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18 mars 2024 1 18 /03 /mars /2024 05:36
Nouvelles révélations sur la complexité des cités mayas
En début d’année, les résultats d’une campagne de cartographie « lidar » au Guatemala ont fait sensation, révélant 60 000 vestiges mayas, en majorité inconnus et enfouis sous une épaisse jungle. Sept équipes internationales ont ensuite exploité cette incroyable mine d’informations, livrant un nouveau regard sur les Mayas. Les explications de Philippe Nondédéo, coauteur de l’étude.

Avec la découverte de 60 000 structures archéologiques, la publication des premiers résultats lidar avait fait grand bruit au mois de janvier. Comment s’est déroulée cette campagne ?
Philippe Nondédéo1 : Avec mon collègue Cyril Castanet du LGP2, nous travaillons depuis 2010 sur le site de Naachtun, au cœur d’une réserve naturelle de biosphère dans le nord du Guatémala. Comme plusieurs autres sites de la région, le projet Naachtun est en partie financé3 par la fondation Pacunam (Patrimonio Cultural y Natural Maya). Cet organisme privé a lancé, il y a deux ans, un vaste programme de couvertures lidar sur une dizaine de zones au sein de cette biosphère, pour un total de 2100 km². Neuf sites archéologiques sont inclus, ainsi que deux étendues-tests sans vestige connu et entièrement recouvertes de végétation. Lors de la divulgation initiale de ces travaux en février dernier, la réalité a souvent été mal rapportée : nous ne sommes pas en présence d’un seul et immense site, mais d’un ensemble de sites différents. Les 60 000 structures archéologiques recensées sont réparties sur des zones discontinues et espacées parfois de plusieurs dizaines de kilomètres.

Pourriez-vous nous parler des nouveaux résultats que vous venez de publier dans la revue Science4?
P.N. : Les fouilles archéologiques en zone maya se focalisent souvent sur les centres-villes, les cœurs économiques et politiques des cités où l’on trouve les pyramides et les principaux monuments. Or ce serait comme étudier l’hypercentre des grandes villes françaises sans considérer les banlieues et les campagnes environnantes. La prise de recul et l’étendue du territoire couvert par le lidar offrent une vision très différente de la civilisation maya. Alors que les modèles traditionnels stipulaient que la population se concentrait dans ces épicentres et les zones résidentielles attenantes, on observe aussi une importante densité de population en périphérie lointaine, dans des zones jusque-là considérées comme rurales. Alors qu’on les pensait dédiées à l’agriculture, elles sont en réalité elles aussi très peuplées.

Avec autant de gens partout, cette découverte pose la question de savoir comment les Mayas subvenaient à leurs besoins en eau et en nourriture. Alors que la jungle recouvre aujourd’hui tout le secteur, cette étude souligne que le paysage était complètement exploité à l’époque maya. Tous les espaces étaient extrêmement anthropisés, avec des cultures en terrasses sur les collines et un système complexe de canaux et de parcellaires agricoles dans les zones basses inondables. Les terrasses permettaient de retenir humidité et sédiments tandis que les canaux drainaient ou irriguaient, suivant les saisons, le cœur des marécages en partie cultivé. Cela montre l’impressionnante capacité des Mayas à s’adapter à un environnement aussi hostile que la jungle et prouve leur grande maîtrise dans la gestion des ressources du milieu.

 

Carte de tout le nord du Petén au Guatemala indiquant les 11 zones couvertes par l’imagerie Lidar.

Que révèlent ces travaux de l’organisation politique des Mayas ?
P.N. : Les images lidar ont dévoilé une connectivité surprenante entre les cités, avec un réseau de chaussées surélevées s’étendant sur des dizaines de kilomètres. Or nous n’avions rien remarqué en prospectant au sol, c’était complètement inconnu. Même aujourd’hui, en sachant que ces chaussées existent, les apercevoir reste très difficile en contexte de forêt tropicale et demande de déboiser tout un secteur pour commencer à s’en rendre compte. Nous n’aurions rien vu sans le lidar alors que, rien que pour Naachtun, le réseau viaire totalise une cinquantaine de kilomètres de routes et chemins aménagés

Nous avons ainsi constaté que des cités vassales pouvaient être directement reliées à leur capitale suzeraine, telle que Naachtun. Le déchiffrement de l’écriture maya dans les années 90 nous avait déjà renseignés sur leur système politique, de nombreuses stèles commémorant en effet des conquêtes, des batailles et des alliances matrimoniales. Les rois les plus puissants mariaient leurs filles et leurs sœurs à leurs vassaux, tissant ainsi des réseaux complexes par les liens du sang. Le tracé des chaussées offre, dans une certaine mesure, une matérialisation concrète de ces relations de domination. Les images ont également montré que certains sites étaient pourvus d’ouvrages défensifs : murets, palissades, fossés… Ces systèmes concernent surtout des établissements occupés à la période préclassique (600 av. J.-C. à 150 apr. J.-C.) et sont absents des sites qui, comme Naachtun, datent de la période classique (150 à 950 apr. J.-C.).

Le lidar a une nouvelle fois prouvé son utilité en archéologie. Comment s’intègre-t-il à la discipline ?

P.N. : Pour donner un ordre de grandeur, seules 5 à 10 % des 60 000 structures révélées étaient déjà connues. À Naachtun, nous sommes passés de 900 édifices répertoriés à près de 12 000. Dans un contexte de jungle tropicale aussi dense, nous sommes obligés de nous focaliser sur les centres des sites. Le travail et les temps de déplacement en forêt sont trop difficiles et chronophages pour explorer les périphéries lointaines avec la même intensité que pour les épicentres monumentaux. Du coup, elles sont moins étudiées. Le lidar a été perfectionné dans les années 80 et s’est ajouté à la palette de l’archéologue à partir des années 2000. Il s’est d’ailleurs illustré grâce à un autre site maya : les ruines de Caracol au Bélize à partir de 2005. Là encore, la méthode avait révélé une exploitation du milieu assez structurée avec de nombreux systèmes de terrasses. Bien qu’il reste onéreux, l’abaissement progressif du coût du lidar permet, à présent, une meilleure diffusion de cette technique auprès des missions archéologiques.

