L’UNRWA est une agence humanitaire, interne aux bureaux de l’ONU, énorme en termes de flux financiers. Créée en 1949, elle avait pour tâche de s’occuper des réfugiés palestiniens.
La charte de cette organisation onusienne mentionne qu’elle effectue un travail pour sauver des vies.
Les enseignants de cette agence onusienne, payés par l’ONU et accessoirement par nous, œuvraient pour donner aux étudiants palestiniens et aux enfants une éducation qui promeut les droits humains, la tolérance, l’égalité et la non-discrimination. La grande supercherie va commencer.
Vu du côté face visible de l’iceberg, c’est beau, très beau et même magnifique ! C’est de l’humanitaire à grand spectacle, comme la gauche aime si bien nous emberlificoter, avec des fleurs.
Nous allons montrer, par des révélations accablantes, que ces objectifs-là sont trompeurs, mensongers !
UNWATCH, une ONG neutre d’observation de l’UNRWA Palestinienne
UNWATCH est une ONG basée à Genève. Elle observe cette agence onusienne depuis des années et de fait se montre irréprochable pour sa neutralité, sa partialité et son objectivité.
Il y a juste quelques jours UNWATCH, par la bouche de son président Hillel NEUER, vient d’apporter, devant le Congrès US, un témoignage capital mettant en jeu l’avenir de notre civilisation.
Le côté obscur de cette organisation onusienne apparaît enfin au grand jour.
Depuis plusieurs années, UNWATCH scrute la face immergée de l’iceberg UNRWA, soulève le voile noir de ses activités, ouvre la boite de pandore de cette agence, et achève de découvrir un énorme panier de crabes. Dévoile le pot aux roses, diront certains…
UNWATCH présente sur son site toutes les preuves de l’implication de 12 employés gazaouis de l’UNRWA dans les crimes abominables et barbares du Hamas, le 7 octobre. Pas moins de 1200 employés de l’UNRWA à Gaza, font partie du Hamas ou du Jihad islamique. Les preuves sont gravissimes. Le secrétaire d’État, Antony Blinken a même déclaré que ces rapports de renseignements étaient hautement crédibles.
Le rôle néfaste de l’UNRWA est sous le feu des projecteurs des médias. Seront-t-ils seulement crédibles ?
L’UNRWA perpétue implicitement la guerre de 1948
Précisons que ces fonctionnaires de l’UNRWA, payés par l’ONU, sont en même temps des terroristes, et en réalité de véritables agents du Jihad politique et militaire, responsables de la perpétuation de la guerre de 1948 aux frontières d’Israël. En effet le but de cette agence onusienne est bien de perpétuer la guerre de 1948 en envoyant le message aux Palestiniens que la guerre de 1948 n’est pas finie. Continuons le combat disait un slogan soixante-huitard. Le mot d’ordre de l’UNRWA aux Palestiniens était d’éviter si possible d’utiliser du ciment pour construire des maisons ou des écoles mais de cimenter des centaines de kilomètres de tunnels (>700 km) pour pénétrer en Israël, envahir ce pays de trop, et tuer tous les juifs avant de retourner dans vos maisons.
Ensuite de très nombreux rapports de 10 à 200 pages ont étayé et dénoncé le vrai visage de l’UNRWA, lesquels pourtant confirmés par des observations explosives de Reuters et du Wall Street journal sont restés lettres mortes.
Depuis 1949 l’UNRWA aura :
⦁ Apporté aux Palestiniens, un statut de réfugiés éternels de pères en fils, sur 3 générations, sans responsabilité de leur destin, y compris quand ils sont nés à Gaza ou en Cisjordanie, ou même quand ils sont bien intégrés depuis plusieurs générations. Il faut savoir que cette institution n’existe pour aucun autre réfugié au monde. Un système dans lequel le nombre de réfugiés augmente avec l’augmentation des conflits dans le monde. Un nombre estimé à 100 millions au cours du XXe siècle.
