ls sont pourris. Infects. Putrides. Sans honneur ni éthique. Se délectant à museler ceux que leurs bassesses révulsent. Capables de toutes les perfidies et de toutes les ignominies pour s’imposer auprès des gens crédules ou incultes. Afin de leur asséner leur idéologie islamo-gauchiste. Mais les Français ont trouvé plus forts qu’eux. Plus efficaces et plus motivés. Ne reculant devant rien.
Au delà de la guerre des mots et des images, il y a un autre « journalisme » que les islamistes pratiquent : l’observation participative
Être témoins ne leur suffit plus. Pour ne pas perdre une miette des événements, pour ne pas rater des images qu’ils se délecteront à commenter, ils se doivent d’être présents sur place. Puisqu’ils se sont autoproclamés experts. Mais aussi parce qu’ils sont les seuls à être acceptés par les terroristes sur leurs champs de bataille. En tant que coreligionnaires.
Et parce que les images les plus atroces, les plus sanglantes, les plus gore, sont celles qui se vendent le mieux aux USA. Car nos journaleux qui déshonorent la profession, encore plus que leurs confrères français, sont des quasi-étasuniens.
On peut s’appeler Hatem Ali, Hassan Eslaiah, Mohammed Fayq, Ali Mahmoud, Yousef Masoud, Abu Mostafa ou Yasser Qudih et être chez soi en Amérique. D’ailleurs les USA n’ont-ils pas eu un président qui se prénommait Barak Hussein ?
Ils travaillent pour American Press, CNN, le New York Times et Reuters. Des médias jusqu’alors respectables. Avant que leurs reporters accompagnent le 7 octobre les assassins du Hamas, qu’ils auraient plus ou moins aidés. Au moins au plan du renseignement et de la logistique avant les massacres. Et pour la désinformation après les tueries.
Le ministre israélien Benny Gantz, rattaché au cabinet de guerre, n’a pas hésité à dénoncer une collusion criminelle : « Les journalistes, dont il s’avère qu’ils avaient connaissance en amont des massacres, et ont pourtant choisi de rester des spectateurs passifs pendant que des enfants étaient sauvagement tués, ne sont pas différents des terroristes et devraient être traités comme tels », a-t-il déclaré.
Le négationnisme en marche, comme d’habitude
Bien évidemment, les pourris d’extrême gauche, amoureux des islamo-terroristes, affirment qu’aucune preuve n’est venue étayer ces accusations. Et les médias US coincés en fâcheuse posture ont tout démenti en bloc. Crainte des procès sans doute… Pourtant, sait-on jamais, histoire d’affirmer leur bonne foi dupée, ils ont démissionné les journalistes irréprochables mis en cause.
Tellement irréprochables que le site israélien Honest Reporting s’appuie sur des clichés des agences de presse Associated Press (AP) et Reuters, pour montrer de façon indiscutable, dans un article publié le 8 novembre, que six journalistes ayant couvert la journée du 7 octobre ont photographié le passage des tueurs du Hamas à travers les grillages sectionnés, ainsi que les premiers combats à la frontière.
« Qu’y faisaient-ils si tôt, un samedi matin qui aurait dû être ordinaire ? Était-ce coordonné avec le Hamas ? Les respectables agences de presse qui ont publié leurs photos ont-elles approuvé leur présence en territoire ennemi, aux côtés des terroristes infiltrés ? Les photojournalistes qui travaillent pour d’autres médias, comme CNN et le New York Times, ont-ils prévenu ces organes ? », s’interrogent des responsables du Shin Beth (renseignement militaire) qui les considèrent comme des agents ennemis infiltrés.
La rapidité avec laquelle ils ont pu se rendre à la frontière, arrivant parfois sur les lieux des massacres avant les équipes d’égorgeurs, font peser de très lourds soupçons sur ces prétendus correspondants de guerre. À moins d’être de leur côté, il faut étaler une bêtise incommensurable pour douter qu’ils n’étaient pas informés des projets des terroristes. Lesquels, pour être aussi diserts, les considéraient forcément comme étant des leurs. À méditer par les bonnes âmes qui rejettent l’idée de toute complicité.
