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18 avril 2025 5 18 /04 /avril /2025 04:30
N’en déplaise à NewsGuard, l’hydroxychloroquine et l’ivermectine sont efficaces contre le C-19

Le média NewsGuard évalue la fiabilité et la transparence des sites d’information sur la base de neuf critères journalistiques. Natalie Huet prétend que Riposte Laïque publie « régulièrement des informations fausses ». Ainsi, dans l’article d’Avril 2024 « Vers une santé mondiale totalitaire ».

NewsGuard_Riposte Laïque 2024

Cet article affirme que « l’hydroxychloroquine et l’ivermectine se sont révélées efficaces contre le COVID-19. Plusieurs études cliniques ont démontré l’inefficacité de l’hydroxycloroquine et de l’ivermectine dans le traitement du COVID-19.
En Juin 2020, des chercheurs britanniques ont arrêté d’utiliser l’hydroxychloroquine dans un vaste essai dit RECOVERY, portant sur 4 600 patients, concluant que ce médicament n’avait pas d’effet bénéfique pour les malades du COVID-19. Citant ces résultats, la FDA a révoqué l’autorisation d’urgence de Mars 2020 qui permettait au médicament d’être utilisé comme traitement contre le COVID-19.
Concernant l’ivermectine, une étude publiée en Mars 2022 dans le New England Journal of Medicine a ainsi comparé 1 300 patients ayant reçu soit de l’ivermectine, soit un placebo dans les sept jours suivant l’apparition des symptômes du COVID-19 et a constaté que l’ivermectine ne réduisait pas le risque d’hospitalisation des patients. Un autre essai, publié par le journal of the Médical Association en Mars 2023, a révélé que l’ivermectine n’a pas amélioré le délai de rétablissement durable pour 1 200 personnes atteintes de COVID-19 léger à modéré ».

Dans la bonne gestion des épidémies, il y a deux règles de base : laisser la société vivre le plus normalement possible, et mobiliser les médecins généralistes comme premier rideau de soins.
Lors de la crise Covid, on a fait tout l’inverse : confinements et fermetures, interdiction aux médecins généralistes de soigner les malades avec les remèdes disponibles. Ces deux mesures ont fait flamber l’épidémie en multipliant le nombre de cas graves.
En réalité, le SRAS-CoV-2 a circulé dans nos pays depuis le printemps 2019. En France, le premier patient décédé du Covid est un touriste chinois, le 14 Février 2020. Le premier Français mort officiellement du Covid est un habitant de l’Oise, le 26 Février 2020.
Le nouveau coronavirus a circulé pendant au moins 6 à 9 mois dans la population avant le « nous sommes en guerre « macronien.
Des personnes sont tombées malades. Le médecin les a soignées avec les remèdes qu’on utilise pour les pneumopathies, c’est-à-dire surtout l’azithromycine, un antibiotique qui déploie également un effet antiviral. Il soigne les infections virales en prévenant le développement des surinfections bactériennes. Les médecins ont sans doute donné aussi des vitamines C et D, et du zinc à leurs patients, pour renforcer l’immunité. Résultat : au mois de Mars 2020, il n’y avait pas d’épidémie anormale. Les médecins généralistes soignaient librement leurs patients. La société fonctionnait normalement.
A partir du moment où on a interdit aux médecins de soigner et où on a confiné les gens, nous avons connu une flambée épidémique, des pics extrêmement abrupts se sont produits.
Le produit de ces deux mesures contraires à la science et aux bonnes pratiques est devenu visible : un pic épidémique observable d’amplitude modérée, avec un taux de malades déclarés à son apogée de 140 pour 100 000 habitants.

Pour justifier cela, on nous tient le discours suivant. Aucune molécule ne s’est avérée efficace contre le SRAS-CoV-2. Par un arrêté du 13 Janvier 2020, Agnès Buzyn, ministre de la Santé, classe l’hydroxychloroquine sur la liste II des substances vénéneuses. Un tel classement n’empêche pas l’utilisation du médicament. En fait, depuis cette date, le classement sur la liste des substances vénéneuses passe pour une interdiction, et les médecins ne prescriront plus ce médicament. La Radio-Télévision Suisse décrit le soi-disant échec de l’hydroxychloroquine : « Présentée à la mi-mars comme un remède miracle, la chloroquine est abandonnée par l’OMS trois mois plus tard ».
Ensuite, on nous affirme qu’il est dangereux de prescrire des médicaments non approuvés contre le Covid. Les médecins qui soigneraient quand même leurs patients se rendraient coupables d’un obscurantisme antiscientifique les conduisant à mettre en danger la vie d’autrui. La pression est telle que les médecins se plient aux injonctions gouvernementales.

