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5 décembre 2019 4 05 /12 /décembre /2019 23:26

Les alarmistes du changement climatique ont convaincu le public qu’il faut agir dés maintenant. Les rapports sont facilement démystifiés en tant que fraude …

La fraude du réchauffement de la planète exposée en images

Mon cadeau aux alarmistes du climat

Tony Heller fait un travail incroyable en montrant comment la fraude se produit dans sa vidéo intitulée My Gift To Climate Alarmists.

La vidéo ne dure que 12,51 minutes.

En bref

– Les vagues de chaleur augmentent depuis 1960

– La glace de l’Arctique diminue depuis 1979

– Augmentation des feux de forêt depuis 1983

– Elévation du niveau de la mer depuis 1920

Lorsque vous voulez induire les gens en erreur avec des statistiques, le choix de la date du début est très important.

Le graphique des vagues de chaleur des alarmistes par rapport aux données sous-jacentes

Les feux de forêt aux États-Unis tels que présentés par les alarmistes par rapport aux données réelles

Veuillez comparer la partie droite du tableau ci-dessus avec la moitié inférieure du tableau de la vague de chaleur pour voir la corrélation réelle.

Étendue de la banquise dans l’Arctique

Le niveau de la mer aux États-Unis depuis 1920

Le niveau de la mer aux États-Unis depuis 1850

L’élévation du niveau de la mer depuis 20 000 ans

Outil de lutte contre la fraude climatique

Tony Heller a conçu un logiciel pour choisir automatiquement la date de début idéale pour que les alarmistes climatiques puissent dépeindre ce qu’ils veulent.

« La plupart des scientifiques se taisent parce qu’ils le doivent. Ils perdraient leur carrière et leur revenu s’ils ne le faisaient pas. »

« Les adultes ne prendront pas le changement climatique au sérieux. Alors nous, les jeunes, nous sommes forcés de faire la grève. »

« Le New Deal écologique se lit comme le manifeste communiste ».

Redistribuer la richesse mondiale avec la politique climatique

Les militants du changement climatique prétendront bien sûr que de telles déclarations sont hors contexte.

Je suis d’accord qu’elles le sont probablement. Mais le lavage de cerveau des enfants ne l’est pas.

Retour en arrière en 1989

Des nations entières pourraient disparaître d’ici l’an 2000.

Visitez Real Climate Science pour plus d’informations.

Heller montre quelques-unes des astuces utilisées par les alarmistes, mais qu’en est-il des données réelles à long terme ?

L’escroquerie du réchauffement de la planète

William Land décrit les données sous-jacentes réelles pour des milliers d’années dans la « Grande escroquerie du réchauffement de la planète ».

La vidéo est longue. Cependant, l’aspect des données est entièrement couvert dans les 35 premières minutes. Le reste couvre la politique de ce qui se passe. Voici quelques extraits que j’ai faits.

Les faits ne correspondent pas à la théorie

Notions de base sur la fraude liée au réchauffement de la planète

Le Co2 et la température par rapport à l’activité solaire et à la température

Le dioxyde de carbone ne correspond pas du tout au cycle de réchauffement de la planète. L’activité solaire, oui.

Exemples de carottes de glace d’Al Gore

Les tests de carottes de glace d’Al Gore montrent qu’Al Gore a tort. Le dioxyde de carbone accuse un retard de 800 ans sur la température.

C’est la température qui entraîne le CO2 et non l’inverse.

Rayons cosmiques inversés vs température

– Quand les rayons cosmiques ont augmenté, la température a chuté. Quand les rayons cosmiques ont baissé, la température a augmenté.

– Le climat est contrôlé par les nuages. Les nuages sont contrôlés par les rayons cosmiques. Les rayons cosmiques sont contrôlés par le soleil.

– Des disques très différents s’assemblent à merveille.

– Tout vient du soleil, pas du CO2.

Patrick Moore Greenpeace Co-fondateur

Les négationnistes et les hérétiques

Les scientifiques qui s’expriment se heurtent à des battements de tambour pour négationnistes du réchauffement climatique.

Quiconque garde cette posture assez longtemps est considéré comme hérétique ou pire.

« Le mouvement écologiste est en fait un mouvement activiste politique« , affirme le cofondateur de Greenpeace.

Pire encore, ce qui devrait être un débat scientifique est maintenant un débat religieux irrécupérable avec des enfants endoctrinés utilisés comme outils.

Source: Mish Talk, le 1er octobre 2019Traduction par Nouvelordremondial.cc

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5 décembre 2019 4 05 /12 /décembre /2019 03:25
Depuis plus de 60 ans, la NASA sait que les changements qui se produisent dans les modèles météorologiques planétaires sont entièrement naturels et normaux. Mais l’agence spatiale, pour quelque raison que ce soit, a choisi de laisser le canular du « réchauffement climatique anthropique » persister et se propager au détriment des libertés fondamentales de chaque être humain.
La NASA admet que les changements climatiques sont dus aux modifications de l’orbite terrestre, et non aux 4×4 ou aux combustibles fossiles

En effet, et à l’instar des jours et des nuits, des saisons, des cycles lunaires et solaires, ainsi que des cycles propres à notre galaxie (tout comme pour l’ensemble de l’Univers), le réchauffement et le refroidissement terrestres sont cycliques et naturels. Ce que l’on comprend également, c’est qu’il n’y a pas de « réchauffement » en tant que tel depuis 1997.

Prendre comme point de repère certaines parties du globe pour annoncer en fanfare des augmentations de températures globales n’est ni sérieux, ni digne de la science.

Donc, s’il n’y a pas de réchauffement, l’expression « réchauffement climatique anthropique » est un mensonge.

En lieu et place, les scientifiques du GIEC auraient dû avoir l’honnêteté de parler de « changements climatiques », et ce depuis le début (1988). Mais honnêteté ne rime pas avec profit.

C’est en 1958, pour être précis, que la NASA a pour la première fois observé que des changements dans l’orbite solaire de la Terre et des modifications de l’inclinaison de son axe sont responsables de ce que les climatologues appellent aujourd’hui le « réchauffement » (ou « refroidissement », selon leur intention du jour).

En d’autres termes, les humains sont impuissants à réchauffer ou refroidir la planète en conduisant des 4×4 ou en mangeant du bœuf.

Mais jusqu’à présent, la NASA a échoué à rétablir les faits pour ce qu’ils sont et a plutôt choisi de rester les bras croisés à observer les libéraux/démocrates paniquer face à un monde censé prendre fin dans 12 ans à cause d’un excès de production bovine ou de pailles en plastique.

Le Giec ayant déclaré dans son rapport publié en octobre 2018 qu’il fallait réduire les émissions de gaz à effet de serre de 50 % pour réduire la hausse du réchauffement climatique, Alexandria Ocasio-Cortez (plus jeune démocrate élue au Congrès étasunien à 28 ans en 2018) déclarait en janvier dernier que le monde prendrait fin dans douze ans : « La fin du monde est dans douze ans si nous ne traitons pas le problème du changement climatique. […] C’est une guerre, c’est notre Deuxième Guerre mondiale (Sic !). » Source

Des envolées lyriques dans une défense d’un « Green New Deal » qu’aucun démocrate n’a voté, ce qui en dit long sur la sincérité de leurs déclarations.

Cependant, la vérité ressemble bien plus aux travaux de l’astrophysicien serbe Milutin Milankovitch — qui a donné son nom à la théorie astronomique des changements climatiques, aussi appelée Théorie Milankovitch. Cette théorie permet d’expliquer comment les variations saisonnières et latitudinales du rayonnement solaire, qui touchent la Terre de différentes manières et à différents moments, exercent le plus grand impact sur les changements climatiques de la planète.

 C’est pourquoi des libéraux un peu dérangés et obsédés par le climat ont maintenant commencé à prétendre qu’il ne nous reste que dix-huit mois avant que la planète ne meure d’un excès de dioxyde de carbone ou CO2.

Les deux images ci-dessous permettent d’en illustrer le propos.

La première montre une excentricité orbitale de la Terre quasi nulle, et la seconde une excentricité orbitale de la Terre de 0,07. Ce changement d’orbite est représenté par la forme excentrique et ovale de la deuxième image, qui a intentionnellement été exagérée dans le but de montrer le changement massif de distance qui se produit entre la Terre et le Soleil, selon que ce dernier se trouve au périhélie ou à l’aphélie.


Comme spécifié par Hal Turner dans son émission radiophonique :

« Même l’excentricité maximale de l’orbite terrestre de 0,07 serait impossible à représenter à la résolution d’une page Web. Même ainsi et à l’excentricité actuelle de 0,017, la Terre est 5 millions de kilomètres plus proche du Soleil au périhélie qu’à l’aphélie. »

Le Soleil est le plus grand facteur affectant le climat terrestre

Quant à l’obliquité terrestre, ou son changement d’inclinaison axiale, les deux images ci-dessous illustrent à quel point la Terre peut se déplacer à la fois sur son axe et sur son orientation rotationnelle. Aux inclinaisons plus élevées, les saisons terrestres deviennent beaucoup plus extrêmes, tandis qu’aux inclinaisons plus basses, elles deviennent beaucoup plus douces. Il en va de même pour l’axe de rotation de la Terre qui, selon l’hémisphère pointé vers le Soleil pendant le périhélie, peut avoir un impact considérable sur les extrêmes saisonniers entre les deux hémisphères.

Variation de l’obliquité axiale
Précession

Milankovitch a été en mesure — à partir de ces différentes variables — de mettre au point un modèle mathématique global lui-même capable de calculer les températures de surface de la Terre en remontant dans le temps, et la conclusion est simple :

le climat de la Terre est en constante évolution et a toujours fluctué, sans que la faute puisse en être imputable aux êtres humains ou à leurs activités.

Ignoré pendant près d’un demi-siècle, le modèle présenté pour la première fois par Milankovitch n’a reçu l’approbation de ses pairs qu’en 1976, lorsqu’une étude publiée dans la revue Science est venue confirmer son exactitude et sa conformité en regard de diverses périodes de changements climatiques qui se sont produits au cours de l’histoire.

