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19 novembre 2024 2 19 /11 /novembre /2024 11:43
Avortement constitutionnalisé ou le suicide d’un peuple

« En prétendant sauver la femme de l’esclavage de la maternité, l’avortement lui impose une autre forme d’esclavage : sa culpabilité… (Hélène Grémillon).

Peut-on, décemment, prétendre que nous sommes encore un peuple civilisé ? NON !
Depuis des années, dans mes articles, je n’ai cessé de dénoncer les dérives « sociétales » qui nous sont imposées par une gauche hargneuse, et validées ensuite par une pseudo-droite suiveuse. Dérives amorales, indignes, honteuses, pour ne pas dire carrément criminelles que l’on doit aux convents et autres « tenues blanches  fermées » qui se tiennent au sein des loges maçonniques. Il ne suffisait donc pas aux « fils de la Veuve » de tuer le Trône et l’Autel, il leur fallait aussi tuer le peuple ou faire en sorte qu’il disparaisse. Le « Grand Remplacement » est en bonne voie, en France comme en Europe, et les citoyens qui ont laissé faire ça sont des inconscients ou des irresponsables…
Je ne supporte plus les cris d’orfraie et les pudeurs de rosière de notre classe politique et des « journalopes » qui lui servent la soupe. Le fait que certaines décisions soient approuvées par « 75 % des Français » ne les rend pas plus admissibles ou tolérables (1). Je hais la démagogie racoleuse et je rappelle, une fois de plus, que ce qui est légal n’est pas forcément moral. Je rappelle aussi que le confort bourgeois des individus ne doit pas aller à l’encontre des intérêts vitaux de la nation.

Dimanche 25 février, sur CNews, dans l’émission « En quête d’esprit » (que je n’ai pas vue), le présentateur (que je ne connais pas), a déclaré « En 2022, il y avait 234 300 avortements enregistrés en France. C’est aussi la première cause de mortalité dans le monde, selon l’institut Worldometer : 73 millions en 2022, soit 52 % des décès ». Aussitôt, le ban et l’arrière-ban des gens habilités à parler aux médias sont montés au créneau pour réclamer le bûcher pour l’hérétique. La douce Laurence Ferrari, qu’au demeurant j’aime bien, a présenté les excuses de la chaîne en reconnaissant « une erreur qui n’aurait pas dû se produire… Il est absolument impossible de comparer ces chiffres (du nombre d’IVG) et de les mettre en miroir de ceux de la mortalité liée au cancer ou au tabac ». Puis elle a ajouté avoir une pensée pour celles  « dans le monde qui luttent pour obtenir le droit à disposer de leur corps et à celles qui ont perdu la vie, faute de pouvoir accéder à l’IVG. » Sonia Mabrouk a également pris ses distances avec ces propos sulfureux. Puis Pascal Praud, que j’apprécie aussi malgré ses jugements parfois simplistes et primaires, a développé une argutie d’une stupidité confondante : « je suis pour la constitutionnalisation de l’IVG car mes filles et toutes les jeunes femmes à qui j’en parle sont pour, c’est aux femmes de s’exprimer sur le sujet ». J’ai envie de lui répondre que pour faire des enfants il faut être deux ; qu’une Constitution acte « la volonté d’un peuple de s’ériger en nation » ; et qu’on peut tout accepter par démagogie : si demain quelqu’un avait l’idée saugrenue d’inscrire le droit aux implants capillaires dans la Constitution, il ne fait aucun doute que les chauves seraient d’accord.

