Il est aujourd’hui parfaitement évident que la promotion du sexe est présente dans tous les milieux. Que ce soit en politique, à la télévision, dans la littérature et même, à l’école. Les manipulations de l’esprit sont multiples, constantes et appuyées. C’est ostentatoire, provocant et particulièrement vicieux.
Un seul exemple. Un stage, parfaitement scandaleux, proposé aux enfants de 11 ans (!) pour « apprendre à devenir Drag Queen (1) » a été annulé, à Mérignac au début février, sous la pression obstinée et légitime d’Éric Zemmour. La nouvelle a été largement diffusée, dans le Figaro, sur CNews, jusqu’en Angleterre.
Pire que ça, n’existe pas… Pas encore.
Il est remarquable de noter qu’au cours de ces dernières années, les comportements atypiques se sont multipliés. Surtout leur classification ; c’est la course à qui trouvera une nouvelle catégorie de comportement sexuel anormal et spécifique.
Personne ne pourrait contester cette évidence. De la tolérance à l’égard des homosexuels, on est passé à l’obsession LGBT+… Faire partie de ces groupes est devenu « tendance » (Dieu que j’exècre ce terme), mode et « progressisme » (Dieu que ce terme est usurpé).
Mais qui sont donc ces « LGBT+ », que recouvre ce terme abscons, ce quasi slogan ? Voici l’explication de l’acronyme LGBT+ ou encore LGBTQIA+, MOGAI :
L : Lesbiennes. Définit les femmes qui ont une attirance exclusive envers les femmes.
G : Gays désigne les hommes qui ont une attirance exclusive envers les hommes. Autrefois on les nommait, assez trivialement, « tapettes » ou, récemment encore, « homosexuels ». Mais « gays » est plus « tendance »…
B : Bisexuels. Ils attirées par les hommes autant que par les femmes.
T : Transgenres. Ils ont une identité de genre qui ne correspond pas à leur sexe biologique.
Et pour le signe « + », il cache les lettres QIA.
Q : Queer. Il s’agit de ceux qui présentent une diversité de genre et d’orientations sexuelles plus « compliquées ».
I : Intersexes. Ces personnes sont nées avec des caractéristiques sexuelles différentes des caractéristiques typiques de « mâle » ou « femelle ».
A : Asexuelles. Ces individus n’ont pas – ou peu – d’attirance sexuelle envers d’autres personnes.
Si ce n’était sinistre, on pourrait trouver cela grotesque, ridicule et même, amusant…
Non, la normalité sexuelle est celle qui correspond aux besoins que la Nature nous a fixés afin de permettre la pérennité de notre espèce, ainsi que celle de tous les êtres sexués qui peuplent notre Terre. N’oublions jamais que l’acte sexuel tel qu’organisé par la Nature n’a d’autre but que de permettre la reproduction, la continuité et l’évolution des espèces…
Alors, dans ces conditions, à la lumière de cette puissante loi naturelle qui régit et nous impose par un désir irréfrénable le besoin de nous reproduire, tous ces gugusses du sexe s’avèrent bien éloignés de la vérité, de l’intelligence, de la réalité et du bon sens…
Alors, tous ces anormaux (au sens étymologique du terme qui signifie « hors norme ») sont maintenant les nouveaux modèles d’un monde en déliquescence… Il faut plaindre ces marginaux, car ils sont désignés, catalogués, épinglés comme des papillons sur une planche.
Outre la promotion du sexe, il faut réduire de plus en plus la qualité de l’enseignement. Moins le peuple sera instruit, plus il sera malléable, corvéable, réduit à une condition minimale, quasi animale.
Le texte qui suit, souvent attribué à Aldous Huxley, l’auteur du célèbre roman Le Meilleur des mondes, provient en réalité de Serge Carfantan, philosophe et professeur de philosophie. Datant de 2007, ce texte évoque des méthodes de conditionnement collectif.
Voici ce que dit Serge Carfantan.
« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra plus à l’esprit des hommes. L’idéal serait de formater les individus dès la naissance, en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle.
Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter.
Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser.
On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.
En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclu du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur. L’homme de masse, ainsi produit, devra être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu.
Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels. On observe cependant qu’il est très facile de corrompre un individu subversif : il suffit de lui proposer de l’argent et du pouvoir.
Ben voilà, cette fois on y est à cent pour cent… La volonté d’organiser la destruction de notre grande Civilisation est claire, limpide comme de l’eau de roche. Ajoutez à cela l’avènement du premier pape musulman et personne ne pourra douter de l’issue visée.
Pierre Malak
(1) Pour ceux qui pourraient l’ignorer, il s’agit d’un emprunt à l’anglais. « Drag queen » signifie « travesti masculin », décomposable en drag, « vêtements non appropriés au sexe », et queen (reine).