En 1982, six ans après la publication de cette étude, le National Research Council de la National Academy of Sciences des États-Unis a adopté la théorie de Milankovitch comme exacte et fidèle à la réalité, en déclarant que :

« … les variations orbitales demeurent le mécanisme de changement climatique le plus minutieusement étudié à l’échelle de dizaines de milliers d’années et constituent de loin la plus flagrante incidence d’un effet direct du changement d’exposition aux rayons solaires sur la basse atmosphère de la Terre. »

Selon le Professeur Gervais dans un précédent Focus :

« Les observations récentes sont dérangeantes pour les modèles de climat ; sans doute parce qu’ils se refusent à prendre en compte un cycle de soixante ans de la température globale de la planète pourtant documenté sur cent trente ans. Ce cycle se décompose en phases montantes, descendantes, en plateaux, chacun d’une quinzaine d’années. […] Ainsi, en 2013, la superficie de la banquise arctique a présenté un déficit estival limité, très inattendu pour les alarmistes. Mais, tout au long de l’année, la superficie de banquise antarctique, elle, a présenté un excédent du même ordre, et même un record absolu confirmé par la NASA ! »

Si nous devions tout résumer en une simple phrase mettre un point final à tout ceci, ce serait :

Le Soleil est le plus grand facteur en capacité d’influencer les phénomènes météorologiques et climatiques sur Terre.

Selon la position de la Terre par rapport au Soleil à un moment donné, les conditions climatiques vont considérablement varier et même créer des anomalies radicales en mesure de défier tout ce que les humains pensaient savoir sur le fonctionnement de notre planète.

Mais plutôt que de se rallier à cette réalité fidèle, exacte et reconnue, les « climatologues » d’aujourd’hui, rejoints par des politiciens de gauche et des média grands publics complices, insistent sur le fait que ne pas recourir aux sacs réutilisables des supermarchés et ne pas avoir de véhicule électrique détruit la planète si rapidement que la seule solution réside dans une imposition absolue d’imposer des taxes climatiques mondiales.

Commentaire : Selon István Markó :

« Dilapider des milliards d’euros pour des modèles mathématiques qui sont faux et ne peuvent rien prédire, c’est ridicule. Cet argent dépensé pour rien devrait être utilisé pour régler de vrais problèmes de pollution. Par exemple le sixième continent, ce gigantesque agglomérat de déchets qui flotte dans le Pacifique, pourquoi on ne le nettoie pas ? On pourrait aussi nettoyer et repeupler nos rivières, assainir nos sols, transformer des chancres industriels en cités où il ferait bon vivre. Ce serait bien plus utile que de s’acharner sur ce malheureux CO2, que nous produisons tous lorsque nous expirons et qui ne nous a rien fait. »

Et selon un commentateur de l’émission radiophonique de Hal Turner :

« Le débat sur le changement climatique n’a rien à voir avec la science. Il s’agit d’une manœuvre des pouvoirs en place et des élites visant à imposer des contrôles politiques et économiques sur la population.

Et c’est un moyen supplémentaire — un parmi tant d’autres — pour diviser la population en deux, avec une partie qui mord à l’hameçon du réchauffement climatique anthropique et une autre qui le conteste, selon le sempiternel « diviser pour mieux régner ». »

Vous pouvez lire le rapport complet de l’émission radiophonique de Hal Turner via  ce lien.

Un aspect non mentionné dans l’article est l’effet de l’environnement cosmique sur la météorologie terrestre que l’on peut en partie mieux appréhender par le biais des travaux du physicien danois Svensmark :

« Au lieu de voir les nuages comme la conséquence du climat, il s’agit en fait de montrer que le climat découle des nuages, car les nuages reçoivent leurs ordres des étoiles. »

Heinrich Svensmark est depuis 1997 le principal défenseur de l’induction des formations nuageuses de basse altitude par le rayonnement cosmique, lui-même contrôlé par les cycles du Soleil.

Manière dont les rayons cosmiques aident la formation de noyaux favorisant la formation de nuages.

Néanmoins, ceux qui perpétuent le récit des « changements climatiques anthropiques » nous vendent des fariboles.

Car, et quand bien même l’être humain — de par sa façon de vivre aujourd’hui — est un grand pollueur de la planète, occulter, déformer ou encore minimiser la « réalité » du modèle de Milankovitch pourtant exact, admis et reconnu, permet à l’élite de continuer à manipuler les populations et à les maintenir dans une obscure ignorance qui les empêche d’apprendre la nature cyclique de leur histoire, ce qui leur permettrait de ne pas répéter les mêmes erreurs. Ce cycle comprend l’émergence d’empires suivie de leurs chutes dues à des bombardements cométaires, dont les météorites de Toungouska ou de Tcheliabinsk ne sont que de pâles exemples de ce qui nous attend :
« Les comètes et leurs phénomènes associés – météores, séismes, changements climatiques, volcanisme, inondations, incendies, (mini-)âges glaciaires, etc., semblent avoir entraînés dans leurs sillages et tout au long des millénaires, de mauvaises récoltes suivies de famines, d’épidémies, de révolutions, de guerres et de chutes d’empires, d’évolutions et de déclins. »
Il semble par ailleurs de plus en plus évident que nous nous dirigeons vers un refroidissement planétaire et que l’élite le sait depuis longtemps.

Quelques suggestions d’ouvrages :

Hiver cosmique, Dr Victor Clube et Dr Bill Napier
Climat – 15 vérités qui dérangent, István Markó
Les grands bouleversements terrestres, Dr Immanuel Velikovsky
Observations sur l’influence des comètes sur les phénomènes de l’atmosphère, Thomas Forster
Les changements terrestres et la connexion anthropocosmique, Pierre Lescaudron
L’Innocence du carbone – L’effet de serre remis en question, François Gervais

La thèse de David Wilcock :

https://fr.sott.net/

Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité et de citer la source et le site: http://www.elishean.fr/

Copyright les Hathor © Elishean/2009-2019/ Elishean mag

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2 novembre 2019 6 02 /11 /novembre /2019 22:08
500 scientifiques climatosceptiques interdits d’Onu : priorité à Greta
Les climatosceptiques sont interdits de médias, ce qui évite tout débat.
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Antonio Guterres a sciemment ignoré l’appel des  500, tout en  déroulant le tapis rouge à l’agressive marionnette Greta Thunberg !! C’est pitoyable.
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La grand-messe onusienne sur le climat est la plus grande escroquerie du siècle. Le monde entier marche sur la tête. L’irrationnel règne en maître. Il n’y a plus que Trump pour garder la tête froide dans ce délire planétaire qui nous annonce la fin du monde.
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Cette hystérie collective sur le réchauffement climatique dépasse l’entendement. Nous subissons une manipulation démentielle, savamment orchestrée au seul profit d’un lobby climatique qui prospère sur un marché colossal de centaines de milliards de dollars.
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500 scientifiques spécialistes du climat, venus de 13 pays dont 40 pour la France, viennent de signifier à Antonio Guterres, secrétaire général des Nations unies qu’il n’y a aucune urgence climatique et que le CO2, loin d’être un polluant est bénéfique pour la vie sur Terre.
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Qui les a écoutés ? Personne. Les grands de ce monde ont préféré s’extasier sur le discours apocalyptique d’une gamine de 16 ans sans la moindre expérience, plutôt que d’entendre les arguments de 500 scientifiques de renom.
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Les travaux du Giec sont expressément remis en cause. Les 500 experts climatosceptiques  réclament un débat contradictoire avec les prophètes de l’Apocalypse mais personne ne les écoute.
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« Les modèles de circulation générale du climat sur lesquels la politique internationale est actuellement fondée sont inadaptés. Il est donc cruel aussi bien qu’imprudent de préconiser le gaspillage de milliers de milliards de dollars sur la base des résultats de modèles aussi imparfaits. Les politiques climatiques actuelles affaiblissent inutilement le système économique, mettant des vies en danger dans les pays à qui est refusé l’accès à une énergie électrique permanente et bon marché. »
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« Nous vous exhortons à suivre une politique climatique fondée sur une science solide, sur le réalisme économique… »
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« Nous vous demandons d’inscrire cette déclaration à l’ordre du jour de votre prochaine session à New York. »
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« Nous vous invitons également à organiser avec nous début 2020 une réunion de haut niveau, constructive, entre des scientifiques de réputation mondiale des deux côtés du débat sur le climat. »
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Pour tous ces experts, il n’y a aucune urgence climatique. 
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« Les modèles climatiques présentent de nombreuses lacunes, et ne sont guère exploitables en tant qu’outils décisionnels. » En clair, les travaux du Giec ne sont pas crédibles. Le réchauffement climatique est beaucoup plus lent que prévu.
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Et l’accroissement du CO2 est bénéfique.
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« Le CO2 n’est pas un polluant. Il est essentiel à toute la vie sur Terre. La photosynthèse est un bienfait. Davantage de CO2 est une bonne chose pour la nature, cela fait verdir la Terre : le CO2 supplémentaire dans l’air a favorisé un accroissement de la biomasse végétale mondiale. Il est par ailleurs bon pour l’agriculture, accroissant les rendements des récoltes dans le monde entier. »
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Le réchauffement climatique ne provoque pas davantage de catastrophes naturelles.
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« Il n’y a aucune preuve statistique que le réchauffement climatique intensifie les ouragans, les inondations, les sécheresses ou autres catastrophes naturelles analogues, ni qu’il les rendrait plus fréquentes. En revanche, les mesures d’atténuation du CO2 sont, elles, aussi dévastatrices que coûteuses. Ainsi, les éoliennes tuent les oiseaux et les chauves-souris, et les plantations d’huile de palme détruisent la biodiversité des forêts tropicales. »
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« Il n’y a pas d’urgence climatique. Il n’y a donc aucune raison de s’affoler et de s’alarmer. Nous nous opposons fermement à la politique néfaste et irréaliste de neutralité carbone proposée pour 2050. »
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On le voit, c’est un discours diamétralement opposé aux cris d’alarme du Giec, consécutifs aux résultats de modélisations pipées.
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Depuis la grande escroquerie du communisme, qui a tenu 70 ans par le mensonge et la terreur, c’est une nouvelle dictature qui  a pris le pouvoir sur Terre : celle des climatologues du Giec.
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S’ils sont si sûrs de leurs calculs, qu’ils acceptent le grand débat constructif que réclament ces 500 scientifiques.
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Ce débat est impératif. Si le Giec se dérobe, c’est qu’il ment. 
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Jacques Guillemain
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25 octobre 2019 5 25 /10 /octobre /2019 22:40

L’Optimum Médiéval a été plus chaud que les années que nous connaissons actuellement !

