À quel moment la Palestine et le peuple palestinien furent inventés ?
Contrairement au Français qui désigne un habitant de la France (mais aussi une langue), un Palestinien est censé désigner un habitant de la Palestine ; mais dans l’histoire il n’existe aucune langue palestinienne contrairement au français, à l’anglais, au néerlandais, à l’hébreu, etc. Le Palestinien est arabophone et n’a aucune langue issue d’une histoire millénaire et nationale. Il faut y voir, nous dit Guy Millière dans son livre « Comment le peuple palestinien fut inventé », une falsification récente de l’histoire des années 60 et orchestrée par les médias d’ultra-gauche pour faire du buzz, et du monde arabe. Ces derniers, n’acceptant pas l’essor civilisationnel extraordinaire d’Israël, décidèrent que cet État était un État de trop ! Il fallait alors, pour cette raison, le détruire, en jetant les Juifs à la mer ! Dixit la charte du Hamas (sic).
À cette époque, entre 1948 et 1960, le peuple palestinien n’existait pas, la presse n’en parlait pas. Ce peuple n’existait pas il y a un demi-siècle. Les Palestiniens sont des Arabes musulmans à majorité arabophones, et venus en « Palestine » dans le sillage des pionniers juifs, générateurs d’emplois, de travail et de revenus, pour des populations oisives et pauvres dans leur pays d’origine. Pour comprendre ce phénomène de migration dans l’ex-Palestine sous mandat britannique, il suffit de le comparer au même phénomène immigrationniste en France, et ses vagues de migrants qui traversent la mer pour trouver : travail, bien-être et liberté. Qui peut nous citer un roi ou un président palestinien à travers les siècles de l’histoire, en dehors d’Arafat et d’Abbas ? Même l’OLP, c’est inouï, ne se réclamait pas du peuple palestinien !
L’OLP de Yasser Arafat a été créée dès 1965 pour libérer la Palestine au moyen du terrorisme, afin que cette étendue de terre, (ressemblant un peu à la Corse), qui incluait légalement l’État d’Israël, devienne complètement arabe. Ce fut le but de la guerre des Six Jours, trois ans plus tard, en 1967.
Il fallait que la Palestine soit « judenrhein » : sans aucune présence des Juifs. Nous découvrirons plus loin comment, par la terreur, par des sources de financement énormes et occultes, évaluées en milliards de dollars et versées par vous, vos élus, vos États-nations occidentales, à l’insu de votre plein gré, durant des décennies, puis par l’éducation à la haine des jeunes générations depuis leur enfance, et vous apprendrez que tous les ingrédients sont prêts pour créer, à dessein, la poudrière palestinienne et le piège mortel pour Israël.
Une stratégie complotiste de niveau international va se mettre en place, lentement mais sûrement, parfois à bas bruit, mais toujours en collusion avec les médias français pro-palestiniens. Leur seule volonté masquée, leur inavouable finalité sera devenue obsessionnelle pour détruire l’État d’Israël. On expliquera, plus loin, comment cette imposture palestinienne s’est mise en place !…
Historiquement ce sont les services secrets égyptiens, en cordée ou collusion avec le KGB russe, qui ont inventé le mot « peuple palestinien ». Sans cette notion fondamentale, le concept de libération nationale d’un peuple décrit machiavéliquement comme spolié de sa terre et opprimé militairement par les Juifs n’aurait jamais pu se mettre en place durant ces décennies de propagande médiatique à marche forcée qu’on n’a pas oubliées. Pour la gauche et l’ultra- gauche française, qui avaient abandonné politiquement la lutte syndicale ouvrière et ses prolétaires, le changement de peuple, issu de l’immigration, inculte et dénué de biens, devenait une aubaine, une rente idéologique inespérée, et surtout une réserve inépuisable d’électeurs, qui allaient enfin amener la gauche au pouvoir en 1981…
Shoah et naqba en concurrence mémorielle dans une Palestine judenrhein
Avant 1967, il n’y a aucune trace de Palestine ni de peuple palestinien. Sous le mandat britannique, les anciens Palestiniens vivant en Palestine étaient essentiellement des Juifs ! Il faut y voir un vol ou une usurpation d’identité dans une machination, un complot généralisé.
