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26 janvier 2025 7 26 /01 /janvier /2025 12:15
Vers une santé mondiale totalitaire

Le syndrome de Münchhausen est un critère systématique du totalitarisme. L’hypocondrie délirante fait partie de la psychose paranoïaque, il y a donc toujours une déviance du monde médical. Avec le syndrome de Münchhausen, il s’agit d’attribuer à l’autre des maladies dont il n’est pas porteur, pour justifier et solliciter une intervention médicale.

Avec le système totalitaire, cela concerne l’intégralité du traitement porté à la population : le pouvoir sait ce dont nous souffrons et il connaît les remèdes autorisés ou non. Ces remèdes sont évidemment obligatoires. Les gouvernants estiment que les bien-portants sont des malades sur lesquels il est nécessaire de pratiquer des traitements. Lors de la crise du covid, on a imposé certains produits médicamenteux, ainsi le paracétamol, totalement inefficace, l’injection génique, aux effets secondaires désastreux, et on a interdit d’autres produits, ainsi l’hydroxychloroquine, l’ivermectine révélées efficaces. Les malades sont dits « asymptomatiques » : tout le monde est un malade en puissance qui s’ignore et un tueur potentiel propagateur de virus.

Le corps du sujet appartient à l’État totalitaire, qui peut, à tout moment, décider son inutilité, et orchestrer sa destruction, sous des motifs d’impureté et de dégénérescence. L’État peut décider de n’importe quelle intrusion des corps, ainsi le viol par la « vaccinite aiguë ».

Pendant la crise covid, des régiments de médecins ont renvoyé leurs patients avec du paracétamol, ont obligé ces patients à des injections expérimentales, ont refusé les soins. Ces médecins sont endoctrinés à l’idéologie d’une médecine mondiale, ils adhèrent à l’hygiène sanitaire de masse, ils éprouvent le faux sentiment de participer à une          « entreprise de santé publique », ils obéissent sans réserve aux ordres, ils font preuve de cupidité, ils ambitionnent de réaliser des travaux médicaux de recherche. Tous ces facteurs expliquent les crimes des médecins. Les médecins nazis agissaient selon les mêmes critères, avec en plus un antisémitisme virulent.

Le syndrome de Münchhausen manifeste la projection angoissée et l’hypocondrie délirante des chefs du pouvoir totalitaire sur leur peuple. Le corps est vu comme une micro cellule d’un seul vaste corps, dont on peut légitimer la suppression.

La pratique politique totalitaire assujettit toujours la médecine pour asseoir son contrôle sur les corps. En Allemagne nazie, en 1934, pour la première fois, la Santé publique fut unifiée et son administration centralisée, la population fut prise en main par l’État-médecin. La « loi sur l’unification de la santé publique » multipliait les instituts d’hygiène où officiaient des médecins-fonctionnaires aux compétences diverses.

Fin mai 2024, 194 États signataires de l’OMS signeront le Traité pandémique mondial, et devront appliquer les règlements sanitaires internationaux. L’OMS aura le pouvoir de déclarer des pandémies à sa seule discrétion. Elle aura tout pouvoir pour dicter aux États les mesures à prendre, les confinements à faire, les vaccins à injecter, les discours à tenir et les propos à censurer, à judiciariser, les populations à interner ou à déplacer. L’OMS s’érige en détentrice unique de la science. Toute critique sera de la désinformation, sujette à censure et passible de sanctions. L’OMS est une émanation de l’ONU, elle opère sous les principes de l’idéologie du One Health, « une seule santé ». Celle-ci inclut la santé des animaux, des végétaux et des êtres humains, ainsi que les perturbations de l’environnement générées par l’activité humaine. La santé est élargie et inclut la santé animale, sauvage et domestique, la santé de l’environnement, air, eau, terre, forestier, agricole, et la santé humaine, transport, travail, industrie, hygiène de vie, le tout ne faisant qu’un.