 

 

Aménagements hydrauliques des marais à des fins d’agriculture intensive à proximité du centre de Naachtun. Le réseau blanc correspond à un système de canaux alternant avec des champs cultivés tandis que les aplats bleus correspondent à des réservoirs d’eau

Quelle suite allez-vous donner à ces travaux ?
P.N. : Nous avons prévu de retourner sur le terrain en 2020, pour une période de quatre ans, afin de vérifier les découvertes sur place et de répondre aux nouvelles problématiques qu’elles soulèvent. Nous nous intéressons de plus en plus à la gestion des ressources en eau et en sol des Mayas. Les prochains travaux permettront sans doute de tester véritablement, voire de battre en brèche, certaines hypothèses sur l’effondrement de la civilisation maya classique, parfois accusée d’avoir surexploité le milieu. Certes, les données révèlent une très forte emprise des Mayas sur leur environnement, mais elles suggèrent également une gestion prudente et habile de leur part. Rien que pour Naachtun, nous avons recensé plus de 18 000 terrasses agricoles, environ 5400 canaux et plus de 70 grands réservoirs d’eau potable. Au sein du projet Naachtun, nous développons une approche pluridisciplinaire de la recherche et avons intégré très tôt, en plus des archéologues, des chercheurs travaillant sur la reconstitution des paléoenvironnements et des interactions sociétés-milieux : des géographes, des géoarchéologues, des sédimentologues, des archéobotanistes… Plusieurs laboratoires du CNRS (Archam, LGP, CEPAM5) sont impliqués afin de comprendre comment la cité s’est développée et comment les paysages de son territoire ont évolué au gré de l’intervention humaine et dans des conditions climatiques fluctuantes.
Cette recherche pluridisciplinaire s’est donc aussi appliquée à l’analyse lidar du territoire de Naachtun selon deux approches complémentaires qui ont été menées conjointement : les archéologues enregistrant tous les vestiges matériels (édifices, monticules, carrières, chaussées…) tandis que les environnementalistes repéraient les aménagements du paysage tels que les réservoirs, les digues, les canaux, les fossés, les champs surélevés…

Notes

 

  • 1.Chargé de recherche à l’Archam (Archéologie des Amériques, Unité CNRS/Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne), et responsable du Projet Naachtun
  • 2.Laboratoire de Géographie Physique : Environnements Quaternaires et Actuels (Unité CNRS/Université Panthéon Sorbonne/Université Paris Est Créteil Val-de-Marne).
  • 3.Aux côtés du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, de la compagnie Perenco, du CNRS, de l’université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne et du LabEx Dynamite.
  • 4.Ancient Lowland Maya Complexity as Revealed by Airborne Laser Scanning of Northern Guatemala Marcello A. Canuto, Francisco Estrada-Belli, Thomas G. Garrison, Stephen D. Houston, Mary Jane Acuña, Milan Kováč, Damien Marken, Philippe Nondédéo, Luke Auld-Thomas, Cyril Castanet, David Chatelain, Carlos R. Chiriboga, Tomáš Drápela, Tibor Lieskovský, Alexandre Tokovinine, Antolín Velasquez, Juan C. Fernández-Díaz and Ramesh Shrestha.
  • 5.Cultures et Environnements – Préhistoire, Antiquité, Moyen Âge (CNRS/Université Sophia Antipolis).

[Source] https://lejournal.cnrs.fr/articles/nouvelles-revelations-sur-la-complexite-des-cites-mayas

https://arcturius.org/nouvelles-revelations-sur-la-complexite-des-cites-mayas/

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18 mars 2024 1 18 /03 /mars /2024 03:29
Ces Pyramides immergées au large du Portugal pourraient être un vestige de l’Atlantide, selon des chercheurs !
Des Pyramides au large du Portugal

D’autre part, il y a ceux qui sont convaincus que l’Atlantide ou Atlantis était une ville tout à fait réelle, qui a maintenant disparu. 

À cet égard, une découverte a récemment été faite qui pourrait faire la lumière sur ce sujet. 

 

 
L’histoire de l’Atlantide ! 
L’histoire de l’Atlantide est racontée par Platon dans ses écrits, où il raconte que Solon, lors de l’un de ses nombreux voyages en Égypte, a rencontré un homme connu sous le nom de Sonchis de Sais, un prêtre égyptien qui lui a raconté l’histoire de l’Atlantide, une ancienne civilisation ayant existé il y a environ 9.000 ans.

 
L’événement tragique qui a détruit l’Atlantide ! 
Selon Platon et l’histoire de Solon, une grande catastrophe s’est produite, qui n’est pas très bien décrite, mentionnant seulement qu’il y a eu de grands tremblements de terre et des inondations qui ont fini par couler complètement l’île de l’Atlantide, ne laissant aucune trace de son existence.

 
 
La mystérieuse pyramide !
Dans ses écrits, Platon affirme que l’Atlantide serait située sur le territoire où se trouvent les Açores, un groupe de neuf îles appartenant au Portugal. 
Selon cette hypothèse, la mystérieuse pyramide engloutie se trouve près des îles de São Miguel et Terceira, dans les Açores. 
Elle a été découverte lors d’une sortie de pêche par Diocleciano Silva, qui a observé la prétendue pyramide à l’aide de son équipement de bathymétrie alors qu’il pêchait. 
Apparemment, la pyramide a une forme parfaite et est orientée selon les points cardinaux. 
Certains chercheurs pensent qu’elle est immergée depuis 20.000 ans, soit depuis la fin de la dernière ère glaciaire. 
En conclusion, il s’agit d’une découverte qui doit être étudiée avec plus de soin et de précision pour déterminer s’il s’agit bien d’une pyramide.