Or, la création officielle et légale de l’État d’Israël en 1948 devenait une catastrophe (naqba) car elle contrariait l’idée d’une Palestine « judenrhein ». Pour la manipulation des esprits candides, la naqba a été inventée pour supplanter ou remplacer la Shoah dans la concurrence mémorielle. Il faut y voir une surenchère victimaire qui cristallise les identités et engendre des formes de radicalisation collectives sublimées par le terrorisme.
La naqba a été forgée afin que les Palestiniens puissent parler de génocide pour perfidement copier les Juifs avec la Shoah. En 1948 il y avait 500 000 réfugiés qui ont quitté le territoire d’Israël. Aujourd’hui ils sont plus de 5 millions répartis entre la bande de Gaza et la Cisjordanie. Avec une population qui a été multipliée par dix en 60 ans, prononcer le mot de génocide dans de telles conditions de croissance devient une infamie. Il existe un statut de réfugié qui se transmet de père en fils par l’UNWRA et qui détourne des sommes considérables. Vérifiez par vous-même !
Si la communauté internationale n’était pas devenue irresponsable, aveugle et sourde, à dessein, nous dit David Horowitz, elle dénoncerait, en toute rigueur, ce révisionnisme de l’histoire, même s’il bouleverse la géopolitique de cette région. Comment alors, en toute neutralité et objectivité, dénoncer la contrefaçon ?
Argumentaire incontestable
Le premier est que le peuple palestinien n’existant pas avant 1960, la notion de “Droit des peuples à disposer d’eux-mêmes”, régulièrement invoquée pour justifier la revendication d’un État palestinien sur la Palestine ancienne, ne s’applique pas.
Le deuxième est que ce peuple ne peut revendiquer aucun lien historique – après 1960 – avec Jérusalem. Ainsi, toutes les résolutions de l’UNESCO attribuant un patrimoine aux Palestiniens sont les travaux de faussaires, et leurs liens avec les lieux saints de Jérusalem ou de Bethléem : sont des mensonges éhontés, inacceptables.
Le troisième est que les quelques 5 millions de « réfugiés palestiniens » comptabilisés par l’UNRWA ne sont pas des réfugiés palestiniens. Ce ne sont même pas des réfugiés tout court. Au mieux, certains de leurs aïeuls étaient des travailleurs immigrés, venus habiter la région. On ne fait pas un peuple avec des travailleurs immigrés venus de Syrie, d’Égypte, de Jordanie ou de plus loin encore ! Combien d’entre eux sont venus des contrées voisines comme travailleurs immigrés, pour travailler dans les entreprises créées par les Juifs arrivés massivement d’Europe en Palestine ottomane au début de l’ère industrielle, dans la seconde moitié du XIXe siècle ? Combien vivaient déjà sur place ? Les chercheurs ne veulent pas le savoir, ni le dire, craignant de dévoiler au monde la vérité et ses contradictions idéologiques découvertes !
Le quatrième est intéressant car il jette de la lumière sur des questions restées sans réponses :
⦁ Q : Pourquoi, avant la déclaration l’État d’Israël de 1948, les Arabes qui vivaient sur place n’ont jamais senti le besoin de se constituer en État ?
⦁ R : Parce qu’ils ne voyaient pas, et n’étaient pas, un peuple.
⦁ Q : Pourquoi, lorsque la Jordanie a occupé la Judée Samarie pendant les 19 ans de 48 à 67, les Arabes de la région n’ont pas dénoncé l’occupation jordanienne de leurs terres ?
⦁ R : Parce qu’ils ne voyaient pas cela comme leurs terres.
⦁ Q : Pourquoi l’occupation jordanienne ne leur posait-elle pas problème, et pourquoi n’a-t-elle fait naître en eux aucune revendication ?
