Le Blog de Lazare

Toute information qui gêne l’Occident est aussitôt cataloguée comme étant une « fake news russe ». Il faut dire aussi que ceux qui dévoilent un peu trop complaisamment les magouilles kiéviennes ont parfois de sévères soucis de santé… Les démentis de cette transaction qui enflamme le net sont donc légion. À chacun de se faire son opinion.

Mais rappelez-vous que l’Ukraine était en bonne place dans les Panama Papers, qui dénonçaient le scandale des sociétés off-shore, spécialisées dans le blanchiment de l’argent sale et l’évasion fiscale. Le pouvoir, où que ce soit, ne traque jamais vraiment les grosses fortunes, quelle que soit leur origine.

https://histoireetsociete.com/2024/06/05/zero-messieurs-avec-largent-des-etats-unis-zelensky-a-achete-un-hotel-casino-a-chypre-complement-denquete/

Cette guerre contre la Russie, voulue par les Anglo-Saxons pour conserver leur hégémonie planétaire, est la plus grande manipulation des peuples occidentaux qu’on ait jamais vue.

Tout n’est que mensonge, tromperie, hypocrisie et cynisme sans limite, pour défendre les seuls intérêts américains en sacrifiant le peuple ukrainien. Les seuls qui se partagent le gâteau sont Washington et le régime kiévien, lequel détourne allègrement des centaines de millions d’aide occidentale. Le deal entre Américains et Zelensky est très clair : « On ferme les yeux sur tes turpitudes, mais tu continues la guerre jusqu’aux élections américaines ».

Quand je dis « notre argent », je parle de l’argent des Occidentaux mais surtout de celui du contribuable français, auquel Bruno Le Maire demande de se serrer la ceinture, depuis que Standard & Poor’s a dégradé la note souveraine de la France pour sa gestion digne des Pieds Nickelés.

Pour Zelensky, les milliards de Bercy coulent à flots, alors que la promesse de baisser les impôts des Français de 2 petits milliards se fait toujours attendre. En clair les économies espérées par la réforme des retraites et celle du chômage, iront en partie dans la poche des oligarques ukrainiens.

Il y a plusieurs mois que la CIA a reconnu qu’une partie des fonds alloués à Kiev étaient détournés par Zelensky et son entourage. On nous parlait de 400 millions de dollars, mais on est sans doute bien au- dessus du milliard depuis deux ans. Selon certains articles, seulement 30 % du matériel et des fonds alloués arrivent à destination, l’évaporation en chemin étant démentielle. Sur le darknet, tout le matériel occidental peut se trouver à bon prix.

On ne compte plus le nombre de villas somptueuses achetées par des Ukrainiens dans tous les lieux à la mode en Occident, stations balnéaires ou stations de ski.

On ne compte plus les bolides à 200 000 euros qui sillonnent les rues de Kiev depuis le 24 février 2022. Il y a davantage de voitures de luxe à Kiev qu’en Suisse. Il n’existe aucun pays au monde où l’on peut faire fortune aussi vite que dans l’Ukraine en guerre, du moins pour l’élite.

La guerre n’est pas l’enfer pour tout le monde. Il y a les pauvres qui crèvent dans les tranchées, manquant de tout, et il y a les fils à papa qui font la fête dans les boîtes de nuit branchées d’Europe, accompagnés de pulpeuses poupées siliconées peu farouches, qui pullulent partout où le champagne coule à flots pour désaltérer les fêtards fortunés.

Pour Zelensky, la guerre peut durer des années. On ne compte plus les fortunes aussi colossales que fulgurantes, qui se sont amassées depuis le 24 février 2022. Pourquoi donc négocier quand l’Occident déverse sur l’Ukraine bien davantage que son PIB annuel ?

Les pertes ? Qui s’en soucie ? Kiev fait croire à son peuple que les Russes perdent 2 000 tués par jour et les médias occidentaux, fort zélés et peu soucieux de vérité, prennent le relais.

Mais les véritables estimations, beaucoup plus crédibles car sourcées et recoupées, sont tout autres. Selon l’historien Marc Legrand, nous approchons des 500 000 tués ukrainiens.

Estimations des pertes militaires (24/05) – RUSSIE : 38 400 tués, 99 700 blessés (dont graves : 15 %) ; UKRAINE : 480 000 tués, 495 000 blessés (dont graves : 67 %) + 6 100 mercenaires OTAN tués. SOURCES croisées confidentielles : FR/OTAN/RUS/UKR/US.

Ce qui n’empêche pas les crétins qui se relaient sur les plateaux TV de nous affirmer qu’il ne faut surtout pas que la Russie gagne cette guerre.

Depuis 26 mois, l’Occident se saigne pour le pays le plus mafieux et corrompu d’Europe.

Il fête le 80e anniversaire du Débarquement allié, en invitant le chef d’un régime néo-nazi qui vénère Stepan Bandera, un des pires criminels de l’histoire, qui a les mains rouges du sang de milliers de Juifs ukrainiens. La morale occidentale à la sauce américaine.

Macron copine avec Zelensky, l’idole d’un Occident décadent et sans valeurs, mais évince la Russie, le grand vainqueur du nazisme, sans le sacrifice duquel aucun soldat allié n’aurait pu débarquer. C’est une honte absolue.

Comme le dit si justement Marc Legrand :

« Le 6 juin 1944, des milliers de soldats, américains, français et alliés, versèrent leur sang pour libérer le sol national de l’occupant allemand… Le 6 juin 2024, Washington, ses alliés et Paris, arment le régime de Zelensky et ses néonazis. »

Mais revenons à ce fameux casino que Zelensky aurait acquis dans la partie Nord de Chypre, illégalement occupée par les Turcs depuis 1974.

Que cette information soit avérée ou pas, cela n’affectera aucunement l’image de saint Zelensky, vu que Washington semble bien décidé à poursuivre sa guerre contre Poutine, fût-ce par Européens interposés.

Les Occidentaux sont les derniers à vouloir la paix, puisque la Russie est traitée en paria, aussi bien sur les plages de Normandie qu’en Suisse, où la conférence sur la paix en Ukraine se déroulera en excluant la Russie. Un non-sens, a déclaré Sergueï Lavrov, le ministre russe des Affaires étrangères.

« Je pense que cette conférence en Suisse n’a aucun sens. Le seul but recherché qu’il puisse y avoir, c’est qu’ils essayaient de conserver ce bloc anti-Russe qui est en train de se dégrader »

Visiblement, Biden ne comprend que les rapports de force. S’il tente le diable, il ne sera pas déçu… et nous non plus.

Jacques Guillemain