Par Maëla : https://lesavoirperdudesanciens.com/2023/02/ces-pyramides-immergees-au-large-du-portugal-pourraient-etre-un-vestige-de-latlantide-selon-des-chercheurs/
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15 août 2022 1 15 /08 /août /2022 12:34
Découverte d’une tablette vieille de 2 000 ans rendant hommage à des diplômés de la Grèce antique

Les archéologues progressent de plus en plus dans la découverte d’artefacts provenant de la Grèce antique. Leur dernière trouvaille est une tablette qui aurait la propriété d’un annuaire. Les recherches approfondies ont montré que cet objet daterait d’il y a 2.000 ans. Les archéologues ont aussi affirmé que cette tablette aurait servi à graver les noms des personnes diplômées. Pourtant, l’éducation n’était pas ouverte à tout le monde à cette époque, d’où son importance pour l’Histoire.

LES TABLETTES COMPORTAIENT DES NOMS D’ÉLÈVES DIPLÔMÉS


L’éducation n’était pas faite pour tout le monde dans la Grèce antique. De ce fait, graver son nom sur ces pierres était un signe d’accomplissement. De plus, ils auraient terminé l’équivalent d’un parcours universitaire. Cette tablette est déjà la propriété du musée national d’Écosse, mais ce n’est que récemment qu’elle a été traduite afin de connaître les inscriptions qu’elle contenait.

Les chercheurs y ont trouvé des noms de jeunes hommes tout juste diplômés. Ces jeunes diplômés ont poursuivi leurs études à l’éphébat, c’était une classe composée uniquement de jeunes âgés de 18 à 19 ans. L’éphébat formait ces jeunes pour devenir des militaires pendant deux ans. En plus de leurs noms, les chercheurs ont aussi affirmé que le nom de l’empereur qui avait régné pendant leur formation était indiqué. En effet, ces jeunes ont été formés selon la tradition grecque malgré le siège d’Athènes par les Romains.

LE PARCOURS DES ÉLÈVES FORMÉS DURANT LA GRÈCE ANTIQUE


Les formations existaient déjà depuis longtemps en Grèce mais elles étaient réservées aux personnes de la classe supérieure. Ce n’est que vers le troisième siècle que les classes moyennes ainsi qu’étrangères ont pu accéder à la formation. D’ailleurs, elle a été limitée à un an et on y incluait la littérature ainsi que la philosophie. La formation que ces jeunes diplômés ont suivie consistait à se préparer à défendre leur pays, tout en appliquant les lois et les traditions. Peu de temps après l’apparition des tablettes, les formations se faisaient rares.

Un certain Attikos, fils de Philippos, semblait être une figure centrale. Un autre fait intéressant est que sur la tablette figurait le nom d’environ 30 personnes. Pourtant, une promotion comptait jusqu’à une centaine d’élèves. De ce fait, les personnes mentionnées sur les tablettes étaient considérées comme des élites.

 

Source 

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3 mai 2022 2 03 /05 /mai /2022 04:12
 25 nouveaux géoglyphes découverts au Pérou, près de Nazca

Et d’autres vieux de 3.000 ans représenteraient des constellations.

On connaît tous au Pérou les lignes de Nazca. Avec l’aide de drones, des archéologues ont découvert des dizaines de géoglyphes dessinés dans le désert bien avant le peuple Nazca. De styles différents, ils sont une nouvelle énigme archéologique.

Au Pérou, à quelques kilomètres des célèbres lignes de Nazca, des archéologues ont fait la découverte inattendue de plusieurs dizaines de géoglyphes dans la région désertique de la vallée de Palpa. Plus de 25 figures dans le sol viennent s’ajouter aux précédentes repérées par des drones depuis décembre 2017. Et c’est loin d’être terminé, Luis Jaime Castillo Butters et son équipe se préparent à aller visiter des centaines d’autres sites potentiels.

Ces géoglyphes, aujourd’hui presque imperceptibles à l’œil nu, seraient l’œuvre des Paracas, qui vivaient dans la région entre -500 et 200 de notre ère, et aussi de la culture intermédiaire des Topará. Quelques-uns, surtout ceux composés de lignes, sont attribués aux Nazca qui vivaient entre 200 et 700. La majorité de la cinquantaine de géoglyphes découverts à ce jour a été réalisée sur les flancs des collines, sans doute pour être vus des habitations en contrebas, pensent les chercheurs.

Beaucoup représentent des Hommes, en particulier des guerriers, et aussi des animaux. Les thèmes et aussi le point de vue les distinguent des motifs de Nazca. Toutefois, dans les deux cas, le sens de ces représentations demeure mystérieux. Pourquoi avoir dessiné ces figures ? Quel était le rituel ? Quoi qu’il en soit, ces découvertes montrent que la tradition est très ancienne : « Au total, nous parlons de 1.200 ans de production de géoglyphes », a souligné Johny Isla Cuadrado, du ministère de la culture péruvien, à Reuters. Cette découverte ouvre la porte à de nouvelles théories sur la fonction et la signification de ces gravures ».

Des géoglyphes découverts et protégés par des drones

Très inquiet des menaces de pillage et de dégradation qui pèsent sur l’ensemble des sites archéologiques du Pérou – il y a eu l’épisode malheureux des manifestants de Greenpeace qui ont marché près du colibri, à Nazca, en 2014, et ont ainsi piétiné toute la zone (l’ONG s’est depuis excusée) – Luis Jaime Castillo Butters, de l’université pontificale catholique du Pérou, a donc tout de suite accepté l’offre de GlobalXplorer de mener des cartographies aériennes.

« La documentation et la géolocalisation des sites sont la meilleure protection que nous pouvons leur offrir », a-t-il expliqué à National Geographic (la National Geographic Society participe au financement). C’est ainsi que des sites candidats remarqués sur des images satellites ont été survolés par des drones, plus à même de dévoiler des détails. Ils ont pu identifier des géoglyphes en partie effacés dont les lignes ne mesurent pas plus de quelques centimètres de large.

Pour le chercheur, bien que les géoglyphes soient dans la même zone que Nazca, inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco, il est important de les protéger du développement urbain, souvent illégal dans ces provinces, et d’autres dégradations possibles, volontaires ou non. « Nous ne nous battons pas contre un pilleur équipé d’une pelle qui s’enfuit en courant lorsqu’il est repéré. Nous nous battons contre une armée d’avocats. » C’est pourquoi les emplacements de ces sites sont pour l’instant gardés secrets.