Il a fait plus chaud au Moyen Age qu’aujourd’hui
L’Histoire apporte des faits. 
L’an mil fut très chaud et les mémoires semblent l’oublier. 
Et pourtant si nous appelons le Groenland c’est qu’il fut la Terre Verte selon Eric le Rouge.

Mais alors d’où viennent les erreurs et pourquoi…
C’est un des nombreux mythes populaires concernant les variations de température sur les siècles passés. 

A l’échelle globale ou hémispherique, il est admis que les températures de surface ont suivi une évolution en forme de "crosse de hockey" – ("hockey stick"), caractérisée par une longue tendance au refroidissement depuis "l’Optimum Climatique Médiéval" (grosso modo, du Xie au milieu du XIVie siècle) jusqu’au "Petit Age Glaciaire" (grosso modo du milieu du XVie au XIXie siècle), suivie d’un réchauffement rapide au XXie siècle qui culmine par les températures anormalement élevées de la fin du XXie siècle. 
Ces températures élevées de la fin du XXie siècle, aux échelles hémisphérique ou globale, apparaissent, d’après de nombreux travaux récents évalués par des pairs, supérieures à celles maximales de l’Optimum Médiéval.
Les assertions de températures moyennes globales plus élevées au Moyen Age que maintenant sont fondées sur un certain nombre de prémisses fausses qui confondent les indicateurs de sécheresse/précipitation avec ceux de température, ne font pas la différence entre des variations globales et régionales de température, et utilisent tout le 20ie siecle pour définir les conditions ‘modernes’, ce qui empêche de différencier les conditions relativement fraiches du début du 20ie et celles anormalement chaudes de la fin du 20ie. 

Ces erreurs sont dignes d’erreurs scolaires grossières de la part du GIEC.

 
Voici le graphique du GIEC présentait en 2001. Le réchauffement a eu lieu seulement sur la fin du XXeme siècle !

Mais une erreur grossière de débutant est ressortie. Sauf que le GIEC avait bêtement oublié le moyen âge qui figurait sur le graphique de 1996, le vrai. 
C’est vrai qu’il montrait qu’il avait fait bien plus chaud vers l’an 1300, donc pas de quoi fouetter un chat ONUsien.
Nul ne songe à nier que la colonisation du Groenland par les Vikings à partir de 985 fut rendue possible par l’existence d’un optimum climatique. 

La disparition de ces mêmes colonies reste quand à elle entourée d’un profond mystère et ses causes semblent complexes sur fond de dégradation climatique. 
Les établissements vikings ont compté jusqu’à 280 fermes et jusqu’en 1347 des incursions ponctuelles ont eu lieu au Vinland pour se procurer du bois. 
Mais en 1410, l’une des deux colonies s’était éteinte et en 1540 une expédition trouva la seconde déserte à l’exception d’un cadavre non enfoui. 

A partir de 1200, la détérioration du climat frappe durement les colonies groenlandaises qui, même pendant l’optimum climatique, n’ont jamais pu subvenir seules à leurs propres besoins. 
Elles y survivent jusqu’au milieu du XIVème parce que les exportations de produits de luxe vers la Norvège continuent de justifier des courants d’échanges devenus plus dangereux. 
D’autre part, sachant que le nom“Groenland”, qui signifie “Terre verte”, a été donné en l’an 965 par le Viking Thorvaldsson, dit Erik le Rouge. Impensable de nos jours au XXI eme siècle. 
Cet optimum climatique était bien supérieur de nos températures actuelles dites si dramatiquement élévées. 
La baisse des températures vers la fin du XIVeme siècle est une autre histoire, celle du petit age glaciaire.

Durant la période de l’histoire de l’Europe connue sous le nom de Moyen Age, un climat chaud, qui a duré à peu près de 900 à 1200 après J.-C. a dominé la plus grande partie de l’Europe; il fut appelé Optimum Médiéval. 

Cette période a permis à l’homme de s’installer dans des régions qui seraient aujourd’hui considérées comme trop rudes sur le plan climatique. 
Durant l’Optimum Médiéval, on cultivait l’avoine et l’orge en Islande et la vigne prospérait dans le sud de l’Angleterre. 
Les forêts canadiennes s’étendaient beaucoup plus loin vers le nord qu’elles ne le font aujourd’hui, les colonies agricoles prospéraient dans les hautes terres du nord de l’Écosse. Tandis que l’Europe jouissait de l’Optimum Médiéval, d’autres régions du monde souffraient de toute évidence d’une sécheresse prolongée. 
Selon une étude achevée récemment, comprenant l’analyse d’anciennes souches d’arbres submergées, la région de la Californie actuelle, aux États-Unis, a connu deux sécheresses longues et sévères pendant la plus grande partie de l’Optimum Médiéval. 
Celles-ci ont été séparées par une période d’humidité inhabituelle de durée Inférieure à un siècle. La première de ces sécheresses a duré plus de deux siècles. 
La deuxième a persisté plus de 140 ans, El est démontré que la Patagonie, en Amérique du Sud, a également été touchée par ta sécheresse durant cette période. 
Les sécheresses en Californie ont peut-être été provoquées par un déplacement vers le nord des orages d’été. 
La Californie compte aujourd’hui 30 millions d’habitants. 
Par conséquent, une sécheresse de cette ampleur aurait de nos jours un effet catastrophique (Stine, 1994).

Il faisait donc nettement plus chaud en l’an 1000 qu’en l’an 2000. 

Le GIEC a commis de graves erreurs. Leur graphique de 1996 a été contredit par leur nouveau graphique de l’an 2001. 
L’Optimum Médiéval fut beaucoup plus chaud qu’aujourd’hui et les faits historiques le démontrent avec certitude. 
Le réchauffement actuel n’a vraiment rien d’exceptionnel sauf peut être pour notre société qui vit à 100km/h et dans l’instant d’une recherche continuelle d’un nouveau profit. 


Sources : http://www.realclimate.org/
http://riensavoir.free.fr 
http://www.educnet.education.fr/  
http://www.fao.org/
https://www.laterredufutur.com/accueil/il-faisait-plus-chaud-au-moyen-age-quaujourdhui/
 
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25 octobre 2019 5 25 /10 /octobre /2019 02:37

Un magnifique exemple de Fake News sur le climat !

Une Manipulation d'Images sur le Climat

Dans cette image, tout est faux !
Le montage photo ci-dessus circule abondamment sur les réseaux sociaux depuis des mois et a été partagé des centaines de milliers de fois par de malheureux internautes angoissés... Et manipulés.
Nous avons devant nous la démonstration éclatante des méthodes de propagande du lobby de "l'urgence climatique". 

Ici, tout est faux :
A gauche, il s'agit de la plateforme de Getz, un des plus grands plateaux de glace de l'Antarctique. Il est attaché au continent, comme on peut le voir sur ce plan plus large : LIEN. Et surtout, la photo date de 2016, pas de 2009 : LIEN
A droite, il s'agit d'une photo prise en 2018 d'un morceau de glace flottant dans l'océan arctique, de l'autre coté du globe, donc. LIEN
Pour rappel : 89.000 Milliards $ d'ici 2030 constituent le dernier chiffrage de la Banque Mondiale, grande spécialiste du climat comme chacun sait, pour la "lutte" contre le réchauffement climatique. 

Une dépense de l'ordre de 15 à 16 Milliards d'euros par jour. LIEN
Pour en savoir plus sur la prétendue "urgence climatique" dont l'unique but est de nous écraser d’impôts et de taxes "écologiques" jusqu'à ce que mort s'ensuive :
Vidéos de François Gervais :
- démonter le mythe de l'urgence climatique LIEN
- L'urgence climatique est un leurre LIEN
A lire : François Gervais - L'urgence climatique est un leurre

 

Diffusé par Bertrand Riviere :  
https://gaideclin.blogspot.com/2019/02/un-magnifique-exemple-de-fake-news-sur.html

 

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24 septembre 2019 2 24 /09 /septembre /2019 19:43
UN RAPPORT FAIT LA LUMIÈRE  SUR LE PLAN SECRET DE LA FAMILLE ROCKEFELLER  SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES.
Rappel
31/03/2017 - David Rockefeller est décédé 
Le lien avec l’assassinat de JFK, John Kennedy, révélé ! 
 
Le climat change, et il change depuis très longtemps. En fait, le climat a toujours changé, et il y a une myriade de facteurs qui influencent le changement climatique comme l’activité solaire et encore bien d’autres choses. Si vous n’êtes pas instruit sur la science du climat, il est facile d’adopter le point de vue «apocalyptique» qui est souvent mis en avant par les médias corrompus. Cependant, quand vous regardez ce que disent les climatologues, il semble que personne d’un côté ou de l’autre ne soit d’accord avec le récit de l’«hystérie climatique» des médias.
 
Le principal argument de ceux qui attribuent à la perspective de l’hystérie est que les niveaux de CO2 sont les plus élevés qu’ils aient jamais atteints depuis que nous avons commencé à les enregistrer, soit environ 415 parties par million (ppm) à l’heure actuelle. Ce n’est pas comme si les climatologues n’étaient pas d’accord sur l’idée que le CO2 provoque un certain réchauffement de notre atmosphère, cela semble être un fait bien établi dans la littérature scientifique. Mais ce qui n’est jamais mentionné, c’est le fait que les niveaux de CO2 ont été considérablement plus élevés qu’ils ne le sont maintenant ; en fait, les niveaux de CO2 ont été exponentiels et la température terrestre a été beaucoup plus chaude que ce qu’elle est maintenant. L’idée que les émissions humaines de CO2 sont responsables des changements climatiques n’est pas scientifiquement valable, mais des initiatives politiques qui ne font rien pour notre environnement sont élaborées et mises en avant, mettant de grosses sommes d’argent dans les poches de gens très puissants. 
 
