Thomas Bucheli, le responsable de la météo en Suisse, aurait manipulé les températures affichées sur l’écran. Certes il n’est pas le seul, mais lui se serait fait prendre et il aurait avoué avoir augmenté les températures du bassin méditerranéen de 6 à 7 degrés, une paille ! “Ça nous peine et nous vous présentons nos excuses les plus sincères pour cette erreur.” Et il ajoute que ce n’est pas sa faute mais celle des algorithmes étrangers. Ben voyons ! Ah ! Les fameux algorithmes qui avaient permis à l’Occident de nous emprisonner au début du Covid… La prochaine erreur sera due à GPT…
Pour revoir ses aveux, c’est ici, à partir de 18’30
https://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/19h30?urn=urn:rts:video:14232120
Certes cela n’étonnera pas les lecteurs de Résistance républicaine mais ça va mieux en le disant.
Tout cela affole la caste qui publie, grâce à ses moutons serviles des décodeurs, des explications pour accuser… les climato-réalistes (ou climato-sceptiques) d’être des manipulateurs.
“En gros, oui c’est vrai que les chiffres publiés étaient de 6 ou 7 degrés supérieurs à la réalité mais c’est juste sur quelques grandes villes, et il ne l’a pas fait volontairement”… Ben voyons !
La météo suisse a-t-elle manipulé ses prévisions de températures pour « alimenter l’hystérie climatique » ?
Des températures manipulées pour justifier de l’urgence climatique ? C’est ce que prétend l’association des «climato-réalistes», principal groupement de climatosceptiques français, au sujet de l’organisme de prévision Météo Suisse.
L’association relaie, dans un tweet du 11 août, les accusations de l’homme politique suisse Thomas Matter (Union du Centre, populistes). S’appuyant sur des articles du média suisse Die Weltwoche, il affirme que Météo Suisse (en réalité, SRF Météo, la météo de la chaîne publique suisse SRF) prévoit «des températures surestimées de 4 à 7°C dans le monde, afin d’alimenter l’hystérie climatique et de favoriser les Verts.» Ce, alors que la Suisse est en année électorale.
Des erreurs grossières sur les températures à l’étranger
Contrairement à ce que sous-entendent les climato-réalistes, la polémique ne porte pas sur toutes les températures, mais sur plusieurs villes européennes. De même, comme le précisera Die Weltwoche par la suite, c’est «l’application météo et le site Web SRF Meteo» qui sont visés, et non les prévisions affichées à la télévision, propres à la Suisse.
En revanche, les erreurs sont bien réelles. Dans un article posté à deux reprises par Die Weltwoche (le 26 juillet, puis le 9 août), Kurt W. Zimmermann évoque des températures «presque toujours cinq, six ou sept degrés supérieurs à la mesure et toujours bien supérieures à la concurrence» venant de la SRF. Il s’appuie notamment sur des températures relevées mardi 18 et mercredi 19 juillet, à chaque fois sur six sites différents. A l’exception de Genève, où l’écart est moindre, il s’agit de lieux de villégiature situés en bord de mer ou proche de celle-ci – en France, en Italie, en Espagne ou sur les rives de la mer Egée.
Si ces douze points, choisis pour souligner les erreurs de la SRF, ne sauraient être représentatifs de l’ensemble de ses prévisions, ils démontrent tout de même l’existence d’un sérieux problème. D’après les calculs de CheckNews, les prévisions concernant ces douze sites, à chaque fois au-dessus des températures relevées, sont en moyenne 5,08°C supérieurs à la réalité mesurée. Avec parfois un écart encore supérieur. Ainsi, pour le dimanche 23. Kurt Zimmermann note que la chaîne prévoyait 50 degrés à Athènes, au lieu de 42 observés, et 51 degrés au lieu de 44 à Antalya (Turquie).
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La météo suisse a manipulé ses chiffres pour alimenter l'hystérie climatique
Thomas Bucheli, le responsable de la météo en Suisse, aurait manipulé les températures affichées sur l'écran. Certes il n'est pas le seul, mais lui se serait fait prendre et il aurait avoué ...