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4 février 2023 6 04 /02 /février /2023 09:56
Le noyau interne de la Terre serait en train d’inverser sa rotation, impactant l’organisation de la vie à la surface

Le noyau interne est séparé du noyau externe de la Terre et tourne différemment. Depuis cette affirmation, son existence et son rythme ont été contestés pendant plus de deux décennies. De plus, cette rotation pourrait potentiellement avoir un impact sur la rotation même de la Terre et donc modifier la durée de nos journées et de nos nuits, et notre climat. Récemment, des chercheurs expliquent que le noyau interne serait en train d’inverser sa rotation, un événement qui se produirait tous les 70 ans. Les impacts sur la durée des journées et sur les fluctuations du champ magnétique terrestres sont encore inconnus.

 La Terre possède un noyau interne de fer solide d’environ 2400 km de diamètre. Enroulé autour se trouve un noyau externe fluide de 7000 km de diamètre. Le noyau interne solide est l’une des zones les plus dynamiques à l’intérieur de la Terre. Comme il flotte dans le noyau externe, il peut tourner indépendamment. Par cette rotation, il génère le champ magnétique, qui protège la planète des rayonnements nocifs et des effets du vent solaire.

La proposition selon laquelle le noyau interne de la Terre est un cœur chauffé à blanc de cristaux de fer disposés spécifiquement, tournant indépendamment du reste de la planète, a été renforcée par Kenneth Creager, professeur agrégé de géophysique de l’Université de Washington en 1997.

Il a découvert que le noyau interne — qui a un diamètre correspondant aux trois quarts de celui de la Lune, soit de la taille de Pluton — n’est pas aussi agile qu’on le pense. Sa rotation, par rapport aux deux couches externes de la Terre (la croûte et le manteau) est 4 à 12 fois plus lente que précédemment estimé.

Malheureusement, ce n’est pas la première fois que cette rotation a été réévaluée, et son existence remise en question, tout comme le sens de rotation. En 2022, des scientifiques de l’Université de Caroline du Sud ont abouti à une vitesse de rotation plus lente que celle précédemment estimée. Les débats restent vifs, puisqu’il est impossible d’observer directement le comportement du noyau. Les chercheurs doivent utiliser des mesures indirectes pour expliquer le schéma, la vitesse et la cause du mouvement et des changements.

Récemment, une équipe de l’Université de Pékin suggère que le noyau interne a fortement freiné sa rotation et qu’il aurait même pu l’inverser, un événement qui se répéterait de manière périodique, tous les 70 ans. Nous sommes certainement en pleine phase de changement selon eux. Leur étude est publiée dans la revue Nature Geoscience.

Observations indirectes par l’étude des ondes

Bien que les scientifiques ne puissent pas suivre directement le noyau comme mentionné précédemment, ils peuvent analyser les ondes sismiques causées par les tremblements de terre — et les essais d’armes nucléaires de l’époque de la guerre froide — lorsqu’elles atteignent le noyau.

Il faut préciser que si le noyau était inerte, sans rotation, comme certains l’entendent, la durée de passage de ces ondes ne changerait jamais — pourtant, c’est le cas. C’est pourquoi la seule explication cohérente est que le noyau interne tourne, déviant ces ondes.

composition terre noyau
Composition de la Terre, avec le noyau interne en rotation indépendamment des autres couches. © USC/Edward Sotelo

 

 

 

Dans cette étude, les co-auteurs de l’étude Yi Yang et Xiaodong Song, sismologues à l’Université de Pékin, se sont appuyés sur l’analyse des ondes sismiques enregistrées depuis les années 1960 jusqu’à nos jours.

 

Sur la base de leur analyse, ils affirment qu’au début des années 1970, par rapport à quelqu’un se tenant à la surface de la Terre, le noyau interne ne tournait pas. Depuis lors, le noyau interne se serait progressivement mis à tourner plus rapidement vers l’est, dépassant finalement la vitesse de rotation de la surface de la Terre. Par la suite, la rotation du noyau interne s’est à nouveau ralentie jusqu’à ce que sa rotation semble presque interrompue (vers 2009), avant de repartir dans le sens opposé.

Les auteurs expliquent à l’AFP : « Nous pensons que le noyau interne tourne, par rapport à la surface de la Terre, d’avant en arrière, comme une balançoire. Un cycle de ‘swing’ dure environ sept décennies, ce qui signifie qu’il change de direction environ tous les 35 ans ». Ils ajoutent que la prochaine volte-face aurait lieu au milieu des années 2040.

Une nouvelle controverse ?

Des experts non impliqués dans l’étude ont exprimé leur prudence quant à ces conclusions, soulignant plusieurs autres théories et avertissant que de nombreux mystères subsistent au sujet du noyau de la Terre.

 

John Vidale, sismologue à l’Université de Californie du Sud, non impliqué dans la présente étude, explique à l’AFP : « Il s’agit d’une étude très minutieuse réalisée par d’excellents scientifiques qui ont fourni de nombreuses données. [Mais] aucun des modèles n’explique très bien toutes les données à mon avis ».

En 2022, J. Vidale a publié ses travaux quant à l’analyse des données sismiques issues d’une paire de tests atomiques antérieurs sous l’île d’Amchitka, à la pointe de l’archipel de l’Alaska — Milrow en 1969 et Cannikin en 1971. Il y identifia un cycle de six ans de super- et de sous-rotation, qui affectent la durée d’une journée.

Il déclarait dans un communiqué : « D’après nos découvertes, nous pouvons voir les changements de surface de la Terre par rapport à son noyau interne, comme les gens l’affirment depuis 20 ans. Cependant, nos dernières observations montrent que le noyau interne a tourné légèrement plus lentement de 1969 à 1971, puis a tourné dans l’autre sens de 1971 à 1974. Nous notons également que la durée du jour a augmenté et diminué comme on pouvait le prévoir ».

 

L’étude soutient la spéculation selon laquelle les oscillations du noyau interne sont liées à des variations de la durée du jour — plus ou moins 0,2 seconde sur six ans — et des champs géomagnétiques. Les auteurs soulignent que les résultats fournissent une théorie convaincante pour de nombreuses questions posées par la communauté des chercheurs.

John Vidale ajoute : « Le noyau interne n’est pas fixe — il bouge sous nos pieds et semble faire des allers-retours de quelques kilomètres tous les six ans. Nous nous sommes lancés dans l’espoir de voir le même sens et le même taux de rotation dans la paire de tests atomiques précédente, mais au lieu de cela, nous avons vu le contraire. Nous avons été assez surpris de constater que ça allait dans l’autre sens ».

Des changements en profondeur et des impacts en surface

Pour la présente étude, les observations sismiques révèlent donc que le noyau interne de la Terre oscille sur une période d’environ sept décennies. La périodicité multidécennale coïncide avec celle de plusieurs autres observations géophysiques, notamment les variations de la durée du jour et du champ magnétique terrestre, suggérant des interactions dynamiques entre les grandes couches de la Terre.

 

Effectivement, les chercheurs de l’Université de Pékin affirment dans leur article que : « Ces observations fournissent des preuves d’interactions dynamiques entre les couches de la Terre, de l’intérieur le plus profond à la surface, potentiellement dues au couplage gravitationnel et à l’échange de moment cinétique du noyau et du manteau à la surface ».

Il faut rappeler de plus que l’année dernière a vu la Terre ralentir sa rotation de façon inexpliquée sans qu’aucune des hypothèses ne soit totalement concluante. Notre planète bouge et évolue, indépendamment de nos préoccupations. Nous nous targuons d’être un moteur de changement pour la Terre, mais de telles découvertes nous ramènent à notre juste place, face aux forces physiques qui nous dominent. Certes, nous influençons les milieux auxquels nous avons accès, mais le cœur de la Terre et le champ magnétique modèlent nos vies de manière bien plus grande que nous le postulions jusqu’ici.

Sans compter qu’au cours des 200 dernières années, le champ magnétique terrestre s’est affaibli d’environ 9% en moyenne mondiale, sans que cela ne soit vraiment expliqué, sauf un possible retournement des pôles magnétiques de la Terre. Rappelons que les pôles magnétiques Nord et Sud de la Terre changent à intervalles irréguliers, en moyenne tous les 200 000 ans environ, et l’événement pourrait avoir un effet dramatique sur l’environnement et la technologie.

 

Mais si la rotation du noyau interne a bien une plus grande influence sur notre champ magnétique et peut potentiellement l’affaiblir, cela induirait une petite quantité de rayonnement solaire supplémentaire pouvant atteindre la surface de la Terre. Les auteurs concluent : « Nous espérons que nos recherches motiveront les chercheurs à concevoir et à tester des modèles considérant la Terre comme un système dynamique intégré ».