Comme il fallait s’y attendre, c’est la gauche et le camp présidentiel qui ont crié le plus fort :
« CNews participe à la remise en question pernicieuse du droit des femmes à l’avortement en partageant ce type d’information viciée qui les accuse de meurtres », a dit la députée écolo Sophie Taillé-Polian. « Toujours plus loin dans l’abject », a renchéri Mathilde Panot. La députée LFI pointe un « sérieux manquement à l’honnêteté de l’information…puisque la source citée, un travail réalisé par le site Worldometer, cite en réalité l’Organisation mondiale de la santé (OMS) estimant le nombre d’avortements réalisés chaque année, sans faire aucune référence à la mortalité ».
Au-delà de l’émoi – surjoué – provoqué par les propos « scandaleux » tenus sur le plateau de CNews, des élus, de gauche comme de droite, ont affirmé l’importance d’inscrire l’accès à l’IVG dans la Constitution, « bien qu’aucun parti majeur ne prône ouvertement sa remise en cause ».

Sacha Houlié, président macroniste de la commission des lois à l’Assemblée a déclaré :
« L’avortement doit partout être garanti. C’est une liberté fondamentale de chaque femme » « Inscrivons-la dans la Constitution et protégeons-la », a ajouté Aurore Bergé, ministricule déléguée à l’Égalité entre les femmes et les hommes. Cette « Commedia-Del-Arte » est assez… pitoyable !
Car, en effet, que cela plaise ou non aux élus, aux intellectuels, aux plumitifs, au peuple, et même à mes lecteurs (2), l’IVG est bien la première cause de mortalité dans le monde et la France, pour une fois – une fois n’est pas coutume ! – est en pointe en matière d’avortements.

Je n’ai pas envie de vous noyer dans des chiffres (que vous pouvez trouver sur internet) ; je m’en tiendrai donc à quelques évidences que je limiterai à la seule France : l’an dernier, notre pays a enregistré 638 266 décès, toutes causes confondues. Les cancers demeurent la première cause de mortalité avec une part de 29,6 % et sont responsables, avec les maladies de l’appareil circulatoire (27,5 %), les accidents (4,6 %), la maladie d’Alzheimer (3,2 %), le diabète (2,2 %), le suicide (1,9 %), les démences (1,8 %) et les maladies chroniques du foie (1,7 %), de plus de 70 % des décès (3). Les cancers tuent environ 189 000 personnes par an. Ce chiffre est impressionnant, « et en même temps », comme dirait l’avorton présidentiel, le nombre d’IVG, selon les chiffres officiels, étaient de 234 200 en 2022 et ceci ne semble émouvoir personne. On s’est habitué au massacre des innocents !

La Loi Veil a presque un demi-siècle d’existence et, chaque année, le nombre d’avortements est à peu près constant, il oscille entre 220 et 240 000. Donc, depuis 1975, notre pays aura assassiné légalement plus de 10 millions de petits Français. En fait, ce chiffre est très en deçà de la vérité. En effet, la loi Veil  aura bientôt 50 ans et les petits Français tués par IVG auraient pu faire eux aussi des enfants. On peut estimer que l’IVG aura privé notre pays de 20 millions de jeunes. Cette jeunesse mort-née nous manque et elle nous manquera encore plus cruellement demain.
Pour traiter ce sujet, j’oublie (volontairement) mes convictions de catholique et le sixième commandement du Décalogue : « Tu ne tueras point ». Il existe dans les deux versions du Décalogue (Exode 20, 13, et Deutéronome 5, 17). En 1981, les cathos de gauche justifiaient l’abolition de la peine de mort, sur pression de Robert Badinter, en invoquant le sixième commandement. Les mêmes étaient moins loquaces au moment de la loi Veil légalisant l’IVG. Déjà à l’époque, je m’indignais en faisant remarquer qu’avec l’abolition de la peine de mort pour les criminels, on n’avait plus le droit de tuer que… des innocents. J’ajoute que ces 10 (ou 20 ?) millions d’enfants à naître assassinés sont très majoritairement des petits Blancs car, au sein de la « diversité » on n’avorte pas – ou très peu – soit par conviction religieuse, soit pour vivre de nos aides et allocations diverses.

