Le président américain Franklin Delano Roosevelt avait provoqué les Japonais, en leur lançant le 26 novembre 1941 un ultimatum les sommant de retirer leurs troupes d’Indochine et de Chine (Mandchourie). C’est une réalité historique, mais aussi un secret bien gardé ; cet ultimatum fut caché au Congrès américain et révélé après l’attaque de Pearl Harbor. Tout le monde s’accorde pour affirmer que les Japonais n’avaient pas d’autre choix que la guerre. Ils avaient tout fait pour éviter un conflit avec les Américains. Le prince Kenoye, ambassadeur du Japon aux Etats-Unis, avait à plusieurs reprises demandé à rencontrer Roosevelt à Honolulu ou Washington pour trouver un compromis. Il était même prêt à obéir aux exigences des Américains afin d’éviter la guerre. Mais Roosevelt avait refusé à plusieurs reprises de lui parler, car la guerre avec le Japon était planifiée depuis longtemps – comme auparavant celle avec l’Allemagne.
Simultanément, Roosevelt expliquait au peuple américain : « c’est aux mères et aux pères que je m’adresse, et à qui je fais la promesse suivante, comme je l’ai dit souvent, et je le répéterai encore et encore : je n’enverrai pas vos fils faire la guerre dans des pays étrangers ».
Les militaires américains savaient que les Japonais allaient commencer par attaquer Pearl Harbor, comme le confirment plusieurs sources antérieures :
l’ambassadeur américain à Tokyo, Joseph Grew, envoie une missive à Roosevelt le 27 Janvier 1941, dans laquelle il explique qu’en cas de guerre entre le Japon et les Etats-Unis, Pearl Harbor serait le premier objectif des Japonais.
le membre du Congrès américain Martin Dies (président de la Commission de la Chambre sur les activités antiaméricaines) remet à Roosevelt au mois d’Août 1941 un rapport confirmant que Pearl Harbor serait la cible d’une attaque, et qui détaille le plan de la stratégie d’attaque. On lui demande de se taire.
En 1941, les services secrets américains réussissent à déchiffrer le code militaire et diplomatique secret des Japonais. Roosevelt et ses conseillers connaissent la date exacte, l’heure et l’objectif de l’attaque.
Al Bielek, l’un des deux survivants du projet Philadelphie, me raconta en 1991 qu’il était en poste à Pearl Harbor en 1941 et avait été rapatrié une semaine avant l’attaque, car il devait faire partie du projet Philadelphie, en compagnie de Nikola Tesla. On lui aurait dit qu’il avait été éloigné en prévision de l’attaque, qu’il était trop précieux pour y laisser la vie.
On avertit la base militaire de Pearl Harbor deux heures avant l’attaque, personne n’était préparé, le désastre serait sans pitié. C’est ce que voulait Roosevelt, il pouvait maintenant présenter les Japonais comme des « porcs perfides », les Etats-Unis se devaient de réagir par des représailles.
Devinez maintenant ce que George W. Bush a déclaré à la nation américaine après l’attaque du 11 septembre 2001 : « Ceci est un deuxième Pearl Harbor ! ». Que voulait-il dire par là ? Nous le verrons plus tard.
Voilà donc deux exemples cités de la réalité politique. Pouvez-vous imaginer qu’il existe des secrets qui concernent la genèse de l’histoire des hommes ou des secrets sur des technologies existantes qu’on cache à l’opinion publique, comme le moteur magnétique ou le moteur à eau ?
Vous n’en avez jamais entendu parler ? Je vais vous aider…
En 1992, j’ai entrepris un voyage de six mois dans l’hémisphère Sud, en Australie, en Nouvelle-Zélande et en Asie. Je rencontrai dans une librairie du Sud de La nouvelle-Zélande un homme, M. Ross, qui me demanda si j’avais envie de lui raconter, de même qu’à quelques-uns de ses amis, mon expérience et mes recherches sur les armes secrètes (disques volants) des Allemands pendant la guerre. Il était à la tête d’un cercle d’amateurs d’Ovni à Dunedin et en contact avec d’autres groupes en Nouvelle-Zélande. Je donnai aussitôt mon accord. Il m’appela le lendemain et m’enjoignit de me rendre chez un de ses amis à Invercargill, à la pointe Sud de l’île, où se réunissait une fois par semaine ce petit cercle.
