Ainsi donc, selon les commentateurs pourris de nos médias putrides, un écart de 4% ferait la différence entre la démocratie et la dictature. La moraline à géométrie variable a encore de beaux jours devant elle.
Ainsi donc, selon nos excréments médiatiques, la France « unie contre le fascisme, le racisme et l’exclusion » adoubait Chiracula le vampire sorti de la crypte où les bien pensants voulaient lui transpercer le cœur, un mois auparavant…
Tandis que le patriotisme des Russes, confrontés à une coalition de plus de trente nations, et pas des moindres, associées bien avant le début des hostilités dans un pacte militaire pour les détruire, ne serait pas crédible.
Pour les bobos islamo-gauchistes qui tiennent les merdias, il est impensable que les Russes soient fiers de leur histoire et défendent leur civilisation contre la déliquescence que l’Occident prétend leur imposer.
Évidemment quand on porte la traîtrise, la corruption, le masochisme et la collaboration dans son ADN, comme les pires « maladies honteuses », et qu’on a pour références la dépravation des mœurs, et la destruction de notre culture et de notre patrimoine, on ne peut pas comprendre l’instinct de conservation chez les autres…
USA : Les grands fraudeurs donneurs de leçons de démocratie
La Maison Blanche se fend d’un communiqué officiel, violant toutes les règles diplomatiques de non ingérence dans les affaires intérieures d’une nation étrangère souveraine. Papy gaga Robinette, qui confond l’Iran et l’Ukraine, doit prendre la Russie pour le San Theodoros de Tintin, ou quelque autre ripoublique bananière d’Amérique latine. Où les Étasuniens donnent des ordres aux satrapes locaux.
Les tricheurs pris la main dans le sac en 2020, soutenus par des médias complaisants et une justice complice, osent critiquer « un processus incroyablement antidémocratique en Russie ». Et là encore, piétinant tous les usages en matière de politique étrangère, ils éructent que Poutine ne doit pas s’attendre à être félicité par eux. Ce dont, probablement, il n’a rien à cirer.
Les tricheurs pris la main dans le sac en 2020, eux sont de grands démocrates. D’ailleurs leur parti s’appelle comme ça. Et il n’y a rien de plus démocratique que de faire harceler par leurs juges et leurs procureurs, partisans et militants de gauche (comme en France) le candidat Trump pendant 4 ans pour l’empêcher de se représenter… Après une fraude massive avouée façon lapsus par Biden : « Nous avons mis en place la plus large et la plus inclusive organisation de fraude électorale dans l’histoire de la politique américaine.»
L’hypocrisie des pseudo valeurs républicaines en France
Les séides de Macronescu le tyran éborgneur, gazeur et coupeur de mains et de pieds, crimes commis par procuration comme en Ukraine, déplorent que « les conditions d’une élection libre, pluraliste et démocratique n’aient pas été réunies une nouvelle fois ». Paille-poutre. Ou quand l’hôpital se fout de la charité.
Ce n’est pas en France qu’on verrait une justice aux ordres s’empresser de disqualifier le candidat le mieux placé pour des broutilles largement exagérées. Et surtout, communes à toute la classe politique absoute d’avance…
Ce n’est pas en France qu’on verrait la quasi totalité des médias écrits et audiovisuels, faire une campagne outrancière en faveur d’un quasi inconnu en 2017, rivalisant d’invectives et de calomnies pour disqualifier ses deux principaux concurrents.
Ce n’est pas en France qu’on afficherait les résultats du scrutin de 2022, à la virgule près, dès la fermeture des bureaux de vote… Ce n’est pas en France qu’une malencontreuse panne d’ordinateur pendant la soirée électorale permettrait de suspendre l’émission quelques minutes, le temps d’inverser les résultats, deux millions de voix de la candidate étant brusquement transférés au compte du dictateur.
La dictature européiste n’a plus aucun sens de la décence
Le ministre des affaires étrangères de Pustula, l’insipide Josep Borrell avec deux L pour mieux voler, protégé par son immunité diplomatique des poursuites pour fraude fiscale et conflits d’intérêts en Espagne, son pays de naissance, réprouve un scrutin reposant, selon lui, « sur la force et l’intimidation ».
Tandis que la Hyène sa patronne, dictatrice de l’Eurocrature jamais élue, serait un parangon de démocratie. Lorsqu’elle décide seule de sanctionner des États vassaux qui ne se soumettent pas assez vite à ses diktats. Et quand elle outrepasse ses fonctions exécutives, comme lors de la dictature sanitaire ou de la guerre par procuration faite à la Russie. Où elle a dilapidé, sans rendre de comptes à personne, des dizaines de milliards d’euros. Des dépenses non votées qui n’avaient rien d’urgent ni d’indispensable au fonctionnement de l’Union Européenne.