Même si, après coup, pour se dégager d’accusations qui pourraient leur valoir quelques désagréments de la part du Mossad, ils ont trafiqué les horaires. Mettant en avant le moment de l’envoi ou de la publication des clichés de l’horreur. Et non l’heure à laquelle ils ont été pris. Enregistrée en principe parmi le flux de données numériques. Mais ils sont incapables de présenter les cartes-mémoire, malencontreusement égarées, volées ou formatées depuis. Quant à demander qu’un expert les examine, on peut toujours rêver…
Pas de preuves disent les salauds qui commencent à nier les crimes perpétrés par leurs protégés du Hamas. Mais pourquoi ne commentent-ils pas un cliché de Hassan Eslaiah, l’un des journaleux incriminés, en train d’embrasser filialement en 2018 le chef du Hamas, Yahya Sinouar, ciblé comme ennemi public N°1 en Israël ?
Cette photo n’est pas contestée par l’intéressé. Au contraire, il en est très fier, et l’utilise comme lettre de créance pour son autopromotion chez les fedayins. C’est mieux qu’un passeport diplomatique pour aller quérir du pognon chez les émirs. En plus des milliards des kouffars. Il n’y a pas de petits profits.
Pas de preuves, mais que pensent les pourris d’une vidéo où Hassan Eslaiah est filmé sur un tank israélien en flammes, sans brassard de presse, fêtant cette petite victoire ? Et cette autre vidéo où il remonte une route à moto, tenant en main une grenade, elle signifie quoi ?
Dénoncés par Honest Reporting
Reportage honnête en français est une ONG qui s’est donné pour mission de lutter contre les biais anti-Israël sournois dans les médias occidentaux. Français en particulier. Qui relaient des images et montages du Hamas, sans vérification aucune, montrant des Palestiniens victimes. Toujours victimes. Sans raison. Pour apitoyer l’opinion internationale.
Dans le passé, Honest Reporting a dénoncé plusieurs journalistes qui ont partagé des messages antisémites sur les réseaux sociaux, ou fait l’apologie de mouvements tels que le Hezbollah ou le Hamas. Si les médias et la justice française n’ont pas réagi, ces articles ont conduit CNN à virer Idris Muktar Ibrahim, un islamiste qui avait tweeté qu’il était « du côté d’Hitler ».
La droite nationaliste israélienne accuse les médias occidentaux, et tout particulièrement français, de prendre systématiquement le parti des terroristes. Pour Jonathan Conricus, porte-parole de l’armée israélienne, « les free-lances gazaouis travaillant pour les médias occidentaux sont des charlatans, au minimum contrôlés par le Hamas, et plus probablement ils font totalement partie de la propagande des terroristes ».
On savait la plupart des journalistes télé français pourris jusqu’au trognon. Ils déforment au lieu d’informer. Experts en images truquées et en petites phrases sorties de leur contexte, ils interprètent au lieu de présenter et escamotent les faits qui contredisent leur propagande. Honest Reporting les horrifie. Ils n’ont pas l’habitude en France qu’on leur mette le nez dans leur merde.
Malgré les conseils, les objurgations et les menaces, Israël n’est pas prêt à pardonner le pogrom du 7 octobre
Et c’est ce qui dérange le plus les dirigeants corrompus de l’Occident, gorgés de pétrodollars, qui ont promis à leurs corrupteurs de faire cesser « l’agression des méchants Juifs contre les gentils Arabes ». Mais ils ont beau tempêter, tonitruer et ordonner à leurs médias serviles de se mettre au service des djihadistes, rien n’y fait. Netanyahou a promis d’éradiquer le Hamas et il semble bien décidé à tenir parole.
Israël est une nation en guerre avec une télévision guerrière pour soutenir une armée sur le pied de guerre. Le ton est au patriotisme, mais aussi à la vengeance. Ce qui choque terriblement nombre de nos chers compatriotes émasculés par des décennies de mensonges sur le « vivre-ensemble » et l’atténuation systématique par les politiques, les médias et la justice, des méfaits commis par les islamistes.
Si la France est un pays majoritairement peuplé d’eunuques et de folles qui se battent avec des peluches et des bouquets de fleurs, heureusement que le monde entier n’est pas comme ça. Sinon, la planète terre serait déjà sous le joug des islamistes.
Un ancien diplomate, proche de Netanyahou, qui ne craint pas de se faire traiter d’extrême droite par des journaleux putrides a précisé : «L’agence de sécurité intérieure d’Israël a annoncé qu’elle allait éliminer tous les participants aux massacres du 7 octobre. Les journalistes qui ont participé à la couverture de l’attaque seront ajoutés à cette liste». Dis Bibi, tu nous le prêtes ?
Christian Navis
Des journalistes complices du Hamas, protégés par la solidarité médiatique
Ils sont pourris. Infects. Putrides. Sans honneur ni éthique. Se délectant à museler ceux que leurs bassesses révulsent. Capables de toutes les perfidies et de toutes les ignominies pour s'impo...