Le Blog de Lazare

On n’apprend pas à piloter en six mois des avions de chasse aussi sophistiqués que les F 16. Une sophistication relative en matière d’avionique et d’armement car la machine date des années 1970 et n’est pas le nec plus ultra de la modernité. Mais quand on arrive du niveau quasiment zéro, ou qu’on n’a piloté que des trapanelles, c’est mission impossible.

Obstiné, obtus, ignare et frimeur, le nain teigneux (qui partage ces tares avec Macronescu) n’a rien voulu entendre. Il a quasiment mis sur la paille ses généreux donateurs, car après les avions, il faut construire des pistes adaptées, payer le carburant et les munitions, et assurer la formation et la maintenance. Et cette petite tête réalise à présent que ce n’est pas aussi simple.

L’avion « miracle » ne fera pas gagner les Ukronazis

Les incidents de vol, la casse et les accidents se multiplient. Déjà à l’entraînement. Mais le petit clown ne peut pas accuser les aéronefs, ce serait se renier. Il a fait tant de chahut pour les avoir. Alors comme il lui fallait un bouc émissaire pour endosser ses erreurs de jugement (comme Macronescu) il a viré le commandant en chef de l’armée de l’air.

Et comme les emmerdes volent en escadrille, l’Eurocrature a décidé de ne pas envoyer d’instructeurs militaires en Ukraine. Ce serait prendre le risque d’une confrontation directe avec la Russie. Et qui sait où ça pourrait mener ? Alors, on va continuer les formations accélérées des pilotes du Zygomyr dans les pays de l’OTAN. Avec les résultats médiocres que l’on sait.

À la barrière de la langue et au niveau technologique très bas des élèves, s’ajoutent l’impossibilité de les entraîner dans les contextes où ils affronteront leurs ennemis. Or, comme dans toute action militaire, la connaissance préalable du terrain est un avantage qui fait gagner du temps au moment de l’engagement quand les réflexes sont acquis.

Du coup, Zelensky exige qu’on lui livre des avions russes obsolètes

La haine des Russes qui les aveugle n’empêche pas les Ukronazis d’apprécier leurs Mig 29. Certes, sur le papier, leurs performances équivalent plus ou moins à celles des F16, mais si la « carrosserie » les rapproche, ils sont nettement moins maniables à basse vitesse (décrochage à 215 Kts = 400 km/h), sans commandes électriques pour rattraper une vrille, et parfois une réactivité faible lors des ressources (mauvaise combustion, beaucoup de fumée).

Pas très brillant, avec une autonomie limitée et une avionique dépassée. En particulier leur brouilleur radar qui inovait à l’origine, mais dont les secrets ont été éventés quand les USA ont racheté à la Moldavie des Mig-29 qui devaient être vendus à l’Iran.

Ainsi l’OTAN a pu entraîner ses pilotes à affronter le jet russe qui s’est montré moins redoutable qu’on le craignait. Engagés dans la guerre du Golfe en 1991, l’agression de la Serbie en 1999 et dans le conflit Érythrée-Éthiopie à la même époque, une vingtaine de Mig-29 furent abattus (16 victoires confirmées) sans aucune contrepartie.

L’Ukraine disposait en 2022 d’une flotte d’une cinquantaine d’appareils, généreusement offerts naguère par l’URSS. La Russie ne les a pas réclamés en 1990, tant on se faisait peu d’illusions à Moscou sur les qualités réelles de ces avions sans interface homme/machine, dont les pilotes doivent suivre les instructions d’un contrôleur au sol, quand le «guideur» ne prend pas directement le contrôle du jet, comme un vulgaire drone.

La moitié de ces avions ont été abattus en l’air sans combat au début de « l’opération spéciale » et ensuite au sol dans leurs hangars. Mais cela ne dissuade pas le Zygomyr d’en réclamer d’autres à la Pologne. Ceux-là au moins ses pilotes les connaissent et les manuels de vol comme les tableaux de bord sont rédigés en russe, une langue qu’ils comprennent.

Sur le principe, les Polacks sont d’accord. Mais à la différence de la France insouciante et stupide qui offre ses Mirage, ils ne veulent pas dégarnir leurs propres forces au profit de leur allié, cher ami et grand profiteur. Dès lors, les Polacks, aussi doués pour le chantage que les Ukronazis, ont fait savoir qu’ils ne donneraient d’autres Mig-29 qu’après avoir reçu un nombre équivalent de F-35. L’histrion agité de Kiev s’en mord la barbichette.

