L'Etna se Réveille en Italie !
L'Etna, le plus Grand Volcan Actif en Europe, est entré de Nouveau Éruption ce matin en Italie ! Publié par Paul : https://echelledejac...
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Le Volcan du Yellostone va-t-il se Réveiller ?
Le Volcan du Yellostone va-t-il bientôt se Réveiller et provoquer une Grande Catastrophe aux États-Unis ? Publié par Paul : https://eche...
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L'intensité des Tremblements de Terre du 6 février !
Reconstitution de l'intensité des Tremblements de Terre survenus le 6 février 2023 en Turquie et Syrie ! Publié par Paul : https://eche...
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Des millions de tonnes de plastique sont produites chaque année dans le monde.
Ces Plastiques qui tuent nos Océans !
Les Océans sont devenus une Poubelle pour de nombreux Pays Pauvres qui n'ont pas les Moyens de gérer ces Plastiques qui se retrouvent dans l...
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Résidus de plastique, omniprésents dans le fond des océans
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Lettre de Rodolphe Bacquet, lanceur d’alerte d’ « Alternatif Bien-être » :
Une fois n’est pas coutume, les médias mainstream se sont fait le relais d’une étude scientifique prenant la mesure d’un danger pour notre santé… qui n’est pas un virus.
Cette étude n’a cependant pas eu l’écho qu’elle mérite – écrasée par une actualité saturée par la guerre en Ukraine et la présidentielle – ni surtout amené les médias en question à proposer des solutions face à ce danger.
L’étude en question, publiée le 24 mars dernier dans la revue Environment International, révélait l’empoisonnement croissant du sang humain par des microparticules de plastique.
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Le fond de nos veines ressemble au fond des mers
Vous connaissez déjà l’existence de ces microplastiques : ce sont les milliards d’objets en plastique (bouteilles, emballages, barquettes, etc.) qui, en se décomposant, se délestent de ces résidus microscopiques capables de s’infiltrer partout : dans l’eau, dans l’air, dans la terre.
La pollution des océans par ces particules prend des proportions dantesques, à tel point que vous êtes assuré, aujourd’hui, d’en trouver dans chaque poisson pêché.
Nous savons depuis quelques années que nous ingérons ces microplastiques lorsque, précisément, nous mangeons ce poisson… ou que nous consommons un hamburger servi dans une barquette en plastique, puisque nous pouvons les retrouver dans nos selles.
Les emballages jetables ne sont donc pas seulement un scandale écologique, mais aussi une bombe à retardement sanitaire, puisque la preuve est désormais faite que ces microplastiques infiltrent le sang humain.
Des chercheurs de l’Université libre d’Amsterdam ont en effet analysé le sang de 22 volontaires, à la recherche de 5 types de plastique.
Et ils en ont trouvé dans le sang de 17 d’entre eux. 17 sur 22, soit presque 3 sur 4.
Les trois plastiques les plus représentés dans le sang des volontaires étaient :
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Une découverte, et beaucoup de questions
Cette étude est une première, et si pour les confirmer d’autres mesures doivent être effectuées, dans d’autres pays et sur des échantillons plus larges de population, ces résultats ainsi que le fait qu’on ait retrouvé des traces de plusieurs plastiques chez certains volontaires, ne laisse guère de doutes sur l’ampleur du phénomène.
Maintenant, nous savons que ces microplastiques ne se contentent pas de se retrouver dans nos intestins, mais circulent dans notre sang.
Ce que nous ne savons pas est vertigineux.
Ces plastiques se promènent-ils dans tout le système sanguin, et sont-ils notamment susceptibles de traverser la barrière hémato-encéphalique qui protège notre cerveau des pathogènes ?
Une autre question est posée dans la conclusion de l’article :
« Il reste à déterminer si les particules de plastique sont présentes dans le plasma ou sont transportées par des types de cellules spécifiques (…). Si les particules de plastique présentes dans le sang sont bien transportées par les cellules immunitaires, la question se pose également de savoir si de telles expositions peuvent potentiellement affecter la régulation immunitaire ou la prédisposition aux maladies à base immunologique. »
Ce sont, évidemment, les conséquences à long terme qui sont la plus grande inconnue de cette découverte.
