Les lumières qui nous gouvernent clament qu’elles vont économiser 10 milliards en 2024, mais elles nous cachent qu’elles augmentent la dette publique de 10 milliards par mois.
Macron a augmenté la dette de 800 milliards depuis 2017, la portant à 3 100 milliards. La pire gestion depuis 1945.
Il y a des années que le pays est à l’abandon. Macron et ses complices, choisis sciemment pour leur incompétence, n’ont qu’une obsession : détruire la France que nous a léguée le général de Gaulle. Le travail de démolition de la nation est en passe d’être achevé, la France étant menacée de faillite totale d’un côté et d’une guerre civile de l’autre.
Il est clair que Macron passera dans l’histoire comme le pire fossoyeur de la France, détruisant tout l’héritage gaullien qui subsiste encore aux ravages du mondialisme et du multiculturalisme.
Il suffit de regarder ce qu’est devenue Paris, la Ville lumière qui fascinait le monde au temps des Trente Glorieuses, pour comprendre où va la France. Le nord de la ville est devenu un cloaque immonde où s’entassent tous les miséreux de la planète. Violence, drogue et prostitution ont envahi les trottoirs et détruit le quotidien des riverains, faisant exploser l’insécurité et s’effondrer les prix de l’immobilier. Qui a envie de vivre dans un bidonville ?
Cette immigration exponentielle nous a ruinés et nous conduit inexorablement à la situation que connait Mayotte : violence extrême et pauvreté généralisée, fléaux de bien des pays du tiers-monde.
La guerre civile ? Elle se profile, conformément à ce que nous annonçait Gérard Collomb, le flic le mieux renseigné de France que personne n’a écouté. Avec 75 % des jeunes musulmans qui placent la charia avant la République, l’avenir ne peut être qu’explosif. Et comme il n’y a plus aucune opposition, Macron a le champ libre pour poursuivre son méticuleux travail de nuisance. La 30e loi sur l’immigration en est la preuve, après son passage au sein du Conseil constitutionnel. Une loi bidon qui va amplifier la submersion.
Mais aujourd’hui, parlons économie tant la situation devient alarmante.
Cela fait exactement 50 ans que la France n’a plus eu un seul budget excédentaire.
En 1980, la dette publique pesait 20 % du PIB. Elle en représente 112 % aujourd’hui, soit 45 600 euros par Français.
Les prélèvements obligatoires culminent à 48 % du PIB contre 42 % pour la zone euro.
Les intérêts de la dette, qui étaient de 40 milliards en 2021, seront de 84 milliards en 2027, voire plus si les taux explosent.
Le déficit commercial est de 100 milliards par an.
Le déficit budgétaire est de 173 milliards.
La France empruntera 290 milliards en 2024 pour financer les trois besoins suivants : payer les intérêts à nos créanciers, rembourser les dettes arrivant à échéance et combler le déficit budgétaire chronique. C’est la pyramide de Ponzi devenue incontrôlable.
En 2027, la charge de la dette (poids des intérêts) sera le premier budget de l’État.
Quand un pays a une croissance de 1 % et doit supporter une charge de la dette de 3 % du PIB, ainsi qu’un déficit commercial de 4 %, il ne peut que se fracasser contre le mur.
La conclusion est simple :
Si le pouvoir continue sa gestion de cigale, soit la France sera contrainte de se placer sous la tutelle du FMI, soit elle devra appliquer le même traitement de cheval que la Grèce en 2008, avec un effondrement du PIB et du niveau de vie.
Dans sa chronique du Figaro, Nicolas Baverez n’écarte pas ces perspectives dévastatrices.
Déjà écrasée d’impôts, totalement dépendante de la loi des marchés et des agences de notation, la France n’a plus aucune marge de manœuvre. Seule une gestion de fourmi peut la sauver du naufrage, ce qui serait une grande première depuis cinquante ans !
Jacques Guillemain