Pourtant, j’en conviens, comparaison n’est pas raison : les maladies, pandémies, épidémies, qui déciment la planète font l’objet de recherches, de dépenses pharaoniques, en vue de les soigner voire de les éradiquer. En revanche, l’IVG est un assassinat légalisé et voulu, c’est donc un meurtre avec préméditation. On va me dire que j’exagère, alors faisons un retour en arrière.
La notion d’ « infans conceptus pro nato habetur quoties de commodis ejus agitur » (l’enfant conçu sera considéré comme né chaque fois qu’il pourra en tirer avantage) est née dans le droit romain grâce à la chrétienté. Puis il s’est étendu au monde civilisé. Au Moyen Âge, le christianisme interdit et sanctionne l’avortement. Les idées évoluent peu les siècles suivants. Les lois rendent passible de peine de mort toute femme qui avorte et ses éventuels complices.

Au siècle des Lumières, sous l’influence des philosophes et des loges, l’avortement n’est plus réprimé par la peine de mort. Le pourrissement moral est en marche et la « sainte Révolution » va se charger de couper la tête d’autres innocents, au nom de la liberté bien sûr (4). Un revirement s’opère au XIXe siècle. L’article 317 du Code pénal de 1810 dit : « Quiconque provoque l’avortement d’une femme avec ou sans son consentement au moyens d’aliments, de drogues, de médicaments, par violence ou d’autres remèdes, est puni de prison ». En 1852, bien que l’avortement thérapeutique soit toléré par l’Académie de médecine, une nouvelle loi déclare que l’avortement est « un crime contre l’ordre des familles et de la moralité publique ». L’avortement thérapeutique n’est toléré que si la grossesse met la vie de la mère en péril.

Une proposition du professeur Odilon Lannelongue aboutit à la loi du 29 juillet 1920 tendant à « réprimer la provocation à l’avortement et la propagande anticonceptionnelle » car le pays, qui avait encore du bon sens et un instinct de survie, veut combattre la dépopulation due à la saignée démographique de la Grande Guerre. L’avortement est donc considéré comme un crime.
En 1942, sous le régime de Vichy, dont la devise est « Travail, Famille, Patrie », l’avortement est passible de la peine de mort. Marie-Louise Giraud, dite « la faiseuse d’anges », avorteuse, a été guillotinée le 30 juillet 1943. Cette affaire a inspiré Claude Chabrol pour son film « Une affaire de femmes » sorti en 1988 (5). La loi de 1942 est abrogée à la Libération. À partir de la fin des années 1950, les mouvements de revendication des femmes pour légaliser l’avortement se multiplient.

Un peu plus tard, en 1966, le « Serment d’Hippocrate », prêté par tout médecin, est révisé car il interdisait l’avortement (« je ne remettrai à aucune femme un pessaire abortif »). Dérive du « Serment d’Hippocrate » en serment d’hypocrite ; le médecin était, jusqu’alors, chargé de soigner, de guérir si possible, pas d’attenter à la vie d’un patient, né ou à naître.
En 1970, le député Claude Peyret présentait une proposition de loi qui prévoyait l’accès à l’avortement thérapeutique en cas de viol. Mais ce texte n’a jamais été voté.
Le « manifeste des 343 salopes », en 1971 puis le procès de Bobigny (où est jugée une jeune fille mineure qui avait avorté après un viol), devient un procès politique autour de l’avortement, qui suscite de larges débats et aboutit à l’acquittement de la prévenue en 1972. Largement médiatisés, ces évènements marqueront fortement le débat public. Dès lors, le ministre de la Justice, René Pleven, donne consigne de ne plus poursuivre les avortements. Parallèlement, les mouvements pro-vie se développent, comme l’association « Laissez-les-vivre » fondée en 1971.
On s’agite beaucoup sur l’IVG dans les loges maçonniques et, en 1973, le « Mouvement pour la liberté de l’avortement et de la contraception » (MLAC) est créé par des militants, souvent issus du « Mouvement français pour le planning familial » et de la CFDT. Ces militants vont réaliser des milliers d’IVG, les revendiquer, organiser ouvertement des bus de femmes allant avorter à l’étranger, et des manifestations régulières dans toute la France. Face à une loi bafouée et impossible à faire respecter, le gouvernement se couche : l’avortement est finalement autorisé et encadré par le vote de la loi Veil en 1975. La dépénalisation de l’avortement et l’encadrement légal de l’IVG sont adoptés en novembre 1974 (avec entrée en vigueur en janvier 1975). La majorité de la droite de l’époque vote contre le projet de loi, mais le soutien de la gauche à la proposition de Simone Veil lui permet d’obtenir la majorité. On me dit que Simone Veil, notre               « panthéonisée » par Macron, ne voulait pas ça ; qu’elle pensait que l’avortement serait l’exception ; qu’il y aurait de moins en moins d’IVG. Elle avait accepté d’ouvrir la boîte de pandore. Sa loi infâme avait été adoptée « à titre expérimental », mais la loi du 31 décembre 1979 la confirmera. Toutefois, jusqu’à la promulgation du nouveau Code pénal en 1992, le droit français connaissait toujours l’infraction d’avortement. Jusqu’à cette date, l’IVG n’était juridiquement comprise que comme une dérogation à un délit.