CE QU’IL FAUT RETENIR

Près de Nazca, au Pérou, 25 géoglyphes supplémentaires ont été découverts.
Datés de 2.000 ans, ils sont plus anciens que les célèbres lignes de Nazca.

Les géoglyphes sont probablement l’œuvre des cultures Paracas et des Topará qui ont précédé les Nazca. Leur signification reste encore mystérieuse.

Voici un autre article très intéressant : https://www.ulyces.co/news/ces-geoglyphes-vieux-de-3.000-ans-representeraient-des-constellations/

Le Pont Cristallin de Lumière A E C Québec France

Source : https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/archeologie-plus-25-geoglyphes-decouverts-perou-pres-nazca-71540/

Source Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=ZSa6qrO-A9M

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14 mars 2022 1 14 /03 /mars /2022 03:04
Deux sphinx géants découverts dans un ancien temple égyptien

Le ministère égyptien du Tourisme et des Antiquités a récemment annoncé la mise au jour de deux statues de sphinx colossales lors de la restauration du temple funéraire d’un célèbre pharaon.

DES SCULPTURES MASSIVES

Mesurant près de 8 mètres de long, les deux statues en calcaire représentent Amenhotep III sous la forme d’un sphinx, créature mythologique au corps de lion et à tête humaine, arborant un némès (coiffe royale), une barbe cérémonielle (postiche) et un large collier. Celles-ci étaient à demi immergées à l’intérieur du « temple des millions d’années », à Louxor (anciennement Thèbes). Trois bustes en granit noir de Sekhmet, déesse guerrière à tête de lion, ont également été trouvés.

Les reliefs visibles sur les vestiges des colonnes encadrant la cour intérieur du temple ont révélé de nouvelles scènes du Heb-Sed, fête célébrée après trente ans de règne et répétée tous les trois ans par la suite. Selon l’équipe archéologique, les deux sphinx indiquaient probablement l’emplacement d’un chemin de procession.

La restauration des colosses a également permis la mise en évidence sur la poitrine de l’un d’eux d’une inscription faisant probablement référence au pharaon, pouvant être traduite par « le bien-aimé d’Amon-Rê ». Dieu du Soleil et père de Sekhmet dans la mythologie égyptienne, ce dernier était souvent représenté sous la forme d’un sphinx.

UN RÈGNE PROSPÈRE

Neuvième pharaon de la 18e dynastie et grand-père de ToutânkhamonAmenhotep III dirigeait l’Égypte il y a plus de trois millénaires, entre 1390 et 1352 av. J.-C. La plupart des historiens considèrent son règne comme une période de prospérité sans précédent pour l’Empire, marquant l’apogée de son rayonnement artistique et international.

Les archéologues ont expliqué dans un communiqué que le vaste temple où les deux sphinx ont été découverts avait principalement servi de lieu d’offrandes après la mort et le passage dans l’au-delà du pharaon. Construit près du Nil sous Amenhotep III, celui-ci aurait été détruit par un puissant tremblement de terre en 27 av. J.-C.

Le projet de restauration du temple et des colosses de Memnon, deux statues de pierre massives du pharaon, a débuté en 1998 sous la supervision du gouvernement égyptien.

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14 mars 2022 1 14 /03 /mars /2022 00:32

Qui a-t-il en Antarctique que nous ne devons pas savoir ? Un secret bien gardé !

L’Antarctique interdite au Public

 
Filibert : Cet article aborde la découverte de la présence ancienne d'une abondante végétation en Antarctique, ce que nous savions par les chercheurs qui ont exploré, depuis le début des années 2000, 3 soucoupes volantes enfermées dans les glace dont la plus grande de 42 km de long qui s'est écrasée sur une forêt équatoriale située à 4000 mètres sous les glaces ! 
Ces recherches confirment donc cette présence d'une végétation abondante à une période géologique reculée ! 
Mais l'interdiction d'accès du public, sous motifs de protection d'un territoire vierge, est en fait pour protéger des installations secrètes comme celles de soucoupes volantes et sans doute une porte d'accès à l'intraterre et ses peuples cachés ! 
C'est lorsque les Divulgations sur le Programme Spatial Secret que nous auront plus d'information, une fois le Gouvernement de l'Ombre neutralisé, ce qui est proche !

Le Traité de l’Antarctique interdit au Public toute intrusion.
"Je ne peux pas croire que cela se produise, mais c’est le cas. 

Notre étude sur les courants océaniques sur les fronts du plateau de glace est publiée aujourd’hui dans Nature.. ! 
Si fière de cette fantastique équipe qui a travaillé sans relâche sur le terrain et en laboratoire."
 


Février 2017, mer d’Amundsen. 
Une équipe de scientifiques naviguent près du glacier de l’île du Pin, en Antarctique. 
L’objectif de leur expédition ? 
Passer sous le plancher océanique afin de pouvoir étudier d’anciens fragments de glace.
Pour cela, ils utilisent une foreuse capable de plonger à 1000 m de profondeur. 

L’opération dure plus d’un mois. 
Et début avril 2020, les chercheurs de l’Institut Alfred Wegener, basé en Allemagne, ont publié leurs découvertes dans la revue américaine Nature.
L’Antarctique, expliquent-ils, a abrité par le passé des forêts et des dinosaures.

 


 
Les résultats de leurs recherches sont stupéfiants. 
En étudiant les sédiments prisonniers de la glace, les géologues ont pu redéfinir l’environnement de l’Antarctique.
"Lors des premières évaluations à bord du navire, la coloration inhabituelle de la couche de sédiments a rapidement attiré notre attention, a raconté Johann Klages, auteur de l’étude et géologue à l’Institut Alfred Wegener, à CNN. Elle différait clairement des couches situées au-dessus."
"À quoi ressemble une saison sur le terrain dans les vallées sèches de #Antarctica de Mcmurdo? Jetez un coup d’œil et écoutez !"
Ils découvrent des traces de plantes, de pollen et même de racines d’arbre. 