Après que j’eus exposé mes recherches ce soir-là, l’hôte me dit sur un ton moralisateur : « Vous les Allemands, on vous a bien lavé le cerveau. » Une phrase que je ne pouvais pas comprendre, car je pensais encore que l’Allemagne était un des pays les plus libres, après avoir survécu au national-socialisme. Ce soir-là, je devais comprendre que je me trompais : l’homme me conduisit dans une pièce remplie de livres et de cassettes vidéo, qui traitaient des sujets n’existant pas de manière officielle. Il m’expliqua que tous ces ouvrages étaient interdits dans mon pays. Il y avait des livres sur les recherches des Allemands sur l’antigravité, l’énergie libre, les expéditions lunaires, la face cachée du Troisième Reich, les francs-maçons, les poisons dans l’alimentation, des personnes ayant guéri de maladies incurables, la Terre creuse et les bases souterraines, les contacts des extraterrestres avec nos gouvernements.
Un homme de ce cercle m’appela le lendemain, car il voulait me montrer certaines choses. il vint me chercher et nous roulâmes pendant deux heures à travers une forêt primaire pour atteindre une petite maison. Il m’indiqua que personne ne la connaissait et que, si je devais me cacher un jour, je pourrais m’y réfugier. Il ajouta que si je voulais construire une soucoupe volante, l’endroit s’y prêtait parfaitement. La proposition me parut étrange. Je fus étonné aussi lorsqu’il alluma en pénétrant dans la maison, alors qu’il n’y avait pas de ligne électrique à l’extérieur. Je l’interrogeai et il me prit par la main en me montrant une petite machine dans la cave, qui ronronnait doucement. Il me dit : « Voici la raison principale de notre venue ici. » Je cherchais le fil d’alimentation et une prise dans le mur, mais en vain. L’homme m’expliqua qu’il s’agissait d’un convertisseur magnétique, un générateur de courant électrique, qui n’avait besoin d’une impulsion extérieure qu’au départ, à l’installation. Cette impulsion venait d’une petite roue, placée sur le côté de la machine, à faire tourner une fois. Ce générateur pouvait donner assez de courant pour une grande maison ou, dans un modèle plus grand, pour une voiture.
Cet homme était né britannique, il avait émigré en Nouvelle-Zélande après avoir essayé en vain de vendre son invention en Angleterre, où il avait même reçu des menaces de mort. Il n’avait pas trouvé d’autre issue que de quitter son pays et de se taire. Voilà pour le côté technique. Là, vous vous dites sans doute :
Fantastique, ce moteur magnétique. Si j’en installais un chez moi, je n’aurais plus à payer mon électricité. Le chauffage et l’eau chaude seraient gratuits. Je pourrais aussi mettre une serre dans le jardin, que je chaufferais gratuitement en hiver, et faire pousser ce que je mange. Je m’achèterais une voiture électrique, plus d’essence à payer, et je préserverais l’environnement. En faisant mes comptes, je m’apercevrais qu’en déduisant les coûts d’essence, d’électricité et d’alimentation, je pourrais travailler moins… Je pourrais aussi acheter un avion d’occasion avec mes amis, y installer un grand générateur, nous rendre sur la Lune pour vérifier par nous-mêmes ce qu’il en est réellement de son atmosphère.
Il n’y a pas de limites à l’imagination dans ce domaine. Tout devient possible. Dans votre euphorie, vous vous êtes dit que cela créerait également beaucoup de chômage dans l’industrie du pétrole et le secteur de l’automobile, chez les chauffagistes, etc.
Etes-vous conscient que vous servez là les forces qui veulent toujours le bien en détruisant ? Vous serez le déclencheur d’une misère infinie, des gens vous haïront, car vous aurez ruiné leur vie. Je sais, vous ne vouliez faire que du bien…
Je ne veux en aucun cas vous détourner de l’énergie libre – au contraire. Elle est notre avenir, et sera mise sur le marché un jour ou l’autre (le plus tôt sera le mieux), ce qui enrichira le monde et le bouleversera. Vous savez que chaque chose a son revers ici-bas. Parfois, il est important de prendre les décisions qui présentent un avantage pour la majorité des gens, mais peuvent détruire ceux qui sont attachés aux technologies conventionnelles, s’ils n’arrivent pas à penser et à agir différemment.