UN RAPPORT FAIT LA LUMIÈRE  SUR LE PLAN SECRET DE LA FAMILLE ROCKEFELLER  SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES.
ARNAQUE AU CO2. LE CO2 EST TOUT, SAUF UN POLLUANT! 
«Nos plantes cultivées ont évolué il y a environ 400 millions d’années, lorsque le CO2 dans l’atmosphère était d’environ 5000 parties par million ! Nos arbres et arbustes à feuillage persistant ont évolué il y a environ 360 millions d’années, avec des niveaux de CO2 à environ 4 000 ppm. Quand nos arbres à feuilles caduques ont évolué il y a environ 160 millions d’années, le niveau de CO2 était d’environ 2 200 ppm, soit encore cinq fois le niveau actuel.» – Dennis T. Avery, économiste agricole et de l’environnement, chercheur principal au Center for Global Food Issues en Virginie et ancien analyste principal au département d’État des États-Unis (source)
Le CO2 causant une augmentation de la température est l’épine dorsale de l’argument du réchauffement climatique, mais le CO2 cause-t-il une élévation de la température, ou une augmentation de la température provoque-t-elle une hausse du C02 ? 
Il n'y a pas que les votes qui sont truqués. Le but est de nous faire peur avec le réchauffement climatique tout en nous soutirant, encore, là, le maximum d'argent.
«La question est de savoir comment le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) détermine qu’une augmentation du CO2 atmosphérique entraîne une augmentation de la température mondiale. La réponse est qu’ils ont supposé que c’était le cas et l’ont confirmé en augmentant les niveaux de CO2 dans leurs modèles climatiques informatiques et la température a augmenté. La science ne doit pas tenir compte du fait qu’ils ont écrit le code informatique qui disait à l’ordinateur d’augmenter la température avec une augmentation du CO2. La science doit se demander si cette séquence est confirmée par des preuves empiriques. Certains scientifiques l’ont fait et ont constaté que les données empiriques montraient que ce n’était pas vrai. Pourquoi n’est-ce pas au centre de tout le débat sur le réchauffement climatique anthropique ?» – Tim Ball, (source) ancien professeur au Département de géographie de l’Université de Winnipeg. 
William Happer, physicien américain et professeur émérite de physique Cyrus Fogg Brackett à l’Université de Princeton, est l’un de ce qui semble être des milliers d’universitaires à ne pas être écoutés par les principaux médias qui ont la même vision : «Dans chaque étude minutieuse, la température augmente d’abord, puis le CO2 augmente, et lorsque la température diminue d’abord, le CO2 diminue ensuite. La température provoque des changements de CO2 au moins depuis un million d’années, cela ne fait aucun doute.» (source)
«Doubler les émissions de CO2, c’est perturber le climat de 2%. Il en va de même pour les changements mineurs dans les nuages et d’autres caractéristiques, et de tels changements sont courants. Dans ce système multifactoriel complexe, quelle est la probabilité que le climat (qui, en soi, se compose de nombreuses variables et pas seulement d’une anomalie de température moyenne globale) soit contrôlé par cette perturbation de 2% en une seule variable ? Croire ça, c’est presque croire en la magie. Au lieu de cela, on vous dit que c’est croire en la « science ». Une telle affirmation devrait être un indice que quelque chose ne va pas. Après tout, la science est un mode d’enquête plutôt qu’une structure de croyance. L’accumulation de déclarations fausses et/ou trompeuses est souvent appelée « preuve accablante » de la catastrophe à venir. Sans ces affirmations, on peut légitimement se demander s’il existe des preuves.» Lindzen (source)
Une autre citation soulignant ce point : Les citations ci-dessus proviennent de Richard Lindzen, un physicien de phénomènes atmosphériques qui a publié plus de 200 articles et livres scientifiques. Il a été titulaire de la bourse Alfred P. Sloan de météorologie au «Massachusetts Institute of Technology», et il est l’auteur principal du chapitre 7, «Physical Climate Processes and Feedbacks», du troisième rapport d’évaluation sur les changements climatiques du Groupe intergouvernemental sur l’évolution du climat (l’organisation qui fait avancer le programme sur le changement climatique). À plusieurs reprises, M. Lindzen et bien d’autres se sont exprimés très ouvertement sur les conclusions de ce document qui sont produites par des politiciens et non par des scientifiques. Il y aura plus de détails à ce sujet plus tard dans l’article.
Selon Mme Leslie Woodcock, professeure émérite à la «School of Chemical Engineering and Analytical Science» de l’Université de Manchester (Royaume-Uni), est une ancienne scientifique de la NASA : «Le terme « changement climatique » n’a pas de sens. Le climat de la Terre a changé depuis des temps immémoriaux, c’est-à-dire depuis que la Terre s’est formée il y a 1 000 millions d’années. 
La théorie du « changement climatique dû à l’homme » est une hypothèse non fondée concernant notre climat [qui dit qu’il] a été affecté négativement par la combustion de ressources fossiles au cours des 100 dernières années, entraînant une augmentation très légère mais catastrophique de la température moyenne à la surface du globe, avec des conséquences environnementales catastrophiques. En fait, l’eau est un gaz à effet de serre beaucoup plus puissant et il y en a 20 fois plus dans notre atmosphère (environ un pour cent de l’atmosphère) alors que le CO2 n’est que de 0,04 pour cent. Il n’existe aucune preuve scientifique reproductible de l’augmentation significative du CO2 au cours des 100 dernières années. Les preuves anecdotiques ne signifient rien en science, elles ne sont pas significatives…» (source)
Dans les documents du GIEC, nous pouvons voir à quel point le lien entre le changement climatique et les émissions de CO2 est flou, notamment dans leurs conclusions intitulées «Climate Change 2001 : The Scientific Basis». Voici une de leurs recommandations : «Explorer plus à fond le caractère probable des états climatiques futurs en développant de multiples ensembles de calculs de modèles. Le système climatique est un système chaotique non linéaire couplé, ce qui rend impossible la prévision à long terme des futurs états climatiques. L’accent doit plutôt être mis sur la prédiction de la distribution de probabilité des futurs états possibles du système par la génération d’ensembles de solutions modèles.»
 
Si nous revenons au deuxième rapport d’évaluation du GIEC des Nations Unies de 1995, nous pouvons voir à quel point l’ordre du jour a éclipsé et atténué la science actuelle. Les scientifiques ont inclus ces trois déclarations dans le projet :
  • «Aucune des études citées ci-dessus n’a démontré clairement que nous pouvons attribuer les changements (climatiques) observés à la cause spécifique de l’augmentation des gaz à effet de serre.»
  • «Aucune étude à ce jour n’a attribué positivement tout ou partie (des changements climatiques observés) à des causes anthropiques (c’est-à-dire d’origine humaine).»
  • «Toute allégation de détection positive d’un changement climatique significatif restera probablement controversée jusqu’à ce que les incertitudes sur la variabilité naturelle du système climatique soient réduites.»
Le «Résumé» et la conclusion du rapport du GIEC ont été rédigés par des politiciens et non par des scientifiques. Les règles obligent les  » scientifiques  » à modifier leurs rapports pour qu’ils correspondent au «résumé» final des politiciens. Ces trois déclarations des «scientifiques» ci-dessus ont été remplacées par la suivante :
  • «La prépondérance des preuves suggère une influence humaine perceptible sur le climat mondial.» 
La proportion de 97% :
Les médias grand public et les gens qui soutiennent l’idée que les humains réchauffent la planète citent souvent le fait que «97 % des scientifiques sont d’accord avec eux». Tout d’abord, ce n’est pas vrai, et encore une fois, nous ne savons pas si les humains réchauffent la planète. 
«Cette affirmation fait suite à celle de 1988 sur la couverture de « Newsweek », selon laquelle tous les scientifiques s’entendent pour dire qu’il s’agit là d’un problème de santé publique. Dans les deux cas, l’allégation vise à convaincre le non-expert qu’il n’a pas besoin de comprendre la science. Le simple fait d’être d’accord avec les 97% indiquera que l’on est un partisan de la science et que l’on est supérieur à quiconque nie le désastre. Cela répond en fait à un besoin psychologique pour de nombreuses personnes. La demande est présentée par un certain nombre de personnes et il y a plusieurs façons de la présenter. Bast et Spencer ont fait une démystification approfondie dans le « Wall Street Journal ». L’une des astuces consiste à sonder les scientifiques pour savoir s’ils sont d’accord pour dire que les niveaux de CO2 dans l’atmosphère ont augmenté, que la Terre se réchauffe (ne serait-ce que légèrement) et que les activités humaines ont joué un rôle quelconque. Il s’agit en effet d’un point sur lequel nous sommes presque tous d’accord, mais qui n’a pas d’implications évidentes en termes de danger. Néanmoins, cela est présenté comme un argument en faveur du catastrophisme. D’autres astuces consistent à examiner un grand nombre de résumés où seuls quelques-uns traitent réellement du danger. Si parmi ces quelques personnes, 97% appuient le catastrophisme, les 97% sont présentés comme faisant partie de l’ensemble beaucoup plus important des résumés. L’un de mes préférés est le récent article paru dans le « Christian Science Monitor » (un journal autrefois respecté et influent) : Pour mémoire, sur les quelque 70 000 articles sur le réchauffement climatique publiés en 2013 et 2014, quatre auteurs ont rejeté l’idée que les humains sont les principaux moteurs du changement climatique. Je ne pense pas qu’il faille un expert pour reconnaître que cette affirmation est un fantasme bizarre pour de nombreuses raisons évidentes.» – Richard Lindzen, de son article « Straight Talk About Climate Change », où il va plus en détail.
Le rapport Rockefeller :
Dans les années 1980, le «Rockefeller Brothers Fund» est devenu la seule autorité de l’agenda du réchauffement climatique. Le «Rockefeller Brothers Fund» se targue d’être l’un des premiers grands activistes mondiaux en citant son militantisme en faveur de la création, en 1988, du Groupe d’"experts" intergouvernemental sur l’évolution du climat (le fameux GIEC cité plus haut) des Nations Unies et de la Convention-cadre sur les changements climatiques en 1992.
LA DICTATURE DES PSEUDO-EXPERTS. QUI SONT-ILS ? POURQUOI LES UTILISE-T-ON?
 