Depuis, l’IVG est défendue comme un droit voire une liberté pour la femme dans la limite des douze premières semaines de gestation. Les harpies féministes qui braillaient « notre ventre nous appartient » avaient gagné le droit de tuer leur progéniture. On ose appeler ça « une avancée » !
Bien entendu, il fallait aussi lutter contre les anti-IVG. La loi du 27 janvier 1993 introduit dans le Code de la santé publique l’infraction d’« entrave aux opérations d’interruption de grossesse ».
La voie médicamenteuse pour l’IVG est autorisée depuis 1989 en hôpital ; et depuis 2001 en cabinet de médecine de ville sous condition de sept semaines maximum aménorrhée à l’époque.
La loi Vallaud-Belkacem du 4 août 2014 renforce le droit à l’IVG. La loi sanctionne toute entrave à l’information sur l’IVG et supprime la condition de détresse avérée que la loi de 1975 exigeait pour ouvrir droit à une IVG : la ministre des Droits des femmes, qui vient d’un pays où l’IVG est interdite, souhaitait protéger la liberté des femmes à disposer de leur corps.
L’IVG est désormais remboursée à 100 % par la Sécurité sociale, l’acte médical est revalorisé pour augmenter le nombre de praticiens et un site gouvernemental dédié « ivg.gouv.fr » est lancé le 27 septembre 2013. Le 1er décembre 2016, la proposition de loi du délit d’entrave numérique à l’IVG est débattue à l’Assemblée nationale. Elle a pour objectif de soumettre les sites qui dissuadent les femmes à pratiquer l’IVG (dans une intention politique, idéologique ou religieuse) à un encadrement législatif. La loi est votée définitivement le 16 février 2017.
En août 2020, une proposition de loi « visant à renforcer le droit à l’avortement » prévoyant de rallonger le délai légal de douze à quatorze semaines de grossesse est déposée par des députés de divers groupes, et portée par la députée Albane Gaillot. La proposition est adoptée en première et deuxième lecture par l’Assemblée nationale mais rejetée par le Sénat. La loi sera définitivement adoptée le 2 mars 2022, permettant l’avortement jusqu’à quatorze semaines.
Mais le massacre d’une nation ne s’arrête jamais !