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3 août 2022 3 03 /08 /août /2022 14:00
Le Chanvre, une Plante Miracle ?
Le Chanvre, une Plante Miracle qui pousse avec un fort rendement et qui peut servir à de nombreux usages ?
 

 

 4. Le chanvre pousse en 4 mois, un arbre pousse en 20-50 ans. 

 5. La fleur de chanvre est un véritable piège à radiations. 

 6 Le chanvre peut être cultivé partout dans le monde et il nécessite très peu d'eau. De plus, comme il est capable de se protéger contre les insectes, il n'a pas besoin de pesticides. 

 7. Si les textiles fabriqués à partir de chanvre se répandent, l'industrie des pesticides pourrait complètement disparaître.

8 Les premiers jeans ont été fabriqués à partir de chanvre ; même le mot "CANVAS" est le nom des produits à base de chanvre. Le chanvre est une plante idéale pour fabriquer des cordes, des cordons, des sacs, des chaussures et des chapeaux. 

9 — Le Chanvre peut être transformé en isolant naturel ! 

10 — Vous pouvez faire des briques de chanvre avec de la chaux naturel pour faire des constructions ! 

11 — Les Graines de Chanvre sont une très bonne nourriture complète ! 

12 — L'Huile de Chanvre à des qualités thérapeutiques importantes ! 

 
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2 juillet 2022 6 02 /07 /juillet /2022 16:20
Effets délétères des « vaccins » à ARNm : les raisons scientifiques

Dans cet article probatoire intitulé « Innate Immune Suppression by SARS-CoV-2 mRNA Vaccinations: The role of G-quadruplexes, Exosomes, and MicroRNAs » (Immunosuppression induite par l’ARNm du SRAS-CoV-2 Vaccinations: Le rôle des G-quadruplexes, Exosomes et microARN) :

https://enromiosini.gr/newsite16/wp-content/files/2022/04/1-s2.0-S027869152200206X-main.pdf

validé le 8 avril dernier par la revue Food and Chemical Toxicology, quatre chercheurs d’horizons divers : Stephanie Seneff, du Massachusetts Institute of Technology (MIT), Greg Nigh, Anthony M. Kyriakopoulos  et Peter A. McCullough  (fondateur et actuel président de la Cardiorenal Society of America), donnent les raisons scientifiques des effets délétères des « vaccins » anti-covid à ARNm.

***

Il est naturellement hors de question de détailler ici les raisons (nécessairement très techniques) exposées par ces chercheurs. Nous nous contenterons de reproduire l’« abstract » de leur mémoire :

« In this paper, we present evidence that vaccination induces a profound impairment in type I interferon signaling, which has diverse adverse consequences to human health. Immune cells that have taken up the vaccine nanoparticles release into circulation large numbers of exosomes containing spike protein along with critical microRNAs that induce a signaling response in recipient cells at distant sites. We also identify potential profound disturbances in regulatory control of protein synthesis and cancer surveillance.

 These disturbances potentially have a causal link to neurodegenerative disease, myocarditis, immune thrombocytopenia, Bell’s palsy, liver disease, impaired adaptive immunity, impaired DNA damage response and tumorigenesis.

We show evidence from the VAERS database supporting our hypothesis. We believe a comprehensive risk/benefit assessment of the mRNA vaccines questions them as positive contributors to public health. »

***

Traduction :

« Dans cet article, nous expliquons pourquoi la vaccination induit une altération profonde de la signalisation de l’interféron de type I, qui a diverses conséquences néfastes pour la santé humaine. Les cellules immunitaires qui ont absorbé les nanoparticules du vaccin libèrent dans la circulation [sanguine] un grand nombre d’exosomes contenant des protéines de pointe (protéines Spike) ainsi que des microARN critiques qui induisent une réponse de signalisation dans les cellules réceptrices sur des sites distants. Nous identifions également des perturbations profondes potentielles dans le contrôle régulateur de la synthèse des protéines et la surveillance du cancer.

Ces perturbations ont potentiellement un lien de causalité avec les maladies neurodégénératives, la myocardite, la thrombocytopénie immunitaire, la paralysie de Bell, les maladies du foie, l’altération de l’immunité adaptative, une réponse altérée aux dommages subis par l’ADN et la tumorigenèse.

Nous apportons des arguments provenant de la base de données VAERS  [NdA : l’équivalent américain d’EudraVigilance] à l’appui de notre hypothèse. Nous croyons qu’une évaluation complète des risques et des avantages des vaccins à ARNm les remet en question en tant que contributeurs positifs à la santé publique. »

***

Le numéro de juin/juillet  de la revue Food and Chemical Toxicology (mise en ligne le 15 mai dernier) publie la version finalisée de cet article probatoire. Cette version est depuis peu disponible en français :

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9012513/

Le résumé précédent est précédé du paragraphe suivant :

« Les vaccins à ARNm SARS-CoV-2 ont été mis sur le marché en réponse aux crises de santé publique de Covid-19. L’utilisation de vaccins à ARNm dans le contexte de maladies infectieuses n’a pas de précédent. Les nombreuses altérations de l’ARNm du vaccin cachent l’ARNm des défenses cellulaires et favorisent une demi-vie biologique plus longue et une production élevée de protéine de pointe. Cependant, la réponse immunitaire au vaccin est très différente de celle à une infection par le SRAS-CoV-2. »

Nous souhaitons bon courage aux non-scientifiques qui souhaiteraient se lancer dans la lecture de ce mémoire…

***

Ce mémoire fondamental devrait mettre un point final aux campagnes de vaccination auxquelles les autorités sanitaires de nombreux pays – dont hélas, la France, et la nomination d’Elisabeth Borne au poste de Premier ministre est à cet égard très inquiétante – soumettent leur population :

 

***

Henri Dubost

In girum imus nocte ecce et consumimur igni 

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19 mai 2022 4 19 /05 /mai /2022 18:39
Dr. Andreas Kalcker : Le Dioxyde de Chlore dénature la Protéine Spike et redonne la vitalité aux injectés !
Le Dioxyde de Chlore dénature la Protéine Spike

Le Dr Andreas Kalcker affirme que les personnes vaccinées vont mieux avec le dioxyde de chlore, il est maintenant scientifiquement connu que la protéine spike du vaccin est dénaturée par le dioxyde de chlore. 

Des tests quotidiens confirment que "la solution CDS pour les patients vaccinés est comme un ticket pour la vie". 

Les personnes qui prennent du dioxyde de chlore avant une vaccination, ne ressentent pas les effets négatifs des injections diaboliques ! 

Demander notre liste de produits pour renforcer vos défenses immunitaires, dont le Dioxyde de Chlore, à filibert82@yahoo.fr !

Cliquez sur ce lien si vous ne voyez pas la vidéo.

 

Alcyon Pleiades Conseillé

 
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20 mars 2022 7 20 /03 /mars /2022 19:27

mouvement perpetuel

 

 

 

A ce jour, on peut lire sur le mouvement perpétuel que son impossibilité découle des lois de la thermodynamique.

Néanmoins, le mouvement perpétuel en question n'a rien à voir avec ces dernières, car il découle de la loi la plus fondamentale de la nature, le principe unificateur de l'univers, la condition même de la connaissance scientifique, la relativité, et plus précisément le principe de relativité générale "d'échelle de grandeur" autrement exprimé : violation du principe d'équivalence.

Le mouvement perpétuel est la transformation physique d'un système réversible et cyclique pour faire du travail sans consommation d'énergie.
Il se présente sous la forme d'une roue sur laquelle sont fixés des mécanismes réversibles, ce qui la rend automatiquement réversible.

Chaque mécanisme est équipé d'un levier de commande qui se déplace dans un angle de 22,5 degrés, ce qui détermine suivant sa longueur, l'espace dans lequel il peut évoluer, et d'un poussoir qui permet de transformer sous la pression du levier de commande actionné par l’énergie sous forme de moment cinétique introduite dans la machine, un mouvement rotatif en mouvement rectiligne, provoquant ainsi le déplacement d'une masse " invariante " et la compression d'un ressort, ce qui rend automatiquement cette dernière positivement mais inversement chargée.

Il y a 2 butées pour obtenir le mouvement de chaque levier de commande : une en bas de la roue, et l'autre en haut.

Au passage de la butée du bas, la masse, par l'intermédiaire du levier de commande et du poussoir, est positivement rapprochée du barycentre de la roue mais inversement du centre de la terre, une biellette fonctionnant par gravitation la maintient dans cette position; la roue, en tournant, rencontre la 2ème butée qui se trouve en haut. Le levier de commande, à ce moment précis, permet à la biellette de se dégager par gravitation et au ressort de renvoyer la masse à sa position initiale de départ, mais une deuxième fois éloignée du centre de la terre, ce qui explique la réversibilité d'un mécanisme et, par là même, de la machine.

