream reprennent les élucubrations de Greta pour qui le CO2 de l’air serait responsable des éruptions volcaniques, on comprend que la pire crainte des climato-frénétiques est de trouver en face d’eux des debaters d’un niveau suffisant pour réfuter leurs divagations. Comme feu Frederick Seits président de l’Académie des Sciences des USA qui disait : « Il n’existe aucune preuve scientifique convaincante indiquant que les émissions de dioxyde de carbone, de méthane ou d’autres gaz à effet de serre causent ou causeront, dans un avenir prévisible, un réchauffement catastrophique de l’atmosphère de la Terre et une rupture de son climat. »

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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24 novembre 2023 5 24 /11 /novembre /2023 06:40
La Fraude de l'Influence du CO2 sur la Température de la Terre
Corrélation étroite entre température terrestre et CO2 atmosphérique : une vaste fraude !

Dès le début des années 2000 la notion de réchauffement du climat d’origine anthropique s’est officialisée comme ne pouvant plus être réfutée, la science du climat étant considérée comme définitivement acquise. 

Cette certitude scientifique s’appuyait sur l’interprétation des données fournies par les nouvelles techniques d’observation des variations de température à la surface du sol et les mesures très précises de la teneur en divers gaz mineurs de l’atmosphère et elles provenaient essentiellement des satellites d’observation dédiés à de telles observations spectrales. 

C’était trop rapidement oublier les travaux des géologues au sujet du climat qui prévalut au cours du Phanérozoïque, c’est-à-dire la période géologique débutant il y a 538 millions d’années jusqu’à nos jours. 

Cette période géologique correspond à l’apparition d’une multitude de formes vivantes depuis les arthropodes jusqu’aux dinosaures et enfin les mammifères, l’apparition de plantes à fleur puis des oiseaux fut néanmoins entrecoupée de longues périodes de glaciation sans apparente périodicité comme celle établie établie par Milutin Milankovitch au début du vingtième siècle qui ne s’applique avec une raisonnable confiance qu’au cours du million d’années passées. 

Si on remonte loin dans le temps une multitude d’autres facteurs perturbe en effet cette périodicité des glaciations comme les impacts de météorites, les longues périodes d’éruptions volcaniques et également la dérive des continents.

Bref, les géologues ont, depuis l’accès aux mesures par spectrographie de masse en routine, analysé une multitude de roches sédimentaires en ce qui concerne leur teneur en oxygène-18. 

L’oxygène-18 représente 2% de la composition en cet élément et la mesure de la teneur en cet isotope permet de calculer à quelle température l’eau s’est évaporée pour former les oxydes et les carbonates retrouvés dans les roches sédimentaires. 

Cette teneur s’exprime en rapport entre la teneur en oxygène-18 en regard de l’oxygène-16 et s’exprime en δ18O exprimé en parties pour 1000. 

Par exemple la teneur en 18O d’un carbonate dans un échantillon de calcite est directement proportionnel à cette température car plus la température d’évaporation de l’eau est élevée plus cette teneur est élevée. 

 

Les géologues du monde entier ont ainsi pu remonter dans le temps à l’aide de l’analyse de 6680 échantillons de roches sédimentaires dont la date a été déterminée par d’autres techniques qui ne font pas l’objet de cet exposé mais néanmoins sont prouvées comme étant parfaitement fiables. 

 

Ces évaluations du  δ18O ont également permis d’évaluer la teneur atmosphérique en CO2 au cours de la formation de ces mêmes roches sédimentaires riches en carbonates. 

Les mesures de δ13C, rapport en les isotopes 12 et 13 du carbone ne constituent pas un proxy de températures mais permettent seulement de différencier les sources de carbone organiques. 

Dans le cas des roches sédimentaires il s’agit du plancton, des matières organiques fossilisées, de la teneur en bore d’origine marine et surtout des carbonates de sodium et de calcium.

Pour remonter jusqu’au début du Phanérozoïque les représentations graphiques ont été moyennées sur des laps de temps de 2,5 millions d’années tant pour les températures que pour la teneur en CO2 de l’atmosphère. 

À l’évidence, comme le montre la figure ci-dessous, l’évolution des températures au cours des 438 millions d’années passées n’est pas corrélée aux teneurs en CO2 atmosphérique. 

Légende de cette figure : courbe rouge proxy des températures globales  δ18O x (-1). Silu = Silurien, Neo = Neogene, Quater = Quaternaire. Périodes de glaciation : 1 = Dévonien tardif/Carbonifère, 2 = permo-carbonifère, 3 = Callovien tardif/ Oxfordine médian, 4 = Tithonien/Berrasien, 5 = Aptien, 6 = Cenomanien moyen, 7 = Turonien, 8 = Campanien/Maastrichien, 9 = Masstrichien moyen, 10 Maastrichien récent.

Utilisant les mêmes données géologiques figurant dans cette figure il a été aisé de rechercher une corrélation graphique (et mathématique) en portant la teneur en CO2 atmosphérique en parties par million en regard du proxy de température δ18O x (-1) exprimé en parties pour 1000. 