⦁ Établi un monopole de totale dépendance avec les Palestiniens en fournissant à Gaza sacs de farine et manuels scolaires estampillés UNRWA. À dessein, l’UNRWA, agence dédiée aux seuls Palestiniens, les aura maintenus dans un confort relatif de réfugiés, les empêchant d’accéder seuls à l’autodétermination, de génération en génération. Les autres réfugiés du monde sont pris en charge par le HCR (Haut-Commissariat aux Réfugiés). À ce titre aucune agence n’a été dédiée aux Juifs expulsés des pays musulmans et arabes à partir de 1948. À cette date, ils étaient environ 800.000 juifs réfugiés et autant de Palestiniens. La différence de nos jours vient du fait que les Juifs ont été intégrés en Israël, en France, au Canada, aux USA ; ce n’est pas le cas dans les pays arabes, car aucun n’a voulu intégrer des Palestiniens. Cela vient du fait que les Juifs avaient un pays et pas les Palestiniens. Ils auraient pu créer un pays en 1937, 1940, 1967, 1920, tous les plans de partage de territoires ont été successivement refusés par la ligue arabe, puis l’OLP et enfin par l’AP. Pourquoi ?
⦁ Conservé d’un côté aux Palestiniens un statut infantilisant de réfugiés, les maintenir dans un état de guerre larvée contre Israël depuis 75 ans. De l’autre comparativement le HCR essaye d’intégrer les réfugiés dans d’autres pays en leur fournissant logement, travail et nourriture.
⦁ Créé une situation illusoire ayant pour but de montrer que l’UNRWA prend soin d’eux, et que les sources de financements de l’ONU leurs sont indispensables et veillent sur eux. En réalité, elles sont inutiles et néfastes pour les Palestiniens, lesquels devenant des assistés de génération en génération ne pourront jamais accéder à l’autonomie, à l’indépendance alimentaire et financière pour créer leur État palestinien. En revanche, elles sont capitales pour financer les terroristes du Hamas.
L’UNRWA c’est un budget de un milliard de $ par an, et 30.000 employés dont 13.000 seulement à Gaza.
Le Hamas a largement infiltré l’UNRWA afin de contrôler l’argent et répandre la haine des Juifs
Les principaux pays donateurs de l’UNRWA : USA, Allemagne, GB, Canada, France… au vu des arguments explosifs de l’ONG UNWATCH, viennent d’annoncer qu’ils gelaient leurs avoirs à l’UNRWA. Par exemple pour les USA, le financement annuel sous la gouvernance de Donald Trump, d’un montant de 300 millions de dollars, avait été suspendu. Suspension ensuite annulée par l’élection de Joe Biden aux USA, pour satisfaire son électorat musulman. La France a versé 88 millions d’euros en 2022 et probablement 100 millions en 2023 avant le pot aux roses, sinon nos agriculteurs auraient eu 100 millions de plus.
Ces pays ont été sommés non seulement de suspendre mais aussi de mettre fin au financement afin de dissoudre cette organisation terroriste impliquée dans le terrorisme islamique, dans la perpétuation à la guerre contre Israël et dans ses incitations à la haine des Juifs et d’Israël.
L’Implication de l’ONU dans le terrorisme palestinien. SEULE LA VÉRITÉ COMPTE
Le secrétaire général de l’ONU, A. Guterres, a annoncé être « horrifié, voire choqué » d’apprendre que des fonctionnaires sous sa gouvernance, son personnel de l’ONU était impliqué dans des activités terroristes, aussi atroces qu’inhumaines. Or, les centaines de rapports, les actions répétées d’avertissements de UNWATCH à l’ONU sur les agissements de l’UNRWA sont restés lettres mortes, à l’image de grands coups d’épée répétés dans l’eau.
Le Chef de l’UNRWA, Philippe LAZZARINI, leurs prédécesseurs, leurs collègues hiérarchiques, tous ne pouvaient pas être « choqués » que des employés de l’UNRWA soient impliqués dans le terrorisme du Hamas. Depuis la dernière décennie, le président Smith le savait très bien car il était possesseur de rapports de 10 à 200 pages, émis par UNWATCH, apportant toutes les preuves d’une incitation généralisée à la haine, de l’organisation systématique, physique et opérationnelle d’un terrorisme djihadiste ; de l’éloge du leader nazi Hitler ; d’appels aux massacres de Juifs de la part des enseignants de l’UNRWA, de directeurs d’écoles, d’employés… Tous savaient mais se taisaient y compris le SG de l’ONU Guterres !
Tous savaient et ont choisi de ne pas agir. De faire échouer les demandes de UNWATCH, de discréditer, de ridiculiser, de critiquer tant et plus cette honorable ONG Suisse.
Le 10 juin, sous la pression des USA, 6 salariés de l’UNRWA ont été suspendus de leurs fonctions.
La Commissaire générale adjointe de l’UNRWA, Leni STENSETH, aujourd’hui directrice générale du ministère norvégien des Affaires étrangères, a tenté d’attaquer UNWATCH, l’accusant de vouloir détruire son organisation et non de construire, pour retrouver une paix durable. Mauvaise foi évidente.