Au moment où la masse du bas est rapprochée du barycentre de la roue, et que celle du haut est revenue en arrière à sa position de départ initiale, ces dernières se trouvent en superposition d'états
.
La roue, en tournant, permet, dans une unité de temps, à la masse qui se trouve en haut, plus loin et en bas en tournant plus près du centre de la terre, de parcourir une distance plus grande que celle qui se trouve en haut plus près et en bas en tournant plus loin du centre de la terre. Et comme la relativité "d'échelle de grandeur", par rapport au barycentre de la roue, est restreinte pour 2 masses elle devient générale pour toutes les masses.

Il se produit une dichotomie au profit des masses éloignées du barycentre de la roue, ce qui explique l'énergie sous forme de moments cinétiques (balourds additionnés), et par là même sa conservation.

Le barycentre de la roue se trouvant relativement déplacé, cette dernière se trouve en perpétuelle recherche d'un impossible équilibre.

Seul le déport des masses permet de définir le nombre de mécanismes pour que le couple moteur surpasse le moment antagoniste, et cela sur la base de la loi de la gravitation universelle.

Cette loi de la gravitation universelle dit :

Que la matière attire la matière, en raison directe des masses, ce qui signifie qu’une masse double, triple, quadruple exerce à la même distance une attraction double, triple, quadruple.
La matière attire la matière, en raison inverse du carré des distances, ce qui signifie qu’une masse placée successivement à une distance double, triple, quadruple du corps attiré, exerce sur lui, une attraction quatre fois, neuf fois, seize fois moins intense.
Une masse sphérique attire comme si toute sa substance était réunie à son centre, vers lequel, le corps attiré, tend à se diriger et se dirige en effet, si aucune cause ne l'en empêche.

La masse ayant un poids de 2,240Kg a donc un demi-produit de 1,120Kg, ce dernier le demi-produit 1,120Kg face à 4,480Kg devient 1/4 de produit parce que le moment antagoniste est composé d'une masse et d’une compression qu'il faut monter (en somme le poids de 2 masses) l'inverse carré de 4 est bien 1 : 4 = 1/4 et 1 x 4 = 4, mais étant donné que la roue est réversible, on peut très bien l’expliquer par une simple démonstration géométrique, ce qui permet de supprimer toutes sortes d'équations.

 

Une roue plus simple pour mieux comprendre.

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10 mars 2022 4 10 /03 /mars /2022 10:41
 Protéine Spike et ADN CC

Protéine Spike et ADN CC

ANALYSE - Des chercheurs, des universitaires, des statisticiens et quelques journalistes essayent d’alerter la population sur la « mortalité vaccinale », c’est-à-dire sur les morts provoquées par la vaccination COVID, qui se chiffrent déjà en milliers de personnes et qui est aussi accompagnée de centaines de milliers d’effets secondaires graves dans le monde. Ces personnes qui alertent, trop peu nombreuses si on considère la gravité de la situation, sont victimes de censure et les États ainsi que les firmes pharmaceutiques, par la bouche des médias, nient ou ignorent ces chiffres alors même que ces données sont officielles et accessibles si on fait l’effort de les rechercher (CDC-VAERS, Eudravigilance) et on estime que ces remontées ne représentent qu’environ 10% de la réalité.

 

Issu de (Starr TN et al., 2020)

 
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Le but de cet article est d’évoquer les mécanismes biologiques pouvant expliquer la toxicité des vaccins qui utilisent des technologies génétiques à base d’ARNm et d’ADN, basées sur la fabrication par l’organisme humain d‘une réplique proche de la protéine spike du SARS-CoV2. Une fois cette protéine produite, elle induit une réaction immunitaire qui permet l’élaboration d’anticorps contre le virus SARS-CoV2, responsable de la pathologie du COVID.
 

Introduction sur la protéine Spike

La maintenant célèbre protéine « Spike » (protéine « de pointe » en français) permet au virus SARS-CoV2 (le virus qui provoque le COVID) de s’ancrer sur les cellules humaines grâce à son récepteur : l’ACE2. L’image ci-dessus représente cette liaison avec en rouge les protéines spike du virus qui lui donnent d’ailleurs le nom de coronavirus (couronne) ; la partie rose de la protéine spike (RBD ou domaine de liaison au récepteur) est la partie précise qui permet la liaison au récepteur ACE2 (en bleu) et permet ensuite au virus de pénétrer dans la cellule humaine où il va libérer son ARN et se répliquer avant d’infecter d’autres cellules.

Le récepteur ACE2 est une protéine qui traverse la membrane des cellules qui la contiennent (on dit qu’elle est transmembranaire), et s’appelle Angiotensin-converting enzyme 2.

 

Pourquoi la Spike est toxique 

Commençons par parler du virus. Notre « malchance », comme déjà écrit dans ma lettre d’information à l’attention des parlementaires, est que le récepteur ACE2 est une protéine clé pour notre santé ! C’est une enzyme (une protéine qui facilite des réactions chimiques) qui a des missions extrêmement positives et cruciales pour notre organisme : elle aide à réguler la pression sanguine et surtout, ce qui est particulièrement clé dans la pathologie du COVID, elle est très importante pour lutter contre l’inflammation dans notre organisme ! Et le COVID est une pathologie inflammatoire.

Le virus se fixe donc sur une protéine très utile pour l’équilibre de notre santé. En étant sollicitée/occupée par son lien avec le virus, l’ACE2 ne peut plus jouer son rôle anti-inflammatoire essentiel. Cela crée un déséquilibre avec une autre enzyme avec laquelle elle est normalement en balance : l’ACE (l’Angiotensin-converting enzyme) qui elle, active l’inflammation et qui elle, est laissée libre par le virus. La conséquence de ce déséquilibre ACE2/ACE est une hyper-inflammation qui se développe par l’intermédiaire de quatre voies biochimiques majeures qui seront ré-évoquées dans cet article.

Donc c’est précisément en se liant à ACE2 que la protéine spike du virus SARS-CoV2 produit une part significative de l’inflammation que l’on observe dans le COVID ! Et qui peut conduire au fameux « orage de cytokines », à la pneumonie et au syndrome de détresse respiratoire aiguë potentiel (ARDS) avec coagulation et enfin à la mort.

Et c’est cette même protéine spike que l’on demande aux vaccins ARNm et ADN de produire en grande quantité (incontrôlée) dans notre organisme ! Avec la même affinité pour le récepteur ACE2, donc capable de déclencher les mêmes processus inflammatoires que la spike du virus, ceci étant bien connu dans la littérature scientifique depuis dix ans au moins et donc aussi par les fabricants de vaccins.

 

Une toxicité diffuse de spike dans l’organisme, disséminée par le virus mais aussi par les vaccins

Le deuxième problème très préoccupant qui décuple la toxicité de cet interaction Spike/ACE2 est que ces récepteurs ACE2 sont présents à peu près partout dans l’organisme : pharynx, trachée, poumons, sang, cœur, vaisseaux, intestins, cerveau, organes génitaux masculins et reins, et aussi dans les liquides organiques (mucus, salive, urine, liquide céphalo-rachidien, sperme et lait maternel) (Trypsteen W et al., 2020).

 

Aperçu du niveau d’expression des récepteurs ACE2 dans l’organisme - Le gradient de couleur (orange) indique le niveau bas ou élevé d’expression d’ACE2 dans les tissus ou les fluides biologiques. Les plus hauts niveaux ont été détectés dans la cavité orale, le tractus gastrointestinal et le système reproducteur masculin - De (Trypsteen W et al., 2020)

 

Cela a pour conséquence pour le virus, de pouvoir créer cette inflammation dans de nombreux organes. D’ailleurs, la majorité des patients atteints de COVID présentent divers autres symptômes en plus de troubles respiratoires, notamment des dysfonctionnements neurologiques, cardiovasculaires, intestinaux et rénaux (Argenziano MG et al., 2020) (Huang Cet al., 2020) (Lin L et al., 2020) (Chu KH et al., 2005) (Mao L et al., 2020).

La protéine spike étant présente dans le SARS-CoV2 (et ses variants) et dans les vaccins la produisant, cette toxicité s’applique donc à la fois au COVID (formes graves mais aussi COVID longs) mais aussi potentiellement à tous les vaccins qui reposent sur une production non maîtrisée de protéine spike par les cellules, au contraire des vaccins qui sont réalisés à partir de virus entier désactivé ou à base de protéine spike désactivée. En effet, on sait maintenant qu’après injection de tels vaccins, on retrouve cette protéine spike à la fois à la surface des cellules (là où les fabricants nous avaient dit qu’elle se retrouverait) mais on retrouve aussi une quantité importante libre et circulant dans le sang et atteignant différents organes y compris le cerveau. Tous ces organes, cerveau compris, exprimant des récepteurs ACE2. L’inflammation peut avoir lieu partout y compris dans des organes vitaux : cœur, cerveau, foie, reins…

Alors ? pourquoi les dossiers des firmes vaccinales (Moderna, Pfizer) ne donnent que des informations (très incomplètes) sur la toxicité de l’ARNm ? Et rien sur la sécurité de la protéine spike !? Peut-être parce que des chercheurs ont montré que la protéine spike seule pouvait induire des thromboses. Et on parle bien ici de la spike seule, sans le virus entier, comme dans le cas des vaccins ARNm et ADN produisant de la spike (Nuovo GJ, et al., 2021). Il a été démontré en effet qu’une partie des protéines spike synthétisées par les cellules cibles du vaccin se retrouvent sous forme libre et circulent dans le sang où elles peuvent interagir avec les récepteurs ACE2 exprimés par diverses cellules, y compris les plaquettes, favorisant ainsi les phénomènes inflammatoires évoqués (Angeli F et al., 2021) (Zhang S et al., 2020).