Du point de vue mathématique le coefficient de corrélation est certes différent de zéro mais faible (R= – 0,19) mais très faible car R2 = 0,036. 

Bien malin celui qui affirmerait qu’il existe une corrélation entre ces deux paramètres.

Les lois de la physique telles qu’on les connait aujourd’hui étaient les mêmes au cours des 538 millions d’années passées et il ne doit pas y avoir une plus étroite corrélation aujourd’hui entre température et CO2 atmosphérique que durant ces millions d’années passées. 

Il est évident que les “spécialistes” de l’IPCC se moquent de ces lois de la physique fondamentale. 

Ont-ils acquis une bagage universitaire suffisant pour comprendre ce qu’est par exemple la notion d’entropie quand ils prétendent que les photons thermiques réémis par les seules molécules de CO2 atmosphérique suffisent à provoquer un réchauffement au niveau du sol ? 

Je manifeste quelques doutes. 

En conclusion tout ce que l’on affirme depuis une trentaine d’année à propos du réchauffement du climat d’origine anthropique est de la fausse science qui a été montée de toute pièces pour satisfaire des objectifs politiques et idéologiques.

Source et illustrations : https://doi.org/10.3390/clii5040076

https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/01/23/correlation-etroite-entre-temperature-terrestre-et-co2-atmospherique-une-vaste-fraude/

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24 novembre 2023 5 24 /11 /novembre /2023 03:26
L’ancien vice-président de Bill Clinton, Al Gore, a gagné des centaines de millions de dollars grâce à sa sensibilisation contre le réchauffement climatique ! 
Al Gore a amassé une fortune colossale avec l’alarmisme climatique

Filibert : Al Gore avait gagné les Présidentielles en 2000, mais sous la pression de l'État Profond, qui préparait les attentats du 11 septembre 2001 pour faire avancer vers le Nouvel Ordre Mondial Nazi et Eugéniste, il a laissé sa place à Bush ! 

L'État Profond lui a donné le rôle d'alarmiste du Réchauffement Climatique, qui est une autre facette du Plan de l'État Profond qui pensait qu'une Taxe Carbone importante lui fournirait des revenus importants pour mettre en place son contrôle total de la Planète ! 
 
L’ancien vice-président de Bill Clinton, Al Gore, pourrait être considéré comme un avant-gardiste en ayant alerté ces vingt dernières années sur les méfaits du réchauffement climatique. 
Mais la somme qu’il a récoltée grâce à l’alarmisme climatique pourrait susciter des critiques. 
Grâce à sa société Generation Investment Management, créée en 2004, soit quatre ans après sa défaite face à George W. Bush à l’élection présidentielle américaine, Al Gore a en effet gagné pas moins de 330 millions de dollars, rapporte le Daily Mail jeudi 19 janvier 2023. 
 
 
Militantisme écologique, placements… ! 
Le fonds d’investissement Generation Investment Management, spécialisé dans la recherche intégrée sur le développement durable et l’alignement des clients, a pour but de soutenir les entreprises faisant des efforts sur le plan écologique. 
L’entreprise, valant à elle-même 36 milliards de dollars, permet à Al Gore d’obtenir un revenu mensuel de deux millions de dollars. 
Mais l’homme d’affaires ne se satisferait pas seulement de cela. 
Cette importante somme est complétée par l’argent qu’il gagne en menant des conférences, et en investissant dans des placements et dans des biens immobiliers. 
Le Daily Mail cite notamment son manoir à Nashville évalué à 7,5 millions de dollars, ou encore sa villa au bord de l’eau à Montecito à 13 millions de dollars. 
Al Gore organise en effet des conférences au cours desquelles il alerte sur le danger du réchauffement climatique pour notre planète. 
Le Daily Mail a indiqué qu’Al Gore a gagné au moins 200.000 dollars pour chaque prise de parole. 
L’homme d’affaires est au passage membre du comité de rémunération d’Apple, une activité là encore rémunérée. 
L’ancien vice-président démocrate possède des actions dans de grandes entreprises comme Apple et Google. 
De quoi lui rapporter quelque 80 millions de dollars, indique le Daily Mail. 
Entre 2008 et 2011, Generation Investment Management a généré environ 218 millions de dollars de bénéfices à répartir entre ses 26 partenaires. 
La société détient aussi de nombreuses actions, notamment chez Amazon, Microsoft, ou chez le géant financier Charles Schwab. 
Elle a également investi dans d’autres entreprises moins connues comme Motivate, la société derrière Citi Bike de New York, et le scooter électrique taïwanais fabrique Gogoro. 
En 2013, les avoirs qu’Al Gore possède chez Apple ont été estimés à 45,6 millions de dollars, relate le Daily Mail. 
Al Gore aurait aussi reçu des actions évaluées entre 500.000 et 1 million de dollars chez Occidental Petroleum Corp., une société de combustibles fossiles.