3 000 enseignants de Gaza, vecteurs du terrorisme et d’incitation à la haine, fonctionnaires de l’UNRWA.
– En novembre dernier, un rapport a été envoyé sur 20 enseignants qui ont célébré les massacres pogrom du 7 octobre.
– En mars 22, ce sont 133 enseignants de l’UNRWA qui ont fait l’éloge de la haine et de la violence sur les réseaux sociaux mondiaux. Des réseaux mondiaux accessibles pour les jeunes de nos banlieues.
– En Juin 22, un rapport publié par UNWATCH intitulé : « Les professeurs de haine de l’UNRWA » incluait les propos écris sur Facebook de ElHam Mansour, professeur à l’UNRWA qui déclarait : (sic) « Je jure par Allah que quiconque peut tuer et massacrer n’importe quel criminel sioniste ou israélien, s’il ne le fait pas, il ne mérite pas de vivre. Tuez-les tous, poursuivez-les partout, ils sont les plus grands ennemis. Tout ce qu’Israël mérite est la mort » !
Il s’agit d’un enseignant de l’UNRWA sur Facebook. Nous avons envoyé à l’ONU ce rapport d’incitation gravissime à la haine et au meurtre ? Ils n’ont rien fait !… Nous leur avons envoyé en double les rapports de 2021, 2019, 2017, 2015 et de nombreux autres rapports en vain. Ils ont toujours refusé de nous contacter afin d’échanger des infos, de nous rencontrer pour discuter.
S’ils disent qu’ils ne le savaient pas, mais ce sont des menteurs, des manipulateurs. Le porte-parole de longue date de l’UNRWA, Christopher GUNNESS, désormais devenu substitut pour donner des interviews à Al-Jazeera n’a cessé de mentir, disant aux journalistes que les allégations de UNWATCH sont sans fondement. De salir le messager refusant de découvrir la racine du problème de l’UNRWA en tant qu’incitateur au terrorisme, à la haine.
Safa Mohamed AL-NAJAR, professeur d’informatique de l’UNRWA à Gaza, animatrice du groupe Telegram. Elle a célébré les massacres en publiant des vidéos faisant l’éloge des Moudjadins du Hamas, les saints guerriers pendant qu’ils massacraient, mutilaient, démembraient, décapitaient, violaient des Israélien(ne)s.
Abdellah Majez, professeur d’anglais à l’UNRWA, a partagé un message du Hamas exhortant les Gazaouis à rester chez eux, à ignorer les messages israéliens leur demandant d’évacuer pour leur sécurité les zones de combat et de guerre. Cet enseignant de l’UNRWA, en relayant le Hamas, exige que les Gazaouis servent de boucliers humains.
Abdul Karim MEJER, est professeur d’une école primaire. Il a demandé au Hamas d’exécuter tous les otages. Il a célébré les terroristes du Hamas en disant (sic) : « Qu’Allah garde leurs pieds stables et guide leur objectif ». Un membre du groupe s’est demandé pourquoi ces terroristes commettaient des massacres Mejer leur a répondu (sic) : « Ils ont bu le jihad, dans le lait de leur mère ».
Depuis 10 ans, l’UNRWA s’est montrée réticente à tout dialogue, incapable d’empêcher l’explosion du terrorisme en son sein, s’est montrée inapte à prendre conscience de l’ampleur du problème.
Un rapport intitulé « UNRWA’S TERRORGAM » est consultable sur son site.
Nous ne devons pas être surpris par ce qui s’est passé le 7 octobre. C’est le résultat du message que les Palestiniens ont depuis 70 ans inculqué dans les écoles de l’UNRWA.
L’UNRWA est un échec. Nous devons reconnaître, nous dit Ignacio CASSI, ministre des Affaires étrangères SUISSE, que l’UNRWA (ONU) fait partie du problème, fournit des munitions pour la poursuite du conflit.
En soutenant l’UNRWA, nous maintenons le conflit en vie dans une logique perverse.
L’UNRWA est le problème, pas la solution
Tous les autres pays qui financent l’UNRWA, s’ils veulent vraiment aider les Palestiniens et Israël dans une guerre qu’ils n’ont jamais voulue, doivent demander instamment au Congrès des États-Unis d’Amérique de dissoudre cette agence onusienne en enquêtant sur la complicité de ses membres avec le terrorisme.
Patrick Granville
Au nom de la liberté d’expression. Février 2024