 

Toxicité de la protéine spike issue des vaccins

Une étude très intéressante a montré qu’en utilisant un pseudo-virus à la surface duquel on a exprimé la protéine spike (partie S1 qui contient le RBD) du SARS-CoV2 mais dépourvu d'ARN viral, on provoquait une inflammation et des dommages dans les artères et les poumons de souris exposées par voie intratrachéale (Lei et al., 2021). La même chose a été observée sur des cellules humaines épithéliales (celles qui tapissent la paroi de nos vaisseaux) avec attaque des mitochondries (compartiment qui fabrique l’énergie de la cellule). Ce travail montre clairement que la protéine spike seule, non associée au reste du génome viral, est suffisante pour provoquer les dommages cardiovasculaires associés au COVID-19. Les implications pour les vaccins sont évidemment très préoccupantes !

 

Les images prises en microscopie confocale ci-dessus (Lei et al., 2021) montrent la fragmentation de la mitochondrie dans des cellules endothéliales vasculaires traitées avec la protéine Spike SARS-CoV-2 (à droite) par rapport à des cellules normales (à gauche).

 

Au moins aussi préoccupant, dans une étude in vitro, des chercheurs ont montré que la spike seule (partie S1) induisait une perte d’intégrité de la barrière hémato-encéphalique (qui sépare les vaisseaux irriguant le cerveau du système nerveux central) sur un modèle reconstituant cette barrière, ce qui suggère la possibilité d’une inflammation dans les vaisseaux du cerveau et dans le cerveau lui-même (Buzhdygan et al., 2020).

 

Ce passage de la barrière hémato-encéphalique a été confirmé chez la souris et la protéine spike a été observée sur les neurones dans tout le cerveau (Rhea EM et al., 2021). C’est très perturbant car on sait que l’ARNm des vaccins peut atteindre le cerveau (Bahl et al., 2017), comme le précise aussi l’Agence Européenne du Médicament (EMA) à hauteur de 2% de la concentration plasmatique (European Medicines Agency, 2021). Cet ARNm peut y produire de la protéine spike et les récepteurs ACE2 étant très nombreux dans le cerveau, on peut s’attendre à des problèmes d’ordre nerveux ou de dégénérescence? notamment de cellules qui ne sont pas renouvelées.

D’autre part, la protéine spike du SARS-CoV2 et du vaccin en mobilisant ACE2 induit aussi une diminution de la sérotonine, ce qui aggrave ou peut provoquer des états dépressifs voire suicidaires (Klempin F et al., 2018) (de Melo LA et al., 2020).

À noter aussi que des pertes d’odorat (anosmie) ont été décrites suite à la vaccination chez des sujets négatifs au COVID, ce qui montre que des symptômes identiques au COVID peuvent apparaître et avoir été déclenchés uniquement par la protéine spike (Konstantinidis I et al., 2020).

Au vu de ces travaux accessibles facilement sur les bases de données ou même Google… tout chercheur ou médecin consciencieux devrait se poser la question de la toxicité de la protéine spike dans les vaccins. Les déclarations de l’AFP, des politiques quelles que soient leur fonction, ou des fameux « fact Checkers » doivent être ignorées au profit d’une vraie recherche critique? car il en va de la santé de la plupart des humains sur cette planète, enfants compris, puisqu’on est entré dans une « logique » de vaccination de masse.

En fait, de nombreux chercheurs et médecins dans le monde ont conscience et observent la toxicité de ces nouvelles thérapies géniques, mais on leur donne peu de place dans les médias dans ce cadre très contrôlé de la doxa du COVID et de la vaccination comme seule solution à la crise que nous traversons, comme évoqué dans cette vidéo du Conseil Scientifique Indépendant du 29 avril 2021.

Les préoccupations légitimes sur le sujet passent parfois le filtre, comme cette lettre du Dr J. Patrick Whelan de l’Université de Californie dans un courrier de décembre 2020 à la FDA : https://www.regulations.gov/document/FDA-2020-N-1898-0246

« Aussi important soit-il d'arrêter rapidement la propagation du virus en immunisant la population, ce serait bien pire si des centaines de millions de personnes subissaient des dommages durables, voire permanents, de leur système microvasculaire cérébral ou cardiaque à la suite d’un défaut d’appréciation à court terme, un effet involontaire des vaccins à base de protéines de pointe, pleine longueur sur ces autres organes.

Une prudence particulière sera de mise en ce qui concerne la vaccination potentielle à grande échelle des enfants, avant qu'il n'y ait des données réelles sur l'innocuité ou l'efficacité de ces vaccins dans les essais pédiatriques qui ne font que commencer. »

C’est tout simplement du bon sens, de l’éthique et tout d’abord un peu de recherche bibliographique puisque sa lettre est étayée de publications.

Ce qui est plus grave encore, c’est que la toxicité de la spike seule (comme dans les vaccins) est connue depuis plus de dix ans (Chen IY et al., 2010) avec le SARS-CoV1 ! Et la protéine spike du SARS-CoV-1 est identique à 76-78% à celle du SARS-CoV-2 (Wan Y et al., 2021). Ainsi, des études in vivo ont démontré que la protéine de pointe du SARS-CoV-1 aggravait l'insuffisance pulmonaire aiguëe par des voies inflammatoires similaires au SARS-CoV2 (Kuba K et al., 2005) (Patra T et al., 2020).

Encore pire, des études remontant aussi à l'infection par le MERS-CoV et le SARS-CoV-1 ont montré que les vaccins basés sur la protéine spike entière induisaient une forte réponse inflammatoire immunitaire dans de nombreux organes et en particulier dans le poumon et le foie (Czub M et al., 2005) (Weingartl H et al., 2004). Dans ces études in vivo chez le furet, non seulement la vaccination n'a pas empêché l'infection mais les animaux vaccinés ont présenté des réponses inflammatoires significativement plus fortes que les animaux témoins et une nécrose focale dans le tissu hépatique !

Ces études et d’autres ont montré qu’il était très difficile de vacciner contre les coronavirus (Jaume M et al., 2012. Même Peter Daszak, le directeur d’EcoHealth Alliance qui a servi de relai financier entre le NIAID américain du Dr Fauci en collaboration avec RalphS. Baric (Université Caroline du Nord) et le laboratoire chinois de Wuhan, et qui ont très probablement conduit à l’unicité de ce SARS-Cov2, a écrit sur les coronavirus que « certains d'entre eux peuvent provoquer la maladie du SARS chez des modèles murins humanisés. Ils ne sont pas traitables avec les anticorps monoclonaux thérapeutiques et vous ne pouvez pas vacciner contre eux avec un vaccin ».

 

Quels vaccins diffusent la spike et quelles conséquences ?

En effet, c’est cette grande différence qu’il faut comprendre entre les vaccins :

  • les vaccins dits « classiques » où l’on injecte directement l’antigène qui est, soit le virus entier désactivé et contenant toutes les protéines du virus (le vaccin chinois Sinovac, le vaccin français Valneva), soit une protéine (Novavax), qui est à ce jour la spike. Dans les deux cas, la quantité de spike présente est limitée (et désactivée) ; cela va faire produire au corps des anticorps contre le virus mais ces protéines injectées sont en quantité définie et vont ensuite être éliminées.
  • les vaccins où l’on injecte de l’ARNm (Pfizer, Moderna) ou de l’ADN (Sputnik, Astrazeneca, Janssen) qui vont faire produire aux cellules humaines la protéine spike qui devient alors l’antigène de façon indirecte. Il faut ajouter qu’on ne sait pas précisément quelles cellules vont le faire et que de plus ce n’est pas leur fonction normale de toute façon !!

Une étude de Pfizer montre que l’ARNm a été détectée dans la plupart des tissus dès les premiers instants après injection (15 minutes) et les résultats confirment que le site d'injection et le foie sont les principaux sites de distribution (EMA, 2021). De faibles niveaux de radioactivité ont été détectés dans la plupart des tissus, les taux les plus élevés dans le plasma, étant observés une à quatre heures après la dose. Après 48 heures (avec un maximum des concentrations observées 8 à 48h), on retrouve cet ARNm surtout dans le foie (jusqu'à 21,5 %), les glandes surrénales, la rate (≤ 1,1 %) et les ovaires (≤ 0,1 %).