Publié par valeursactuelles.com le 23 janvier 2023 : https://www.valeursactuelles.com/monde/al-gore-a-amasse-une-fortune-colossale-avec-lalarmisme-climatique
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18 novembre 2023 6 18 /11 /novembre /2023 11:39
L’ONU avoue qu’ils nous entraînent dans une épouvantable dictature

En effet, comment les innombrables nègres des politiques à l’ONU pourraient-ils ignorer le sens de dystopique ? Sont-ils si sûrs d’eux qu’ils avouent à la face du monde les destructions à la pelle qu’ils ont entreprises ? 

« Nous avons besoin d’une action urgente, maintenant. Et nous savons ce qu’il faut faire. La vraie question est : qu’est-ce qui nous en empêche ? », s’est interrogé le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’Homme

« Le futur dystopique est déjà là », a alerté lundi le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’Homme Volker Türk en référence au dérèglement climatique, déplorant l’inaction de la communauté internationale. « Le changement climatique plonge des millions de personnes dans la famine. Il détruit des espoirs, des opportunités, des foyers et des vies. Ces derniers mois, des avertissements urgents sont devenus des réalités mortelles, encore et encore, partout dans le monde », a déclaré Volker Türk à l’ouverture de la 54e session du Conseil des droits de l’homme.

https://www.sudouest.fr/environnement/climat/rechauffement-climatique/rechauffement-climatique-le-futur-dystopique-est-deja-la-alerte-l-onu-16601090.php

Or, la définition de dystopie donnée par Wikipedia devrait allumer des lumières rouges clignotantes partout dans le cerveau des lecteurs de Sud-Ouest, non ?

 

Société imaginaire ou imaginée, inventée, comme celle que les mondialistes fabriquent de toutes pièces depuis quelques années ?

Des dirigeants ayant une autorité totale sur des citoyens qui ne peuvent plus exercer leur libre arbitre. Autorité si totale qu’elles vous coupent d’autorité l’accès à RT, qu’elles bloquent les e-mails des gens suspectés de penser mal, d’être “d’extrême-droite”, qu’elles menacent de couper twitter si la liberté d’expression y bat son plein…? Si totale qu’elle vous interdit de sortir, de manger, de vous soigner, de voyager si vous n’acceptez pas un petit traitement sympathique mis au point par monsieur Pfizer avec l’aide de la nazie der Leyen ? Si totale qu’elle vous interdit de circuler, bientôt de manger de la viande et vous invite fermement à vous nourrir de cafards grillés ?

Mieux encore, on passe sans transition et sans barguigner du réchauffement climatique qui créerait la famine au réchauffement climatique qui… serait la cause des migrations ! Je ne me souviens pas d’avoir jamais entendu cet argument lors de la mort du petit Aylan, en 2015…

Alors que les changements climatiques renforcent les déplacements de populations, le Haut-Commissaire aux droits de l’homme a dénoncé « l’indifférence » face la tragédie des migrants qui périssent sur les routes migratoires. « Je suis choqué par la nonchalance qui se manifeste face aux plus de 2 300 personnes qui ont été déclarées mortes ou disparues en Méditerranée cette année » dont plus de 600 lors d’un seul naufrage au large de la Grèce en juin, a-t-il dit.

« Il est évident qu’un nombre bien plus important de migrants et de réfugiés meurent » ailleurs dans le monde, « y compris dans la Manche, dans le golfe du Bengale et dans les Caraïbes, où les personnes en quête de protection sont constamment repoussées et expulsées », a-t-il dénoncé.

Les salauds ça ose tout, c’est à ça qu’on les reconnaît. Ils ont fait un galop d’essai avec le Covid, c’était la répétition générale. À présent ils agitent le spectre du réchauffement climatique bien que les vrais scientifiques, y compris 2 prix Nobel, aient démontré moult fois que l’activité humaine ne peut en aucun cas être responsable du réchauffement climatique et que, de toutes manières, plus il y a de CO2, mieux c’est pour le jardinier la perspective de multiplier par 2 au moins les récoltes de son jardin, non ?

Christine Tasin

https://resistancerepublicaine.com/2023/09/12/etrange-lonu-avoue-quils-nous-entrainent-dans-une-epouvantable-dictature/

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11 novembre 2023 6 11 /11 /novembre /2023 11:45
Le GIEC a rendez-vous avec l’histoire et le futur du climat…

Le GIEC n’est pas crédible tant les facteurs sont nombreux au milieu de quelques certitudes astronomiques qui ne plaident pas pour le réchauffement climatique dans la durée. Plusieurs objections majeures existent. Les cycles astronomiques, les cycles solaires, les conditions de changement et plus encore l’ordre des facteurs entre CO2 et température.

