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Le gaz naturel a obtenu la note « A », suivi par le nucléaire, qui a obtenu la note « B+ ». L’énergie éolienne et l’énergie solaire arrivent en dernière position, recevant chacune la note « F », selon l’étude.

Une importante étude montre que le gaz naturel est la source d’énergie la plus efficace pour répondre à la demande croissante d’énergie de manière abordable et fiable, tout en équilibrant l’impact sur l’environnement et l’homme.

L’étude « Grading the Grid » réalisée par le Mackinac Center for Public Policy, une organisation à but non lucratif favorable à l’économie de marché, et l’université de Northwood, a comparé entre elles les sources de production d’énergie : le gaz naturel, le charbon, le pétrole, le nucléaire, l’hydroélectricité, l’énergie éolienne, l’énergie solaire et géothermique, en fonction de leur fiabilité, de leur impact sur l’environnement et sur l’homme, de leur coût, de leur innovation et de leur faisabilité.

1 Arrivant numéro 1, le gaz naturel, explique l’étude, est le mieux à même d’intégrer l’intermittence inhérente aux énergies éolienne et solaire, qui ne produisent de l’électricité qu’en fonction des conditions météorologiques.

“Le gaz constitue une source d’énergie fiable, abordable et de plus en plus propre, tant pour les applications traditionnelles que pour les applications soumises à des contraintes de carbone », indique l’étude.

2 L’étude considère le nucléaire comme le « meilleur des mondes » – le meilleur compromis pour sa sécurité et sa sureté, son abondance, sa fiabilité, ainsi que pour sa capacité à fournir de l’électricité sans émissions de carbone.

Mais les principaux défis auxquels le nucléaire est confronté sont les coûts initiaux et les préoccupations liées au stockage des déchets nucléaires. L’étude note que ces déchets ont été stockés sur les sites des réacteurs dans des châteaux secs qui résistent à un impact direct de missiles allant jusqu’à 1 000 km/h. Le combustible usé peut également constituer une source de combustible pour les réacteurs en cours de développement.

3 Le charbon a été bien noté dans l’étude en ce qui concerne l’abondance, l’accessibilité financière et la fiabilité, mais il a perdu des points en raison de ses niveaux élevés d’émissions polluantes et de dioxyde de carbone. L’étude relève que si les producteurs de gaz américains atteignent des niveaux de production record qui font baisser les prix du gaz, le charbon, en revanche fait face à une concurrence acharnée – notamment de la Chine.

4 L’hydroélectricité a reçu la note « B-», ce qui n’est pas une bonne note pour une source d’énergie embaumée à l’eau de rose par les médias et les Verts. Bien qu’elle produise une énergie fiable, renouvelable et sans émissions de carbone, la nature expansive des installations hydroélectriques rend improbable l’autorisation de nouveaux développements, ce qui limite son potentiel à répondre à une demande accrue.

5 Bons derniers, les chouchous des écolos sont une mauvaise idée pour l’homme, pour l’environnement, et pour la société. L’éolien est l’une des deux sources d’énergie dites renouvelables pour laquelle les médias et les politiques font des gorges chaudes et font largement la promotion, en raison de sa prétendue capacité à réduire l’impact sur l’environnement de la production d’électricité. Mais en réalité, lorsque l’honnêteté prévaut sur l’idéologie, il s’avère que l’énergie éolienne, commercialisée comme étant capable de protéger l’environnement, de réduire les tarifs d’électricité et d’améliorer la fiabilité du réseau ne remplit pas du tout ces rôles. S’il est vrai que l’énergie éolienne ne produit pas de dioxyde de carbone, il y a de nombreuses autres conséquences négatives sur la fiabilité du réseau, l’environnement, le coût élevé et la disponibilité pour la société qui ne sont intentionnellement pas prises en compte.

6 L’énergie solaire est la deuxième des deux sources d’énergie dites renouvelables largement promues pour sa prétendue capacité à réduire les impacts environnementaux. Hélés, comme l’éolien, le solaire est commercialisé pour sa capacité à protéger l’environnement, à réduire les tarifs de l’électricité et à améliorer la fiabilité du réseau, mais là encore, la promesse n’est pas tenue.

Comme le vent, l’énergie solaire ne produit pas de dioxyde de carbone. Cependant, il existe de nombreux autres problèmes liés à la fiabilité du réseau, à l’environnement, à l’économie, à la société et aux droits de l’homme, associés à son utilisation, qui sont ouvertement occultés dans le but d’influencer l’opinion publique et de la manipuler.

Au bout du compte, le gaz naturel obtient la meilleure note « A », suivi par le nucléaire, « B+ ». L’énergie éolienne et l’énergie solaire arrivent en dernière position, recevant chacune la note « F ». Donc vous ne verrez nulle part cette étude mentionnée dans les grands médias – ou alors, pour détruire sa validité.

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