Car nous n’avons guère de recul : la surproduction de plastiques non-dégradables n’a guère plus d’un demi-siècle.
… et leur décomposition à grande échelle est donc récente. Nous sommes la première génération de l’humanité dont le sang est contaminé au plastique.
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Une autre question se pose donc naturellement : Comment éviter cet empoisonnement ?
Étonnamment, aucun des médias ayant relayé l’étude d’Amsterdam ne donne de conseil pour éviter cette pollution aux microplastiques.
Je conviens que c’est difficile, et j’en suis moi-même réduit à vous donner des conseils pratiques, sans garantie de leur efficacité si un beau jour on cherche des microplastiques dans votre sang !
La tâche est d’autant plus difficile que la dégradation en microparticules de « plastiques anciens », qui vieillissent… s’ajoute à la production actuelle, qui est encore plus forte.
D’après une étude de 2019, nous consommerions – en fonction de notre âge et notre sexe – entre 39.000 et 52.000 particules de plastiques par an (chiffre vraisemblablement sous-estimé).
En d’autres termes, il est très difficile d’y échapper.
Mais nous pouvons réduire notre exposition à ces microplastiques par des mesures simples.
La même étude de 2019 permet en effet d’identifier les principales sources (alimentaires) d’ingestion de ces plastiques.
Source n°1 : l’eau en bouteille
Sans surprise, c’est l’eau en bouteille (plastique, évidemment) la première source d’ingestion de PET.
Les auteurs de l’étude de 2019 ont trouvé une sacrée différence entre les consommateurs de ces eaux en bouteilles et les consommateurs de l’eau du robinet : 90’000 plastiques ingérés en moyenne par les premiers, contre 4’000 pour les seconds !
Évidemment, l’eau du robinet n’est pas l’idéal non plus car elle contient d’autres composants peu désirables.
Néanmoins, c’est la dose qui fait le poison… et on peut filtrer l’eau du robinet.
Source n°2 : le sel de mer et le sucre
Le sel de mer est truffé de microplastiques, ce qui paraît logique puisque les eaux des océans et des mers sont aujourd’hui largement contaminées par ces particules.
Contre cela, il n’y a pas à tortiller : réduire leur consommation.
Dans l’étude, le sucre et le miel apparaissent également comme sources de microplastiques : leur conditionnement est en cause, d’autant que la recherche a été menée aux Etats-Unis.
Cela ne signifie donc pas que vous devez à tout prix vous priver de l’un comme de l’autre, mais sans aucun doute réduire le sucre et, dans tous les cas, préférer le miel bio.
Source n°3 : poissons et fruits de mer
La contamination des poissons et des fruits de mer n’est pas un scoop : c’est un problème connu depuis plusieurs années, notamment pour les métaux lourds.
Cela concerne également les particules de plastique.
Une fois de plus, il n’y a guère d’échappatoire, et la « balance bénéfice-risque » (!) de la consommation de poissons reste en faveur des habitants des mers.
En revanche, je vous donnerai le même conseil que pour les métaux lourds : c’est-à-dire de privilégier les petits poissons.
Plus un poisson est un prédateur au bout de la chaîne alimentaire… plus il est truffé de cochonneries. Le thon doit rester une exception… et l’anchois un mets de choix !
Source n°4 : la bière, les jus et sodas
Les boissons industrialisées sont à la fois très contaminées par les eaux utilisées dans leur élaboration… et les bouteilles employées pour les contenir.
Ainsi la bière figure-t-elle en bonne place des sources d’ingestion de plastique dans l’étude de 2019.
Que ce soit pour l’alcool ou le sucre, il s’agit de toute façon des boissons à consommer au mieux à titre exceptionnel.
Source n°5 : les emballages alimentaires
Les plats tout-faits achetés au supermarché, les produits vendus dans les fast-foods, bref d’une manière générale toute la production issue de l’industrie agro-alimentaire, est vendue et distribuée dans des emballages dont on retrouve des traces dans le sang.
Je ne saurais que trop vous conseiller non seulement d’éviter ces produits ultra-transformés et hyper-conditionnés…
Mais aussi de prendre les devants lorsque vous conservez ou emmenez à l’extérieur d’autres produits, de meilleure qualité, en emmenant des contenants dépourvus de plastique.
