L’apostasie est en train de gagner du terrain dans le monde arabo-musulman grâce au travail d’explication fait par ceux et celles qui ont décidé de mettre à nu l’islam, cette soit disant religion de paix et d’amour.
En effet, il y a de nombreux youtubeurs qui prônent ouvertement l’apostasie, très actifs sur les réseaux sociaux et notamment sur Tik Tok, à l’exemple du professeur Mihoub Bouchama, mais aussi de Jack le Fou, le premier installé en Norvège, et le second au Canada qui font parfois des lives ensemble accompagnés par d’autres apostats. Ils réalisent un travail pédagogique extraordinaire afin de montrer que l’islam est une idéologie basée sur le mensonge et la peur qui n’a rien de divin. Elle n’est que le fantasme mortifère d’un homme du VII siècle, vivant au milieu du désert de l’Arabie qui voulait soumettre ceux qui l’écoutaient en racontant des balivernes sur les tourments de la tombe et les supplices de l’Enfer, sans aucune preuve, car aucun mort n’est revu de l’outre-tombe pour décrire ce qui s’y passe. D’ailleurs, pour le moment, aucun des oulémas attitrés n’osent se confronter à eux. Du jamais vu !
Ce qu’ils font, mérite des encouragements, parce qu’ils montrent le chemin à suivre pour éveiller les consciences des adaptes de ‘Allah a dit et le prophète a dit’ afin de les faire sortir de la prison mahométane où ils sont emmurés depuis XIV siècles.
L’éveil des musulmans gagne du terrain grâce à leur travail de vulgarisation de l’incohérence et du mensonge coraniques entretenus depuis des siècles par l’autorité religieuse islamique qui décrète le hallal et le haram pour une foule dont l’écrasante majorité reste inculte, soumise par la peur de l’enfer mais aussi par l’espoir de rejoindre le Paradis et ses délices sexuels, car quand on est un frustré toute sa vie, on y pense jusqu’au bout de la nuit.
Le professeur Mihoub Bouchama, un ancien musulman pur et dur, est train de réaliser un puissant travail d’apostasie au Maghreb et surtout en Algérie, qu’aucune personne avant lui, n’a osé entreprendre. Il va droit au but avec des mots simples et compréhensibles à la portée de n’importe quel quidam qui est choqué dans un premier temps avant de revenir à la réalité et de commencer à se questionner. Malgré les menaces et les insultes, il continue vaille que vaille à défricher le maquis islamique pour le rendre accessible au plus grand nombre.
Son travail est en train de révolutionner la pensée de ceux qui croient encore qu’Allah et son Emissaire, sont les seuls détenteurs de la vérité sur terre.
Quant à Jack le Fou, il est carrément en train de détruire le travail d’islamisation de la France que les islamistes ont entrepris depuis des décennies, avec la complicité des idiots utiles. D’ailleurs, les imams ont donné comme consigne aux musulmans de France de ne pas débattre avec lui et surtout de pas l’écouter.
Ces imams, détenteurs du brevet de la duplicité et de la dissimulation, considèrent Jack le fou comme un danger pour l’islam de France, car la plupart de ceux qui pratiquent le ‘dine’ sont en vérité des ignorants qui répètent les mensonges qu’ils entendent dans les mosquées ou qu’ils lisent sur le net.
Apparemment, la peur est en train de changer de camp. On est en train de passer carrément des menaces assumées à la main qui commence à trembler.
Dernièrement, j’ai écouté l’histoire d’une algérienne qui a quitté l’islam pour devenir ‘une kufira’ une mécréante. Elle a parlé à cœur ouvert de son expérience avec le professeur Mihoub Bouchama.
De prime à bord, elle dit qu’elle n’a jamais été attirée par l’islam, car ses parents n’étaient pas très croyants.
Son mari, par contre, est profondément pieux. Quand elle s’est sentie capable de dire qu’elle a faussé compagnie au prophète Mahomet à son époux, elle l’a fait sans hésiter. Sûre d’elle, elle lui a dit tout le bien qu’elle pense de l’islam.
Qu’a fait alors son mari ?
Immédiatement, il est allé consulter trois imams différents. Les trois lui ont conseillé de la chasser de la maison sur le champ, si non, il serait comme elle, ‘un Kufur’, conformément aux versets coraniques suivants :
« Ils t’interrogent sur le fait de faire la guerre pendant les mois sacrés. Dis « Y combattre est un péché grave, mais plus grave encore auprès d’Allah est de faire obstacle au sentier d’Allah, d’être impie Celui-ci et la Mosquée sacrée, et d’expulser de là ses habitants. L’association est plus grave que le meurtre ». Or, ils ne cesseront de vous combattre jusqu’à, s’ils peuvent, vous détourner de votre religion. Et ceux parmi vous abjureront leur religion et mourront infidèles, vaines seront pour eux leurs actions dans la vie immédiate et la vie future. Voilà les gens du Feu : ils y demeureront éternellement » (sourate 2 verset 217).
« Ils aimeraient vous voir mécréants comme ils ont mécru ; alors vous seriez tous égaux ! Ne prenez donc pas d’alliés parmi eux, jusqu’à ce qu’ils émigrent dans le sentier d’Allah. Mais s’ils tournent le dos, saisissez-les alors, et tuez-les où que vous les trouviez ; et ne prenez parmi eux ni allié ni secoureur » ( sourate 4 verset 89).
Selon Sahih Boukhari, le prophète Mahomet a dit aussi : « celui qui quitte l’islam, tuez-le ».
En islam, l’apostasie signifie la mort par décapitation ou par lapidation. Toute autre explication n’est que la poudre aux yeux pour dissimuler le vrai visage de l’idéologie mahométane qui est barbare et criminelle.
Il faut savoir que cette femme habite encore en Algérie et quand elle a partagé son expérience avec le professeur Mihoub, son mari était à ses côtés. Il l’écoutait religieusement, sans intervenir. D’ailleurs, elle lui a fait rappeler que ces imams auraient pu lui conseiller de l’assassiner par lapidation conformément à la charia après qu’ils l’aient rappelée l’ordre trois fois.
Cette femme est une vraie battante malgré les difficultés auxquelles elle est confrontée.
Elle est un exemple à suivre pour l’ensemble des musulmanes qui cherchent à s’échapper de la prison islamique où elles sont à la merci de leur tuteur ( wali) et où elles sont assignées à une résidence surveillée permanente du berceau au tombeau.
Puis, elle demande des conseils au professeur Mihoub Bouchama pour que son époux puisse sortir de l’impasse existentielle dans laquelle il se trouve, parce qu’il continue de l’aimer malgré la sentence sans appel des imams.
Le professeur Mihoub Bouchama, en fin connaisseur de l’islam qui a fait le parcours de l’apostasie, lui recommande que son mari s’informe par lui-même et qu’il évite d’écouter les ‘savants de l’islam’, car ils sont des menteurs et des manipulateurs.
L’histoire de cette femme prouve que l’amour est plus fort qu’Allah et son prophète.
Car un jour ou l’autre, la sincérité et l’amour finiront par triompher face à la barbarie d’Allah.
L’expérience de cette courageuse femme est à méditer…
Pendant ce temps, l’Occident officiel détenteur de la morale universelle, déroule le tapis rouge à ces imams haineux et semeurs de discorde, au nom de la fraternité humaine et des droits de l’homme à sens unique.
Hamdane Ammar