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La campagne de vaccination est terminée, les jeux sont faits, alors pourquoi encore ressasser sur ces vaccins ? Tout simplement parce que nous n’en avons, hélas, pas fini avec les conséquences sanitaires et sociétales. Pour les victimes, la vérité n’est pas un luxe mais une nécessité. Ceux qui souffrent ont besoin de savoir.
– Dès les débuts de la vaccination, le 28 juin 2021, une pré-étude très inquiétante était sortie. Le scientifique, Pablo Campra Madrid, diplômé en biologie de l’université de Grenade, docteur en sciences chimiques et professeur titulaire à l’Université d’Almería avait analysé un flacon de vaccin. Ce qu’il avait trouvé était très inquiétant : la présence plus que probable d’oxyde de graphène en quantité.
https://ripostelaique.com/oxyde-de-graphene-dans-le-vaccin-pfizer-intox-ou-info.html.
Le barrage médiatique se met immédiatement en place. Le chercheur est isolé, cible facile, son étude ne porte que sur un seul flacon, il a pris une initiative personnelle qu’on ne lui pardonnera pas. Son université ne le soutient pas et suspend illico presto ses recherches. Bien sûr pas un média pour poser quelques bonnes questions : « Y a t-il oui non du graphène dans les vaccins ? », « À quand une analyse des vaccins par des laboratoires indépendants ? »
– L’étude la plus impressionnante par les moyens mis en œuvre, est parue en juillet 2022, sous la responsabilité du physicien et astronome Dr Klaus Retzlaff, qui a accès à des laboratoires dotés d’équipements de pointe. Le Dr Retzlaff collabore avec les auteurs du rapport, groupe interdisciplinaire d’environ 60 spécialistes. Le groupe est composé de médecins, chimistes, microbiologistes, pharmacologistes, conseillés par des avocats et mathématiciens. Cependant, à l’exception du Dr Retzlaff et des responsables de ÄfA, les auteurs ont choisi l’anonymat pour se protéger contre les représailles. En effet, en 2021, le Dr Stefan Hockertz, l’un des vaccinologues les plus réputés d’Europe et l’un des premiers à alerter le public au sujet des effets secondaires de la vaccination, a été obligé de se réfugier en Suisse après des perquisitions de police chez lui, et le gel de tous ses avoirs en Allemagne.
Ils analysent le sang de 48 vaccinés et l’équivalent de non-vaccinés ainsi que le contenu des fioles de vaccin.
Différentes techniques en laboratoire ont été appliquées au contenu : la microscopie électronique à balayage, la spectroscopie de rayons X à dispersion d’énergie, la spectroscopie de masse, l’analyse de plasma à couplage inductif, la microscopie à fond lumineux et à fond noir, le diagnostic sur images d’une goutte de sang de personne vivante, ainsi que l’analyse des images par intelligence artificielle (IA).
L’étude révèle dans les doses de vaccin la présence d’ éléments métalliques hautement toxiques non déclarés par les fabricants, des objets de « dimensions inadmissibles selon les bonnes pratiques industrielles », c’est-à-dire au-delà de 0.22 μm. Ils ont observé des formations cristallines dans le sang de tous les vaccinés ; dans tous les cas examinés, les érythrocytes (globules rouges) présentaient la formation dite « en rouleaux ». Par ailleurs, la désintégration de différents types de cellules était plus rapide chez les vaccinés que dans le groupe de contrôle, soulevant l’hypothèse d’une éventuelle artériosclérose, de maladies auto-immunes et/ou inflammatoires.
https://www.profession-gendarme.com/wp-content/uploads/2022/08/Analyse.pdf
Là, pour le coup c’est silence radio, aucun média n’en parle. Les « vérificateurs », d’habitude si prompt à se jeter sur les « faïqueniouz », se taisent, la proie est trop grosse pour eux.
– Dans le cadre d’une procédure judiciaire fin 2021, un laboratoire anglais a analysé 4 vaccins, il rend son rapport de 48 pages, intitulé « Project CUNIT-2-112Y6580 Qualitative Evaluation of Inclusions In Moderna, AstraZeneca and Pfizer Covid-19 vaccines », suivi de documents annexes sur la toxicité du graphène. Il conclut très clairement à la présence de graphène et d’oxyde de graphène dans tous les vaccins étudiés ! C’est un document officiel et authentique.
Je cite : « In conclusion, it can be stated that the four samples of vaccines (Moderna 1, Modern 2, AstraZeneca, Pfizer) all contain significant amount of carbon composites, graphene compounds and iron oxide. These ingredients were undeclared by the manufacturers and are absent from the list of ingredients for the vaccines. »
Là encore, silence des médias, cette information est assez difficile à trouver. Dès qu’on tape graphène et vaccins on tombe systématiquement sur les fat-checkers qui (dé)mentent tout lien entre les deux. Ce mutisme/mensonge des médias est coupable, preuve d’une absence totale de professionnalisme et même criminel puisqu’il prive les citoyens d’une information capitale qui concerne leur santé !
– En décembre 2022, un médecin australien a rendu public des images microscopiques du vaccin Pfizer et observe des objets non identifiés qui semblent “s’auto-assembler”, ces objets de grandes dimensions étant extrêmement préoccupants pour la santé des vaccinés.
Le scandale est tel qu’il est à peine croyable… Dans un monde normal, ce serait un procès de Nuremberg qu’il faudrait tenir pour juger les responsables de cette «intoxication» de masse. Les questions qui se posent sont très simples : Qui ? Pourquoi ? Comment ? Pour que cela ait pu se produire il a nécessairement fallu qu’une planification ait été pensée, et mise en œuvre avec la complicité de pouvoirs politiques, médiatiques… prenez toutes les tiques que vous voudrez.
Les personnes, qui ont commis ou permis ces horreurs, devront, qu’elle le veuillent ou pas, rendre compte.
Pour terminer je citerai les mots de conclusion de l’équipe allemande :
« À tout le moins, chacune de nos découvertes devrait entraîner la suspension immédiate des programmes de vaccination contre le COVID-19 afin d’exclure les vaccins de tout soupçon raisonnable. En fait, compte tenu des risques que nous connaissons déjà, les programmes de vaccination contre le COVID-19 auraient dû être arrêtés depuis longtemps.
Si nous voulons encore atteindre cet objectif, nos conclusions devront bénéficier d’une large couverture médiatique. »
Christophe Sévérac
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Où en est la recherche sur les vaccins et leur impact sur le sang humain ?
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