⦁ R : Parce que c’était pour eux l’occupation de la Terre des Juifs, pas la leur.
Les Arabes ne se voyaient pas comme un peuple, encore moins comme un « peuple palestinien ». Ils n’avaient aucune revendication territoriale. La preuve ultime est que la première convention de la création de l’OLP ne parle même pas d’un État ou d’un peuple palestinien.
Le cinquième point est que si le besoin d’être un peuple constitué au sens étymologique n’est pas attesté, alors il ne s’agit aucunement d’un peuple. Par définition un peuple est une entité, un « ensemble d’êtres humains formant une communauté structurée, d’origine commune ». Or, il faut y voir un peuple « politique », fabriqué de toutes pièces, instrumentalisé dans un complot en réactions hostiles à Israël, en vue de délégitimer, à termes, cet État de trop !…
Question : Peut-on légalement légitimer le mot peuple s’il n’a ni passé, ni histoire, ni terres ancestrales, ni archéologie, ni aucun droit sur ces terres ?… La réponse est NON !
Faut-il y voir un peuple imaginaire que des instances politiques perfides ont placé là, à dessein, afin de créer une guerre fratricide sans fin, comme la guerre de Cent Ans en France contre les Anglais ? Sauf qu’il n’y a pas de Jeanne d’Arc en Israël, juste une guerre sans fin, dont le motif a été implanté fallacieusement, sur des personnes incultes, dans le plus grand mensonge de l’histoire du Moyen-Orient, véhiculant l’idée fausse que les Juifs sont des imposteurs qui occupent « leur terre », et qu’elle « n’est pas à eux » !…
⦁ Il est impossible pour les Palestiniens de se constituer en peuple avant 1960, et de revendiquer une archéologie, une histoire, et des racines qui remontent 1000 ans plus tôt. Sauf à nier la réalité, et bénéficier de la complicité d’organismes internationaux comme l’ONU, l’UNESCO, l’UNWRA et l’UE.
⦁ Avant 1960, l’origine des Arabes de la région venait d’ailleurs. Arafat est un Égyptien né au Caire !…
⦁ Les « frontières de 67 » mises en avant ne peuvent pas exister puisqu’il n’y a pas d’État de l’autre côté de cette « frontière ». Pas d’État, pas de frontière, pas d’occupant israélien d’un autre État. Trouvez l’erreur !…
Comme toute la mécanique de cette machination a échoué, contrairement à ce que disait le nazi Goebbels sur le mensonge, il ne restait plus que le terrorisme et la guerre pour avoir raison par la force de détruire aveuglément l’autre. Israël et sa population, agressés sauvagement par le terrorisme, ont toujours été en position de défense, conformément au droit international des agressés lorsqu’il est reconnu.
La quasi-totalité des habitants de Judée-Samarie se considéraient comme des Jordaniens venant du pays d’origine. La confusion entre Jordanien et Palestinien vient du fait que la Jordanie venait d’être créée sur le sol de Palestine. Quant aux habitants de Gaza, eux, ils venaient d’Égypte, et par conséquent n’avaient aucun problème avec une Jordanie occupant Jérusalem et la Judée. Leur pays désignait l’endroit où ils habitaient, et cet endroit n’était pas jordanien mais palestinien. Étant donné que la Jordanie a été créée en/et dans la Palestine sous mandat britannique, certains esprits se plaisent à proposer de rassembler Gaza et la Cisjordanie à la Jordanie, qui devient de fait la Palestine. Pourquoi ne pas essayer cette proposition si elle conduit Allah paix !
Il n’y a aucune trace de peuple palestinien avant 1960 dit Google-Ngram et ChatGpt.
La Palestine actuelle est géographiquement fragmentée en deux parties distinctes. La Cisjordanie ou West Bank (5 800 km2) et la bande de Gaza (360 km2) au bord de la Méditerranée.