Raymond Aron, professeur au Collège de France, qui avait décortiqué les systèmes totalitaires du XXe siècle, considérait que l’unanimisme était un des critères prégnants des dictatures. Simple bon sens. Dans un système régi par les libertés fondamentales, tout le monde ne peut pas être d’accord sur tout en même temps.
Or quand les loufiats des 27 pays de l’Eurocrature signent une déclaration commune affirmant qu’ils ne reconnaissent pas la réélection de Poutine, on est en droit de s’interroger sur les fondements d’une telle unanimité… Pots de vin ? Menaces ? Promesses ? Renvois d’ascenseur ?
Néanmoins, prudents, ils ont rejeté une motion du sournois Borrell, préférant s’abstenir plutôt que d’honorer le « héros » Navalny parmi les «victimes » du Kremlin. Ses escroqueries commencent à être un peu trop connues. Cela pourrait entacher, par ricochet, la réputation de nos grands démocrates irréprochables.
Ukraine : l’incroyable impudence du clown Zygomyr
Le virtuose du piano à queue, placé par la CIA à la tête de son pays en 2019 avec 75% des suffrages, est un vrai démocrate, lui. Et un vrai patriote indépendant qui prend ses ordres de l’étranger. Dont il dépend pour sa survie politique. Et sa survie tout court.
Le comique troupier qui fait valser ses généraux, détruire les monastères orthodoxes, et disparaître ses opposants les plus coriaces, avec le concours actif de la CIA est un vrai démocrate, lui. La corruption et les exactions du SBU, la gestapo locale, c’est pour le bonheur du peuple !
D’ailleurs, seuls des gens de mauvaise foi peuvent se demander pourquoi il lui a fallu attendre les réprimandes de l’Oncle Sam pour faire retirer les svastikas des oriflammes de ses milices dites régiments d’Azov… Tout en conservant à l’occasion, sur son uniforme de carnaval, la wolfsangel, le crochet du loup, signe de reconnaissance des waffen SS. Qui se sont «illustrés » à Oradour sur Glane… Coïncidence qui ne semble guère troubler les Français, intransigeants donneurs de leçons de démocratie.
Quant à la provocation consistant à faire applaudir debout au parlement canadien, un ancien tortionnaire nazi de 98 ans, tous les beaux esprits ont préféré attribuer à l’étourderie du bouffon Zygomyr ce désagréable épisode.
Pour son récent spectacle, le médiocre acteur de télé réalité s’est surpassé lorsque, dans le silence recueilli des médias déférents, il a péroré sur Poutine qui, selon lui, serait « ivre de pouvoir et ferait tout pour gouverner éternellement »… Des propos tenus par un nabot mal rasé, qui a annulé purement et simplement la tenue des élections législatives et présidentielles dans son pays. Plus faux cul, tu meurs !
Des médias déchaînés contre Vladimir dans les démocratures
Rivalisant de propos outranciers et diffamatoires, assurés de ne pas être poursuivis pour incitation à la haine, les pourritures médiatiques se livrent à un vrai concours de saloperies.
Pour le « Washington Post » et le « New York Times » tous deux phagocytés par la bien pensance mondialiste, ce serait « une farce électorale pour afficher le soutien de l’opinion russe à la guerre en Ukraine. » Question farce, les truqueurs de Robinette s’y entendent ! Quant au fait que les Russes soient unis contre leurs ennemis, ça contrarie leurs certitudes. Ce pays n’est ni faible ni facile à vaincre.
Au « Figarose » dont les volte-face et la servilité envers Macronescu n’étonnent plus, on entend glapir la voix de leur maître :« Poutine va perdre cette guerre. Il ne peut que la perdre. Au besoin la France est prête à l’atomiser ». Les subventions ont toujours raison du bon sens !
Le « Times » de Londres est plus réaliste. « Poutine ne se laissera pas intimider. Désormais l’hypothèse d’un conflit nucléaire n’est plus à exclure. Si l’OTAN et l’Europe s’impliquent davantage. »
Quant à « Die Welt » à Berlin, où on n’a pas oublié la débâcle de 1945, la prudence est de mise. Pour une fois, il est difficile de ne pas être d’accord avec les Boches. «La guerre contre l’Occident est un conflit auquel les Russes ne mettront pas fin de sitôt. Ce serait un tort de spéculer sur l’âge de Poutine. La relève est prête à continuer sa politique. Car l’existence même de leur pays en dépend.»
Christian Navis