Aucun mécanisme de consultation n’est prévu, aucun contre-pouvoir n’est au programme, aucune durée n’est inscrite. Le respect des droits humains et de la dignité des personnes est biffé du document. À l’ONU et à l’OMS, tous les membres sont nommés sans transparence et sans consultation citoyenne. Le peuple n’a aucune représentation, aucun droit de parole, aucune procédure d’appel des décisions. Ils utilisent le droit pour suspendre l’État de droit. Le sujet est absent des médias mainstream. Les politiciens n’en parlent pas.

Comme en Allemagne nazie, la Santé publique est unifiée, et son administration centralisée. La population est prise en main par l’État-médecin. Les corps sont encadrés par les gouvernements, eux-mêmes assujettis à l’OMS. Et l’OMS peut décider de l’intrusion des corps, par les obligations vaccinales. L’OMS peut décider de la standardisation sexuelle des corps. L’OMS peut décider de l’immobilisation des corps, ordonner d’entreprendre de soi-disant mesures médicales qui tuent et ne guérissent pas. Le Traité pandémique mondial instaure un État policier, médical et scientifique. L’ignorance, l’inculture et l’absence de déontologie incarnée font le lit du totalitarisme.

Le professeur Perronne lance un appel à l’action et à la mobilisation :

« Bonjour, je suis Christian Perronne, professeur en médecine. Durant ma carrière, j’ai présidé pendant quinze ans des conseils officiels en charge de politique de santé publique, de vaccination, de gestion des crises sanitaires et d’épidémies. Je fus également vice-président du groupe d’experts sur la vaccination pour la région Europe à l’Organisation mondiale de la Santé.

Mais il faut savoir que l’OMS n’est plus ce qu’elle était. Désormais, les intérêts privés la contrôlent.

Un traité de pandémie va être soumis au vote le 24 mai prochain lors de l’Assemblée mondiale de la Santé de l’OMS. Et si ce traité était adopté, des pouvoirs exorbitants seraient attribués au directeur général de l’OMS. Sur ce sujet majeur, aucun mot dans le débat public, ni dans les grands médias. Un silence assourdissant pour un traité si important, qui sera un chèque en blanc fait à l’OMS par les États-Nations mis sous tutelle. C’est un appel que je lance aujourd’hui.

Mes chers amis, depuis maintenant plusieurs années, je vous rencontre, partageant avec vous un combat pour la vérité et la liberté. Et je sais que nous sommes très nombreux à travers tout le pays à chercher par tous les moyens à résister. Chaque citoyen, collectif ou association, peut et doit se mobiliser contre ce projet de traité de l’OMS.

Certains ont d’ailleurs déjà commencé. Je vous propose une action très simple. Les élections européennes approchent. Il est essentiel de demander aux candidats et aux partis de se positionner publiquement sur ce sujet, mais aussi à vos élus et notamment vos députés.

Sont-ils d’accord pour que l’OMS ait un pouvoir contraignant sur les États ? Pour que les États abandonnent leur souveraineté en matière de santé et d’environnement ? Réalisent-ils que chaque pandémie que nous avons eue depuis vingt ans est en réalité un prétexte pour la mise en place d’une gouvernance mondiale autour d’un concept nouveau, une seule santé ?

Savent-ils que la définition même de “pandémie” a été modifiée ? Le critère de mortalité ayant été retiré. Une pandémie peut donc être décrétée sans aucun mort. Nous plongeons dans un état d’urgence sanitaire quasi permanent. Avec ce traité, les États s’engageront à appliquer sans discussion toutes les décisions de l’OMS. Et du jour au lendemain, le directeur général de l’OMS pourra déclarer une pandémie pour une maladie qui ne tue pas, et contraindre les États à subir toute une série de mesures liberticides que nous avons malheureusement connues dans un passé pas si lointain. Sans pouvoir nous y opposer, comme par exemple la fermeture des frontières, le confinement, l’administration obligatoire de produits médicamenteux non éprouvés.

