Bien sûr que non ! Puisque ce sont des gobe-mouches qui croient tout ce que racontent les propagandistes du Nouvel Ordre Mondial sur les chaînes de désinformation continue. Ils ont peur du réchauffement, du covid et de Poutine. Par contre, ces petites têtes ont déjà oublié la ruine de la France, la dictature sanitaire et la menace islamiste permanente.
Seule la peur peut sauver des crapules comme Choupinet et Pustula, qui ont vendu leur pays aux émirs, après l’avoir saigné. Seule la peur peut leur éviter, après la destitution, de passer en Haute Cour pour y répondre de leurs crimes contre l’humanité.
Il est donc vital pour eux de rabâcher inlassablement les mêmes mensonges, tant que les gobe-mouches seront majoritaires. Et puisque ces crétins aiment les insectes, on va leur faire bouffer de la purée de cafards, des sauterelles rôties et en dessert de la compote d’asticots. C’est une alternative acceptable pour les mauvais esprits qui refusent de devenir herbivores. Ils en redemanderont !
La peur, toujours la peur, pour contrôler les peuples
Pour le secrétaire général de l’ONU António Guterres « L’effondrement climatique a commencé ». Qu’est-ce qu’il en sait ? L’homme est un technicien en électronique qui a vendu des téléphones pendant deux ou trois ans avant de se consacrer à la politique. Cela ne qualifie pas particulièrement en climatologie, astrophysique et physique de l’atmosphère. Or ces trois disciplines sont liées pour comprendre les évolution climatiques.
Ses prédictions apocalyptiques sont de nature à terroriser les masses, que seules les Zélites pourraient sauver. Avec pour principales cibles les jeunes gens. De moins en moins instruits dans les matières scientifiques. Et de plus en plus déconnectés des réalités par les réseaux asociaux. Où la ré-information reste un murmure fliqué par les cenSSeurs.
Les vaticinations de Guterres, nouveau professeur Philippulus, ne proposent que des solutions bancales au prétendu réchauffement climatique, en surfant sur la hantise du CO2, dont la traque est propre à ruiner l’Occident suicidaire, sans empêcher l’Inde et la Chine, regroupant 40 % de la population mondiale, de continuer à construire les centrales thermiques dont elles ont besoin pour leur développement.
La réalité n’est pas conforme aux prédictions, donc la réalité a tort !
Parmi les prédictions des savants autoproclamés : plus de neige en France dès 2010… Submersion des deltas des grands fleuves autour de l’an 2000… Engloutissement des atolls du Pacifique au plus tard en 2020… Fonte de la calotte arctique et du permafrost sibérien libérant des virus préhistoriques en 2020… Fonte des glaciers de l’Antarctique dans le même laps de temps… Disparition des « neiges éternelles » de l’Himalaya avant 2030.
Fort heureusement, rien de tout cela ne s’est produit : la neige continue à tomber l’hiver… Les deltas se sont légèrement développés grâce aux apports en alluvions des fleuves et des courants marins… Les atolls sont stables ou sujets à un exhaussement constant du fait de la sédimentation des rivages et des mouvements de la lithosphère… Les glaciers himalayens gagnent et perdent régulièrement en épaisseur et superficie selon des mouvements cycliques connus.
La Sibérie est soumise à des phases cycliques de chaud et de froid depuis toujours, sans que les humains qui y vivent aient été terrassés par des virus inconnus… Quant à l’Antarctique, des mesures au sol et des vues satellite s’accordent sur une refroidissement progressif depuis 30 ans.
Nous allons tous cramer, c’est la panique !
Un des plus grosses escroqueries des réchauffards est d’évoquer des températures de 55 ou 60° C. Elles sont rarissimes. On les trouve en de rares endroits sur la planète, généralement dans les déserts. Mais l’étude de la dislocation minérale sous l’effet de la chaleur diurne et de la froidure nocturne, prouve qu’il en est ainsi depuis des centaines de milliers d’années. Et les humains n’ont pas disparu pour autant.
Certes le corps humain ne pourrait pas supporter longtemps ces températures. Mais elles sont relevées « sous abri ». Comprendre, dans nos contrées, sous des verrières où la chaleur s’accumule, où l’hygrométrie est faible et où le vent n’entre pas. Comme la chaleur infernale dans une automobile fermée, restée trop longtemps en plein soleil.
J’ai passé de nombreuses années de ma vie dans des pays tropicaux. Les indigènes appliquent des recettes empiriques venues de la nuit des temps. Installation au fond de vallées aux parois abruptes sur lesquelles les rayons du soleil s’arrêtent, provoquant des brises thermiques et de la condensation qui rafraîchissent. Occupation de rivages balayés par les alizés ou les moussons. Construction de maisons de couleur claire, sous la canopée, ou semi troglodytes, avec des ouvertures étudiées pour favoriser les courants d’air. À proximité d’un ruisseau ou d’un plan d’eau douce ou salée pour se rafraîchir.