"C’est comme si l’on avait foré dans un marécage moderne et que l’on pouvait voir le système racinaire vivant, s’est enthousiasmé Karsten Gohl, chercheur pour l’institut allemand, au micro de la BBC. 
Mais tout cela est préservé depuis des milliers d’années. C’est incroyable."

"Les racines ! Un des noyaux les plus extraordinaires que nous avons récupéré du plateau antarctique ! Avec
@Remotelongitude
@vandeflierdt
@rdlarter
et beaucoup d’autres !


James Smith@shelfyice
Roots ! One of the more extraordinary cores we've recovered from the Antarctic shelf! With @RemoteLongitude @vandeflierdt @rdlarter and many others ! 


 



D’après la reconstitution des scientifiques, l’Antarctique a longtemps ressemblé à "une immense forêt pluviale" avec "de nombreux marécages", détaillent-ils dans la revue Nature.
 


 

"Pour avoir une meilleure idée de ce qu’était le climat dans cette phase la plus chaude du Crétacé, nous avons d’abord évalué les conditions climatiques dans lesquelles vivent les descendants modernes des plantes retrouvées dans la glace", poursuit Karsten Gohl auprès de CNN.
Découvrez cette grotte (et un robot sous-marin!) dans notre dernier épisode de "Antarctic Extremes".
Check out this cave (and an underwater robot!) in our latest installment of "Antarctic Extremes" on the @PBSDS Terra YouTube page! 

https://bit.ly/2TGsp11
 

 

Ainsi, les forêts retrouvées en Antarctique présentent les mêmes caractéristiques que celles du sud de la Nouvelle-Zélande aujourd’hui. 
Les températures moyennes ont été estimées à 12 °C. 
La calotte glaciaire n’existait donc pas à l’époque.
"La concentration de dioxyde de carbone était si élevée que le climat autour du pôle Sud restait tempéré, sans masse de glace, même en l’absence de soleil", explique Torsten Bickert, coauteur de l’étude et géoscientifique au centre de recherche de l’Université de Brême à CNN.
Grâce à tous ces éléments, les scientifiques ont également pu établir que des dinosaures ont vécu en Antarctique. 

"Si vous allez à l’extrémité de la péninsule Antarctique, vous trouverez toute une série de fossiles : des hadrosaures, des sauropodes et même des dinosaures primitifs ressemblant à des oiseaux", a rappelé Jane Francis, directrice du British Antarctic Survey, à la BBC.
 


Côté précipitations, "elles sont comparables à celle du Pays de Galles", assure l’étude scientifique publiée dans la revue Nature.
Des couches ce cendre volcanique et de la mousse de tourbe ont été ramassées à même de sol (environ 10/15 centimètres) !!!
La VIE est toujours présente !
"Une des choses qui m’étonne le plus en tant que géologue glaciaire est l’abondance et la persistance de la vie. 

Ici, un bryozoan apparemment délicat toujours en situation sur sa roche, après que nous ayons lâché un carottier de 2000 livres dessus et l’avons ensuite tiré à travers 500m d’eau."
 



Sur l’île découverte en Antarctique : du granit !
"Morceaux de roches de @Glacierthwaites terrain : galets de granit à gauche et au centre, et lave de basalte à droite. 

De ceux-ci, nous faisons de minces éclats de roche à regarder sous un microscope. 
Cela nous indique les types/quantités de minéraux que nous pouvons nous attendre à trouver dans nos carottes de forage !"
 


"Alors que #Feclimatefeedback attend que nos échantillons reviennent à la maison, voici une vidéo de #Miersvalley ! 
L’eau du glacier Miers (à gauche) et du glacier Adams (à droite) s’écoule dans le lac Miers (au milieu), créant une zone humide unique entre les deux cours d’eau."


Melisa Diaz@EarthMAD
While #FeClimateFeedback is waiting for our samples to come home, here’s a video of #MiersValley! Water from Miers Glacier (left) and Adams Glacier (right) flows into Lake Miers (middle), creating a unique “wetland” area between the two streams.

 



"Après avoir été les premiers visiteurs, nous pouvons maintenant confirmer que l’île Sif est faite de granit et qu’elle est couverte de glace résiduelle, et quelques phoques. Photos par CD Hillenbrand (BAS) et Laura Taylor (UH)."


Peter Neff@peter_neff
· 24 févr. 2020
Looks like ice retreated from the new "Sif Island" near #ThwaitesGlacier, #Antarctica since the early 2010s, based on a quick look at @googleearth timelapse.@ThwaitesGlacier @GlacierThwaites @rdlarter https://twitter.com/houston_wellner/status/1231700563634642944 …


 

 
Julia Smith Wellner@houston_wellnerAfter being the first visitors, we can now confirm that Sif Island is made of granite and that it is covered by remnant ice shelf, and a few seals. Photos by CD Hillenbrand (BAS) and Laura Taylor (UH). @glacierthwaites @glacieroffshore @GAViglione #nbp2002 @BAS_News @UHEAS

 



Peter Neff@peter_neff
You can also see this retreat in the very bottom right of the @AntarcticPIG ice shelf change dataset nicely assembled & put on github by @JuliaAndreasen from her time @CPOM_news! Check out her work here : https://juliaandreasen.github.io/Index 


 



Vous êtes les premiers, Oui. 
Mais "certains" ont déjà fait main basse sur l’île !
Après nous avoir Usurpé les Pyramides qui détiennent la clé du savoir de nos Ancêtres, (La Pyramide des Âges) ils s’approprient un autre savoir que contient cette île en y plaçant 3 pyramides et un globe terrestres : Neumayer Station.
Car l’on aperçoit une masse blanche continentale qu’il n’y est pas sensé avoir.

 

 

Que vont-ils faire en Antarctique ?
Harry en Antarctique pour "s’entraîner à une course" !!!
https://www.voici.fr/news-people/actu-people/photos-le-prince-harry-s-entraine-en-antarctique-pour-une-course-512461

 



John Kerry (Deep State) en Antarctique juste avant les élections de novembre 2016 !
https://www.rtl.be/info/monde/international/climat-en-antarctique-kerry-appelle-a-intensifier-la-lutte-contre-le-rechauffement-866376.aspx

 



Le Patriarche Kirill de Moscou en Antarctique pour y célébrer une messe :
https://www.la-croix.com/Religion/Monde/Le-patriarche-Kirill-Moscou-celebre-messe-Antarctique-2016-02-18-1200741004

 


Qui a t’il derrière cet immense Mur de Glace qui semble entourer la terre ?
Un secret bien gardé !