Ces objections ne peuvent plus être balayées d’un revers de main par des politiques qui se sont embarqués, en Occident, dans un projet de transition totalement fou sur le plan économique et extrêmement risqué sur le plan industriel. Il est temps d’ouvrir le débat et de respecter les libertés les plus fondamentales, celle de la recherche, celle de la controverse scientifique, celle de la liberté d’expression. Il est temps que nos politiques prennent la mesure de l’ostracisme et de l’aveuglement scientifique qui est le leur et dont les conséquences économiques et sociales vont s’avérer désastreuses : ils en seraient les seuls et uniques responsables et coupables. Dans quelques décennies, les historiens ne manqueront pas de railler les peurs de l’an 2000 comme celles de l’an mil, les premiers cherchant la crainte de Dieu pour le salut des âmes, les seconds cherchant, semble-t-il, la soumission des populations pour le profit des puissants. Les temps changent, mais les stratégies demeurent, avec, au milieu, le sacrifice de l’intelligence humaine pour que la peur règne parmi les soumis.

Les cycles de Milankovitch peuvent-ils être invalidés ?

L’astronomie est une science rigoureuse qui modélise des trajectoires. Les cycles de Milankovitch évoquent particulièrement deux causes majeures des évolutions climatiques : l’excentricité de l’orbite terrestre qui fait varier très significativement la distance de la Terre au Soleil et l’obliquité qui fait varier l’axe de rotation. En l’état des connaissances actuelles, ces cycles astronomiques ne sont pas contestés. Les travaux de Nick Shackleton, géologue, climatologue et spécialiste du quaternaire des années soixante-dix confirment que les cycles de l’excentricité correspondent à ceux des périodes glaciaires et interglaciaires. Ces variations astronomiques étant connues, ayant une probabilité d’être invalidées très faible, sauf événement astronomique inédit du style télescopage avec un astéroïde de grande taille, la prochaine période glaciaire est donc prédictible à un horizon de quelques dizaines de milliers d’années. Est-ce un fait scientifique partagé ?

Malgré cette relative certitude sur l’époque géologique récente du quaternaire, les scientifiques s’expliquent mal le fait de son invalidité sur des époques plus anciennes. En effet, la relation entre ces cycles astronomiques réputés constants et le climat n’est plus établie. Aux époques tertiaires et secondaires, il semblerait que les périodes glaciaires n’existaient pas, en l’état de nos connaissances. Cette situation n’est pas à ce jour expliquée. C’est pour dire que les prétendues causalités certaines de la détermination du climat sont d’une très grande complexité, puisqu’il a fallu d’autres phénomènes puissants pour contrecarrer les cycles astronomiques, sauf à ce qu’ils aient eux-mêmes évolué au fil du temps. Les inconnues sont nombreuses dans un passé lointain.

Toutefois, en admettant que les cycles sont valides depuis le quaternaire (2,6 millions d’années) et qu’aucun événement majeur ne les a contrariés, la prédiction est la suivante : la glaciation débuterait dans quelques milliers d’années pour s’installer à un horizon d’environ 5 000 ans. À l’horizon de 15 000 ans, nous serions bien dans la glaciation pour une période de quelques dizaines de milliers d’années.

À ce jour, personne ne peut invalider cette hypothèse. Les contradicteurs facétieux voudront bien, au lieu de calomnier les auteurs, nous exposer des arguments scientifiques contre l’existence et la qualité de la prédiction du cycle de Milankovitch.  

Le minimum de Maunder est-il envisageable vers 2030 ?

Il s’agit de la mesure de l’activité solaire qui est le surdéterminant de la chaleur à la surface du globe terrestre. Il suffit de constater la baisse de température en quelques minutes lors d’une éclipse pour admettre que le Soleil est le surdéterminant, il suffit de constater la différence de température entre la nuit et le jour ou selon les expositions saisonnières à des latitudes différentes. Les études et prédictions, elles aussi très complexes, tiennent au fait que l’on observe régulièrement des périodes de refroidissement liés à une baisse de l’intensité de l’activité solaire. Ces différents minima (Dalton, Spörer) sont établis. La compréhension de ces phénomènes reste partielle. On étudie la variation du rayonnement, les flux des rayons cosmiques et les vents solaires. Des travaux récents de la Royal Astronomical Society, dont la légitimité scientifique n’est pas moindre que celle des experts du GIEC, indiquent que l’activité solaire pourrait chuter sur la période 2030-2040. La conséquence en serait une baisse significative des températures comparable à celle connue de 1645 à 1715, dite minimum de Maunder.

Pourquoi ne pas accorder de valeur à une prédiction fondée sur cette modélisation des cycles solaires qui s’appuie sur l’analyse de la circulation des champs magnétiques et les effets dynamo du Soleil ? Ces travaux prolongent des conclusions de la NASA datant des années 2010 qui alertaient déjà sur ce phénomène, en l’estimant probable dans les décennies à venir. En effet, depuis 2011, le nombre de taches solaires diminue. Certains émettent des réserves sur cette prédiction avec prudence, puisque les nouveaux calculs ne seront validés que si les événements se produisent comme prévu. Mais pourquoi une réserve sur la prédiction des cycles solaires serait plus légitime qu’une réserve sur des prévisions infiniment moins robustes et composites, celles du GIEC ? Cherchez l’erreur.