Il est fort dommageable qu’il n’existe presque pas de manuels, objectifs et neutres, sur l’histoire des origines du conflit arabo-israélien qui dissertent honnêtement sur les droits des uns et des autres.
Google a un outil de recherche peu connu mais bien utile (Ngram), qui fouille non pas les sites internet mais tous les livres, magazines, journaux, périodiques publiés depuis 1800 jusqu’à nos jours, et il vous dit combien de fois les mots clefs que vous recherchez ont été mentionnés – par année.
Si vous tapez “Palestinian people”, “Palestinian state” dans Google Ngram, vous obtenez le graphique ci-dessous, qui vous indique depuis quand le peuple palestinien est mentionné dans les livres. Il n’existe rien avant 1960 ! Pour être sûr, Jean-Patrick Grumberg a fait une comparaison : il a tapé “peuple français”, la différence saute aux yeux :
En français la recherche “peuple palestinien” faite sur les livres, magazines et journaux imprimés en langue française, renvoie exactement le même résultat : il n’existe aucune trace d’un “peuple palestinien” dans l’histoire – avant 1960.
Que dire de l’existence du peuple juif et de l’État d’Israël ?
Quant au peuple juif, il n’a nullement été inventé contrairement aux délires de Shlomo Sand, qui a des problèmes psy avec sa propre histoire. Ainsi, nous dit Guy Millière, que lorsqu’un Juif (tel Sand ou Norman Finkelstein) a la haine de soi, il devient alors un exemple providentiel pour tous les antisémites notoires ainsi que tous les autres destructeurs d’Israël.
Ce peuple juif existe parce qu’il a un passé multimillénaire, une archéologie, une histoire commune, une langue hébraïque, une culture judaïque, une religion originelle, et, depuis 48, un État retrouvé, des traditions ancestrales, une loi et attribué légalement après des siècles d’errance et de spoliation.
Parmi toutes les villes, villages, hameaux, un seul est une ville arabe : al Ramle. Tous les autres sont d’origine hébraïque – ils ont été créés par les Juifs, qui habitent la région sans discontinuité depuis environ 5 000 ans. Israël existe et résiste aujourd’hui. C’est un pays exemplaire en termes d’accomplissements scientifiques, économiques, médicaux, politiques, et humains.
Or, depuis trop longtemps, nous dit Guy Millière, les faits historiques les plus élémentaires concernant le Proche-Orient sont mis sous le boisseau et recouverts d’une chape de plomb. Il est temps de rappeler aux médias français et au monde que le sionisme est tout simplement un mouvement de libération nationale du peuple juif. Israël n’a jamais « volé » la terre d’un supposé « peuple palestinien, qui vivait sur son territoire depuis des siècles ». Il faut y voir une accusation inventée par des antisémites-antisionistes. Malgré toutes les tentatives de ces imposteurs antisionistes qui essayent de crédibiliser la Palestine, allant jusqu’à nier celle d’Israël, l’« État palestinien » n’existe toujours pas ! Rappelons que pour l’ONU, la Palestine n’est pas reconnue comme un pays mais comme un État observateur, non membre, depuis la fin de l’année 2012.
La création de l’État d’Israël par un vote majoritaire à l’ONU en mai 48 n’a été accepté par aucun pays arabe voisin. Chaque groupe ou peuple au sein d’une nation a le droit d’exister. Ce droit d’exister est aussi un droit de vivre, à la condition qu’il ne soit pas en guerre fratricide, avec un autre groupe ou peuple, dans une volonté génocidaire. Détruire l’autre, pour sa différence, pourquoi ?
Une brochure, écrite en 1924 par le Conseil suprême musulman, atteste de l’histoire du peuple juif
Une brochure (voir vidéo ci-dessous), publiée en 1924, par le Conseil suprême musulman, le WAQF en charge du Mont du Temple à Jérusalem, explique aux visiteurs que ce site est en lien avec le temple du roi Salomon et que l’identité de ce site et indiscutable. Il est écrit qu’en ce lieu le roi David avait érigé un autel dédié au dieu des Hébreux. Preuve indéniable que le peuple juif est sur sa terre avec son histoire. Cette brochure ne serait pas publiée ni distribuée de nos jours pour des raisons idéologiques et politiques évidentes qui nient la légitimité d’Israël sur sa terre ancestrale.