Fabien Pardo est Géologue.
N’oubliez pas que tout est mensonge !
 


Source :   https://www.ats.aq/f/antarctictreaty.html
Publié le 6 avril 2020 par brianajane :  
https://interetpourtous2.blogspot.com/2020/04/qui-til-en-antarctique-que-nous-ne.html#more

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10 février 2022 4 10 /02 /février /2022 15:59
Les Maoris ont découvert l’Antarctique 1 000 ans avant les Européens

Officiellement observé pour la première fois par une expédition russe en 1820, et foulé par un explorateur américain un an plus tard, le continent le plus méridional de la Terre pourrait avoir été découvert par les peuples autochtones de Nouvelle-Zélande au début du 7e siècle.

LES OUBLIÉS DE L’HISTOIRE DE L’ANTARCTIQUE

Dans le cadre de travaux publiés dans le Journal of the Royal Society of New ZealandPrisicilla Wehi et ses collègues de l’institut néo-zélandais Manaaki Whenua Landcare ont examiné les récits oraux ainsi que la « littérature grise » (recherches et rapports publiés en dehors des canaux de publication traditionnels) concernant l’Antarctique. Ce, afin de mieux cerner le rôle des Maoris dans sa découverte et son étude.

Au début du 7e siècle, le chef polynésien Hui Te Rangiora et son équipage auraient ainsi été les premiers humains à naviguer dans les eaux australes. « Dans certains récits, Hui Te Rangiora et son équipage ont continué loin vers le sud. Très loin au sud. Ce faisant, ils ont probablement été les premiers humains à poser les yeux sur les eaux de l’Antarctique et peut-être même sur le continent », écrivent les chercheurs.

— Marco Ramerini / Shutterstock.com

Bien que le voyage et le retour de Hui Te Rangiora représentent une part importante de l’histoire du peuple Ngāti Rārua et soient illustrés par de nombreuses gravures, ceux-ci ont globalement été ignorés par la littérature universitaire. « Les récits des groupes sous-représentés et leur lien avec l’Antarctique restent peu reconnus et documentés », souligne Wehi. « Ces nouvelles recherches visent justement à combler ces lacunes. »

« LA PARTICIPATION DES MAORIS AUX VOYAGES ET AUX EXPÉDITIONS S’EST POURSUIVIE JUSQU’À AUJOURD’HUI »

Les Maoris ont également largement contribué à « l’âge héroïque de l’exploration en Antarctique » à la fin du 19e siècle et au début du 20e siècle, apportant leurs connaissances et leur savoir-faire en matière de médecine et de construction aux explorateurs occidentaux. En 1840, Te Atu, de la tribu des Ngapuhi, est ainsi officiellement devenu le premier Maori et le premier Néo-Zélandais à observer la côte antarctique, au cours d’une expédition américaine.

« La participation des Maoris aux voyages et aux expéditions en Antarctique s’est poursuivie jusqu’à aujourd’hui, mais elle est rarement reconnue ou mise en avant », soulignent les chercheurs.

Au cours des décennies suivantes, les Maoris ont participé aux programmes scientifiques néo-zélandais en Antarctique et contribuent actuellement aux recherches portant sur les effets du changement climatique, ou l’évolution des populations de manchots. Selon Wehi, « impliquer davantage de scientifiques maoris et intégrer leurs perspectives ajoutera de la profondeur aux programmes de recherche, et en définitive, à la protection et à la gestion de l’Antarctique ».

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10 février 2022 4 10 /02 /février /2022 12:54
Une étude confirme la découverte de l’Amérique par les Vikings 500 ans avant Christophe Colomb

De nouvelles recherches menées aux Pays-Bas ont permis de dater avec plus de précision un établissement viking au Canada, confirmant que ce peuple était déjà présent en Amérique du Nord en 1021.

UNE HEUREUSE BIZARRERIE COSMIQUE

Bien que les Vikings soient connus pour avoir parcouru de vastes distances à bord de leurs emblématiques drakkars et que des incursions dans de mystérieuses terres à l’ouest aient été décrites dans d’anciennes sagas, ces récits avaient été considérés comme fantaisistes jusqu’à la découverte d’établissements nordiques sur le site de l’Anse aux Meadows, à Terre-Neuve. Dans le cadre de travaux publiés dans la revue Nature, des chercheurs de l’université de Groningue ont réalisé la datation la plus précise à ce jour de ces structures.

« La nette augmentation de la production de radiocarbone s’étant produite entre 992 et 993 a été détectée dans les cernes d’arbres du monde entier », détaille Michael Dee, auteur principal de l’étude. « Chaque échantillon de bois présentait ce signal radiocarbone 29 anneaux de croissance ‘avant’ le bord de l’écorce de l’arbre, ce qui nous a permis de conclure que la coupe avait eu lieu en l’an 1021 de notre ère », ajoute Margot Kuitems, co-auteure de l’étude.

Morceau de bois présentant des traces de taille — © Petra Doeve / University of Groningen

S’il subsiste encore de nombreuses zones d’ombre concernant les incursions vikings sur le continent américain (l’ensemble actuellement restreint de preuves de leur présence suggérant une entreprise de courte durée et un héritage culturel réduit), les auteurs de l’étude estiment que plusieurs établissements nordiques attendent encore d’être découverts.

DES RAISONS MYSTÉRIEUSES

Les preuves botaniques de l’Anse aux Meadows démontrent que les Vikings exploraient des régions situées bien plus au sud que leur colonie de Terre-Neuve, tandis que les sagas islandaises (des histoires transmises oralement ayant par la suite étaient transcrites) suggèrent des rencontres entre ces derniers et les peuples indigènes du continent. Le voyage jusqu’à ce site lointain aurait demandé aux intrépides explorateurs des semaines de navigation sur des mers potentiellement violentes, ce qui soulève la question suivante : pourquoi sont-ils partis ?