À ce jour, en matière de cycles solaires, ces prédictions sont les plus savantes existantes. Comment ne pas les prendre au sérieux et les intégrer sérieusement dans les recherches ? Rappelons au lecteur que pendant la période du minimum de Maunder (1645-1715), la rudesse des hivers avait entraîné la gelée des principaux fleuves d’Europe (Tamise, Seine par exemple) et les minima hivernaux flirtaient avec les -25° C sur le continent européen, éternisé par les peintres flamands.

Le changement de cycle est-il imprévisible ?

L’University College London (UCL) a produit récemment des travaux qui évoquent l’éminence d’un changement de cycle. Par similitude avec une époque dénommée savamment Marine Isotope Stage 19c – MIS19c, les équipes de Chronis Tzedakis, professeur de géographie physique de l’UCL, montrent que tout est comparable à cette période d’il y a 780 000 ans. Ils en tirent un parallélisme et en induisent une prédiction de basculement prochain vers un refroidissement. Leur conclusion, le début de la nouvelle époque glaciaire pourrait commencer plus tôt, à l’horizon de  1 500 ans.

Je peux multiplier les exemples de recherches récentes, de travaux établis, de théories non invalidées qui remettent en cause assez radicalement la doxa du climat. En effet, pour contrer l’ensemble de ces phénomènes qui prédisent tous une prochaine glaciation, les tenants du réchauffement climatique n’ont en fait plus qu’un seul, unique et dernier argument : celui de la hausse du taux de CO2, de 280 à 410 ppm actuellement. Il faut donc que cette élévation soit telle que le réchauffement qu’on prétend lui lier annule tous les phénomènes contraires et que cette variation introduise un basculement ! Mais personne ne parle de la quantité de CO2 en valeur absolue dans l’atmosphère pour mesurer l’infime part de la production humaine.

Une autre hypothèse sur le CO2 existe

Elle se décompose en plusieurs éléments qui conduisent à contester vertement l’hypothèse du GIEC. Sur le siècle écoulé, il n’existe pas de relation continue d’élévation du taux de CO2 et de la température. La courbe de CO2 et celle des températures, sans oublier le crédit limité de ces moyennes planétaires, attestent d’un décalage permanent entre la température et le taux, l’élévation de la température précédant systématiquement celle du taux de CO2. Cela illustre la loi de Henry selon laquelle la température plus élevée provoque un dégazement des océans. Cette réalité inverse l’ordre des facteurs, le taux de CO2 n’étant pas la cause d’un réchauffement, mais sa conséquence puisqu’il advient après, et que, jusqu’à preuve du contraire, une cause précède chronologiquement ses effets. L’ordre d’apparition est donc essentiel. À notre connaissance, la loi de Henry n’est pas remise en cause. Sur des périodes plus longues qui ont été étudiées : les derniers 500 000 ans par exemple, la même conclusion ressort. Les courbes se suivent dans l’ordre inverse d’une relation de causalité du CO2 auteur des élévations de température. Ce déphasage est confirmé dans de nombreux travaux et publié dans des revues scientifiques comme Nature ou Science. Pourquoi le GIEC n’y accorde-t-il aucune importance visiblement, puisque cette conclusion suffirait à invalider l’hypothèse du rôle causal de l’élévation du taux de CO2 ?

Pire encore, ces évolutions alternent des phases de croissance et de décroissance. Or, à chaque fois, des études montrent que la température se met à baisser en premier, puis le taux de CO2 l’accompagne ensuite. Ces recherches mettent en évidence que le lien de causalité entre le CO2 et les températures est alors impossible ; sauf à considérer que toutes ces mesures et leurs analyses sont fausses. Faudrait-il le démontrer et s’accorder sur les mesures, leur exactitude, car aucune science commune n’est possible si nous ne partageons pas une base de données reconnues par tous. D’autres travaux montrent en revanche de fortes relations entre l’évolution des températures océaniques par latitude et le reflet du rayonnement solaire. Ces travaux concluent à l’effet majeur du rayonnement solaire sur les océans.

Devenons-nous la nouvelle Union Soviétique des savants soumis à la doxa politique ?

Tout cela mérite un débat scientifique, en rien politique, et certainement pas un projet de loi de censure de la contestation de la thèse officielle comme cela se trame actuellement en France. Serions-nous de nouveau dans une espèce d’Union Soviétique où le parti décide de ce que la science et les scientifiques doivent dire ? La période sanitaire nous a donné de sales habitudes en la matière. L’idée même que des législateurs puissent imaginer de telles lois en dit très long sur le degré de décomposition de l’esprit critique et de l’intelligence scientifique en France en particulier. Or, tout est fait pour que l’inquisition de la doxa triomphe. C’est la faillite intellectuelle de l’Occident. Celui-ci bascule sur ce sujet, comme sur d’autres dans une dictature fabriquant son idéologie scientifique, avec ses excommunications et ses interdictions d’expressions scandaleuses.