«L’élite mondiale a toujours bénéficié d’une manière ou d’une autre des crises, nous l’avons vu à maintes reprises avec la guerre. 
Ce qui est important, cependant, c’est de reconnaître le rôle de la famille Rockefeller – qui a historiquement été l’architecte du « Big Oil » – dans le soutien au débat sur le changement climatique ainsi que le financement des scientifiques, des environnementalistes et des ONG engagés dans l’activisme populaire contre le « Big Oil » et l’industrie des combustibles fossiles. 
Le débat sur le climat mondial est d’une importance cruciale. Mais qui contrôle ce débat ? Il y a une relation contradictoire évidente : Alors que « Big Oil » est la cible de l’activisme en faveur du réchauffement climatique, « Big Oil » à travers la famille Rockefeller et Rockefeller Brothers Trusts finance généreusement le mouvement mondial de protestation pour la lutte du changement climatique. Demandez-vous pourquoi ?» – Michel Chossudovsky, économiste canadien et professeur émérite d’économie à l’Université d’Ottawa 
 
UN RAPPORT FAIT LA LUMIÈRE  SUR LE PLAN SECRET DE LA FAMILLE ROCKEFELLER  SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES.
Vous pouvez accéder au rapport complet ici si le PDF s’affiche mal. Il a été publié par l’«Energy & Environmental Legal Institute». 
Un exemple d’autres facteurs influençant le climat – une ère glaciaire à venir ? :
L’idée que l’activité solaire n’affecte pas le climat de la Terre est extrêmement suspecte et n’a pas beaucoup de sens lorsqu’on examine la littérature, mais elle semble avoir été balayée par le milieu universitaire traditionnel et à peine étudiée. Un bel exemple est l‘article de «IFL Science», par exemple, qui a publié une déclaration affirmant que «le soleil n’a tout simplement pas un effet aussi important sur notre climat que l’activité humaine». C’est une déclaration très ridicule et irresponsable. Il est également important que les lecteurs reconnaissent qu’il n’y a même pas de cours pour appuyer une telle affirmation erronée.
Ne croyez pas ce qui est écrit, faites des recherches sur ce qui est écrit. Ce qui est pire, c’est le facteur du ridicule, la façon dont les publications grand public s’attaquent à tout récit qui présente une explication du changement climatique qui n’est pas d’origine humaine. Quelque chose ne va pas du tout avec cette situation. 
Selon la Royal Astronomical Society (RAS) : «Un nouveau modèle du cycle solaire du Soleil produit des prévisions extrêmement précises des irrégularités dans les 11 ans de pulsations cardiaques du Soleil, ce qui est sans précédent. Le modèle s’appuie sur des effets de dynamo dans deux couches du Soleil, l’une près de la surface et l’autre en profondeur dans sa zone de convection. Les prévisions du modèle suggèrent que l’activité solaire diminuera de 60 % au cours des années 2030 par rapport aux conditions observées pour la dernière fois pendant la « mini-ère glaciaire » qui a commencé en 1645.» Pas de soucis nous allons gérer quand nous serons enfin Libres.
Il y a quelques années, la National Astronomy Meeting au Pays de Galles a eu lieu, où Valentina Zharkova, professeur de mathématiques à l’Université de Northumbria (Royaume-Uni), a présenté un modèle qui permet de prédire à quoi ressembleront les cycles solaires beaucoup plus précisément que ce qui était possible auparavant. Elle affirme que le modèle peut prédire leur influence avec une précision de 97% et qu’il montre que la Terre se dirige vers une « mini ère glaciaire » dans une quinzaine d’années.
Zharkova et son équipe ont mis au point le modèle à l’aide d’une méthode appelée « analyse en composantes principales » des observations du champ magnétique, de l’Observatoire solaire Wilcox en Californie. Dans la perspective des prochains cycles solaires, son modèle prévoit que, de 2030 à 2040, il y aura lieu de réduire considérablement l’activité solaire, ce qui, encore une fois, mènera à une mini-ère glaciaire selon Zharkova.
Encore une fois, ce ne sont là que quelques exemples des multiples scientifiques qui soulignent ces faits. 
Y a-t-il un agenda en jeu ici ?
Certaines des réponses se trouve dans l’agenda derrière la taxe carbone et le système d’échange de quotas d’émission de carbone. Ce qui ressort clairement c’est que les conclusions des scientifiques ne sont pas vraiment communiquées au grand public. Tous les efforts visent à faire croire que l’activité humaine par la combustion de combustibles fossiles est la cause principale du réchauffement de la planète, et que la science sous-jacente est solide et bien établie, même si elle ne l’est pas.
On peut résumer les raisons principales de cet «agenda Rockefeller» :
  • Des profits d’argent au bénéfice des multinationales par la taxe carbone et le système d’échange de quotas d’émission de carbone.
  • Une culpabilisation de la «population de base» la rendant manipulable.
  • Un détournement de l’esprit écologique populaire vers des solutions inefficaces évitant des vraies mesures écologiques contres les cargos, la déforestations et la divulgation des brevets technologiques occultés à l’humanité.
Note ExoPortail : Il y avait 5 135 inventions qui faisaient l’objet d’une ordonnance de confidentialité à la fin de l’exercice 2010, a déclaré le Bureau américain des brevets et des marques de commerce à Secrecy News la semaine dernière. C’est une augmentation de 1% par rapport à l’année précédente, et le total le plus élevé depuis plus d’une décennie. C’est inventions ont été occultées en vertu de la Loi de 1951 sur le secret des inventions, les demandes de brevet pour de nouvelles inventions peuvent faire l’objet d’ordonnances de confidentialité restreignant leur publication si les organismes gouvernementaux estiment que leur divulgation serait «préjudiciable à la sécurité nationale». La liste actuelle des domaines technologiques utilisés pour examiner les demandes de brevet en vue d’une éventuelle restriction en vertu de la «Invention Secrecy Act» n’est pas accessible au public et a été refusée en vertu de la «Freedom of Information Act». Information qui vient directement de la «Fédération des scientifiques américains»: https://fas.org/sgp/othergov/invention/stats.html et https://fas.org/sgp/othergov/invention/pscrl.pdf )
Conclusion : 
Beaucoup de choses dans notre monde, y compris la science, sont devenues extrêmement corrompues. Nous le constatons avec la science médicale et l’influence des grandes sociétés pharmaceutiques, et nous le constatons avec les organismes fédéraux de réglementation de la santé comme les CDC et la FDA qui sont compromis par les lobbies et la science du climat n’est pas différente.
Notre Terre a besoin d’aide, elle a besoin d’être nettoyée et la déforestation doit cesser alors que nous connaissons l’extinction massive de certaines espèces. Rien de tout cela n’a quoi que ce soit à voir avec la production humaine de CO2. 
L’Amazonie brûle à cause de l'élevage de bœufs alors que le viande est néfaste pour nos organismes, il en va de même dans certains pays d'Afrique..... Inutile d'accuser Bolsonaro comme le fait Macron. Les coupables, c'est nous maintenant que nous sommes informés et nous avons à en informer les autres, pas imposer, juste informer.
Traduction : ExoPortail 
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28 août 2019 3 28 /08 /août /2019 01:20
Nolte : Des scientifiques ont prouvé que le réchauffement planétaire anthropique est un canular

Le média d’extrême gauche ‘ThinkProgress’ a rapporté que des scientifiques ont finalement prouvé que la théorie du réchauffement climatique d’origine humaine est un canular total.

Bien sûr, personne ne l’admettra, pas même les factcheckers, mais c’est exactement ce qui s’est passé.

Une nouvelle étude scientifique a révélé ce qui suit :

Les niveaux actuels de CO2 de 410 parties par million (ppm) ont été observés pour la dernière fois sur Terre il y a trois millions d’années, selon la reconstruction la plus détaillée du climat de la Terre par des chercheurs du Potsdam Institute for Climate Impact Research (PIK) et publiée dans Science Advances.

Oui, vous avez bien lu, il y a trois millions d’années, les niveaux de CO2 sur Terre étaient les mêmes qu’aujourd’hui, mais il y a une différence majeure entre trois millions d’années et aujourd’hui…

Il y a trois millions d’années, nous, les humains, ne conduisions pas de voitures ou ne mangions pas la viande qui exige des pets de vache mortels ; nous ne faisions pas de barbecue ou ne refusions pas de recycler ou de construire des usines ; il n’y avait ni ère industrielle, ni plastique, ni climatisation, ni électricité, ni scieries, ni société de consommation, ni aérosol.

En fait, il y a trois millions d’années, il n’y avait probablement pas d’êtres humains sur Terre, du moins pas au sens où nous l’entendons aujourd’hui. Et pourtant….

Les niveaux de CO2 étaient les mêmes à l’époque qu’aujourd’hui….

Hmmmm…. ?

Mais je croyais que les humains réchauffaient la planète moi ? C’est ce vacarme qui nous a été vendu pendant trois décennies maintenant – vous savez, que NOUS sommes le problème, nous sommes le cancer de la planète etc…

On nous a également dit que le problème n’est PAS celui d’une planète vieille d’un milliard d’années qui passe à travers des cycles où la température pourrait fluctuer un peu. Oh, non, ça ne pourrait jamais être ça – alors arrêtez de dire que ça pourrait l’être, imbécile.

Eh bien, qu’en est-il de l’ère glaciaire qui s’est produite des milliers et des milliers d’années avant l’ère industrielle ?

La ferme, imbécile.

Et pourtant…

Selon l’étude, les scientifiques ont également découvert qu’au cours de cette période de réchauffement de la planète, “il n’y avait pas de calottes glaciaires couvrant ni le Groenland ni l’Antarctique occidental, et une grande partie de l’Inlandsis Est-Antarctique avait disparu”.

Comment cela est-il possible 2 999 971 ans avant qu’Arnold Schwarzenegger n’achète son Hummer ?