Les « Mirage 2000 » promis à l’Ukraine, encore une connerie de Macronescu

En prenant cette décision seul, sans consulter d’autres experts que des hauts gradés flagorneurs qui pensent plus à leur carrière qu’à leur pays, Macron a prouvé une fois de plus qu’il est aussi inapte à gérer les arsenaux et les relations internationales que les contentieux franco-français.

En clamant urbi et orbi, sans demander l’aval du Parlement, que la France était prête à intervenir militairement en Ukraine et pourquoi pas pousser jusqu’à Moscou, le Mongolito voulait faire peur aux Russes, impressionner les Ricains et séduire le Zygomyr dont il est épris.

Une fois de plus, c’est raté. On savait déjà à Washington comme à Moscou qu’on avait affaire à un velléitaire déjanté. Ses moulinets et ses ronds de jambe ont renforcé leur opinion. Les Russes et les Étasuniens sont au moins d’accord sur un point : « Ce type n’est pas fiable. » En langage diplomatique, cela signifie : « C’est un bouffon ! »

Le 27 février dernier, Macronescu à grand renfort de publicité médiatique avait annoncé sur un ton martial que rien ne devait être exclu. Envoyer des soldats français se faire tuer en Ukraine, il en rêve. Dans son esprit malade, ce serait le moyen de prouver qu’il est un homme. Quand le dossier Brichelle circule dans toutes les chancelleries. Et un subterfuge pour reconstituer, face à la menace, une solidarité nationale qu’il s’est acharné à détruire depuis 2017. Oui mais ça, c’était avant les raclées électorales subies aux Européennes et aux législatives.

Personne ne prend plus Macronescu au sérieux, pas même son ami Zygomyr qui le snobe.

Le nabot hargneux est très déçu. La centaine de mercenaires français envoyés en douce se sont fait étriller à Marioupol en 2022. Le contingent suivant a été éliminé dans le Donbass et à Odessa en 2023-2024. Il ne croit plus que les milliers de soudards promis par Macronescu seraient en mesure de compenser le désengagement des USA après la victoire plausible de Trump.

Le plan de Donald serait de calmer les bellicistes de l’OTAN en leur coupant les vivres, et de tordre le bras du Zygomyr pour qu’il rende le Donbass et la Novorossia à la Russie, et abandonne toute prétention sur la Crimée.

La plupart des chefs d’État étrangers et leurs stratèges tiennent pour un coup de bluff puéril de Fripounette sa menace de téléporter un corps d’armée en Ukraine. Cela n’arrange pas sa crédibilité de l’autre côté de l’Atlantique, où l’excellente Candace Owens a publiquement démasqué les manigances de l’imposteur et de son prof de théâtre.

Depuis, tout aussi brusquement qu’il menaçait de faire la guerre à la Russie, Fripounette a disparu des radars. Incapable de fournir au Zygomyr le soutien militaire et financier supplémentaire promis, il rase les murs et le menton de mamy Brichelle. Tandis qu’il fait semblant de chercher un improbable gouvernement de coalition.

Poutine n’est plus le seul à afficher le mépris que lui inspire le paltoquet. Depuis le coup de la grande table, tous les leaders, même les plus magnanimes, ont compris que cet homuncule avait tenté de se hisser au niveau d’un chef de guerre en poursuivant trois objectifs inatteignables.

D’abord faire peur à Poutine (!), une preuve supplémentaire de son instabilité mentale. Alors que des officiers français l’ont averti que leurs forces n’étaient pas en mesure d’affronter l’armée russe, plus nombreuse et aguerrie. Tandis qu’un nouveau contingent expéditionnaire, officiel cette fois, serait éliminé comme les précédents, sans faire bouger les lignes.

Ensuite se présenter comme le sauveur de l’Europe en se ralliant au réarmement accéléré des Boches. Et en se plaçant de fait sous leur commandement. Une trahison de plus chez ce grand admirateur du maréchal.

Enfin, la prétention de ce psychopathe mégalomane qui court à côté de ses pompes, remplacer les USA dans le concert des Nations, partout où ils se désengagent, en commençant par l’Ukraine.

Christian Navis

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