Bocaux en verre, gamelles et boîtes en inox sont ainsi préférables.
Pour le plastique donc, c’est comme pour le reste : c’est la dose qui fait le poison. J’espère vous avoir aidé à réduire la vôtre !
Portez-vous bien,
Rodolphe Bacquet
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Source : Lematin
Lorsqu’on lui a dit qu’elle était «folle», la scientifique Sarah Sallon a dû redoubler d’efforts de persuasion pour obtenir de vieilles graines jalousement conservées par des archéologues. Mais son intuition était bonne: les graines ont germé et fait renaître des dattiers vieux de 2000 ans.
C’est à la pointe sud d’Israël, en plein désert, que l’on déguste des dattes d’une variété que l’on croyait longtemps disparue, fruits du palmier de Judée. Tout a commencé en 2004, lorsque Sarah Sallon, médecin britanno-israélienne reconvertie en botaniste, a toqué à la porte du département d’archéologie botanique de l’université israélienne Bar Ilan.
Inspirée par des lectures sur des semences de lotus vieilles de 500 ans retrouvées en Chine et ayant germé, elle a voulu acquérir quelques graines de palmiers de Judée soigneusement consignées après leur découverte dans les années 1960 sous des débris à Massada, citadelle construite par le roi Hérode (Ier siècle avant J.-C.) en surplomb de la mer Morte.
«Ils m’ont dit: «tu es complètement folle, ça ne marchera jamais!»», se souvient la septuagénaire au chapeau de brousse et aux yeux bleu clair. À force de les «enquiquiner», elle a obtenu cinq de ces «antiquités botaniques», sur une collection de milliers de graines.
Je lui ai demandé de quand elles dataient, elle m’a dit 2000 ans. Je lui ai répondu que c’était impossible.
Elaine Solowey, spécialiste d’agriculture durable
Ces précieuses semences en main, elle est allée trouver Elaine Solowey, spécialiste d’agriculture durable, dans le kibboutz Ketura, près de la frontière avec la Jordanie. «Elle m’a dit: «ces graines viennent de Massada. Essaye de les faire germer»», relate Mme Solowey. «Je lui ai demandé de quand elles dataient, elle m’a dit 2000 ans. Je lui ai répondu que c’était impossible».
Après quelques mois de réflexion sur la bonne manière de s’y prendre, Elaine Solowey a hydraté et planté les graines, utilisant de l’engrais à base d’enzyme mais écartant tout produit chimique. Sur l’ardoise de sa serre où elle cultive des dizaines de plantes, chaque visite était conclue par la mention «rien à signaler».
Jusqu’à un jour de mars 2005, où elle aperçoit un petit pot qui commence à craquer. «Je n’en croyais pas mes yeux», raconte Mme Solowey, la tête recouverte d’une casquette à l’effigie du premier dattier «ressuscité», surnommé Methuselah (Mathusalem) en référence au personnage biblique connu pour sa longévité.
«Seulement à ce moment-là j’ai commencé à vraiment en prendre soin. Je n’en avais pas compris l’importance», reconnaît celle qui avait sous les yeux la plus ancienne graine germée au monde, ayant fait son entrée dans le Livre Guinness des records. Sur les cinq graines données par l’université, seule celle-ci s’est développée. Deux avaient été gardées pour des recherches scientifiques, permettant grâce à la datation radiocarbone d’en confirmer l’ancienneté.
Les dattiers de Judée ont progressivement disparu au fil des invasions et des guerres qui ont rythmé la région, notamment à partir du Ier siècle av. J.-C. et la conquête romaine, explique Mme Sallon, auteure d’un article sur le sujet dans la revue américaine «Science».
Les palmiers sont «comme des enfants, il faut les éduquer sinon ils deviennent sauvages», sourit-elle. «Il faut les arroser, récupérer le pollen des arbres mâles et polliniser à la main les arbres femelles pour produire des dattes superbes. Si la continuité est altérée, tout s’effondre».
Planté en 2011, Methuselah était un pied mâle. Incapable de se satisfaire d’un palmier sans fruit, Sarah Sallon est partie en quête d’autres graines et en a obtenu une trentaine, découvertes dans des caves du désert de Judée, dont Qumrân, célèbre pour les manuscrits de la mer Morte qui y ont été retrouvés.