De pire en pire :

Les températures étaient jusqu’à 7 degrés Fahrenheit plus chaudes à l’échelle mondiale, soit au moins le double de celles des pôles, et le niveau de la mer était de 20 mètres plus élevé.

Comment est-ce possible que 2 999 945 ans avant que les Américains n’emménagent dans les banlieues et n’allument des grils à charbon de bois ?

Naturellement, même face à une étude qui démystifie totalement le concept de réchauffement climatique d’origine humaine, ThinkProgress s’en tient à ce canular, mais est également forcé de reconnaître ce qui suit :

La bonne nouvelle, c’est que la Terre ne se réchauffe pas instantanément et que les calottes glaciaires de plusieurs kilomètres d’épaisseur fondent encore plus lentement. La hausse des températures prendra donc plusieurs décennies et l’élévation du niveau de la mer, de dizaines de mètres, des centaines et des centaines d’années.

Mais Alexandria Ocasio-Crazy m’a dit qu’il ne nous restait que 12 ans !

Et puis ThinkProgress lâche cette bombe anti-science puante :

Cela signifie que les choix que nous faisons maintenant peuvent influer sur le rythme de la hausse et déterminer si nous passerons de 20 mètres de hausse du niveau de la mer à 60 mètres.

Parce que, parce que, parce que…

Pire encore, le programme de politique climatique que préconise le président Donald Trump – des mesures telles que le retrait des lois américaines qui réduisent la pollution par le carbone et l’abandon de l’accord de Paris sur le climat – nous maintiendrait à un niveau tellement élevé de CO2 que le niveau des océans monterait de 30 centimètres par décennies en juste quelques décennies.

Non, en fait, cette étude prouve qu’il n’y a rien que nous puissions faire pour enrayer les cycles climatiques naturels de la Terre. Même les pires des pires, même les plus fous qui ont fait avancer le canular du réchauffement planétaire admettent qu’au mieux, nous ne pourrons refroidir la planète que de quelques degrés, ce qui ne changera pas grand chose si la planète est déterminée à se réchauffer de sept degrés Fahrenheit.

Source: Breitbart, le 9 avril 2019Traduction Nouvelordremondial.cc

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22 août 2019 4 22 /08 /août /2019 11:28
Reboiser la Terre suffirait à enrayer le réchauffement climatique (et c’est possible)

Les arbres à la rescousse de notre planète bleue? Le reboisement de la Terre pourrait, en théorie, ramener les gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique à leur niveau d’avant-guerre. L’espace n’est pas ce qui manque: la Terre dispose encore d’une superficie supérieure à celle de la Chine pour héberger tous ces nouveaux arbres.

Une équipe de chercheurs suisses est arrivée à cette conclusion réjouissante en analysant la surface de la Terre à l’aide de 10.000 images capturées par des satellites. Actuellement, notre planète dispose de 5,5 milliards d’hectares de forêts, une superficie qui équivaut à deux fois l’Europe environ. Un chiffre qui semble énorme, mais pas quand on sait qu’entre 1,7 et 1,8 milliards d’hectares sont “vides”. Soit la surface des États-Unis. Ces terres ne sont pas dédiées à l’agriculture, pas plus qu’elles ne correspondent à des villes. L’activité humaine n’y est même pas décelable. Elles sont donc de parfaites candidates pour abriter des bois et forêts salutaires pour notre environnement. 

Revenir aux niveaux de l’avant-guerre

L’écologiste (entendez scientifique spécialiste de l’écologie, N.D.L.R.) suisse Tom Crowther évalue dans la prestigieuse revue scientifique Science que des arbres pourraient être plantés sans difficulté sur 0,9 milliard d’hectares. Et ce n’est pas tout, selon les chercheurs suisses: même dans les villes et nos campagnes, il y a l’espace pour planter des arbres sur 0,7 milliard d’hectares environ, soit une superficie quasi équivalente à celle de l’Inde.

En calculant tout cela ensemble, une telle offensive verte suffirait à s’emparer de quelque 205 milliards de tonnes de carbone, les arbres étant capables de convertir le CO2 en matière et en oxygène. Soit les deux tiers des quelque 300 milliards de tonnes de CO2 que l’homme aurait émis dans l’atmosphère depuis la révolution industrielle. Édifiant. Mais une forêt ne se fait pas en un jour. “Cela dure des dizaines d’années avant que le reboisement soit effectif”, nuance Tom Crowther dans son exposé. “Mais si nous nous y mettons dès maintenant, on pourra réduire le taux de CO2 dans l’atmosphère d’un quart, c’est-à-dire jusqu’à des niveaux que l’on n’a plus connus depuis un siècle”. 

 

Nos premiers alliés

Des projections qui rencontrent l’analyse du GIEC diffusée au printemps dernier: l’organisation pour le climat avait chiffré à un milliard d’hectares le reboisement nécessaire pour, en combinaison avec une réduction radicale des émissions, contenir à 1,5 degrés le réchauffement de la Terre d’ici 2050. Cet objectif est précisément celui auquel les dirigeants mondiaux se sont engagés dans le cadre des accords de Paris. La suggestion des chercheurs suisses confirme que, grâce à la reforestation, cette cible est parfaitement accessible. “Cela ne laisse même pas de place au doute”, se réjouit Tom Crowther dans Science. “Les bois et forêts sont indéniablement l’un de nos alliés dans la lutte contre le réchauffement climatique”, souligne lui aussi René Castro, le numéro 2 de la FAO, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture.

Le potentiel de reforestation mondiale est ici bien visible. Du jaune au bleu, de moins au plus suscpetible d'être planté. Les villes, terres agricoles, régions déjà boisées et marécageuses ont été exclus de la carte. © Crotwhter Lab

Mais pourquoi y penser seulement maintenant? Il semble que l’inaction des pays soit causée par une simple - et effrayante - méconnaissance de la problématique. “Nos résultats montrent que plus de la moitié des pays qui ont pris des engagements en matière de reforestation, ont pris des engagements inférieurs à 50% de ce qu’ils pourraient faire assez facilement. Et environ 10% des pays concernés par ces engagements ont pris des engagements de plus de 100% de ce qu’ils pourraient faire dans le meilleur des cas. Nous espérons que cette carte permettra aux pays de prendre de meilleures décisions pour essayer de restaurer leur écosystème naturel”,  explique à la RTBF le Belge Jean-François Bastin, qui a participé au projet suisse.

Planter c’est bien, mais encore faut-il gérer les forêts

Mais à l’université de Wageningue, aux Pays-Bas, un son de cloche légèrement différent se fait entendre: Gert-Jan Nabuurs, collaborateur du GIEC et professeur en politique forestière dans l’UE, appelle à la prudence. “C’est une publication très importante et franchement porteuse d’espoir. Mais je pense aussi que les auteurs de la mesure font des prédictions particulièrement positives. On peut aussi se demander si cela est bien réaliste”. Gert-Jan Nabuurs pointe certaines contraintes aisément compréhensibles même par les néophytes, comme par exemple le fait que Tom Crowther et ses acolytes prévoient des forêts dans la toundra russe ou au Canada, alors que les hivers y sont bien trop rudes avec des températures de plusieurs dizaines de degrés en-dessous de zéro.

Puis, il y a l’entretien des bois et forêts. Un bois qui se meurt entraîne la libération du CO2 retenu par ses arbres. “Il faut donc une certaine demande en bois si vous voulez que les forêts restent en état”. Ensuite, “planter des arbres est assez simple en soi. Mais malgré tout, il vous faut à cette fin des connaissances en la matière, des pépinières et le personnel qualifié pour planter”. 

Perte de confiance dans les solutions les plus naturelles?

Malgré tous ces éléments non négligeables, c’est l’enthousiasme qui prime chez l’expert Gert-Jan Nabuurs. “Dans les modèles habituels, on nous dit: pour limiter le réchauffement à 1,5 degrés, nous devons baisser nos émissions, mais c’est vrai que nous devons aussi compter sur le potentiel d’absorption des forêts”, reconnaît-il. Rien de bien technologique, certes, et les États ont davantage pris le pli d’investir dans des solutions plus “modernes”. “On est un peu vu comme des hippies de la science. En gros, ça ne sonne pas assez high-tech. Je pense qu’il y a beaucoup d’industriels et de gens, qui sont prêts à financer des solutions pour lutter contre le changement climatique, qui n’ont pas confiance en ce type de solutions”, s’étonne encore Jean-François Bastin. Le WWF estime pour sa part que la reforestation est “cruciale” pour le climat, en plus de favoriser l’habitat des espèces et donc la biodiversité. “Le défi prochain est de découvrir où et comment accélérer le processus de reforestation tout en continuant à nourrir une population mondiale croissante”, indique l’organisation dans un communiqué. 

La densité des forêts tropicales

Mais Tom Crowther et son équipe n’ont pas que de bonnes nouvelles dans leur chapeau. D’après des analyses partielles, il semble que les modèles climatiques qui prévoient un développement des forêts en cas de réchauffement significatif de la planète se trompent. Si le réchauffement repousse les limites forestières de plus en plus au Nord, avec de nouvelles forêts boréales au Canada et en Sibérie, ces nouvelles étendues vertes ne comblent pas les pertes engrangées dans les zones tropicales, notent les chercheurs suisses. En effet, la densité des arbres dans les forêts tropicales est 60% plus élevée que dans celles des taïgas du Nord, on ne peut donc pas parler de compensation absolue.

Sur les cartes détaillées de Tom Crowther, on remarque par ailleurs que la Belgique et les Pays-Bas font partie des pays où la reforestation est envisageable. Ce sont surtout les zones frontalières entre les deux pays mais aussi l’Achterhoek (est des Pays-Bas et Allemagne) qui sont susceptibles d’être reboisés. 

