Tsahal s’efforce d’éradiquer les derniers bastions de terroristes qui sévissent à Gaza en général et plus particulièrement dans le sud dans la ville de Rafah.
Quatre bataillons de terroristes sont encore opérationnels dans cette ville de Rafah où sont regroupés un million de Gazaouis que Tsahal s’efforce d’épargner en dépit de l’exposition à laquelle les soumettent les terroristes du Hamas.
L’offensive sur cette ville fait déjà l’objet de cris d’orfraie de la part des grandes institutions onusiennes dont la complicité dans les exactions du Hamas est d’ores et déjà avérée et plus particulièrement pour ce qui concerne l’UNRAW, l’OMS et autres Conseil des droits de l’homme !
Le chœur des pleureuses des associations tels qu’Amnesty international et autres est consternant de compromission et de lâcheté. Déjà, avant même que ne soit organisé l’éloignement de ces populations des zones de combat, ces institutions dénoncent les risques de crimes contre l’humanité, alors que les milliers de morts au Sénégal du fait des terroristes musulmans ne fait pas broncher ces mêmes institutions.
Tsahal s’efforce et s’est toujours efforcé d’épargner les populations civiles, mais les terroristes se fondent dans cette population en évitant de se déplacer en uniforme et profitent de ce bouclier humanitaire pour attaquer les troupes de Tsahal. Cette protection des civils de la part de Tsahal se fait aux dépens de ses propres soldats qui tombent sous les assauts des terroristes cachés dans cette foule et sont sacrifiés sur le sacro-saint droit humanitaire.
Toutefois, et en dépit de ces alarmes dont est seul victime Israël, le Premier ministre Benjamin Netanyahou ordonne l’offensive sur la ville de Rafah indispensable pour éliminer le reste de terroristes actifs dans cette région et assécher la source d’approvisionnement en armes qui proviennent des tunnels qui passent sous l’axe de Philadelphie qui est la frontière avec l’Égypte.
Sur les pressions intérieures
Les manifestations de familles d’otages sont manipulées par des politiciens dévoyés qui n’acceptent pas leur défaite dans les urnes et de tentent de rejouer les élections par la pression de la rue, espérant de cette façon faire tomber le gouvernement démocratiquement élu.
Dernièrement, une journaliste, Rony Hayot, a fait exploser cette compromission des politiques lors de la réunion du cabinet de guerre, le 5 décembre 2023, avec les familles des kidnappés de Gaza.
Les chaines de télévision israéliennes parlent des manifestations organisées par les familles d’Israéliens kidnappés, sans vous dire qu’elles sont dynamitées par des militants qui profitent de cette situation pour revenir sur le devant de la scène. Je cite :
“À l’occasion de cette réunion, les langues se sont déliées, des familles d’otages ont quitté la réunion avant qu’elle s’achève, expliquant la manipulation mise en place pour utiliser le problème des otages à des fins politiques par des mouvements et des organisations qui avaient pour objectif de décrédibiliser le cabinet de guerre, le Premier ministre et le gouvernement dans son ensemble. Pour cela, ces organisations ont mis en place des réunions préparatoires avec les familles, tout a été planifié et organisé à l’avance, tout le monde était briefé pour savoir qui allait dire quoi… qui allait crier, qui allait se mettre en colère, et comment. Toutes les familles n’étaient pas d’accord, et on était prié de se taire pendant la réunion…”
La gauche, comme à son habitude, use des moyens les plus méprisables pour tenter d’arriver à ses fins, même au prix d’une chute de la nation qui vit une guerre existentielle, mais heureusement la grande majorité des Israéliens approuve l’action du gouvernement.
Heureusement, une contre-offensive est en cours avec les familles d’otages qui manifestent à Jérusalem pour s’opposer à tout arrêt des combats et demander au gouvernement de combattre jusqu’à la victoire totale, c’est-à-dire l’élimination du Hamas de la bande de Gaza.
Malgré les contraintes imposées par l’armée dans la zone du passage de Kerem Shalom, les manifestants de l’organisation « Tsav 9 » ne relâchent pas la pression. Ils sont présents tous les jours et toutes les nuits devant le passage de Kerem Shalom et celui de Nitsana. Ils ont planté des tentes pour dormir sur place et parviennent, avec un certain succès, à empêcher une partie des camions d’entrer à Gaza.
Ces camions qui sont, dans 70 % des cas, détournés par le Hamas pour maîtriser la distribution et se servir en priorité, prolongeant ainsi leur survie.
Leur mot d’ordre est clair : il n’y a aucune raison de continuer à alimenter l’ennemi alors que 136 otages sont toujours détenus par le Hamas.
Le soutien au gouvernement s’organise et s’efforce de contrarier les initiatives de la gauche mondialiste et capitularde qui est disposée à faire une croix sur les soldats tombés sous les balles de l’ennemi pour tenter d’obtenir la libération justifiée des otages. Il suffirait que le Hamas rende les armes et restitue les otages pour que cesse le feu.
Guy Sebag