Sale temps pour les mafieux de Kiev. Après le refus de la Slovaquie de continuer à raquer, et la décision de la Hongrie de garder les armes promises au Zygomyr, le Congrès étasunien est confronté à une dilemme de taille. Sa propre jurisprudence contre les manigances des lobbies anti-russes.
Pour les Ricains, la guerre n’est pas un motif suffisant pour reconduire les chefs sans consulter le peuple
En refusant de tenir des élections législatives comme prévu en octobre, et en décidant qu’il n’y aurait pas de présidentielle en mars 2024, en raison des combats, le Zygomyr a déçu ses bienfaiteurs. Changeant le synopsis du conte de fées mielleux, en thriller de psychopathe aux abois.
Son prétexte n’a pas été apprécié aux USA… Là bas, au cours de l’année 1944, alors qu’on s’étripait en Indonésie, aux Philippines et dans tout le Pacifique, ainsi qu’en Europe depuis le début de l’été, il y eut une campagne électorale serrée à l’issue de laquelle Franklin Roosevelt fut réélu le 7 novembre avec 53,4 % des voix.
Le Zygomyr refuse une élection qu’il est sûr de perdre. Ses soutiens le lâchent… Une fois redevenu simple citoyen, on l’enverrait au front faire son service militaire. Ou on le fusillerait. Son peuple en a ras-le-bol de cette guerre insensée qui a déjà fait 500.000 morts. Dans toutes les familles, on compte les disparus, les estropiés et les traumatisés. Depuis six mois, des officiers échangent des critiques sévères sur l’incompétence des dirigeants. Du petit lait pour les Russes qui les captent.
Son numéro de bouffon chouchou des médias ne marche plus
La plupart des Républicains, majoritaires à la Chambre des Représentants, n’apprécient plus le petit clown mal rasé. Ils trouvent qu’il coûte trop cher aux USA pour des résultats décevants. Et font valoir aux Démocrates qui tiennent le Sénat un argument de poids : son déni de démocratie.
Jusqu’ici, les Ricains étaient censés soutenir une démocratie vertueuse contre une dictature imaginaire. Dans une fable hollywoodienne, où un courageux histrion un peu simple d’esprit, tenait tête à l’URSS. Car beaucoup de petites cervelles yankees n’ont toujours pas compris que la Russie actuelle n’a rien à voir avec le foutoir soviétique… Et puis les Ricains ont toujours aimé enrober leurs coups fourrés d’un emballage de moraline saupoudrée de Mickeys.
Nos médias ont beau être entièrement dévoués aux Ukronazis, comme ils le sont au Hamas, ils ne peuvent pas tout cacher. Outre les désertions et les mutineries, il y a la fatigue des survivants et les protestations publiques contre les nouvelles exigences de conscription, nourrissant l’écœurement d’un peuple sacrifié pour des intérêts qui le dépassent.
Pendant que les soldats crèvent, la gueule ouverte pleine de mouches, et finissent dans des fosses communes, le Zygomyr et Madame, comme tous les autres oligarques, mènent la vie de château. Ils acquièrent des propriétés de stars en Californie et en Floride, et claquent dans des bijouteries de luxe et chez des grands couturiers, le fric envoyé pour soutenir l’effort de guerre.
Avec les « amis » Polonais, le torchon brûle
Brimés par une bureaucratie ukrainienne lourde et tatillonne qui ne fonctionne qu’aux bakchichs, des milliers de véhicules dont de nombreux poids-lourds bloquent la frontière ukraino-polonaise. Les routiers polonais se sont mis en grève pour dénoncer la concurrence déloyale de leurs voisins. Agressifs et malhonnêtes, ils tricheraient sur tout. Prix, salaires, marchandises, taxes, passe-droits et combines.
Plusieurs dizaines de sociétés de camionneurs polonais bloquent depuis une semaine trois points de passage entre les deux pays. Les protestataires réclament, outre des conditions de travail identiques, la restauration des permis d’entrée pour les Ukrainiens, afin de les contrôler et d’en limiter le nombre. L’UE passoire, c’est pas pour tout de suite.
Les files d’attente n’ont cessé de s’allonger au cours de la semaine passée, et 25.000 véhicules sont désormais bloqués des deux côtés de la frontière. Larmoyants comme leur führer, les Ukrainiens pleurnichent que cela nuit à l’économie des deux pays… Le Zygomyr a assuré que l’Ukraine respecte le droit de manifester (trop aimable le petit clown !) tout en se disant prêt au dialogue, mais sans rien proposer de concret.
Au point de passage de Hrebenne, la queue fait plus de 40 kilomètres de long. Le temps d’attente pour franchir le poste-frontière est de l’ordre de six à sept jours ! Deux ou trois seulement, si on glisse des petits billets à qui de droit. En Ukraine, comme dans la plupart des dictatures du tiers-monde, la corruption pourrit tout, du flic de base jusqu’au président.