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22 août 2019 4 22 /08 /août /2019 01:26
 Voici les plus grands mensonges sur le changement climatique et le réchauffement de la planète
Tout ce qui vous a été dit sur le réchauffement de la planète, le changement climatique et le dioxyde de carbone par les médias traditionnels – et la «science» traditionnelle – est un mensonge absolu. Loin d’être un poison dangereux, le dioxyde de carbone est un nutriment miraculeux, indispensable à la vie des plantes. L’augmentation du dioxyde de carbone aide en fait à «verdir» la planète, comme le sait déjà toute science légitime. Sans CO2 dans l’atmosphère, presque toute la vie sur la planète s’effondrerait, y compris la vie humaine et la vie végétale. (Voir mes nombreuses vidéos scientifiques, ci-dessous, qui expliquent tout cela en détail.)

Un entretien révélateur a maintenant vu le jour, mettant en vedette István Markó, chercheur en chimie organique et professeur à l’Université catholique de Louvain. Il a récemment été interviewé par Grégoire Canlorbe, journaliste scientifique et penseur hors du commun. Je publie des extraits de l’interview ci-dessous et je vous encourage à lire l’interview complète sur GregoireCanlorbe.com.

Tous les mots ci-dessous sont de István Markó, à l’exception des titres du sous-titre, qui sont les miens:

La vérité sur le dioxyde de carbone

Encore une fois, le CO2 n’est pas et n’a jamais été un poison. Chacune de nos respirations, émet une quantité astronomique de CO2 proportionnelle à celle de l’atmosphère (environ> 40 000 ppm); et il est très clair que l’air que nous expirons ne tue pas ceux qui se tiennent devant nous. Ce qu’il faut comprendre, en outre, c’est que le CO2 est l’aliment élémentaire des plantes. Sans CO2, il n’y aurait pas de plantes, et sans plantes, il n’y aurait pas d’oxygène et donc pas d’humain. L’équation est aussi simple que cela.

Les plantes ont besoin de CO2, d’eau et de lumière du jour. Ce sont les mécanismes de la photosynthèse, qui génèrent les sucres qui leur fourniront des aliments de base et des blocs de construction. Ce fait fondamental de la botanique est l’une des principales raisons pour lesquelles toute personne qui s’engage sincèrement à préserver le «monde naturel» devrait s’abstenir de diaboliser le CO2. Au cours des 30 dernières années, le niveau de CO2 a augmenté progressivement. Mais on observe également que malgré la déforestation, la végétation de la planète a augmenté d’environ 20%. Cette expansion de la végétation sur la planète, les amoureux de la nature la doivent en grande partie à l’augmentation de la concentration de CO2 dans l’atmosphère.

Si nous étudions cependant ce qui se passe au niveau géologique depuis plusieurs millions d’années, nous réalisons que la période actuelle est caractérisée par un niveau de CO2 extrêmement bas. Au cours du Jurassique, du Trias, etc., le niveau de CO2 a atteint des valeurs parfois de l’ordre de 7000, 8000, 9000 ppm, ce qui dépasse de loin les dérisoires 400 ppm que nous avons aujourd’hui. Non seulement la vie existait, en ces temps lointains où le CO2 était si présent en forte concentration dans l’atmosphère, mais des plantes telles que les fougères atteignaient généralement une hauteur de 25 mètres. Réciproquement, loin de profiter à la végétation actuelle, la réduction de la présence de CO2 dans l’atmosphère risquerait de compromettre la santé, voire la survie de nombreuses plantes. Passer sous le seuil de 280 ou 240 ppm conduirait clairement à l’extinction d’une grande variété de nos espèces végétales.

De plus, notre croisade incessante pour réduire le CO2 pourrait être plus nocive pour la nature, car les plantes ne sont pas les seuls organismes à se baser sur le CO2 pour se nourrir. Les espèces de phytoplancton se nourrissent également de CO2, en utilisant le carbone du CO2 comme unité de construction et en libérant de l’oxygène. En passant, il convient de rappeler qu’environ 70% de l’oxygène présent dans l’atmosphère provient du phytoplancton, et non des arbres: contrairement aux idées reçues, ce ne sont pas les forêts, mais les océans, qui constituent les «poumons» de la Terre.

La vérité sur «l’effet de serre»

À propos du lien supposé entre le réchauffement de la planète et les émissions de CO2, il n’est tout simplement pas vrai que le CO2 a un effet de serre important. Il convient de rappeler, ici aussi, que le CO2 est un gaz mineur. Aujourd’hui, il ne représente que 0,04% de la composition de l’air; et on attribue à son effet de serre la valeur 1. Le principal gaz à effet de serre dans l’atmosphère est la vapeur d’eau, qui est dix fois plus puissante que l’effet de serre du CO2. La vapeur d’eau est présente à raison de 2% dans l’atmosphère. Ces faits sont, en principe, enseignés à l’école et à l’université, mais l’on parvient toujours à incriminer le CO2 en dans cet apprentissage, en utilisant un mauvais tour qui présente l’effet de réchauffement du CO2 comme mineur mais exacerbé, par des boucles de rétroaction, par d’autres effets de serre.

Comment la science du statu quo lave les cerveaux et les transforme en robots obéissants qui sortent une absurdité scientifique

Je crois en la science: je veux dire en la possibilité de connaître objectivement la réalité à travers la science. Je crois qu’il y a du vrai et du faux, que la science nous permet de distinguer les deux et que la vérité doit être connue. cette connaissance scientifique doit être mise entre les mains de la population. Je crois aussi en la liberté. Je crois que tout homme a le droit de mener sa vie et de gérer ses biens comme il l’entend, et que le contrôle socio-économique étatique est aussi moralement répréhensible qu’il est préjudiciable sur le plan économique et social. et sur les conséquences environnementales.

Je remarque deux choses qui me chagrinent: premièrement, la population est de plus en plus mal informée scientifiquement; et deuxièmement, les médias et les gouvernements en profitent pour propager une théorie douteuse, à savoir le réchauffement anthropique, et pour promouvoir des mesures coercitives en son nom. Peu de gens prennent le temps d’obtenir des informations vitales sur l’empreinte CO2 réelle; et peu de gens, plus généralement, s’intéressent encore à la science. Je regrette profondément que nos sociétés occidentales aient réussi à entretenir une telle méfiance à l’égard de la science: une telle répugnance à croire en sa capacité à connaître le monde de manière objective et à le transformer de manière positive.

La théorie du réchauffement anthropique se veut scientifique; mais si les gens acceptent cette théorie, s’ils la considèrent comme telle, ce n’est clairement pas par intérêt pour la science. Une théorie aussi fragile, à la lumière des faits sur le CO2 que je vous ai présentés ci-dessus, n’aurait jamais pu être acceptée par des gens qui s’intéressent vraiment à la science; et qui possèdent une compréhension profonde dans ce domaine. À mes yeux, il y a deux raisons principales – ou si vous préférez, deux types principaux de sentiments – qui poussent les gens à se laisser séduire par la théorie du réchauffement anthropique si facilement. En premier lieula religion catholique est en déclin dans le monde occidental; et ce que j’appelle l’écologisme vient le remplacer.

En deuxième lieu, les Occidentaux ont un goût prononcé pour l’auto-flagellation; et la théorie du réchauffement anthropique justifie cette tendance, probablement ancrée dans notre héritage judéo-chrétien. Donc, d’un côté, nous avons des sentiments religieux: la foi en un nouveau système de pensée, qui est l’écologisme; la vénération d’une nouvelle divinité, qui est la nature bienveillante et protectrice. Par ailleurs, nous éprouvons un sentiment de culpabilité, convaincus que si le climat se réchauffe, c’est de notre faute. et que si nous ne limitons pas immédiatement nos émissions de CO2, nous aurons souillé et défiguré notre planète.

La montée des océans et la fonte des calottes glaciaires

Au cours des 12000 dernières années, nous avons assisté à une oscillation entre les périodes chaudes et froides, donc les périodes de montée et de baisse du niveau de la mer. Incontestablement, les niveaux de la mer et des océans sont à la hausse depuis la fin du petit âge glaciaire qui s’est déroulé approximativement du début du XIVe siècle à la fin du XIXe siècle. À la fin de cette période, les températures mondiales ont commencé à augmenter. Cela dit, l’augmentation enregistrée est de 0,8 degré Celsius et n’a donc rien d’extraordinaire. Si la température monte, l’eau des océans se dilate évidemment et certains glaciers reculent. C’est quelque chose que les glaciers ont toujours fait, et non une spécificité de notre temps.

Ainsi, à l’époque romaine, les glaciers étaient beaucoup plus petits que ceux que nous connaissons de nos jours. J’invite le lecteur à consulter les documents remontant à l’époque de Hannibal, qui a réussi à traverser les Alpes avec ses éléphants parce qu’il n’a pas rencontré de glace sur son chemin vers Rome (sauf pendant une tempête de neige juste avant d’arriver dans la plaine italienne). Aujourd’hui, vous ne pouvez plus faire le voyage de Hannibal. S’il a pu réaliser un tel exploit, c’est précisément parce qu’il faisait plus chaud à l’époque romaine que maintenant.

Le niveau de la mer est actuellement à la hausse; mais c’est un phénomène surestimé. L’augmentation enregistrée est de 1,5 millimètre par an, soit 1,5 cm tous les dix ans, et n’est donc pas spectaculaire du tout. En effet, il arrive que des îles entières soient englouties; mais dans 99% des cas, cela est dû à un phénomène classique d’érosion [2] et non à l’élévation du niveau de la mer. En ce qui concerne la ville italienne de Venise, le fait qu’elle soit confrontée à des problèmes d’eau n’est pas dû à une augmentation du niveau de la lagune; ce n’est que la manifestation de la triste réalité selon laquelle «la Cité des Doges» est en train de s’enfoncer sous son poids. Encore une fois, le niveau de la mer et des océans augmente. mais la menace effectivement représentée par ce phénomène est loin d’être tangible. Je constate que les îles Tuvalu, dont l’engloutissement avait été annoncé comme imminent, non seulement n’ont pas été englouties, mais ont vu leur propre niveau de terre s’élever par rapport à celui des eaux les entourant.