Dans l’histoire, il n’y a jamais eu une telle menace contre nos libertés fondamentales et notre souveraineté. Alors, mobilisons-nous, sur les réseaux, faisons monter le sujet avec le hashtag STOP TRAITÉ OMS. Écrivez à vos élus et vos candidats, et surtout dans le réel, allez les rencontrer, les questionner, les interpeller dans un esprit de dialogue citoyen et démocratique.

C’est votre droit de le faire et c’est leur devoir de vous répondre. Filmez ou photographiez vos actions et diffusez-les. Tout le monde est concerné. Ces dernières années nous ont montré que le pouvoir citoyen est un levier formidable pour faire changer les choses. C’est donc à nous, en dehors de tout esprit partisan, de nous battre contre cette tyrannie technocratique qui a démoralisé notre jeunesse, laissé mourir nos anciens, montrant son vrai visage, celui d’un système incapable de protéger les citoyens, rompant ainsi le contrat social.

L’actualité récente témoigne d’une volonté profonde de la part du pouvoir en place de non seulement limiter la liberté d’expression, mais aussi de la punir pénalement avec la prolifération de projets de lois liberticides. L’un condamnant les médecins qui ne suivent pas les recommandations gouvernementales, l’autre incitant à la délation de propos tenus dans le cadre privé et jugés interdits par les autorités, et enfin la condamnation de toute personne critiquant un membre du gouvernement ou ses actions.

Nous voyons bien que tout s’articule, de l’échelle mondiale à l’échelle nationale, avec une volonté de nous dérober notre souveraineté. Alors, continuons de nous informer, continuons de nous former, et continuons d’agir. Je compte donc sur vous, sur vous tous, pour aller à la rencontre de ceux qui ne savent pas ou qui ne veulent pas savoir. Alors, à vos stylos ! À vos mails ! À vos rendez-vous avec les élus ! Avec les journalistes ! Le temps presse ! Le combat continue et la vérité triomphera ! »

Santé mondiale totalitaire. Mais le projet mondialiste totalitaire ne s’arrête pas là. Alimentation mondiale. Contrôle mondial. Surveillance mondiale. Sécurité mondiale. Éducation mondiale. Éducation à la sexualité mondiale. Culture mondiale. Homosexualisation mondiale. LGBTisation mondiale. Eugénisme mondial. Euthanasie mondiale. Dépopulation mondiale. Paupérisation mondiale. Asservissement mondial. Abêtissement mondial. Échanges mondiaux hypertrophiés.

Perte de la souveraineté en matière de santé et d’environnement. Mais depuis longtemps déjà, avec l’Union européenne, avec la globalisation, nous avons perdu toute forme de souveraineté. Perte de la souveraineté nationale. Perte de la souveraineté politique. Perte de la souveraineté économique. Perte de la souveraineté culturelle. Perte de la souveraineté énergétique.

Menaces contre nos libertés fondamentales en matière de santé. Mais depuis longtemps aussi, toutes nos libertés sont rognées, élaguées, rafraîchies, et finalement mutilées.

En quelque sorte, la crise sanitaire finalise le projet mondialiste de destruction universelle de la vie. Tout doit être mondialisé, tout doit devenir mondial, tout doit devenir triste et laid à mourir.

Le totalitarisme devient une normalité, comme l’eugénisme, comme l’avortement, comme la sexualisation des enfants, comme le transgenrisme, comme bientôt la pédocriminalité. Macron est vraiment un parangon fanatique, mystique et illuminé de cet européisme démesuré et de ce mondialisme outrancier. Tous les partis politiques, présents au Parlement, tous les hommes politiques en vue, toute la bourgeoisie huppée, de gauche, du centre, de droite, favorisent l’implantation de cet esprit mondialiste dans toutes les sphères de l’activité humaine. Surtout par suivisme imbécile, par intérêt de classe, par désir de conserver les privilèges, dans l’intention de garder sa place bien au chaud, sinon par choix idéologique raisonné, par pensée réfléchie. Le peuple formaté et acculturé accepte docilement cette déshumanisation terrifiante et humiliante.

Jean Saunier, avec le concours de Ariane Bilheran pour le syndrome de Münchhausen

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