Une députée roumaine, sans doute plus lucide et courageuse que d’autres, vient enfin de dénoncer la source du terrible tremblement de terre qui a causé des dizaines de milliers de morts en Turquie et en Syrie, cette dernière étant sans doute dûment choisie et l’aide à laquelle elle aurait droit sabotée par les Etats–Unis parce qu’elle résiste à leurs diktats et que leur tentative d’y changer le régime a échoué. Cette source, ceux qui ont une idée précise du contexte géopolitique international la connaissent depuis longtemps : l’Etat voyou américain, le gouvernement washingtonien, les déments qui dirigent le sénile Biden.
Qu’a dit cette députée intègre ? Que :
– une minute avant que les sismographes détectent le tremblement de terre, les gazoducs et pipe–lines turcs ont interrompu leur trafic
– vingt–quatre heures avant le tremblement de terre, 10 pays occidentaux ont retiré leurs
ambassadeurs stationnés à Ankara
– cinq jours avant la catastrophe, plusieurs pays occidentaux, dont la Roumanie, ont émis une contre–indication de voyage en Turquie sans la motiver.
« Fadaises ! » s’écrieront les éternelles dupes de la propagande de l’OTAN. « Fake news »,
affirmeront les niais hypnotisés par les perroquets médiatiques suspendus aux évangiles des
officines américaines. Et enfin, missile analytique suprême, serti entre les neurones des ignares par ceux qui tirent les ficelles géopolitiques : « complotisme ! ». Ainsi, se réjouissent ces derniers, tout est dit et les fouilleurs de réalité, les empêcheurs de mentir en rond, sont ridiculisés, bâillonnés, réduits au silence.
Les « complotistes », l’expérience l’a maintes fois démontré, finissant toujours par avoir raison, examinons posément la situation.
L’invitation faite aux diplomates et aux touristes occidentaux de fuir le lieu du futur tremblement de terre rappelle furieusement la surprenante vacuité, le jour même du 11 septembre 2001, de certains bureaux du World Trade Center à New York qui, d’habitude, bruissaient de l’activité de centaines d’employés. Ce matin–là, comme par hasard, ils étaient, sans préavis, aussi vides qu’une coque de noix dont le fruit a été gobé. En dépit des conclusions étayées d’enquêteurs sérieux ayant établi que l’attentat impliqua l’Etat profond et probablement le Mossad, des millions de personnes à travers le monde continuent de croire à l’œuvre de méchants Arabes, ce qui permet depuis lors aux Etats–Unis de justifier des guerres d’agression partout où leur intérêt le commande.
D’autre part, il est peut–être temps de rappeler l’existence, depuis des décennies, d’un centre de recherche militaire sur le climat, situé près de Gakona en Alaska, dont on n’approche pas les barbelés qui en défendent l’entrée à moins de plusieurs kilomètres. Le programme HAARP (High frequency active auroral research program) est un fait, que les autorités américaines ont tenté de faire passer pour purement scientifique, agissant en sous–main de manière à détourner l’attention.
Même l’Union dite européenne, autrefois, quand elle n’était pas encore entre les mains de la corrompue von der Leyen, interrogea le gouvernement américain à propos de HAARP et n’en eut jamais aucune réponse. Le courageux lanceur d’alerte Edward Snowden, dont les révélations solidement documentées lui ont valu la haine tenace des instances supérieures américaines, au point qu’il a fini par devoir se réfugier en Russie et prendre la nationalité russe pour être à l’abri, a clairement averti que « la station de recherche HAARP est en fait utilisée pour éliminer ou manipuler les dissidents potentiels du capitalisme mondial à l’échelle de millions de personnes. »
Des membres importants de l’USAF, d’autre part, n’ont pas caché que les Etats–Unis peuvent désormais « contrôler le temps ». Coïncidence, alors, si les autorités de Washington, ainsi que les propagandistes des médias européens, se sont immédiatement sentis obligés de démentir cette information essentielle ?
Ils s’y sont pris en submergeant le public d’un déferlement d’articles assurant que HAARP n’avait rien à voir avec le séisme qui, de manière néanmoins plus que plausible, peut manifestement fort bien servir, d’une part, à mettre en garde la Turquie contre sa trop grande indulgence envers les intérêts russes et, d’autre part, à infliger à la Syrie, rebelle aux influencesmondialistes, des blessures qui s’ajoutent aux attaques et sanctions, depuis des années soutenues par le pouvoir américain, lequel n’hésite pas à condamner à mort des milliers d’enfants, faute de médicaments et de produits de première nécessité, rappelant ainsi de sinistre manière ce qu’il fit, et que j’ai pu moi–même constater, en Iraq. Ne pardonnons jamais cette réalité, à savoir que 500 000 enfants iraquiens en furent les innocentes victimes. Mais la sinistre Madeleine Albright n’a–t–elle pas affirmé d’un ton satisfait que le résultat « en valait la peine » ?
Il est temps que le monde réalise pleinement que le plus néfaste de tous les Etats de la planète, ce monstre de cruauté, de perfidie et de sadisme, responsable depuis près de 200 ans des malheurs de millions d’hommes, de femmes, d’enfants, est l’Etat profond américain. Les citoyens américains eux–mêmes, à l’exception d’une élite qui se perpétue, sont victimes d’un pouvoir ploutocratique de l’ombre qui les écrase, leur ment, les infantilise, leur offre une éducation tronquée qui en fait des ignorants et des incultes. S’inspirant des Hébreux de l’Ancien Testament, le pouvoir américain, soi–disant soutenu par Dieu, s’arroge la mission de dominer la terre. Les milliers de sanctions qui oppriment les pays refusant d’obéir à ses injonctions, sanctions qui ne devraient être prononcées que par une autorité juridique reconnue, le sont par l’Etat américain en toute illégalité et à son bon vouloir. Le droit américain est aujourd’hui décrété de portée universelle et nos gouvernants, en Europe, y cèdent sans hésiter. Les priorités de Washington sont devenues les priorités de l’ensemble des gouvernements européens, y compris du gouvernement suisse, prêt à abandonner définitivement la neutralité inscrite dans la Constitution pour complaire à son maître d’outre–océan.
Oui, les Etats–Unis sont la malédiction infligée à nos nations, à nos peuples. Il est enfin temps que l’on en soit conscient. De l’Ukraine à l’Amérique latine, du Vietnam à l’Europe en train de sombrer – avec la complicité des félons et des traîtres qui nous dirigent, – les actes de l’Etat voyou américain sont éminemment criminels. N’oublions pas que le capitalisme et les Etats–Unis qui en sont le porte– drapeau ont causé en deux siècles par leurs agressions, leur modèle industriel et leurs manœuvres perfides (le Covid manipulé et le pseudo vaccin en sont le dernier avatar), plus de morts, de destructions et de misère que Staline, Pol Pot et Hitler réunis.
Réagissons, avant qu’il ne soit vraiment trop tard.
Michel Bugnon–Mordant
L'Etat-voyou américain derrière le séisme en Turquie et en Syrie ?
En admettant que ce soit possible, ce qui est beaucoup admettre, pourquoi les USA auraient ils visé la Turquie ? D'accord c'est une alliée peu sûre qui joue double jeu. Mais si c'était possible...
https://ripostelaique.com/letat-voyou-americain-derriere-le-seisme-en-turquie-et-en-syrie.html