Pour la scientifique, «l’environnement unique de la mer Morte a contribué à préserver les graines, non seulement en raison de l’aridité mais aussi de l’atmosphère, à 400 mètres au-dessous du niveau de la mer, qui y est la plus dense au monde».
C’est une lueur d’espoir. Cela montre que la nature a plus d’un tour dans son sac.
Sarah Sallon, scientifique
Surprise ou petit miracle: l’une des graines germe en un plant femelle, baptisé «Hannah» et transplanté en 2019. Dès l’année suivante, «Hannah» livre ses premières dattes. Puis, au mois d’août dernier, une récolte abondante: 800 dattes marron clair, légèrement sèches mais au délicat goût de miel, dont quelques-unes seront mises en vente prochainement. Depuis, «Hannah» a une sœur, «Judith», mise en terre fin septembre.
«C’est une lueur d’espoir. Cela montre que la nature a plus d’un tour dans son sac», assure Sarah Sallon, inquiète de l’extinction «massive» d’espèces. «Elle peut laisser ses graines dormir pendant des milliers d’années, nous laisser penser qu’elles ont disparu et il suffit d’une paire de mains en or pour les ramener à la vie».
Les scientifiques explorant la Grande Barrière de corail ont récemment identifié un immense récif corallien. D’une hauteur supérieure à celle de l’Empire State Building, cette nouvelle structure séparée du récif principal est la première à être découverte dans la région depuis plus de 120 ans.
Réalisée le 20 octobre dernier par une équipe du Schmidt Ocean Institute, cette découverte a été réalisée au large de la pointe la plus septentrionale de l’Australie. La gigantesque structure a été identifiée par le navire de recherche Falkor dans le cadre de l’expédition « Northern Depths of the Great Barrier Reef », visant notamment à cartographier les fonds marins de la région. D’une base d’environ 1,5 km de large, le nouveau récif s’élève sur plus de 500 mètres et la pointe de sa flèche se situe à une quarantaine de mètres seulement sous la surface.
Légèrement détaché des récifs principaux, celui-ci rejoint les sept autres structures similaires identifiées dans la région à la fin du 19e siècle.
« Cette découverte inattendue illustre le fait que nous continuions à trouver des structures inconnues et de nouvelles espèces dans notre océan », déclare Wendy Schmidt, cofondatrice du Schmidt Ocean Institute. « Nos connaissances sur ce qui se trouve dans l’océan ont longtemps été très limitées. Mais grâce aux nouvelles technologies qui fonctionnent comme nos yeux, nos oreilles et nos mains dans ses profondeurs, nous avons la capacité d’explorer comme jamais auparavant. De nouveaux paysages océaniques s’ouvrent à nous, révélant les écosystèmes et les diverses formes de vie qui partagent la planète avec nous. »
Selon une étude publiée le 9 septembre, il y aurait 24,4 milliards de milliards de particules de microplastiques, d’une taille comprise entre 1 et 5 millimètres, en suspension dans les mers du globe, cinq fois plus que les précédentes estimations.
Les images emblématiques des tortues saucissonnées dans des débris de bâche ou d’oiseaux nichant au milieu de bouchons de bouteilles en plastique sur une plage ne reflètent qu’une partie du problème de la pollution marine. Car en plus des millions de tonnes d’emballages, restes d’engins de pêche et autres macrodéchets aquatiques, il flotterait dans l’océan mondial cinq fois plus de particules de microplastiques que ce qu’estimait la communauté scientifique jusqu’en 2015. L’étude publiée jeudi 9 septembre dans la revue Microplastics and Nanoplastics, du groupe Nature, ne prétend pas que les quantités, certes gigantesques, de microplastiques présentes dans l’eau aient explosé en quelques années, mais explique que les travaux antérieurs avaient grandement sous-évalué le niveau de pollution.
Selon une étude publiée le 9 septembre, il y aurait 24,4 milliards de milliards de particules de microplastiques, d’une taille comprise entre 1 et 5 millimètres, en suspension dans les mers du globe, cinq fois plus que les précédentes estimations.