Selon la Grœnlendinga Saga, les Vikings connaissaient déjà l’existence des Amériques au moment où ils ont entrepris de les atteindre. Un marin islandais du nom de Bjarni Herjolfsson et son équipage auraient repéré l’Amérique du Nord alors qu’ils dérivaient dans l’Atlantique Nord, plusieurs décennies avant que le célèbre marin viking Leif Eriksson et son équipage n’atteignent ses côtes.

Ces dernières semaines, il a été confirmé que la carte du Vinland, attribuée aux Vikings et considérée comme l’une des plus anciennes représentations de l’Amérique du Nordétait un faux, tandis que l’étude d’un texte ancien a suggéré que les Italiens avaient déjà connaissance du continent en 1345.

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10 février 2022 4 10 /02 /février /2022 10:09

Un foret en métal trouvé dans le charbon pourrait suggérer l'existence d'une civilisation avancée il y a des millions d'années !

Traces d'anciennes Civilisations disparues

Filibert : Dans "l'Archéologie interdite", de nombreux objets ont été retrouvé démontrant que d'autres civilisations ont existé sur Terre il y a des millions d'années et même des centaines de millions d'années lorsque les objets ont été trouvées dans le charbon qui s'est formé au carbonifère, période où l'homme actuel n'était pas encore en évolution ! 
Nous avions fait des articles de ces objets improbables il y a quelques années, de même pour des trace de géants humains ! 
L'histoire de la Planète n'est pas celle que l'on enseigne !

Ce n'est pas la première fois que des artefacts "artificiels" sont découverts dans des roches ou des millions d'années souterraines.
En l'an 1852, spécifiquement le 13 décembre, John Buchanan a annoncé la découverte d'un étrange outil qui avait été découvert déposer dans la matière organique qui avec les millions d'années qui se sont transformées en charbon.
C'était un peu vieux, supposément des millions d'années. Buchanan a présenté ses conclusions aux responsables de la Société écossaise des antiquaires, attestant les procédures effectuées par la Société.
Selon Buchanan, l'outil est en fer, il a été trouvé à l'intérieur d'un fragment de charbon de 55 centimètres d'épaisseur. 

Le morceau de charbon a été déposé dans un bloc d'argile de plus de 2 mètres d'épaisseur.
Dans ses remarques, Buchanan a déclaré :
Je suis absolument d'accord avec l'approche géologique reçue collectivement selon laquelle la formation de charbon s'est produite dans plusieurs régions bien après l'apparition de l'homme sur Terre. 

Cependant, il est inexplicable comment cet outil aurait pu pénétrer dans le fragment de charbon !"

Analyse effectuée !
Les analyses effectuées par la Société ont déterminé que l'instrument avait un niveau de développement assez moderne et avancé. 

Cependant, ils ont conclu que "l'outil en fer pouvait avoir fait partie d'un foreur défectueux et perdu lors d'une recherche de charbon il y a de nombreuses années".
Mais le rapport soumis par Buchanan ne montrait aucun signe que le charbon de bois entourant l'outil avait été foré. 

Au contraire, l'artefact était mystérieusement encapsulé dans le fragment de charbon.

 




Un document daté du 13 décembre 1852 a été ajouté aux Actes de la Scottish Antique Society, déclarant :
Une déclaration de John Buchanan concernant la découverte d'un artefact en fer, récemment découvert incrusté dans un fragment naturel de charbon dans le quartier de Glasgow. L'outil a été dit moderne. 

M. Buchanan a commenté : "expédition à la connaissance de la Société, un curieux instrument en fer trouvé la semaine dernière dans cette même ville. 
La chose la plus remarquable à propos de cette relique est qu'elle a été découverte à l'intérieur d'un morceau de charbon qui était à 3 mètres sous terre. 
Je voudrais ajouter qu'une nouvelle route a été ouverte, appelée Great Western Road, qui mène aux jardins botaniques, qui, comme vous le savez peut-être, sont situés à environ 2 km au nord-ouest de Glasgow. 
Il peut être situé à un point récent sur cette route menant aux terres de Burnbank, qui est en cours de construction."
La personne qui a dirigé la construction était m. Robert Lindsay, non seulement architecte et constructeur, mais aussi une personne de très bonne réputation, connue de moi, et avec une véracité et une confiance que je considère très réelles. 

Quand Mr. Lindsay a creusé à travers le côté nord de la route, des fondations d'argile taillée mélangées à des roches de 3 mètres d'épaisseur. 
Il coupait assez profondément et il fallait enlever le charbon et couper dans la pierre en dessous, comme c'était nécessaire pour la construction.
Une grande quantité de charbon a été retirée et amenée à Mr. Lindsay. 

Comme son neveu, Robert Lindsay Jr., un apprenti, a retiré le fragment de charbon, il a été surpris de trouver l'instrument en fer à l'intérieur du bloc. 
Au départ, il n'était pas possible de bien distinguer ce que c'était ; Cependant, après l'avoir nettoyé, il a montré ce que tout le monde peut voir maintenant. 
Plus tard, j'ai envoyé l'instrument trouvé avec un échantillon de charbon. 
Beaucoup de gens en ville ont pu voir la découverte, et tous ces gens peuvent être appelés à témoigner.
De plus, des affidavits ont été envoyés par cinq travailleurs qui ont été témoins de l'instrument de fer extrait du charbon. M. Buchanan a ajouté : "Je suis d'accord avec l'analyse géologique reçue indiquant que le charbon s'est formé bien avant que l'homme ne soit placé sur cette planète ; 

Cependant, le mystère de la façon dont cet instrument, clairement fabriqué par une civilisation avancée, a trouvé son chemin à l'intérieur du charbon. 
Si nous faisons confiance aux ouvriers qui ont vu cette relique déterrée (je n'ai aucune raison de douter de sa véracité), il devrait y avoir un moyen d'expliquer comment cet instrument a trouvé son chemin sur 2,5 mètres à 3 mètres verticalement."
La parole de John Buchanan semble être restée ferme malgré les sceptiques essayant de nier que cette conclusion était réelle. 