Ainsi, ce qui paraît « beau » sur le papier, pour beaucoup de scientifiques, semble aussi totalement inconsidéré et potentiellement très dangereux, en dehors même de la toxicité clairement établie de la spike pour de nombreux autres scientifiques ! Même si trop de ces derniers se taisent.

En réalité, la production de protéine spike par cet ARNm se fait de façon anarchique et on ne sait pas précisément combien de temps cette protéine toxique est produite et demeure présente dans les cellules de nos organes mais aussi dans la circulation sanguine. Il semble qu’on la retrouve après plusieurs semaines avec la possibilité de produire une inflammation chronique dans de nombreux organes.

 

En plus de la spike qui est libre et circulante, la spike est aussi exprimée sur les cellules endothéliales et peut activer les plaquettes sanguines et activer la coagulation, ce qui conduit aussi à des thromboses (en libérant du facteur plaquettaire 4 ou PF4) (Hermans C et al, 2021) (Greinacher A et al., 2021).

Le problème est donc que les vaccins qui induisent la production de protéine spike ont un potentiel inflammatoire et oxydant très fort et sur une durée qu’il est difficile encore d’évaluer, étant donné qu’on ne le sait pas précisément par les études de sécurité très incomplètes des fabricants. L’humanité presque entière fait l’objet d’un test clinique. On verra bien ! Une étude a montré que la protéine était retrouvée pendant au moins 15 jours après vaccination pour Moderna, avec un pic entre un et cinq jours à environ à 68 ng/L (nanogramme = milliardième de gramme par litre de plasma) (Ogata AF et al., 2021). Plus d’études sont nécessaires bien sûr mais ce travail aurait dû être fait et publié par les firmes elles-mêmes, étant donné la toxicité connue de cette protéine, et cela n’a pas choqué ni la FDA, ni l’EMA ni l’OMS !

Avec la deuxième injection (à partir de 21 jours) c’est un nouveau boost de spike qui est produit alors même que les anticorps et l’organisme sont en train de travailler à l’élimination de cette protéine. Même si Ogata et son équipe observent une présence beaucoup plus courte que pour la première dose (quelques jours), on a potentiellement une inflammation qui peut être chronique et étalée sur plusieurs semaines pouvant ainsi déstabiliser durablement l’équilibre inflammatoire dans les vaisseaux sanguins, le foie, le cerveau, les reins etc.

On parle donc ici de la possibilité de provoquer les mêmes symptômes que le COVID mais aussi potentiellement de promouvoir toutes les maladies inflammatoires à moyen et long terme (cardiovasculaires, neurologiques, cancers, auto-immunes) en particulier chez les sujets qui ont déjà un terrain inflammatoire (diabète par ex) ou des antécédents. « Nous devrions surveiller soigneusement les conséquences à long terme de ces vaccins, surtout lorsqu'ils sont administrés à des individus, par ailleurs en bonne santé » (Suzuki YJ, Gychka SG, 2021).

 

Vaccins : effets secondaires graves, morts vaccinales et pathologies inflammatoires à plus long terme

À court terme, on observe donc une mortalité importante largement sous-évaluée par les États et les médias avec environ 1000 morts déjà en France.

Beaucoup de personnes avaient prévu cette sous-évaluation, étant donné que les entreprises pharmaceutiques se sont déresponsabilisées des effets secondaires graves vis-à-vis des États qui eux, ont fait de même avec les citoyens. C’est ce qui explique en bonne partie qu’on estime que les remontées des effets secondaires ne représentent qu’environ 10% de la réalité.

Au niveau de ces effets graves, on sait en particulier que des thromboses sont dues directement à la vaccination, ainsi que des myocardites et péricardites, AVC etc. avec des taux élevés de D-dimères (marqueur de la coagulation) et de CRP (protéine C réactive : marqueur de l’inflammation) (Greinacher A et al., 2021) (Diaz GA et al., 2021) (Dionne A et al., 2021).

La thrombose est la présence anormale d'un caillot de sang qui entraîne une occlusion partielle ou totale? soit d'une veine (thrombose veineuse ou "phlébite"), soit d'une artère (infarctus, AVC).

La myocardite est une inflammation du myocarde (muscle qui, en se contractant, permet au sang de circuler dans les vaisseaux sanguins et de nourrir les organes du corps) entraînant la destruction de ses cellules et diminuant ainsi sa capacité de contraction et sa capacité à fournir un apport en sang. Progressivement, le cœur n'est donc plus capable de pomper du sang. L'inflammation peut s'étendre à tout le muscle cardiaque ou se limiter à une ou quelques zones. Une inflammation étendue dans tout le cœur peut entraîner une insuffisance cardiaque importante, de graves troubles du rythme cardiaque et parfois une mort subite.

 

 

L’inflammation à la base de ces phénomènes survient très probablement, comme évoqué précédemment, quand les protéines spike circulantes viennent réagir avec les récepteurs ACE2 omniprésents dans l’organisme et dérégler l’équilibre ACE2/ACE (Seneff S and Nigh, 2021) (Ogata AF et al., 2021). Et justement, on sait que dans presque toutes les conditions pathologiques, en particulier celles du système cardiovasculaire mais aussi neuro-dégénératives, il existe une diminution du rapport ACE2/ACE au sein des organes (Bernardi S et al., 2012) (Lavrentyev EN et al., 2009) (Mizuiri S et al., 2008) (Yuan YM et al., 2015) (Kehoe PG et al., 2016).

Dans une étude post vaccination avec le vaccin AstraZeneca des thromboses ont été observées chez onze sujets (entre 22 et 49 ans, moyenne 36 ans) ayant développé des thromboses veineuses dont neus cérébrales, trois avec des embolies pulmonaires. Six des patients sont décédés de ces effets secondaires graves, à un âge ou on ne meurt presque jamais du COVID (Greinacher A et al., 2021).

Devant le silence assourdissant et le déni des politiques, des médecins de plateau de télévision aux multiples conflits d’intérêts, c’est finalement les chercheurs qui expriment leurs craintes devant ces effets graves et demandent au moins que l’on fasse un suivi post vaccinal : « L'évaluation doit inclure une formule sanguine complète, une analyse des D-dimères, du fibrinogène, un panel de coagulation, des fonctions rénales et hépatiques et des électrolytes, ainsi qu'un test ELISA PF4-héparine si disponible » (Long B et al., 2021).

Pour ce qui est de la neurotoxicité, les effets secondaires graves post vaccination peuvent être liés vraisemblablement à la circulation de l’ARNm vers le cerveau mais aussi à la circulation de spike libre dans le sang qui passe la barrière hématoencéphalique (Buzhdygan et al., 2020) (Rhea EM et al., 2021). En plus des effets neurologiques observés (dont paralysie de Bell) dans les premiers mois de vaccination, les maladies neurodégénératives seront à suivre dans les années à venir. (Voir Stéphanie Seneff SARS-Cov2 Vaccines & neurodegenerative disease)

Des hépatites aussi sont observées suite à la vaccination impliquant potentiellement des réactions auto-immunes (Bril F et al., 2019) (Rocco A et al., 2021) dont certaines mortelles (Rela M et al., 2021). Les auteurs s’excusent presque de l’exprimer (ici AstraZeneca) : « Alors qu'un patient s'est rétabli sans incident, un autre a succombé à une maladie du foie… Nous espérons que notre rapport ne dissuadera pas les campagnes de vaccination COVID. Cependant, nous espérons également faire prendre conscience de ses effets secondaires potentiels et du rôle accru de la pharmacovigilance dans l'orientation du traitement ».

Il est à noter que les études préliminaires sur les vaccins, comme AstraZeneca par exemple, le furent sur des sujets assez jeunes et ont exclu les participants atteints de troubles sévères et/ou non contrôlés de maladies cardiovasculaires, gastro-intestinales, hépatiques, rénales, endocriniennes/métaboliques, de maladies neurologiques, ainsi que les personnes immunodéprimées, les femmes enceintes (Voysey M et al., 2021). C’est donc une façon de minimiser les effets secondaires graves et au final ces populations sont les premières à être vaccinées massivement parce que fragiles…
 

Facilitation par les anticorps (ADE en anglais)

Il faut aussi rappeler le phénomène appelé ADE (facilitation par les anticorps en français), où, quand on a des anticorps défectueux ou pas assez compétents (ils sont appelés facilitants), les cellules immunitaires portant les anticorps contre le virus le reconnaissent, mais au lieu de le détruire, vont l’« ingérer » et finalement contribuer à sa diffusion. La production d’anticorps facilitants a été observée dans de nombreuses maladies virales et/ou après vaccination (virus de la dengue, Zika, Ebola, VIH, SARS-CoV, MERS-CoV, rougeole, péritonite infectieuse féline, etc.).