En effet, lorsque John Clauser, prix Nobel de physique 2022, doit prononcer une conférence devant le public du FMI sur la corruption des idéaux scientifiques et la controverse sur le climat dont le titre était : Quelle confiance peut-on accorder aux prédictions climatiques du GIEC ?, son intervention est étrangement annulée. Nous sommes en juillet 2023, pas à l’époque de l’Inquisition. Or, une personnalité comme J. Clauser, c’est le prix Wolf 2010 de physique, le Nobel et un des grands physiciens de sa génération. Ces arguments très épistémologiques ne sont pas secondaires. Il conteste la modélisation de phénomènes chaotiques et non linéaires. Il critique l’arrogance des conclusions qui ne sont que des scénarios parmi d’autres, avec des degrés d’inexactitudes immenses. Il interpelle sur le degré de compréhension encore très faible de process clés qui conduisent à des extrapolations très hasardeuses. Bref, il critique et conteste. Et il n’est pas le seul, car la fabrique des conclusions du GIEC est très contestable.

La réponse ne tiendra pas en l’exclusion d’un prix Nobel de physique d’un colloque. C’est une méthode sectaire et inquisitoriale inouïe, totalement indigne du 3e millénaire. Ostraciser n’a rien de très rigoureux. Cette censure témoigne du degré d’énervement d’une communauté qui perd son sang-froid. Il s’agit de faire taire le débat et la controverse contre des recherches et des résultats qui ne cessent de contrecarrer l’hypothèse du réchauffement climatique causé par l’élévation du taux de CO2.

D’autres scénarios très différents sont crédibles et plus valides

De cela plusieurs scénarios.

Le refroidissement rapide. Le cumul des lois de Milankovitch et d’un minimum de Maunder nous ferait entrer assez vite dans une période froide. Après 2100, reste quelques siècles avant d’entrer vraiment dans la période de refroidissement glaciaire. Comment imaginons-nous nous y adapter ? Ce sera un objet de discussion aux mille facettes, mais qui risque de poser les questions dans un autre sens, comme le verdissement de zones aujourd’hui arides et l’afflux de populations du Nord vers le Sud et non l’inverse.  

Le refroidissement lent. L’hypothèse d’un minimum de Maunder est différée dans le temps. Il faut attendre, peut-être le début du XXIe siècle, mais la perspective à mille ans reste celle du début du refroidissement.

Le refroidissement tempéré. Quoique je conteste l’ordre des facteurs présenté par le GIEC, admettons qu’il y ait un effet de serre modérateur-retardateur, sans qu’il vienne contrecarrer les tendances de fond précédentes, alors le processus de refroidissement serait plus lent, sans être annulable, hypothèse que j’expose mais que j’exclus ici.

Les politiques occidentaux sont pris au piège de l’intolérance idéologique

Les politiques activent une stratégie de la peur pour obtenir l’obéissance. Et plus encore, ils pratiquent la guerre d’opinion avec les mêmes techniques que celles employées lors de la covid-19 : discrédit, attaque ad hominem, mais jamais de débat sur les faits, les données, les nouvelles recherches, la possibilité d’autres interprétations, le risque d’erreur, des découvertes, etc.

Cette construction hasardeuse d’une politique se fait au nom d’une science obéissante. Des institutions sont construites pour qu’elles disent une seule chose à l’OMS ou au GIEC. C’est ce que la science ne sait pas faire, quand elle est en gestation sur des sujets qu’elle explore avec des degrés d’incertitudes considérables. Or, ces institutions sont là pour fabriquer la vérité officielle mondiale comme une nouvelle Sainte Inquisition, à la façon d’une nouvelle secte universelle. L’empressement des politiques est surprenant, leur autoritarisme et l’intolérance exacerbée qui accompagne cette dictature des transitions l’est tout autant.

Tout cela est d’autant plus perturbant en lisant les fils de commentaires de la presse. On s’interroge sur l’honnêteté intellectuelle, la sincérité, le souci de l’exactitude, l’intérêt accordé au fait au lieu de détourner l’attention en polémiquant sur les personnes. Toutes ces pratiques sur internet témoignent elles aussi d’une déviance de l’esprit scientifique et démocratique qui fondaient l’esprit occidental. L’éthique scientifique commence dans l’intégrité, la sincérité, le débat sur les faits et non sur les personnes. La plus belle preuve d’incurie du GIEC, ce sont ces multiples attaques personnelles sur internet qui démontrent à elles seules que le refus du débat est volontaire, que le souci de la vérité par la recherche de l’exactitude produite loyalement dans les recherches n’est plus là. Les enjeux sont alors ailleurs, quand la science devient la servante du politique, une idéologie de circonstance, une doctrine au service de la normalisation et de la poursuite des « infidèles ».