Tout le monde va boire la tasse
La hantise du waterworld prochain est une des antiennes les plus infondées et en même temps une des croyances les mieux ancrées chez les téléphages.
L’universitaire Virginie Duvat a publié une étude portant sur une centaine d’îles du Pacifique : archipel Marshall, Kiribati, Tuvalu, États fédérés de Micronésie, Tuamotu. La statistique confirme les observations : 77 % des atolls sont stables, 15 % sont en expansion et 8 % en légère régression. En d’autres termes, si le niveau de la mer monte un peu, les îles montent encore plus vite. Des sismographes ont enregistré des signaux de mouvements tectoniques provoquant une dilatation du magma qui pousse la lithosphère vers le haut.
Par ailleurs, des chercheurs de l’université d’Auckland (NZ) ont publié une étude dans la revue « Nature Communications » après avoir analysé une multitude de photos aériennes et satellites prises entre 1971 et 2014. Ces clichés répertorient les 9 atolls principaux des Tuvalu qui devaient être engloutis avant 2020. Cette observation sur plus de 40 ans montre que la taille de 8 atolls sur 9 ainsi que celle des 3/4 des îlots coralliens ont augmenté en surface de l’ordre de 3 %. Les autres sont sans altération notable.
Les humains vont tous mourir de faim
Le prétendu réchauffement climatique est supposé réduire les rendements agricoles de moitié. Or les chiffres de la FAO montrent que les rendements agricoles mondiaux ont triplé depuis les années 1960. Grâce à la sélection des semences, à la mécanisation et à l’amélioration des techniques, on produit déjà plus que ce qu’on consomme ! Les disparités locales sont affaire de répartition sous la coupe de monopoles, ou de mauvaise gestion. Comme la population mondiale semble devoir se stabiliser, avec le coup de pouce du covid, de nombreuses surfaces de culture et d’élevage commencent à être rendues à la nature. Une première depuis le néolithique !
Quelques changements ici ou là, mais pas la fin du monde
Les humains ont prouvé depuis longtemps leurs grandes capacités d’adaptation. Notre espèce occupe, en dehors des zones tempérées, des espaces difficiles comme des déserts arides, des hautes montagnes glacées et des banquises. Là où la mer constituait une barrière, on a construit des esquifs pour aller voir au delà de l’horizon et s’y installer.
Depuis les premiers Sapiens, éventuellement croisés de Néandertaliens, nos ancêtres ont survécu à trois périodes glaciaires sévères et autant de réchauffements importants… Il y a eu des déluges, des retraits des rivages, des éruptions volcaniques, des fleuves et lacs asséchés… Il y a 25.000 ans, un glacier de plusieurs kilomètres d’épaisseur descendait jusqu’en latitude d’Orléans… Dans le même temps, le Sahara était une zone tropicale humide avec des rivières, des lacs, des jungles, des gazelles, des girafes, des éléphants et des hommes qui les chassaient.
L’ingérence climatique, un nouveau colonialisme
Et si c’était ça, le but ultime de l’alarmisme climatique ? Forcer les politiques régionales à s’adapter à la globalisation ? Intimider les chefs d’États et se donner le droit d’aller chez ceux qui n’obéissent pas assez vite aux injonctions de la mondocrature pour les contraindre à faire ce qu’on exige d’eux ? Dans leur intérêt. Bien évidemment.
Le club Bilderberg, la commission Trilatérale, l’open society de Soros, les forums de Davos et la fondation des Young Leaders sont prêts à faire profiter de leurs lumières tous les égarés. Pour « sauver la planète ». Et l’urgence climatique impose des déplacements de populations… Là où les banksters ont besoin de renouveler leur cheptel d’esclaves, on a recours aux méthodes des Soviétiques et des nazis : déplacer des populations entières contre leur gré, là où elles gênent. Ou là où on pourrait en avoir besoin.
Comme tout le monde ne peut pas se prétendre persécuté politique, les faiseurs d’opinion consolident un nouveau concept, celui de « réfugié climatique ». Qu’on ne peut pas refuser d’accueillir. À moins d’être des monstres conspués par la vertueuse communauté internationale. Et d’en subir les représailles diplomatiques et économiques.
On est en train de nous faire le coup avec le Sahel et le Proche-Orient. Comme on a réussi à déporter en Nouvelle-Zélande des habitants des Kiribati qui n’avaient rien demandé à personne, en prévision de l’engloutissement de leurs îles avant 2020. Parole de GIEC… Vivant heureux chez eux dans une société océanienne traditionnelle, ces gens sont aujourd’hui parqués dans des suburbs où règnent la violence, la drogue, le suicide et le racisme. Pas vraiment ce qu’on leur avait promis en les faisant déménager pour échapper à la fin du monde !
Christian Navis