Ceci a été brillamment vulgarisé par les Dr Fantini et Sabatier (Univ Aix- Marseille) dans cet article.

En résumé, il existe trois catégories d’anticorps fabriqués suite à une infection virale ou une vaccination :

  • les anticorps qui n’ont aucun effet sur l’infection virale (anticorps neutres),
  • les anticorps qui bloquent l’infection virale (anticorps neutralisants),
  • les anticorps qui facilitent l’infection virale (anticorps facilitants).

Dans le contexte actuel, si les anticorps qui sont acquis par les personnes qui se vaccinent avec les vaccins actuels, basés sur l'ARNm et ADN du SARS-CoV2 initial (février 2020), devenaient inefficaces pour détruire le variant delta ou les futurs variants (parce que ces virus auraient trop évolué, muté), alors ces variants se multiplieraient encore plus facilement au contact de ces anticorps (dits alors facilitants), et les personnes infectées peuvent faire souvent une forme plus grave.

Les auteurs de cet article ont aussi publié leur travail de modélisation, qui montre que les anticorps facilitant la diffusion du virus (ADE), ont plus d’affinités avec la protéine spike que les anticorps neutralisants en ce qui concerne le variant delta (au contraire de ce qui est observé avec la souche originale du ARS-Cov2 de 2020, Wuhan/D614G) !

 

D'où la conclusion des auteurs : "Nous suggérons donc d’évaluer au plus vite, dans les sérums d’individus vaccinés, la balance neutralisation/ADE sur le variant Delta." (Yahi Net al., 2021). Cela pourrait expliquer l’inefficacité constatée des vaccins Pfizer et Moderna par exemple (utilisés en France) sur les contaminations. En ce qui concerne l’évolution de la pathologie en formes graves, pour l’efficacité de la vaccination il est un peu tôt pour en parler, et les données officielles manquent de transparence, nous serons fixés en octobre-novembre.

Ce phénomène se produit beaucoup plus fréquemment avec des vaccins qu’avec les anticorps produits lors d’une infection (Ulrich H et al., 2020) (Lee WS et al., 2020) (Cardozo T et al., 2021). C’est aussi un phénomène qui pourrait expliquer en partie le très grand nombre de vaccinés qui développent le COVID et en meurent, comme les non vaccinés (ex d’Israël, UK, Islande). Il n’est pas idéal, voire dangereux, de vacciner en pleine épidémie.

 

Possibilité d’intégration de l’ARN à l’ADN

Tous les scientifiques reconnaissent qu’on ne connaît pas les risques de ce vaccin à long terme. Le plus grand serait que cet ARNm ou ADN s’intègre à notre génome et produise de la protéine spike. Ce genre de phénomène, en plus de produire de la spike de façon continue, peut aussi venir interférer au niveau du génome sur des gènes promoteurs de tumeurs et induire des cancers. Ceci est un phénomène possible et décrit, réalisé par les enzymes de type transcriptases inverses (d’ARN à ADN).

La possibilité, et ce serait le pire, que l’ARN s’intègre définitivement dans l’ADN (deux enzymes au moins du corps humain sont capables de le faire) (Zhang, L et al., 2021) (Chandramouly G et al., 2021). Là, il s’agirait alors d’une flambée de cancers qui pourraient être observée entre un et dix ans. Maladies neurologiques et auto-immunes peuvent aussi en découler (Seneff S and Nigh, 2021).

 

Note sur les adjuvants

Certains des nanolipides utilisés par Pfizer ou Moderna pour encapsuler l’ARNm, n’ont jamais été utilisés, ni en injection, ni par voie orale, non présentés sur le site de référence de l’ECHA (type nanolipides ALC-1059) et dont les sous-produits sont des cancérigènes potentiels connus (N,N-Dimethyltetradecylamine) (EMA, 2021).

Il y aussi la présence d’adjuvants allergisants, comme le PEG qui peut entraîner jusqu’à un choc anaphylactique (Shiraishi K et al., 2019) (Kounis NG et al., 2021)

Un point préoccupant, en plus de la toxicité de la spike, est que ces naonolipides sont aussi connus pour entraîner des problèmes de coagulation. En fait, Moderna l’admet, même si on lit le brevet sur l’injection de vaccin ARNm encapsulé dans des nanolipides, qui est la base de la technique des vaccins actuels: WO 2017/099823 Al. COMPOSITIONS AND METHODS FOR DELIVERY OF THERAPEUTIC AGENTS. 15 June 2017.

« Dans certains modes de réalisation, l'effet indésirable comprend une coagulopathie, une coagulation intravasculaire disséminée (DIC), la thrombose vasculaire, la pseudo-allergie liée à l'activation du complément (CARPA), la réponse de phase aiguë (APR), ou une combinaison de celles-ci. » Il est même prévu dans ce brevet l’ajout d’anticoagulants, antiallergiques ! :

« Dans certains modes de réalisation, l'agent (molécule qu’on peut ajouter) inhibe l'activation plaquettaire. Dans certains modes de réalisation, l'agent est un inhibiteur de l'agrégation plaquettaire. Dans certains modes de réalisation, l'inhibiteur de l'agrégation plaquettaire est l'aspirine ou le clopidrogrel (PLAVIX®). Dans certains modes de réalisation, l'inhibiteur de l'agrégation plaquettaire est choisi parmi l'aspirine/pravastatine, le cilostazol, le prasugrel, l'aspirine/dipyridamole, le ticagrelor, le cangrelor, l'élinogrel, le dipyridamole et la ticlopidine. Dans certains modes de réalisation, l'agent inhibe le CD36 » (MODERNA, 2017). »

On note clairement que les effets néfastes de ces nanolipides ont beaucoup en commun avec ceux du COVID, y compris dans leur mode d’action inflammatoire (voie du complément) (Bumiller-Bini V et al., 2021) !

 

Conclusion 

Pour toutes les raisons exposées dans cet article et étayées par la littérature scientifique, on s’aperçoit que les formes graves et les décès observés, en particulier avec les vaccins de type ARNm et ADN que l’on nomme un peu rapidement vaccins, même s'ils produisent bien des anticorps dirigés contre le virus SARS-CoV2, peuvent être expliqués par des mécanismes biologiques et biochimiques.

Cette toxicité, en particulier due à la protéine spike, est connue depuis plus de dix ans. Certains des adjuvants et les nanolipides entourant l’ARNm sont aussi préoccupants et peuvent participer aux effets secondaires graves observés, dont, en particulier, les thromboses.

Nous n’avons pas suffisamment de recul sur ces technologies géniques comme les nomme l’inventeur lui-même, Robert Malone. Il serait plus sage de recommander des vaccins classiques (malgré les risques présents aussi d’ADE) ou avec une protéine spike désactivée et des adjuvants plus sûrs et connus. Cela pourrait d’ailleurs inciter de nombreux citoyens éclairés ou non à se faire vacciner.

Nous assistons donc à une totale expérimentation à l’aveugle à l’échelle planétaire et c’est inacceptable, car le risque est totalement inconsidéré notamment au vu de la mortalité et de la létalité faible de cette maladie du COVID. La létalité (mortalité chez les gens qui contractent le virus) est en moyenne, dans le monde, située entre 0.5 et 1% contre 0.1% pour la grippe (John Hopkins data, july 2021).

Il est encore temps de regarder en face les vrais bénéfices et les vrais risques de cette vaccination, et en particulier chez les jeunes, alors qu’il sont très peu affectés par la maladie, et que les vaccins n’empêchent pas la contamination. Ne perdons pas de vue que la vaccination, en dehors des populations à risques, s’adresse à des sujets sains, à qui l’éthique impose de ne leur faire courir aucun risque, primum non nocere.

 

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Weingartl H, Czub M, Czub S, Neufeld J, Marszal P, Gren J, Smith G, Jones S, Proulx R, Deschambault Y, Grudeski E, Andonov A, He R, Li Y, Copps J, Grolla A, Dick D, Berry J, Ganske S, Manning L, Cao J. Immunization with modified vaccinia virus Ankara-based recombinant vaccine against severe acute respiratory syndrome is associated with enhanced hepatitis in ferrets. J Virol. 2004 Nov;78(22):12672-6. 

Yahi N, Chahinian H, Fantini J. Infection-enhancing anti-SARS-CoV-2 antibodies recognize both the original Wuhan/D614G strain and Delta variants. A potential risk for mass vaccination ? J Infect. 2021 Aug 9:S0163-4453(21)00392-3.

Yu J, Yuan X, Chen H, Chaturvedi S, Braunstein EM, Brodsky RA. Direct activation of the alternative complement pathway by SARS-CoV-2 spike proteins is blocked by factor D inhibition. Blood. 2020 Oct 29;136(18):2080-2089. 