Ces temps derniers, c’est un peu la panique avec des chercheurs qui tentent de justifier leurs prédictions contrariées par l’actualité météorologique. Ils entretiennent une confusion permanente entre météorologie et climatologie. Eux ont le droit de dire qu’il y a réchauffement en utilisant les aléas météos : canicules par exemple, mais ils interdisent à leurs contradicteurs de faire de même avec les périodes froides observées dans de nombreuses régions depuis plusieurs années. Ensuite, les moyennes ont le beau rôle… La plus belle, c’est la prévision entre la météo du jour et la climatologie à la petite semaine dans Le Figaro d’aujourd’hui : « Nous allons vers un réchauffement accru ces 18 prochains mois » (lefigaro.fr). Et après ? Fait-on de la politique industrielle avec des investissements en centaines de milliards pour une hypothèse météorologique à 18 mois ? 

Il nous appartient sans doute d’initier les assises climatiques en y invitant des chercheurs libres dans le respect des faits et des recherches dont ces prix Nobel de physique. Il faut étayer, partager, informer. Il appartient peut-être aussi à des politiques courageux, Philippot, Zemmour, Le Pen, Dupont Aignan et d’autres d’interpeller le GIEC et l’État et les élus, car si le ridicule ne tue pas, le sacrifice de centaines de milliards pour une transition qui n’existera pas.

Pierre-Antoine Pontoizeau

 

 

 

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9 novembre 2023 4 09 /11 /novembre /2023 12:32
L’urgence climatique : escroquerie basée sur le terrorisme intellectuel

Le climat, avec son prétendu «dérèglement climatique», serait dû à l’augmentation de CO2 dont l’activité humaine serait responsable ce qui menacerait l’existence de la vie sur terre. Cela justifierait au nom de «l’urgence climatique» d’imposer à l’humanité une quantité invraisemblable de décisions et de mesures, sans aucun fondement scientifique, mais qui vont avoir des conséquences innombrables et dramatiques pour une large part de la population.

Il est assez fascinant d’observer à quel point notre société moderne a fait de nos populations des abrutis complets qui gobent tout sans aucun recul ni réflexion dès lors que l’information émane d’une autorité ou de médias ayant pignon sur rue.

De même, il est non moins stupéfiant de voir à quel point vous êtes mis à l’index par les bien-pensants, les médias, les partis et les autorités si vous vous déclarez opposé à ces théories dont j’ose affirmer qu’elles sont totalement bidons et bidonnées. Le pire étant que de nombreux citoyens vous montrent également du doigt alors que si vous les interrogez ils ne savent même pas vous dire le pourcentage de CO2 dans l’atmosphère. Ce qui confirme qu’une grande partie de la population répète bêtement et sans réfléchir le message «officiel». C’est le résultat de plus de 40 ans de décérébrations de nos jeunes par l’Éducation nationale, ainsi que par l’emprise de la pensée «écologiste», c’est à dire gauchiste, le tout relayé et amplifié par des médias largement de gauche qui ne savent qu’être l’écho de la voix de son maître – la «ligne du parti» – comme au plus beau temps du stalinisme.

Pourquoi ces théories sont-elles «bidons» et «bidonnées» ? Oh, c’est tout simple à démontrer.

C’est le GIEC, organisme de l’ONU regroupant scientifiques et non-scientifiques qui s’occupe des questions climatiques depuis la fin des années 80, qui le premier s’est mis à inventer la théorie du «réchauffement climatique», vite rebaptisée «dérèglement climatique» pour avoir été pris la main dans le sac à truander des données “scientifiques” afin d’aboutir à ce qu’il prétendait démontrer. En fait cette polémique est celle qui a été nommée la «courbe en crosse de Hockey».

Restons simple. En 1998, le dénommé Mickaël Mann (une sommité du GIEC) a produit une courbe (publiée par le GIEC en 2001), résultant d’une étude dont la conclusion était :

  • Jusque récemment le climat était globalement constant, et ce depuis la nuit des temps
  • Depuis les années 50-60 et en relation avec le développement de l’activité humaine l’augmentation du CO2 produit dérègle le climat, car le CO2 est un gaz à effet de serre qui génère un réchauffement de l’atmosphère ce qui va avoir des conséquences catastrophiques et menace même l’existence de la planète

On voit bien sur cette courbe (en “crosse de hockey”) qu’il n’y a pas dévolution significative du climat sur plus de 1000 ans mais qu’à partir de 1950 environ la température se dérègle et ne cesse de grimper.

Cette courbe qui s’est révélée être une «escroquerie scientifique» a été le point de départ de la théorie du réchauffement climatique rebaptisée «dérèglement climatique» pour les raisons que je viens d’indiquer.

Il est tout a fait intéressant de relever qu’avant Mann, le GIEC (ICPP en américain) avait une autre courbe (1990), représentant l’évolution du climat sur la même période, elle, bien représentative de la réalité.

Que voit-on sur cette courbe ?

Le «Medieval Warm Périod» c’est «l’optimum médiéval», une période pendant laquelle une très forte vague de chaleur (bien plus élevée que la hausse actuelle et pourtant l’activité humaine ne pouvait être en cause) a été constatée et qui a duré plus de 3 siècles. On faisait pousser des vignes en Angleterre à cette époque et c’est aussi pour cette raison que le Groenland porte son nom («Terres Vertes») car à l’époque au Xe siècle lorsque les Vikings ont colonisé ces terres elles n’étaient nullement les terres arides et gelées actuelles.