L’inscription, dans la Constitution, de l’IVG est de nouveau réclamée après l’arrêt « Dobbs v. Jackson Women’s Health Organization » de la Cour suprême américaine. Reprise par les députés « LFI-Nupes » et « Renaissance », une proposition de loi d’inscrire l’IVG dans la Constitution est votée en novembre 2022. Le 24 novembre, le texte est adopté en première lecture par 337 voix contre 324.
La suite, vous la connaissez, le Sénat vient d’adopter le texte – le 28 février – par 267 voix contre 50. Il sera soumis prochainement aux deux chambres réunies en Congrès à Versailles ; le résultat est couru d’avance. Et personne, dans ce foutu pays, ne se lève pour crier haut et fort qu’il rentre chaque année chez nous plus d’allogènes (majoritairement afro-maghrébins) qu’on ne tue d’enfants à naître ; que l’IVG a fait deux ou trois fois plus de victimes innocentes que la Shoah ; que le contribuable n’a pas à financer des avortements « de confort » ; qu’on ne parle jamais de la détresse de nombreuses mères après une IVG ; pas plus que de l’atteinte au « serment d’Hippocrate » et de la remise en cause de la « clause de conscience » des médecins…etc…etc…
Personne ? Si, le député Stéphane Ravier qui s’est livré à un baroud d’honneur au Sénat le jour du vote. Le moins que l’on puisse dire c’est que la droite nationale n’est pas très loquace sur le sujet, sans doute par clientélisme électoral ? Le 13 novembre 2022, Marine Le Pen faisait savoir son opposition à ce projet de loi. L’analyse du scrutin la mentionne pourtant comme ayant voté en faveur du projet. Marine Le Pen étant absente, un autre député RN se serait « trompé de place » et aurait voté « pour ». En fait Marine Le Pen n’a pas cessé de louvoyer sur le sujet.
Il parait que 75 % des Français sont favorables à l’inscription de l’IVG dans la Constitution. Et bien, disons que je ne suis pas seulement parmi les 25 % qui trouvent cette mesure démagogique et idiote, je me situe parmi les 3 ou 4 % (5 % peut-être ?), qui considèrent l’IVG comme un crime. Et je pense – sincèrement – que les gens qui, dans notre camp, s’inquiètent du « remplacement de population » mais sont favorables à l’IVG sont, soit des imbéciles, soit des inconscients, car ils sont les complices, les « idiots utiles » de ceux qui œuvrent à l’éviction de la race blanche, à sa disparition en Occident, au profit d’une « africanisation » galopante.

J’ai dit plus haut que j’oubliais volontairement mes convictions religieuses pour parler d’un sujet aussi douloureux. En effet, il n’est pas nécessaire d’être catholique pour savoir que toute notre civilisation est bâtie sur le Décalogue chrétien. Les loges maçonniques, les révolutionnaires de 1789 et les progressistes depuis, l’ont bien compris. Nous sommes en train de vivre la fin de la chrétienté en Occident. La philosophe Chantal Delsol a magnifiquement expliqué ça dans son dernier essai (6).
Macron avait promis d’inscrire l’IVG dans la Constitution. Pour une fois il a tenu parole ; ça ne mange pas de pain et ça ne coûte rien. Et puis, n’est-il pas là pour détruire la nation France ? Il ne lui reste plus qu’à « panthéoniser » Gisèle Halimi car elle coche toutes les cases : elle était de gauche, favorable au FLN (donc traîtresse à son pays) pendant la guerre d’Algérie, et égérie de la lutte pour l’avortement. Avec ça, il est assuré de gagner 4 ou 5 points dans les sondages.

Eric de Verdelhan

1) Cette démagogie est d’ailleurs à géométrie variable. 78 % des Français seraient favorables à un référendum sur l’immigration mais il n’en est pas question. Un référendum ne résoudrait rien car nous nous sommes opposés au traité de Nice, Sarkozy nous l’a imposé avec le traité de Lisbonne.
2) Que j’autorise à me porter la contradiction (dans la mesure où ils ne m’insultent pas).
3) Sources : INSEE.
4) Il faut se rappeler que Robespierre était… contre la peine de mort, sauf pour les ennemis de la liberté. Ces gens-là ne manquent pas d’aplomb !
5) « Une affaire de femmes » film de Claude Chabrol sorti en 1988, avec Isabelle Hupert ; adapté du livre du même nom de l’avocat Francis Szpiner (éditions Balland).
6) « La fin de la Chrétienté » de Chantal Delsol ; éditions du Cerf ; 2021.

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