Un autre phénomène que nous avons tendance à exagérer est la fonte des calottes polaires. La quantité de glace dans l’Arctique n’a pas diminué depuis 10 ans: on peut très bien observer, d’une année sur l’autre, les fluctuations du niveau de la glace, mais en moyenne, ce niveau est resté constant. Juste après le petit âge glaciaire, depuis que la température a augmenté, l’Arctique a commencé à fondre; mais le niveau de glace dans l’Arctique s’est finalement stabilisé. En outre, la glace s’est étendue en Antarctique au cours des 30 dernières années; De même, nous observons au Groenland que la quantité de glace a augmenté de 112 millions de kilomètres cubes l’année dernière.

À l’échelle mondiale, les glaciers comptent pour peu de chose, la plus grande partie de la glace se situant en Antarctique et au Groenland. On ne peut que constater que le niveau de glace reste presque inchangé sur des centaines d’années.

… On nous dit que le niveau d’eau va augmenter dans le monde entier, au point de submerger une grande partie de nos continents. Comme l’a montré Hans von Storch, l’un des principaux modélisateurs du climat au monde, les modèles à l’appui de ces prévisions sont, pour 98%, totalement faux. On nous dit que l’air que nous respirons dans les grandes villes n’a jamais été aussi pollué. Il suffit de consulter soi-même les documents sur l’air que respiraient les habitants de Londres dans les années 60 pour comprendre à quel point la pollution urbaine avait diminué. À Pékin, souvent critiquée pour la qualité médiocre de son air, il se produit de temps en temps un brouillard rappelant le smog londonien. Mais même cette pollution à Pékin est loin de rivaliser avec celle qui régnait il y a peu de temps à Londres.

Modèles de «réchauffement» global et de température

De nombreux autres mythes et légendes sur le climat existent. Des tempêtes aux tornades, les événements extrêmes se produisent dans le monde entier. et quand ils se produisent, leur niveau est aussi beaucoup plus bas. Comme l’explique Richard Lindzen, physicien au MIT, la réduction du différentiel de température entre l’hémisphère nord et la partie équatoriale de notre planète rend l’énergie cyclonique beaucoup plus petite: l’importance et la fréquence des événements extrêmes tendent donc à diminuer. Mais encore une fois, la hausse des températures montre une magnitude considérablement inférieure à celle que nous projetons actuellement.

Si vous regardez les données satellitaires et les mesures de ballon météo, vous remarquerez que la hausse de température dans le monde est relativement modeste; qu’elle est bien inférieure à l’augmentation prévue par les autorités et que ces prévisions reposent sur des calculs très incertains. En effet, les entrées de simulation ne peuvent pas prendre en compte les températures passées (pour lesquelles il n’y a pas de données précises [3]), sauf en ajustant subjectivement les données x, y, z qui ne sont pas toujours connues.

Les récentes pointes de température mesurées par les satellites et les ballons font partie d’un phénomène naturel classique appelé El Niño. Ce phénomène à court terme consiste en un retour des eaux très chaudes à la surface de l’océan Pacifique équatorial.

La chaleur ainsi libérée dans l’atmosphère fait monter la température globale et le CO2 ne joue aucun rôle dans ce processus.

Une autre question que je voudrais aborder: les déserts actuels, loin de s’étendre, se retirent; et ils reculent en raison de la plus grande quantité de CO2 disponible dans l’air. Il s’avère que les exploitants de serres injectent volontairement trois fois plus de CO2 dans la serre que dans l’atmosphère. Le résultat que nous pouvons observer est que les plantes poussent plus vite et sont plus grandes, qu’elles résistent mieux aux maladies et aux insectes destructeurs, que leur photosynthèse est bien plus efficace et qu’elles consomment donc moins d’eau. De même, la hausse du niveau de CO2 dans l’atmosphère fait que les plantes ont besoin de moins d’eau et peuvent donc se permettre de coloniser des régions arides.

En ce qui concerne les maladies et autres phénomènes étranges imputés à la hâte au réchauffement climatique, il existe un site Web “globalwarminghoax.com,” si je me souviens bien, qui recueille les différentes rumeurs et réflexions sur ce thème. Le fait que la fertilité masculine diminue; le fait que les ailes des oiseaux rétrécissent; le fait qu’un requin soit apparu dans la Mer du Nord; absolument tout est susceptible d’être lié au changement climatique si l’on fait preuve de suffisamment de malhonnêteté intellectuelle. C’est là que les journalistes honnêtes entrent en jeu: votre rôle est d’enquêter sur la vraie raison du phénomène et de démystifier la pensée toute faite que les forces financières et politiques demandent aux médias de canaliser servilement.

Les maladies liées au climat sont relativement rares. et même le paludisme ne dépend pas directement du climat, mais de la manière dont nous permettons au parasite de se reproduire et au moustique de prospérer à l’endroit où nous nous trouvons. Si vous vous trouvez dans une zone marécageuse, le risque de contracter le paludisme est élevé; Si vous avez drainé le marécage et que vous n’avez plus cette zone humide, les chances que vous contractiez la maladie sont très faibles. En fin de compte, imputer automatiquement la résurgence de certaines maladies au changement climatique revient à cacher la responsabilité personnelle des personnes impliquées: par exemple, nier que leur refus des vaccinations, ou leur manque d’hygiène, puisse faire partie du problème .

L’échec économique de l’énergie éolienne

L’industrie éolienne, sur laquelle les écologistes se pâment, produit des rendements hautement imprévisibles, en fonction de l’intensité du vent. Même dans de bonnes conditions atmosphériques, le vent fournit trop peu d’électricité pour être une industrie rentable en soi. Warren Buffet, propriétaire de l’un des plus grands parcs éoliens de l’Iowa, a déclaré sans embarras: «En ce qui concerne l’énergie éolienne, nous obtenons un crédit d’impôt si nous construisons de nombreux parcs éoliens. C’est la seule raison pour les construire. Ils n’ont pas de sens sans crédit d’impôt. » Le bilan écologique est tout aussi mauvais: les éoliennes terrestres tuent des centaines de milliers, voire des millions d’oiseaux et de chauves-souris par an. Les éoliennes en mer, quant à elles, tuent de nombreux mammifères marins, toujours dans l’indifférence même des écologistes.

Réflexions sur le gouvernement mondial et l’éco-tyrannie

De nombreuses personnes, généralement issues de l’ancien bloc de l’Est, se sont laissé séduire par l’idée que la résolution de nos problèmes environnementaux serait celle de la gouvernance mondiale. À bien des égards, l’écologisme est une sorte de communisme du 21ème siècle. De la même manière que l’islamisme, il occupe la place laissée vacante par le déclin nationalisme arabe. Je remarque d’ailleurs que nous avons déjà l’équivalent, à une moindre échelle, du « califat écologique mondial ». Je pense à l’Union européenne, qui nous donne un avant-goût de la gouvernance bureaucratique, globale et totalitaire que l’ONU cherche manifestement à mettre en place.

Puisque nous parlons de mondialisation, envisagée sous son aspect politique, de la perspective d’un gouvernement mondial, mais également sous son aspect économique et, disons, informationnel – la mise en réseau, parfois instantanée, d’êtres humains, de biens et d’idées -, je voudrais signaler un possible effet pervers. À mesure que les cultures et les mentalités se mêlent, la religion écologiste (ou gaianiste) des Occidentaux, ainsi que leur penchant pour la repentance, semblent même toucher certains des peuples asiatiques. Le Japon, qui est sorti spirituellement émasculé de la Seconde Guerre Mondiale, est plus enclin à se laisser envahir par cette sanctification occidentale du renoncement à soi de l’écologisme.

L’agenda mondial de dépopulation

L’accord de la COP 21 de Paris n’a pas été signé pour sauver la planète et nous empêcher de rôtir à cause d’une augmentation imaginaire de la température de + 2 ° C. Derrière toute cette mascarade se cache, comme toujours, la face laide du pouvoir, de la cupidité et du profit. Tous les industriels qui sont favorables à cet engagement, qui ruinera l’Europe et appauvrira énormément ses citoyens, le font pour la bonne raison qu’ils y trouvent une source de revenus énorme et facile. Quant aux ONG, lorsqu’elles ne sont pas simplement motivées par la cupidité, leur motivation réside dans une idéologie résolument malthusienne. Leur objectif est de ramener le monde à une très petite population, de l’ordre de quelques centaines de millions de personnes. Pour ce faire, ils appauvrissent le monde, suppriment le pouvoir des énergies fossiles et garantissent ainsi une augmentation du nombre de décès.

 

 

### Fin de l’interview.

Source All the biggest lies about climate change and global warming DEBUNKED in one astonishing interview

Hannibal GENSERIC

 
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29 avril 2019 1 29 /04 /avril /2019 13:35

François Gervais, Examinateur au GIEC : L’urgence climatique est un leurre !

François Gervais : L’urgence climatique est un leurre

François Gervais est professeur émérite de l’université François Rabelais de Tours, physicien, examinateur du rapport AR5 du GIEC entre 2011 et 2012 et spécialiste de la science des matériaux. 
Il a à son actif 273 publications, dont 5 livres et 226 articles parus dans des revues à comité de lecture. 
Ses travaux sont connus pour s’opposer à la "conception univoque et réductrice qui fait du gaz carbonique le responsable de tous les maux".

Une conférence donnée le 13 décembre 2018 pour Solidarité & Progrès.

 

L’utilisation du levier climatique vise bien évidemment un agenda précis développé dans les grands cénacles discrets élitistes, avec pour objectif le contrôle du monde.
La doxa catrastrophiste officielle vise en effet plusieurs objectifs : instiller la peur parmi les populations, instiller la culpabilité et instiller les taxations à des niveaux maximums, afin de contrôler les masses et de récupérer et concentrer un maximum de la richesse produite annuellement.
Avec au but du compte NEOM, la géoingénierie, l’antéchrist représenté par l’IA, l’intelligence artificielle et l’avènement du Nouvel Ordre Mondial, une Société pyramidale néo-esclavagiste.
Autant de notions honnies par les zélateurs du Système et sur lesquelles nous aurons l’occasion de revenir ultérieurement. 


 


Source
https://francefrexit.com/index.php/2018/12/18/lurgence-climatique-est-un-leurre-pour-le-controle-du-monde/
https://www.choix-realite.org/43707/francois-gervais-examinateur-au-giec-lurgence-climatique-est-un-leurre

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