Le «Little Ice Age» est le «petit âge glaciaire», période qui a duré un peu plus de 4 siècles et s’est achevée en 1850 environ. Cela a correspondu à une période extrêmement froide. La Tamise à Londres était gelée régulièrement.

Donc cette courbe démontre, et le GIEC était d’accord, qu’il y a eu dans les 1000 ans précédant la période actuelle des variations climatiques considérables pour lesquelles l’homme n’était nullement un facteur à prendre en compte.

En fait, de très nombreux scientifiques attribuent ces variations climatiques à des cycles longs résultant du soleil ainsi qu’aux nuages et à la quantité de vapeur d’eau dans l’atmosphère (gaz à effet de serre autrement plus important et puissant que le CO2).

Il en est de même actuellement et la décision d’attribuer ce changement à l’homme et ses activités est une décision politique relevant à 100% de l’idéologie mais ne découlant pas de faits scientifiquement constatés.

On en trouve la preuve dans des études faites par des scientifiques à partir de forage faits dans la banquise et de prélèvements, à cette occasion, de carottes de glace. Ces carottes permettent d’analyser les gaz emprisonnés dans la glace, notamment le CO2. Ces scientifiques ont ainsi pu prouver que l’évolution de la quantité de CO2 se fait avec 800 ans de retard par rapport à l’évolution de la température.

En clair, ce n’est pas l’élévation de la quantité de CO2 dans l’air qui fait augmenter la température. C’est l’inverse qu’on constate. C’est à dire que l’élévation de la température constatée entraîne avec 800 ans de retard une augmentation de la quantité de CO2 dans l’atmosphère.

Vous trouverez à cette adresse 4 vidéos passionnantes qui vous expliqueront tout cela.

https://lemediaen442.fr/documentaire-la-grande-arnaque-du-rechauffement-climatique/

Vous l’aurez compris, il en va de même avec le soi-disant problème du dérèglement climatique actuel. Si hier le CO2 n’était nullement responsable de l’augmentation de la température, il en est de même aujourd’hui.

Donc tout le battage fait pour affoler les populations n’a aucun fondement. C’est par idéologie pure qu’il est affirmé que le grand responsable de tout cela serait le CO2 résultant de l’activité humaine. Mais cela a des conséquences tout à fait considérables :

  • Finie la mauvaise blague sur l’impératif de la neutralité carbone en 2050
  • Finie la comédie sur l’obligation d’arrêter d’utiliser du pétrole, du charbon et du gaz
  • Finie la comédie sur l’obligation d’arrêter les voitures à moteur thermique
  • Finie la prétendue obligation de passer aux voitures électriques
  • Finie la mascarade sur la transition énergétique
  • Finie les mensonges sur l’obligation de recourir à l’éolien et à la méthanisation
  • Finie les directives européennes sur l’obligation de rénover tout le parc immobilier
  • etc.

On voit donc que les conséquences de l’arrêt du délire sur le nécessaire «sauvetage de la planète» aura des conséquences incalculables pour les populations. Sans parler des conséquences catastrophiques en termes d’intérêts économiques pour les producteurs d’éoliennes, de panneaux solaires, de voitures électriques, etc. pour tous ceux qui auront misé sur l’urgence climatique”.

Alors bien sûr tous ceux qui sont liés au combat contre le CO2, par idéologie ou par intérêts économiques, ne veulent surtout pas qu’un débat honnête, argumenté et étayé par des éléments scientifiques, ait lieu.

Il faut à l’inverse faire taire tous les mal-pensants. Et comme d’habitude, le COVID en a donné un autre exemple, c’est par le terrorisme intellectuel qu’ils entendent arriver à empêcher le public d’être informé.

Le site internet «Le Média en 4-4-2» rapportait que :

«En août 2023, plus de 1 600 scientifiques, dont deux lauréats du prix Nobel de physique, les Norvégiens Clauser et Ivar Giaever, ont signé une déclaration affirmant qu’il n’y a pas d’urgence climatique et que l’appel à l’action sur le climat a évolué en une forme d’hystérie collective. Les sceptiques font valoir que la transformation radicale de sociétés entières se déroule sans un débat approfondi, et qu’elle est basée sur des affirmations scientifiques douteuses amplifiées par un journalisme impulsée par l’émotion ou par une orientation idéologique plutôt que de suivre une méthodologie journalistique objective et basée sur des preuves.»

Ces scientifiques n’auront jamais la parole dans les grands médias bien-pensants.

L’affaire est loin d’être gagnée, mais le combat contre «l’urgence climatique» déjà engagé est absolument indispensable, notamment du fait des enjeux innombrables liés à cette question.

Il est donc de la responsabilité de chacun de s’associer à ce combat contre cette idéologie délirante qui veut effrayer les populations avec des arguments fallacieux et imposer ce point de vue par le terrorisme intellectuel.

Bernard GERMAIN

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