Nous devons considérer que cette découverte n'est pas la seule signalée, si nous devons revoir la liste des anomalies de ce type, nous serons dans une grosse surprise.

 

Diffusé par :
https://areazone51ufos.blogspot.com/2020/04/un-foret-trouve-dans-le-charbon.html

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10 février 2022 4 10 /02 /février /2022 02:52
L’utilisation de l’Intelligence artificielle révèle un second et mystérieux auteur pour l’un des manuscrits de la mer Morte

Les manuscrits de la mer Morte contiennent les plus anciens manuscrits de la Bible hébraïque, également connue sous le nom d’Ancien Testament, ainsi que d’anciens textes juifs inconnus jusqu’alors. Ces documents inestimables, dont certains remontent au 4e siècle avant notre ère, offrent un point de vue unique sur l’ancienne culture des scribes de la Bible “en action”. Mais qui était derrière ces artefacts religieux majeurs ?

Image d’entête : reproduction du Grand Rouleau d’Isaïe l’un des manuscrits de la mer Morte. (Ardon Bar Hama/ Wikimedia)

À l’exception d’une poignée de scribes nommés dans quelques textes de documentation, la grande majorité sont anonymes. C’est particulièrement vrai pour les plus d’un millier de parchemins retrouvés dans les grottes de Qumrân, dans le désert de Judée, près de la mer Morte, qui représentent le plus grand trésor de parchemins de la mer Morte.

Aujourd’hui, des chercheurs de l’université de Groningue (Pays-Bas) ont utilisé des réseaux neuronaux sophistiqués et leur expertise en sciences humaines pour révéler de nouvelles informations sur ces scribes anonymes. Selon leur nouvelle étude publiée cette semaine (lien plus bas), bien que l’écriture puisse sembler identique pour un œil non averti, au moins l’un des manuscrits de la mer Morte a été rédigé par plusieurs scribes dont le style d’écriture se ressemblait. Auparavant, des chercheurs avaient suggéré que certains manuscrits devaient être attribués à un seul scribe sur la base d’une écriture similaire.

L’équipe dirigée par Mladen Popović, professeur de Bible hébraïque et de judaïsme ancien à la faculté de théologie et d’études religieuses de l’Université de Groningue, s’est concentrée sur le célèbre Grand Rouleau d’Isaïe de la grotte 1 de Qumran. Il s’agit d’un long texte, qui contient la lettre aleph, ou “a”, au moins cinq mille fois.

Image en noir et blanc de la colonne 15 du Grand Rouleau d’Isaïe , l’image binarisée correspondante et l’image épurée-corrigée. Dans les cases rouges des deux dernières images, on peut voir comment la rotation et la transformation géométrique sont corrigées afin d’obtenir une meilleure image pour un traitement ultérieur. (The Dead Sea Scrolls Electronic Library/ Brill Publishers)
 

manuscrits de la mer Morte AI 1 21

Selon Popović :

L’œil humain est étonnant et il prend vraisemblablement aussi en compte ces niveaux. Cela permet aux experts de “voir” les mains de différents auteurs, mais cette décision n’est souvent pas prise selon un processus transparent. En outre, il est pratiquement impossible pour ces experts de traiter les grandes quantités de données que les parchemins fournissent.

C’est pourquoi Popović et ses collègues se sont tournés vers des algorithmes informatiques qui sont bien adaptés à l’analyse de grands ensembles de données, y compris la comparaison de différences subtiles dans les caractères, comme leur courbure.

Les chercheurs, qui comprenaient des experts en intelligence artificielle, ont mis au point un réseau neuronal artificiel qui peut être entraîné à l’aide de l’apprentissage profond. Ce réseau neuronal a pu séparer les 54 colonnes de texte du grand rouleau d’Isaïe en deux groupes distincts qui n’étaient pas distribués au hasard dans le texte, mais regroupés.

Deux cartes de Kohonen 12×12 (cartes autoadaptatives) des caractères complets aleph et bet provenant de la collection des manuscrits de la mer Morte. Chacun des caractères des cartes de Kohonen est formé de plusieurs instances de caractères similaires (indiqués par un encadré agrandi). Ces cartes sont utiles pour l’analyse du développement chronologique des caractères. (Maruf A. Dhali/ Université de Groningue)

manuscrits de la mer Morte AI 2 21

Après un examen plus approfondi, qui a impliqué l’utilisation de diverses méthodes de contrôle pour exclure le ”bruit” dans les données, les chercheurs ont conclu que le texte a été écrit par un deuxième scribe qui a montré plus de variations dans son écriture que le premier, “bien que leur écriture soit très similaire”, ont écrit les chercheurs.

Cette analyse est un parfait exemple d’une interprétation moderne des systèmes d’écriture et des manuscrits historiques, un domaine de recherche connu sous le nom de paléographie. À l’avenir, la même méthode pourrait être utilisée pour analyser d’autres textes de Qumran, révélant ainsi des détails microscopiques sur les différents scribes et leur façon de travailler sur leurs précieux manuscrits.

Les chercheurs ne seront jamais en mesure de connaître l’identité de ces scribes, mais il est étonnant que 70 ans après leur découverte, les manuscrits de la mer Morte continuent de livrer leurs secrets.

Toujours selon Popović :

C’est très excitant, car cela ouvre une nouvelle fenêtre sur le monde antique qui peut révéler des liens beaucoup plus complexes entre les scribes qui ont produit les parchemins. Dans cette étude, nous avons trouvé des preuves d’un style d’écriture très similaire partagé par les deux scribes du grand rouleau d’Isaïe, ce qui suggère une formation ou une origine commune. Notre prochaine étape consistera à étudier d’autres parchemins, où nous pourrions trouver des origines ou des formations différentes pour les scribes.

L’étude publiée dans PLOS ONE : Artificial intelligence based writer identification generates new evidence for the unknown scribes of the Dead Sea Scrolls exemplified by the Great Isaiah Scroll (1QIsaa) et présentée sur le site de Université de Groningen : Cracking the code of the Dead Sea Scrolls.

 

Source: GuruMed

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