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L’Afrique du Sud post apartheid est le pays le plus dangereux de la planète :
C’est aussi l’un des pays les plus inégalitaires du monde, ainsi que l’atteste son coefficient de Gini évalué à 0,63 en 2014 par la Banque mondiale : La Nation Arc-en-Ciel est le pays le plus inégalitaire parmi les 168 territoires étudiés par la Banque mondiale (les autres pays n’ayant pas fourni assez de données…). L’espérance de vie s’est effondrée de dix années de 1990 et 2020. En 2008, le pays connaissait une grave pénurie d’électricité et la dégradation des infrastructures. Les mines de diamants, premières richesses du pays, étaient envahies d’eau : les pompes étaient en panne… d’électricité.
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Au lieu de tenter de surmonter ses énormes difficultés structurelles – ou peut-être pour faire diversion auprès de son opinion publique… -, l’Afrique du Sud vient crânement d’engager des procédures judiciaires contre Israël devant la Cour Internationale de Justice de La Haye, estimant que l’Etat hébreu viole la convention internationale pour la prévention et la répression du crime de génocide dans son action contre les populations de la bande de Gaza :
La Cour internationale de justice (CIJ) est établie par l’article 92 de la Charte des Nations unies : « La Cour internationale de Justice constitue l’organe judiciaire principal des Nations unies. Elle fonctionne conformément à un Statut établi sur la base du Statut de la Cour permanente de Justice internationale et annexé à la présente Charte dont il fait partie intégrante. » La CIJ a été créée en 1948. Israël est l’un des pays à l’origine de la CIJ. Il en fut l’un des premiers membres-signataires.
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Rappelons qu’un génocide est un crime consistant en l’élimination concrète intentionnelle, totale ou partielle, d’un groupe national, ethnique ou encore religieux, en tant que tel, ce qui veut dire que des membres du groupe sont tués, brisés mentalement et physiquement, ou rendus incapables de procréer, en vue de rendre difficile ou impossible la vie du groupe ainsi réduit. Le génocide peut être perpétré par divers moyens, le plus répandu et le plus évident étant le meurtre collectif. On remarquera qu’il n’est nul besoin d’éradiquer toute une population pour que cette dernière puisse être qualifiée de victime d’un génocide.
En ce sens, l’Afrique du Sud s’est bien rendue coupable de génocide à l’encontre des Blancs du pays :
On remarquera que les vidéos trop « trash » de massacres de blancs, qu’on pouvait encore voir sur Youtube il y a une dizaine d’années, ont toutes été soigneusement censurées :
http://fr.youtube.com/watch?v=-HKHZcxxZyg&mode=related&search=
Elles montraient un modus operendi des terroristes en tout point identique à ceux qui ont anéanti les kibboutzim dans le sud d’Israël le 7 octobre 2023. Même barbarie : femmes violées devant leur mari et leurs enfants, femmes enceintes éventrées, bébés embrochés… Rien de nouveau sous le soleil des QI négatifs.
Selon l’africaniste Bernard Lugan : « Le mardi 27 février 2018, par 241 voix contre 83, le parlement sud-africain a voté le commencement d’un processus de nationalisation-expropriation sans compensation des 35.000 fermiers blancs. Or, il faut bien avoir à l’esprit qu’en Afrique du Sud – comme hier au Zimbabwe, et comme annoncé demain en Namibie -, ce n’est pas pour des raisons économiques que ces fermiers vont être spoliés. Les 241 députés noirs qui ont voté cette motion n’ignoraient en effet pas qu’ils poignardent en plein cœur le dernier secteur hautement producteur de richesses de leur pays. Ils savaient très bien que ces fermiers blancs nourrissent l’Afrique australe et que, sans eux, tout le cône sud de l’Afrique (Angola, Namibie, Zambie, Mozambique, Botswana, Zimbabwe) connaîtra la famine. Qu’importe ! La symbolique de la revanche raciale est la plus forte… Ceux qui, en Europe, avaient vibré au mythe de la « nation arc-en-ciel » réconciliée sont donc une fois de plus cocus. Le plus grave est qu’ils n’en tireront pas les leçons… »
https://bernardlugan.blogspot.fr/p/abonnement-reabonnement.html
Selon Wikipédia : « Selon une étude de City Press et de l’Institut sud-africain des relations raciales (SAIRR) datant de 2012, du fait de sa démographie déclinante de 0,3 % tous les cinq ans, la population blanche sud-africaine pourrait disparaître d’ici l’année 2161. Ce déclin démographique résulte à la fois de la baisse du taux de fécondité de la population blanche mais aussi de l’émigration continue depuis de nombreuses années. Ainsi d’ici 2025, la population blanche devrait passer en dessous de quatre millions de personnes. Ces chiffres s’inscrivent dans un contexte où une majorité des jeunes Sud-Africains blancs se montrent pessimistes sur l’évolution de leur pays (34 % optimistes contre 61 % d’optimistes au sein de la jeunesse noire), le chômage et l’insécurité étant les sujets principaux de préoccupation »
Rappelons que l’hymne « officieux » de l’Afrique du Sud, « Kill the Boers » – littéralement : « Tuez le fermier (blanc) » revendique pour chaque Africain du Sud non blanc le droit de tuer du Blanc.
L’Afrique du Sud, coupable de génocide à l’encontre de ses propres populations blanches, n’hésite pas à accuser Israël de génocide devant la Cour de Justice Internationale. Verra-t-on un jour l’Iran, nouvellement accueilli parmi les BRICS, dénoncer les agressions de femmes dans les rues de Paris ?
https://www.bbc.com/afrique/articles/cnkz2q5zdl3o
Henri Dubost
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