Les images emblématiques des tortues saucissonnées dans des débris de bâche ou d’oiseaux nichant au milieu de bouchons de bouteilles en plastique sur une plage ne reflètent qu’une partie du problème de la pollution marine. Car en plus des millions de tonnes d’emballages, restes d’engins de pêche et autres macrodéchets aquatiques, il flotterait dans l’océan mondial cinq fois plus de particules de microplastiques que ce qu’estimait la communauté scientifique jusqu’en 2015. L’étude publiée jeudi 9 septembre dans la revue Microplastics and Nanoplastics, du groupe Nature, ne prétend pas que les quantités, certes gigantesques, de microplastiques présentes dans l’eau aient explosé en quelques années, mais explique que les travaux antérieurs avaient grandement sous-évalué le niveau de pollution.
Selon l’équipe internationale menée par Atsuhiko Isobe, du Centre de recherches océaniques et atmosphériques de l’université de Kyushu (Japon), il y aurait 24,4 trillions (milliards de milliards) de ces particules d’une taille comprise entre 1 et 5 millimètres en suspension dans les océans, et non 5,5 trillions, comme estimé initialement ; ce qui représenterait entre 82 000 et 578 000 tonnes. Les analyses ont détecté en moyenne entre 113 000 et 5,3 millions de pièces de microplastiques au kilomètre carré, soit un poids de 130 grammes à 2,67 kilos.
La quantité de plastique présente dans les océans réévaluée fortement à la hausse - Wikistrike
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La Foudre pulvérise un Arbre !
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Les océans restent inconnus pour l’Humain: on a exploré que 5% des fonds océaniques. Alors, il n’est pas vraiment étonnant de découvrir de nouvelles zones sous-marines en 2018. C’est le cas aux Caraïbes où des chercheurs ont découvert une nouvelle zone océanique: le Rariphotique. Bien sûr, cela implique la découverte de nouvelles espèces de poisson.
La Terre n’est pas surnommée la planète bleue pour rien! 70% du globe est recouvert d‘océans. Et dans ces océans, seul 5% des fonds marins ont été explorés. Si l’on s’y intéresse vraiment, on peut faire de nouvelles découvertes tous les jours. Au sud des Caraïbes, près de Curaçao, des chercheurs ont trouvé une nouvelle zone océanique qu’ils ont appelée Rariphotique. Celle-ci est située entre 130 et 300 mètres de profondeur.
Ce qui est super intéressant pour les biologistes, c’est que cette zone abriterait des poissons venus se réfugier du réchauffement des eaux de surface et de la détérioration des récifs coralliens. Du coup, les chercheurs découvrent sans cesse de nouvelles espèces, comme si la biologie en était à ses premiers pas.
Les récifs coralliens peu profond subissent le réchauffement climatique et la pollution des océans. Ils se détériorent à vue d’œil et du coup les chercheurs ont essayé de trouvé d’autres récifs plus profonds qui ne sont pas touchés par le réchauffement des eaux et par la pollution.
“On estime que 95 % de l’espace habitable de notre planète est dans l’océan”, explique Carole Baldwin, conservatrice des poissons au Musée national d’histoire naturelle du Smithsonianvet auteure principale de l’étude. “Pourtant, seule une fraction de cet espace a été explorée, ce qui est compréhensible pour des zones situées à des milliers de kilomètres au large et à des kilomètres de profondeur, mais les récifs profonds tropicaux sont juste en dessous des récifs peu profonds et très étudiés.”
Carole Baldwin espère donc qu’avec la découverte de Rariphotique d’autres chercheurs seront motivés à explorer les fonds marins et trouver d’autres récifs du genre, des biotopes essentiels pour la vie sous-marine.
Alors, que trouve-t-on comme poisson dans cette nouvelle contrée sous-marine? Les chercheurs ont identifié 4.500 poissons différents dans le Rariphotique. Pour ce faire, ils ont dû prendre place dans de petits sous-marins capables de descendre jusque 300 mètres de profondeur.
Globalement, les espèces y vivant ressemblent beaucoup à celles que l’on trouve dans les récifs proches de la surface mais se rapprochent également des créatures vivant dans les eaux très profondes. Leur peau est presque transparente, comme les espèces vivant dans les abysses sauf qu’ici, les poissons sont extrêmement colorés. C’est bien simple, sur une zone de 200 mètres carré, les chercheurs ont découvert 30 nouvelles espèces. Ce n’est que le début!
Source: https://fr.express.live/