Zhang S, Liu Y, Wang X, Yang L, Li H, Wang Y, Liu M, Zhao X, Xie Y, Yang Y, Zhang S, Fan Z, Dong J, Yuan Z, Ding Z, Zhang Y, Hu L. SARS-CoV-2 binds platelet ACE2 to enhance thrombosis in COVID-19. J Hematol Oncol. 2020 Sep 4;13(1):120. 

 
 

Auteur(s): Dr Jean-François Lesgards, pour FranceSoir

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24 février 2022 4 24 /02 /février /2022 10:13
Décrypter la rumeur des cataclysmes cosmiques
En modélisant le bruit de fond généré par les myriades d’astres, sources d’ondes gravitationnelles de l’Univers, une équipe internationale a mis au point un outil supplémentaire pour trancher les débats de la cosmologie moderne.

Avec la découverte, le 14 septembre 2015, par les deux interféromètres géants LIGO des ondes gravitationnelles, l’astrophysique s’est dotée d’un moyen d’observation du cosmos entièrement nouveau, complémentaire à la détection de la lumière des étoiles ou des galaxies par les télescopes.

Ces vaguelettes de l’espace-temps se propageant à la vitesse de la lumière et dont l’existence fut prédite par Albert Einstein voici un siècle sont porteuses d’informations uniques sur les objets qui les ont engendrées. Et ont, en moins de trois ans, déjà fourni aux scientifiques un lot de données inédites sur des phénomènes aussi sensationnels que la coalescence de deux trous noirs ou celle de deux étoiles à neutrons. Qu’en sera-t-il demain lorsque, la sensibilité des instruments augmentant, les astronomes auront accès à des sources moins intenses ?

À l’écoute du bruit de fond gravitationnel

Une équipe internationale associant l’Institut d’astrophysique de Paris (IAP)1, l’université d’Oxford et l’Institut Max-Planck pour la physique gravitationnelle s’est posé la question en tentant de prédire les propriétés du bruit de fond généré par les myriades d’astres, sources d’ondes gravitationnelles de l’Univers.

Cyril Pitrou, Jean-Philippe Uzan et leurs collègues ont recouru à la modélisation afin d’établir les propriétés statistiques des fluctuations de ce signal sur la voûte céleste ; ils se sont notamment intéressés au domaine de fréquences comprises entre 1 et 100 hertz, celui que détectent les instruments américains et franco-italien LIGO et Virgo.

Ils affirment dans la revue Physical Review Letters(link is external)2 que son observation permettrait d’accéder à certains paramètres clés de l’astrophysique encore inaccessibles !

Fond diffus infrarouge révélé par le satellite COBE.

Une onde gravitationnelle est produite par le déplacement d’une masse lorsque ce mouvement a lieu de façon asymétrique. « En théorie, toutes les paires d’astres en rotation l’un autour de l’autre génèrent ces “vagues” à même de déformer la portion de l’espace qu’elles traversent, indique Cyril Pitrou, chargé de recherches CNRS à l’IAP. Mais, en pratique, seules celles issues de paires d’objets très compacts et proches sont susceptibles d’être repérées par LIGO et Virgo ». Couples de trous noirs, couples d’étoiles à neutrons, couples mixtes associant un trou noir et une étoile à neutrons… Ces types de systèmes n’en sont pas moins présents dans toutes les galaxies. Même si la plupart de ces sources manquent de puissance ou sont trop éloignées pour être détectées individuellement, elles forment collectivement un fond d’ondes gravitationnelles, comparable (quoi que de nature différente) au rayonnement diffus infrarouge des galaxies qui a été mesuré d’abord par le satellite COBE de la Nasa puis entre 2009 et 2013 par le satellite Planck de l’Agence spatiale européenne.

Une nouvelle fenêtre d’observation de l’Univers

Quelles sont les caractéristiques de ce flux d’ondes gravitationnelles ? C’est ce qu’a voulu savoir l’équipe de Cyril Pitrou et de Jean Philippe Uzan, en couplant un modèle des grandes structures de l’Univers à un modèle de formation et d’évolution stellaire.

Ces chercheurs ont d’abord estimé les multiples populations de sources d’ondes gravitationnelles d’une fréquence de 1 à 100 hertz au sein des galaxies, selon leur type et leur âge. Puis, une fois l’émission de ces ensembles d’étoiles établie, ils ont fait appel à la théorie cosmologique de la formation des grandes structures afin d’établir les propriétés statistiques de ce fond d’ondes gravitationnelles.

Comme son cousin le fond diffus infrarouge, ce dernier fluctue en puissance selon la direction d’observation. L’équipe a ainsi déterminé que, pour certaines fréquences, les variations par rapport à la valeur moyenne sont de l’ordre de 30 %.

« Ce travail multidisciplinaire, à la croisée de la relativité générale, de la cosmologie et de l’astrophysique, qui s’inscrit dans le prolongement d’un programme de recherches conduit depuis trois ans à l’IAP, se veut prospectif, explique Jean-Philippe Uzan, directeur de recherche CNRS à l’IAP. En effet, la détection de ce fond d’ondes gravitationnelles est hors de portée des instruments de la génération actuelle comme LIGO et Virgo. Mais les progrès technologiques font espérer qu’un tel signal devienne accessible d’ici quinze ou vingt ans. Notre but n’est pas seulement de prédire comment il se manifestera dans l’espoir de tester la validité de modèles, mais également d’explorer le type d’informations astrophysiques nouvelles que son analyse pourrait livrer. »

Ainsi, l’étude suggère que l’examen détaillé de ce bruit de fond est une voie prometteuse pour accéder à certaines données comme le taux de formation et de coalescence des couples de trous noirs ou la répartition en masse de ces astres au sein des galaxies. Corrélé à des observations dans le domaine optique, il pourrait même aider à trancher de grands débats de la cosmologie. Comme celui, très actuel, concernant la possibilité que la matière noire ne soit finalement pas faite d’une matière exotique et inconnue mais seulement de trous noirs… les objets les plus simples de l’Univers… ♦

Notes

  • 1.Unité CNRS/Sorbonne Université.
  • 2.G. Cusin, I. Dvorkin, C. Pitrou, et J.-P. Uzan, First prediction of the angular power spectrum of the astrophysical gravitational wave background, Phys. Rev. Lett. (120), publié en ligne le 6 juin 2018

[Source] https://lejournal.cnrs.fr/articles/decrypter-la-rumeur-des-cataclysmes-cosmiques

https://arcturius.org/decrypter-la-rumeur-des-cataclysmes-cosmiques/

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24 février 2022 4 24 /02 /février /2022 03:59

Lazare : c'est à se demander si toutes les recherches concernant les nouvelles technologies de production d'énergie sont bloqués.

Fusion froide : les chercheurs en rêvent toujours

En 1989, deux chimistes font le buzz en annonçant avoir obtenu une fusion nucléaire à température ambiante. Mais en quelques mois, faute de preuves évidentes, la fusion froide passe du rang de sauveuse de l'humanité à celui de pestiférée de la physique. Jusqu'à ce que, aujourd'hui, des chercheurs annoncent avoir repris les recherches. 

Il y a 30 ans, presque jour pour jour, des chercheurs annonçaient avoir, pour ainsi dire, résolu tous les problèmes d'énergie de l'humanité. Lors d'une conférence de presse, ils déclaraient avoir obtenu une réaction de fusion nucléaire en plongeant simplement une paire d'électrodes en palladium dans un bocal d'eau lourde. Le tout à température et à pression ambiantes. Une réaction qualifiée de fusion froide.

Par opposition à la réaction de fusion nucléaire classique qui ne peut, en principe, être obtenue que lorsque la répulsion électrostatique entre atomes est vaincue à l'aide notamment d'une température très élevée. Plusieurs grands projets internationaux, dont Iter (International Thermonuclear Experimental Reactor) constitue le fer de lance, tentent de maîtriser la fusion nucléaire en laboratoire. Car son potentiel est réputé près de quatre millions de fois supérieur à celui de la combustion du charbon et même quatre fois supérieur à celui de la fission nucléaire. Et sans production de déchets nucléaires.

On comprend pourquoi l'annonce de Stanley Pons et Martin Fleischmann, ce 23 mars 1989, a fait tant de bruit. Et on comprend aussi la déception qui a suivi lorsqu'aucun chercheur n'est parvenu, par la suite, à reproduire l'expérience de la fusion froide. L'idée, peu à peu, est tombée dans l'oubli.