Chez les Ukronazis, les cadeaux n’empêchent pas la faillite
Le zygomyr est le roi des mendigots, et Robinette, Macronescu, et Ursula, les rois et la reine des crapules qui dépouillent leur peuple. Mais tout cet afflux d’argent ne suffit plus à sauver l’Ukraine du naufrage. D’autant que la moitié au moins des sommes versées sont détournées. Soit pour financer les petits plaisirs des oligarques. Soit pour filer dans des paradis fiscaux, en prévision des mauvais jours.
Le loi de finances votée jeudi par des députés illégitimes, prévoit de consacrer 1700 milliards de Hryvnias, la monnaie de singe du Zygomyr, soit 43,9 milliards d’euros, à la Défense et à la « sécurité » (comprendre les milices néonazies et le SBU, la police politique).
Cette somme est largement supérieure au budget de l’éducation, de la santé et des prestations sociales. On voit les priorités du mal embouché-mal rasé : tout faire pour rester au pouvoir, « quoi qu’il en coûte », comme dirait son pote Macronescu. D’où la décision précipitée, sans en informer son mentor de Washington, de supprimer les élections.
De l’aveu même de Denis Chmygal le premier ministre, 50 % des dépenses sont consacrées à la guerre. Il y aura encore plus d’armes et d’équipements, plus de drones, de munitions et de missiles. Leur financement n’est pas un problème. Puisqu’ils sont offerts par les alliés, avec des formations pour les servants, et l’appui de mercenaires de l’OTAN sous uniforme ukrainien.
Mais on craint qu’il y ait un peu moins d’argent de poche pour les oligarques et les officiers supérieurs qui pourraient déserter. Ils ont planqué assez de fric à l’étranger pour mener une vie de sybarites jusqu’à l’âge de 150 ans.
Les Amerloques négocient discrètement avec la Russie
Si Dmytro Kouleba, chef de la diplomatie ukrainienne dit « la voix de son maître », n’imagine pas d’autre politique que la poursuite de la guerre jusqu’à la victoire (celle de la Russie sans doute ?), les Ricains comme les Eurotocrates envisagent une défaite probable. Ils voudraient donc réduire la dilapidation de l’argent volé à leurs peuples. D’autant que, désormais, les djihadistes du Hamas ont priorité sur la distribution des milliards.
Les arsenaux de l’Occident son vides, et le moral des troupes est au plus bas en Ukraine. Un officier réaliste, le général Valeri Zaloujny, commandant en chef des armées de Kiev, reconnaît publiquement être dans une impasse. Peut-on encore s’obstiner à essayer d’avancer après avoir subi des pertes monstrueuses en hommes et en matériels, pour gagner, au bout de six mois d’offensive, dans le meilleur des cas 17 kilomètres ? Alors qu’on avait claironné un peu vite qu’il suffirait de 4 mois pour faire tomber la Crimée.
« Au début, j’ai pensé qu’il y avait un problème avec nos commandants, alors j’en ai changé certains », explique Zaloujny. « Ensuite, j’ai pensé que certains de nos soldats n’étaient pas adaptés à leur mission, alors j’en ai transféré de d’autres brigades. Mais en vain. À chaque fois que nos troupes ont essayé d’avancer, elles se sont heurtées à l’artillerie, aux drones et aux champs de mines disséminés sur le champ de bataille. Et les moyens technologiques modernes empêchent toute opération furtive. »
Un de ses adjoints précise en évoquant Robotyne: « Nos alliés voulaient une victoire symbolique. Mais détruire tout un village pour nous y installer et servir ensuite de cibles fixes est un non-sens stratégique. »
Le Zygomyr tempête, bavoche et éructe à son habitude pour exprimer son mécontentement, mais il ne sanctionne pas les officiers de plus en plus nombreux qui soutiennent Zaloujny. Craindrait-il un putsch ?
Tandis que ces joutes verbales font trembler les murs, presque autant que les missiles russes, l’ancien conseiller médiatique de Zelensky, Oleksiy Arestovych, envoie de discrets messages à Moscou. Selon NBC News qui a ses entrées au Pentagone et à la Maison-Blanche, les USA ont acté le fait que l’Ukraine perdrait des territoires au profit de la Russie, et qu’il vaut mieux en finir avec cette guerre. Avant de subir l’humiliation de la déroute comme à Saïgon et à Kabul.
En fait, les discussions ont déjà commencé, mais Robinette qui ne veut pas perdre la face pendant la campagne présidentielle a demandé à ses larbins de l’Eurocrature, de « tester les Russes ».
Le seul obstacle à la paix est l’entêtement stupide du Zygomyr. Un gugusse attardé, aussi borné et capricieux que Macronescu… Qui ne voit pas que si les territoires russophones ne sont pas lâchés rapidement, Vladimir risque de s’énerver et d’avoir d’autres exigences. Tandis que, de leur côté, les Polonais, les Hongrois et les Roumains, sentant la bête à l’agonie, se préparent à la dépecer afin de récupérer leurs terres ancestrales.
Christian Navis
Zelensky prend des coups sur la tête de tous les côtés
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