En réalité, le but d’un traitement contre le SRAS-CoV-2 est de faire baisser la charge virale pour éviter le risque qu’un patient ne passe de la forme bénigne respiratoire à la forme aggravée vasculaire de la maladie.
Dès Mars 2020, le professeur Raoult reprend des études chinoises et coréennes et montre qu’une combinaison d’hydroxychloroquine et d’azithromycine supprime la charge virale en cinq jours.
À partir d’une charge virale positive de 100 % le premier jour pour trois groupes, le groupe témoin ne connaît pas de baisse significative. Le groupe qui a reçu uniquement de l’hydroxychloroquine connaît une baisse significative, mais limitée. Le groupe qui a reçu la combinaison hydroxychloroquine-azythromycine voit la charge virale diminuer de manière spectaculaire dès le troisième jour et s’éteindre au cinquième jour.
Ces résultats seront confirmés par plus de 400 études, avec une utilité avérée en phase précoce comme au stade avancé de la maladie. De nombreux pays en font leur traitement de prédilection, avec des résultats probants : les taux de mortalité y sont nettement inférieurs à ceux des pays ayant entravé son usage.

De nombreuses autres substances démontrent également une efficacité probante, l’ivermectine, les Artemisia, les antihistaminiques, l’amantadine, des compléments alimentaires comme la curcumine, la nivelle, le zinc, les vitamines C et D.
Selon plus de 3 000 études réalisées par des équipes de recherche à travers le monde, on répertorie 47 médicaments ou interventions de santé qui ont démontré leur efficacité en prévention ou pour le traitement du SRAS-CoV-2.
Pour l’hydroxychloroquine seule, à la fin de Septembre 2023, 410 études différentes impliquent
8 551 chercheurs et portent sur 523 879 patients, dans 58 pays. Les résultats de ces essais montrent une amélioration significative sur la mortalité, l’hospitalisation, le rétablissement, le nombre d’infections et la charge virale, avec 62 % de résultats positifs en traitement précoce et 20 % en traitement tardif. De plus, 16 essais cliniques portant sur l’administration précoce d’hydroxychloroquine montrent une baisse de la mortalité de l’ordre de 72 %. Donc la précocité du traitement est une condition essentielle.
Il en va de même pour l’ivermectine. En Juillet 2023, 98 études sont produites pour cette substance, par plus de 1 065 chercheurs et portant sur 146 000 patients, dans 27 pays différents. Les résultats en termes de réduction des risques de mortalité, d’hospitalisation, d’admission en soins intensifs, de ventilation mécanique et de guérison, sont de l’ordre de 85 % en prophylaxie, en prévention, 62 % en traitement précoce, et 41 % en traitement tardif. Là encore, le traitement précoce est capital.

Tous ces remèdes ont été combattus et même interdits dans nos pays par les autorités politiques et médicales. L’Ordre des médecins, la caste politique, les médias mainstream, particulièrement NewsGuard et Madame Natalie Huet, suivent la même ligne, et exercent une forte pression sur les médecins et les personnes, sans doute aiguillonnés par des pots de vin qui tombent du ciel. Ces autorités ont interdit aux médecins de faire usage de leur droit inaliénable de prescrire en leur âme et conscience, par toutes sortes d’injonctions, de menaces et de mesures de répression. Doliprane et rentrez chez vous. Il fallait absolument imposer le « vaccin » ARNm.
On interdisait ces remèdes réellement sûrs et efficaces. Et les influenceurs, les responsables, les agences de santé, faisaient la promotion d’autres remèdes inutiles et dangereux comme le Remdesivir, du laboratoire Gilead, toxique pour les reins. Une politique injuste et dangereuse s’est mise en place, avec des mensonges, des fraudes et des falsifications. Cette politique, jugée bonne par NewsGuard, par Madame Natalie Huet, correspond sans doute aux neuf critères journalistiques.