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Une telle brochure contredit la propagande politique de trois décennies de nombreux médias pro-palestiniens en France. Ce qu’il faut retenir ressemble à une théorie du complot incroyable mais vrai. Les faits parlent d’eux-mêmes. Un complot sans doute mondial, que peu de monde va vouloir comprendre, accepter et partager. Ce complot est indéniable. Il est inscrit dans la charte du Hamas. Il vise à plus ou moins long terme à détruire Israël. Comment affirmer qu’il existe bel et bien ? Essayons de l’expliquer simplement.
J’ACCUSE !
Certains responsables occidentaux, sans doute plus par souci électoraliste que par lâcheté politique, ignorance, bêtise, pacifisme, ou antisionisme d’avoir voulu empêcher les Israéliens de se défendre contre les ennemis de l’humanité. Contre ces prédateurs inhumains, ces sortes de monstres sanguinaires sortis de la préhistoire de notre civilisation que notre civilisation a sciemment, à dessein, laissés se développer, se nourrir et généreusement croître pour passer à l’action barbare. Vous avez refusé, pour mentir à l’Histoire, de les désigner comme des islamo-nazis du Hamas, des Daesh.
J’accuse l’Occident de leur avoir apporté un soutien cynique, financier chiffrés par milliards, années après années, au régime islamique totalitaire du Hamas régnant à l’image du IIIe Reich dans la bande de Gaza et ne masquant pas son antisémitisme, son antisionisme et leur haine viscérale d’Israël et des Juifs.
J’accuse l’absence de réaction qui corrobore un soutien cynique et perfide de ces pays occidentaux dits démocratiques qui affectionnent la dictature du Hamas, qu’ils ont financé avec l’argent de nos impôts, depuis trois décennies ! Ces sommes colossales n’ont jamais profité au soi-disant peuple palestinien pour cause de misère et de prison à ciel ouvert mais tout aux dirigeants du Hamas et de leur train de vie princier. Les mensonges et manipulations vont éclater, et éclatent, d’ores et déjà, au grand jour.
J’accuse cette volonté antisioniste inavouée de financer l’effacement d’Israël depuis 3 décennies à fonds perdus.
J’accuse la finance mondiale d’ignorer toutes ces années de savoir où et comment était utilisé cet argent. J’accuse qu’ils ont feint d’ignorer dans quelle poche il se déversait par millions et milliards de dollars. À la fin de cette guerre, il sera temps de demander des comptes à cet Occident devenu complice d’un complot en collusion avec cette dictature laquelle en lançant le slogan : « Libérez la Palestine de la rivière à la mer » masque le sens réel de ce slogan que je crie à l’infini : celui de détruire Israël, et de tuer les Juifs du Jourdain à la Mer.
J’accuse l’Occident d’avoir perdu de vue – quel que soit la couleur de ses élus politiques – que la guerre menée par Israël contre l’Iran, le Fatah, le Hamas et le Hezbollah est un test de survie pour Israël et notre civilisation. Or, les grandes figures de l’histoire qui ont vaincus les nazis : de Gaulle, Churchill et Staline sont devenus des modèles du genre pour les soldats d’Israël. Ces soldats mènent une guerre de rues extrêmement difficile, jamais menée par aucune armée au monde dans la bande de Gaza.