C’est ce qui s’est produit, quand on a commencé à introduire l’ordinateur. Il nous a simplifié la vie ; en même temps, il a fait disparaître beaucoup de métiers et continue de mettre des gens au chômage. Seriez-vous prêt à y renoncer aujourd’hui ?
C’est la loi de polarité.
Ces exemples vous permettent de prendre conscience que vous blesserez et attaquerez des gens, quel que soit le chemin que vous choisissez, même si vous êtes un idéaliste habité de motivations inoffensives.
Une invention – un petit moteur – que j’ai pu découvrir dans une jungle lointaine devient une « arme » qui changera le destin de millions de personnes.
Vous comprenez maintenant que la connaissance de certains secrets puisse se révéler dangereuse, qu’un esprit innocent, dans sa spontanéité, pourrait être à l’origine de destruction et faire beaucoup de mal s’il n’apprend pas à les manier.
Je prétends ici et maintenant que les trois cents familles dont je vous ai parlé sont si riches et puissantes car elles détiennent un savoir secret, sur quelque chose dans le monde extérieur et autre chose se trouvant en nous, qui fut consciemment caché au plus grand nombre.
Les gens naïfs nous expliquent qu’il n’y a plus de secrets aujourd’hui, que la planète a été explorée et l’histoire est connue de tous. Pourquoi y a-t-il des services secrets qui emploient des milliers de collaborateurs, si tout le monde sait tout et que tout est connu ?
Je me rappelle un entretien avec un intellectuel ne croyant ni en Dieu ni au Diable, sans parler de l’âme, de l’intuition et des lois cosmiques. Il n’y aurait aucune base scientifique pour tout cela, rien qu’un fatras d’élucubrations. Quand je lui demandai s’il aimait sa femme, il m’en assura d’un air convaincu.
Je lui répondis que c’était faux, qu’il mentait, et il commença à grimacer et à s’emporter. Je lui expliquai que l’amour n’existait pas et qu’il n’y en avait aucune preuve scientifique, et le priai de redescendre sur terre. Il n’y a pas d’amour, car ce que la science ne peut expliquer n’existe pas.
Evidemment, je lui expliquai que je l’avais provoqué volontairement, en lui retournant son argumentation bancale. Il me répondit que, de temps en temps, il avait eu des pressentiments que son côté cérébral ne pouvait expliquer…
Ce n’est pas nécessaire, mais refuser quelque chose qu’on ne comprend pas tout de suite n’est pas juste. Ainsi en est-il des secrets. Réfléchissez : il existe des centaines d’instituts de recherche, qui ne font qu’analyser les gens, leurs habitudes, leurs comportements et leurs besoins. Il y a en Europe beaucoup d’instituts qui s’intéressent à la guerre psychologique, comme le Tavistock Institute. Que pensez-vous qu’il advient des résultats de ces études et expériences ? Finissent-ils à la poubelle ou les remet-on à ceux qui ont fondé et financent ces instituts ? Et là, nous nous retrouvons dans les milieux des puissants et des riches…
Pensez-vous que les mécanismes de la pensée humaine et de la vie soient déchiffrés depuis longtemps ? Ils le sont, de façon définitive. Les puissants, les magnats, se servent de ces mécanismes à leur avantage et à votre désavantage. Je me demande seulement pourquoi vous ne le saviez pas, et ce que vous allez faire de ces connaissances. Nous revoilà donc au même chapitre : à quoi nous sert ce savoir si nous ne savons pas l’intégrer dans notre vie personnelle ?
C’est une bonne raison pour essayer d’en savoir plus sur les secrets de la vie.
Dans mes livres précédents, j’ai mis l’accent sur les secrets négatifs, menaçants et désagréables de la vie. Il y avait un besoin de rattrapage de l’autre côté – du côté agréable, qui nous libère et nous construit.
Car n’est-ce pas ce que nous cherchons tous – le bonheur, la santé, la prospérité, les voyages, la paix ? C’est possible, mais demande d’être prêt, motivé à accepter l’apparition de nouveaux éléments dans ma vision du monde, afin de mieux le regarder, de l’exploiter et de développer la confiance que la vie peut m’offrir encore plus que je ne l’avais imaginé, car c’est… un monde miraculeux.
D’APRÈS JAN VAN HELSING AUTEUR ALLEMAND
Jean Saunier