On a affirmé que le traitement à base d’hydroxychloroquine et d’azithromycine devait être testé dans des essais randomisés en double aveugle pour que l’efficacité soit démontrée. C’est scientifiquement faux et moralement problématique en cas d’épidémie : il faut alors agir vite, or dans ces circonstances, on ne saurait donner un placebo aux membres d’un groupe témoin, les exposant au risque de développer des formes graves ou même de mourir au nom de la science.
Cependant, plusieurs essais randomisés en double aveugle ont été mis sur pied. Ni le patient, ni le prescripteur ne savent si le patient utilise le médicament actif ou le placebo. Le patient, premier aveugle, et le médecin, deuxième aveugle, n’ont pas d’influence sur la variable mesurée. Ces essais ont été mis sur pied de manière malhonnête. Tous ces essais ont été truqués, dès la conception de leurs protocoles de recherche, en particulier en ne testant jamais l’effet de la trithérapie hydroxychloroquine-azythromycine – zinc, ce qui est un comble, mais l’hydroxychloroquine seule, donnée exclusivement à des patients hospitalisés ou en soins intensifs. En réalité, en fait, il faut impérativement tester l’effet de ce remède EN COMBINAISON AVEC LES DEUX AUTRES, ET AU STADE PRÉCOCE DE LA MALADIE. Les essais dont parle Madame Natalie Huet étaient-ils truqués ? Très probablement. Mais elle accuse les autres de donner des informations fausses.
Justement, Madame Natalie Huet évoque l’essai RECOVERY en Grande-Bretagne. Dans le cadre de cet essai, on a surdosé l’hydroxychloroquine d’une manière toxique pour les patients.
Dans d’autres essais, on utilise l’hydroxychloroquine à un dosage très inférieur aux doses thérapeutiques.

L’hydroxychloroquine et l’ivermectine figurent parmi les plus sûrs médicaments de la pharmacopée. Ils ont été consommés par des milliards de personnes sans dommages. Soudain, on a affirmé qu’ils étaient devenus très dangereux. C’est comme si on annonçait du jour au lendemain que l’aspirine provoquait des infarctus ou des cancers fulgurants chez 10 % des personnes qui en prennent.
Parallèlement, on attribuait des autorisations d’urgence à des remèdes toxiques comme le Remdesevir, sans exiger la réalisation d’essais cliniques en double aveugle. Comme le Rivotril, distribué aux personnes âgées dans les EPHAD, un médicament anticonvulsivant non barbiturique, de la famille des benzodiazépines, utilisé dans le traitement de certaines formes d’épilepsie, en association avec un autre antiseptique, et qui a causé la mort de ces personnes âgées.
Ainsi, on a interdit les remèdes qui soignent et on a laissé mourir des personnes à risque qu’il aurait été possible de soigner. Voilà ce que défendent et protègent les médias mainstream, NewsGuard et Madame Natalie Huet.

Une telle monstruosité a été possible parce que Big Pharma et la Fondation Bill et Melinda Gates donnent de l’argent à de nombreuses revues médicales, contrôlent les revues à fort impact, parce que médecins, politiques, journalistes corrompus acceptent des mannes de fric et répandent les nouvelles officielles venant du cartel mondialiste.
La presse servile a repris la stratégie et les moyens tactiques évidents.
Contestation méthodologique des premières études de l’IHU.
Message martelé dans les médias selon lequel l’hydroxychloroquine est dangereuse.
3- Essais officiels biaisés et même truqués.
4- Etude Mehra et al. dans Le Lancet pour interrompre les recherches.
5- Analyse frauduleuse réalisée par des doctorants au service de mandarins véreux.
6- Dénigrement et diffamation des chercheurs défendant l’efficacité de l’hydroxychloroquine.
Résultat : croyance généralisée que le traitement triptyque est inefficace.

En ce qui concerne l’ivermectine, les rédacteurs des revues médicales ont usé de quatre procédés pour supprimer les preuves de l’efficacité de l’ivermectine contre le Covid.
1- Rejet de tous les essais positifs de l’ivermectine depuis 2020.
2- Rétractation des études positives sur l’ivermectine, même après publication.
3- Publication des essais falsifiés et des analyses frauduleuses.
4- Publication de nombreux éditoriaux anti ivermectine, tactique de diversion.

Suite aux dépôts des plaintes, la FDA a prétendu que l’évaluation négative de l’ivermectine « était une simple recommandation ». Puis en Août 2023, elle ajouta que les médecins restaient bien entendu libres de prescrire de l’ivermectine contre le Covid-19.
Rétropédalage beaucoup trop tardif, le mal est fait depuis longtemps.
Mais retournement de veste qui prouve que les « complotistes » avaient raison dès le début.
Au 6 Avril 2023, on attribuait au Covid 6 889 743 décès à travers le monde.
70 % de ces personnes auraient pu être sauvées si on les avait soignées avec les traitements précoces efficaces disponibles et peu coûteux.
4 822 820 personnes sont mortes à cause des politiques de privations de soins.
NewsGuard et Madame Natalie Huet, débauchés par des mondialistes pourris, défendent l’indéfendable. La vénalité dans toute sa « splendeur ».

Avec l’aide de Jean-Dominique Michel, anthropologue, expert en santé publique.

Jean Saunier

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commentaires

A
Les merdias officiels et tout ce qui va avec tous corrompus, des vendus ... ça ment comme ça respire ... et ça nous coute très cher, à zapper, poubelle.
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