Au milieu de champs de ruines de Gaza Nord se trouvent 20 à 30 000 vipères venimeuses masquées se transformant en snipers, cachés dans les ruines des maisons ou dans d’interminables tunnels de plusieurs centaines de kilomètres. Ces valeureux soldats israéliens, pères de famille et d’enfants, font la guerre comme vous ne pouvez l’imaginer pour défendre leurs familles et leur pays. Ils vivent la bataille de Stalingrad des Russes sous Staline. Ils prennent quartier par quartier, maison par maison, pièce par pièce, tunnel par tunnel, au péril de leur vie, (déjà plus de 350 soldats sont morts) pour retrouver les caches d’armes, de roquettes et d’explosifs. Retrouver les 240 otages civils détenus dans des conditions inhumaines, et les délivrer tout en anéantissant les terroristes du Hamas, cette organisation terroriste qui n’a plus rien d’humain, après les massacres insoutenables commis, n’en déplaise aux révoltés pour la Palestine, des rues et universités américaines, anglaises et françaises.
La bataille de Stalingrad a été une victoire pour la Russie de Staline, elle le sera pour Tsahal, l’armée d’Israël.
J’accuse l’absence de réaction des lois de la guerre des accords de Genève qui interdisent la prise d’otages civils. Ces prises d’otages sont qualifiées de crimes de guerre et de crimes contre l’Humanité par les conventions de Genève. Ces accords ou conventions sont issus des lois de la guerre signés par tous les pays du monde. Qui a observé une réaction de contestation de l’ONU ou d’un État démocratique allant dans ce sens ?… Personne, aucune juridiction n’a osé faire, même un rappel à la loi ! Complicité, connivences, peur ?
J’accuse les pays occidentaux d’ignorer jusqu’à ce jour que transformer cette bande de Gaza de 40 km de long en camp retranché, et sur laquelle se sont développés plus de 2 millions de personnes, sans penser un seul instant que ce camp deviendrait un jour une poudrière et un piège mortel pour Israël !
J’accuse les politiques occidentales démocratiques qui rejoignent implicitement celle des islamo-gauchistes.
J’accuse les médias politiquement complices d’avoir patiemment élevé et nourri, des années durant, les enfants à la terreur pour en arriver là !
J’accuse votre absence d’aide dans les massacres de civils, à la barbarie, aux carnages, à la guerre par procuration faite par des idiots utiles, incultes et décervelés pour servir de chair à canon contre Israël.
J’accuse les décideurs et influenceurs américains de feindre d’ignorer que les Gazaouis : cette population civile protégée, intouchable, sont les géniteurs des enfants de salauds qui ont lancé des dizaines de milliers de missiles, qui ont violé des femmes, qui ont pris des centaines de civils en otages et massacré plus de 1200 autres. Comment voulez-vous, Monsieur Obama, qu’un pays se relève d’une telle tragédie mortelle ?…
J’accuse le système idéologique, prosélyte et conquérant, mis en place par le prophète chamelier, depuis son origine, d’être devenu un verrou anthropologique qui empêche l’investissement dans le travail, ruine tout espoir de construire une économie et de générer une sou- culture qui ne peut survivre que par la prédation et la haine meurtrière de l’autre. Quand seront-ils capables d’autocritique, ce qui leur permettrait de se sortir de leur condition de prédateurs et de pilleurs depuis 615 de notre ère ?…
L’histoire devra s’assurer que les Israéliens ne s’inspireront jamais du modèle suicidaire des Hébreux de Massada. Lesquels après 3 ans de siège, ont préféré brûler leurs bâtiments avant de tous se suicider en masse. C’est ainsi que les ont trouvés les Romains, nous raconte Flavius Josèphe.
Non, les Israéliens ne choisiront jamais, comme au temps de Pétain et de Chamberlain, leur destruction, leur extermination et leur déshonneur. Ils sont condamnés à vaincre !…
Il est révolu le temps où les Juifs se laissaient mourir en silence dans un camp infesté de nazis, derrière des barbelés en pyjamas rayés, ou encore le temps des dhimmis où le Juif devait baisser la tête lorsqu’il croisait un musulman, pour recevoir un coup de pied ou de bâton du persécuteur monté sur un bourricot.
Les Juifs ont un pays, une langue, une armée, un État bien défendus.
Le dernier rempart de la démocratie, de notre civilisation de notre avenir…
Patrick Granville