C’est dans cet appareil notamment que les chercheurs tentent d’obtenir des réactions de fusion froide. © Marilyn Chung, Laboratoire national Lawrence Berkeley

La fusion froide, un cold case de la Science

Pas tout à fait puisque, apprend-on aujourd'hui, depuis trois ans, une trentaine de physiciens, financés par Google à hauteur de quelque 10 millions de dollars, ont décidé de rouvrir le dossier. « L'affaire avait été classée en quelques mois seulement. Or, en science, rien ne devrait être classé aussi rapidement », raconte Matthew Trevithick, physicien, pour expliquer son engagement. Et lorsqu'on lui demande s'il ne craint pas d'être pris pour un fou, il répond : « Il faut savoir prendre des risques. »

 

Des risques payants. Car au cours de leurs expériences, les chercheurs ont travaillé notamment sur les interactions hydrogène-palladium. Des interactions qui intéressent aussi ceux qui étudient le stockage de l’énergie ou encore la catalyse. Ils ont découvert que l'hydrogène préfère pénétrer les nanoparticules de palladium par les sommets plutôt que par les faces. De quoi concevoir des matériaux qui permettent d'augmenter les concentrations en hydrogène. Jusqu'à initier des réactions de fusion, affirment les tenants de la fusion froide.

Notre objectif : réaliser une expérience de référence

Pourtant à ce jour, les chercheurs reconnaissent « n'avoir trouvé aucune preuve d'effets anormaux allégués par les partisans de la fusion froide et qui ne pourraient pas être expliqués plus prosaïquement ». Ils maintiennent toutefois que leurs recherches « laissent entrevoir » que la fusion à froid est possible. Matthew Trevithick affirme ainsi que réaliser ce que l'on appelle une « expérience de référence » -- fournissant des preuves de la fusion froide, sans ambiguïté et vérifiables de manière indépendante -- reste leur objectif.

  • En 1989, des chimistes ont annoncé avoir obtenu une réaction de fusion nucléaire dite froide, car réalisée à température ambiante.
  • Mais personne n’a été capable depuis de réitérer l’exploit.
  • Aujourd’hui, des chercheurs révèlent travailler sur la question depuis trois ans.
  • Ils n’ont obtenu aucun résultat, mais espèrent toujours.
Pour en savoir plus
 

Fusion froide : le retour ?

Les annonces de succès dans la réalisation de la fusion froide n'ont pas manqué depuis celle faite par Fleischmann et Pons en 1989. Mais jamais leurs résultats n'ont réussi à être reproduits de façon convaincante. Il est à craindre que la dernière annonce ultra-médiatique faite au Japon par Yoshiaki Arata soit du même acabit...

Article de Laurent Sacco paru le 28/05/2008

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20 février 2022 7 20 /02 /février /2022 09:22
La pollution de l’air modifie le placenta, ce qui entraîne des risques pour le foetus et sa mère

La pollution atmosphérique modifierait le placenta au niveau de l’expression de ses gènes, entraînant potentiellement des complications pour la mère et l’enfant d’après une nouvelle étude française.

L’exposition à la pollution atmosphérique pendant la grossesse peut entrainer des modifications épigénétiques du placenta potentiellement risquées pour la mère et le fœtus. C’est ce qu’explique une nouvelle étude française publiée dans la revue Environment International. Des scientifiques du CNRS et de l’Inserm ont en effet analysé le placenta de 668 mères et ont constaté que l’exposition à la pollution modifiait l’expression d’un gène bien précis.

Différentes études avaient déjà soulevé l’association entre l’exposition à la pollution chez les femmes enceintes et les risques de faible poids à la naissancede naissance prématurée, de troubles neuro-développementaux ou encore de pré-éclampsie, qui peut avoir de graves conséquences. Comme l’explique l’Inserm, la pré-éclampsie est une maladie potentiellement fatale pour la mère et le fœtus, due à un dysfonctionnement du placenta qui relâche des débris et des cellules fœtales dans le sang de la mère. Cela provoque chez elle une hypertension et la présence de protéine dans les urines. Les auteurs de ces nouveaux travaux ont donc émis l’hypothèse que les effets nocifs de la pollution atmosphérique sur le fœtus et la mère passeraient par une altération du placenta.

Un gène placentaire altéré par la pollution

Examinant les placentas de 668 mères recrutées entre 2003 et 2006 dans les CHU de Nancy et Poitiers, les chercheurs ont croisé les données d’exposition des mères à la pollution en fonction de leur lieu de résidence pendant la grossesse et l’analyse des gènes exprimés dans leurs placentas. Les gènes contenus dans chaque cellule peuvent en effet être convertis en protéines s’ils sont exprimés, ou rester réprimés ou « silencieux ». Certains processus, que l’on dit épigénétiques, permettent à un gène de passer d’un statut à un autre selon les besoins de la cellule. Des petites molécules peuvent ainsi être fixées près du gène pour signaler à la machinerie cellulaire qu’il doit ou ne doit plus être pris en compte. C’est ce qui est arrivé au gène ADORA2B, dont l’expression a été modifiée à mesure que les femmes enceintes étaient exposées au monoxyde d’azote, gaz toxique caractéristique de nos agglomérations polluées. « Des défauts dans l’expression de ce gène ont été associés dans d’autres études à la pré-éclampsie, une maladie de la grossesse fréquente et grave si elle n’est pas prise en charge » explique Johanna Lepeule, chercheuse Inserm, dans un communiqué.

L’exposition à la pollution française pourrait être néfaste pendant la grossesse

Les niveaux d’exposition moyens dans la population étudiée étaient pourtant inférieurs à la limite annuelle fixée par la directive de l’Union européenne sur la qualité de l’air (40 milligrammes par mètre cube pour le dioxyde d’azote). Les résultats de cette étude confirment ainsi une partie de l’hypothèse selon laquelle les expositions prénatales aux polluants de l’air, à des niveaux communément retrouvés en Europe et en France, pourraient avoir des effets néfastes sur la santé de la femme enceinte et de l’enfant à naître, commentent l’Inserm et le CNRS dans un communiqué.

[Source] https://www.sciencesetavenir.fr/

https://arcturius.org/la-pollution-de-lair-modifie-le-placenta-ce-qui-entraine-des-risques-pour-le-foetus-et-sa-mere/

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19 janvier 2022 3 19 /01 /janvier /2022 13:27
L'Oxyde de Graphène, une Substance Diabolique qui rendrait les Vaxxins très Toxiques ?
 L'Oxyde de Graphène, une Substance Diabolique ?
Le graphène est un nanomatériau constitué d'une seule couche d'atomes de carbone. 
Il est léger, transparent, flexible, incroyablement résistant, un excellent conducteur de chaleur et d'électricité et possède d'intéressantes capacités d'absorption de la lumière. 
Une autre de ses caractéristiques est qu'il est hautement intégrateur avec les cellules neuronales du cerveau.
 article )

Les nanoparticules d'oxyde de graphène (GO) sont nécrotiques, capables de passer dans ou à travers des barrières physiologiques, y compris (mais sans s'y limiter) la barrière hémato-air, la barrière hémato-testiculaire, la barrière hémato-encéphalique et la barrière hémato-placentaire source )

En raison de ses propriétés physico-chimiques uniques, l'oxyde de graphène est largement utilisé en médecine à des fins de traitement photothermique du cancer, d'administration de médicaments, de thérapie antibactérienne et d'imagerie médicale. ( Top 10 des applications de graphène de 2020 ) ( Top 10 des applications de graphène de 2019 )

L'oxyde de graphène, un matériau formé à partir de graphite, est une substance toxique connue
Des études antérieures ont montré que les matériaux à base de graphène comme l'oxyde de graphène peuvent provoquer une toxicité dose-dépendante. 
Il peut endommager le foie et les reins, stimuler la formation de granulomes dans les poumons, diminuer la viabilité cellulaire et déclencher l'apoptose cellulaire ou la mort cellulaire préprogrammée.
Des études animales ont montré que l'injection d'oxyde de graphène dans le corps dépose la substance toxique dans les poumons, le foie, la rate et les reins. 
Les chercheurs ont également signalé des difficultés à nettoyer le matériau hors du corps. ( article )

· Utilisation expérimentale comme support de vaccin et adjuvant ( article 

· Également présent dans les masques et les écouvillons 

· Également utilisé comme adjuvant dans les vaccins contre la grippe en 2019.

· Levaccin Pfizer est composé à 99 % d'oxyde de graphène ? ( vidéo 13 min ) ( vidéo 14 min 

· AstraZeneca (présent dans tous les vaccins COVID-19 ?)

· Voir Effet magnétique 

· Peut être activé par les fréquences 5G. Voir AO News – Sans fil .

· Contrer en augmentant les niveaux de glutathion. Traitement à la N-acétylcystéine (NAC, précurseur du glutathion) ainsi qu'au glutathion. CNA est le billet )

· Passe à travers la barrière hémato-encéphalique.

· Technologie de neuromodulation - INBRAIN Neuroelectronics développe des biocircuits de graphène alimentés par l'IA pour lire et contrôler le comportement du cerveau.

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