C’est la seule option réaliste pour éviter que se répètent des massacres comme celui du 7 octobre, et les crimes à répétition ourdis par des fanatiques mahométans contre les civils. Femmes, enfants et bébés. Plus faciles à tuer que les soldates de Tsahal armées et entraînées au combat, qui mettent en déroute les grands guerriers d’Allah.
Des voix s’élèvent en Israël pour récupérer Gaza
Le ministre israélien des Finances Bezalel Smotrich représente ce courant d’opinion, de plus en plus partagé. Il a préconisé dimanche le retour des habitants juifs dans la bande de Gaza.
Les Israéliens ne sont pas des colons à Gaza. Ils sont chez eux. Les soi-disant « Palestiniens » dont on a inventé l’existence après 1948, y ont été entassés par des organisations internationales parce que leurs « frères » des pays arabes refusaient de s’encombrer de ces miséreux.
Et sans l’inconséquence de Sharon, général victorieux devenu diplomate sur ses vieux jours, les Israéliens y seraient encore et contrôleraient la situation. Illustrant une fois de plus l’aphorisme de Churchill : « Vous avez choisi le déshonneur pour éviter la guerre, vous avez eu les deux ! ».
À l’été 2005, se fiant aux promesses de paix de la prétendue autorité palestinienne qui ne contrôlait rien ni personne sur le terrain, et pratiquait la taqîya au profit des terroristes et des égorgeurs, 8 000 Israéliens installés à Gaza furent expulsés de force par leurs propres compatriotes. Une infamie dont le pays paye le prix fort aujourd’hui.
Leurs maisons furent passées au bulldozer, leurs ateliers et leurs silos démembrés, et leurs terres distribuées aux mahométans qui les laissèrent en friche. Abandonnées comme avant, pendant des siècles… Et l’on répartit les nouveaux « Juifs errants » dans diverses communautés où la plupart eurent autant de mal à s’adapter et à se reconstruire que les Pieds Noirs trahis par la France après 1962.
Avec les islamistes, la paix est impossible
L’arnaque a été ficelée par les Nations désunies, leurs satellites arabolâtres et les crapuleuses ONG islamophiles, commodes paravents pour masquer un antisémitisme tenace. Le deal était simple et stupide à la fois. L’Occident taré allait subventionner les Gazaouis à coups de centaines de milliards de dollars, leur offrir une vie douillette avec tous les avantages de la civilisation, le confort sans effort, et ils se tiendraient tranquilles. Ce fut interprété comme une faiblesse, et les donateurs n’ont eu que du mépris en retour.
Car toute l’histoire des mahométans depuis quatorze siècles montre que ces fanatiques ne se calment jamais. Soit ils s’emparent des richesses des peuples vaincus, soit ils saignent les envahis trop lâches pour se battre, mais en aucune façon ils ne renoncent au djihad. La pulsion démente de conquérir et de convertir la terre entière, comme leur a ordonné un chamelier pédophile, autoproclamé prophète.
Les milliards envoyés à jet continu pour développer les infrastructures, l’éducation et la santé, ont servi pour transformer Gaza en un immense bunker souterrain, y accumuler des armes, et enrichir les chefs terroristes. Même pour l’entretien des mosquées qui menaçaient ruine, ils faisaient le strict minimum. Sauf si elles servaient, comme les écoles et les hôpitaux, de caches d’armes et de postes de tir.
Pour éviter les tueries de demain, il faut éliminer les assassins d’aujourd’hui
Envisageant l’après-guerre du conflit entre Israël et le Hamas, le ministre des Finances israélien plaide pour un retour des Israéliens dans la bande de Gaza où ils vivaient et faisaient prospérer ce territoire entre 1967 et 2005 avant d’être délogés par les autorités israéliennes dans le cadre d’un plan d’abandon unilatéral. En échange d’une promesse de paix illusoire. Dont on mesure aujourd’hui toute l’inanité.
Cette fois, ils ne commettront pas à nouveau les mêmes erreurs. Aucun pays ne pourrait accepter à sa bordure des groupes armés de bandits et de terroristes transfrontaliers, décidés à profiter de toutes les occasions pour piller et massacrer leurs voisins. Parce que, entre 2005 et les massacres de 2023, les infiltrations et les attentats terroristes n’ont jamais cessé. Les mahométans résidant à l’année en Israël servaient de couverture à leurs « frères » et assuraient l’intendance.
Volontairement, pas contraints comme les vendus des médias français le prétendent. Les hurlement d’allégresse, les coups de feu en l’air façon fantasia, les youyous des fatmas chaque fois que des Juifs étaient assassinés témoignent de cette complicité enragée de l’oumma.
Les Gazaouis doivent être incités à émigrer vers d’autres pays
« Pour avoir la sécurité, nous devons contrôler le territoire et pour le contrôler militairement sur le long terme, nous avons besoin d’une présence permanente », a déclaré Smotrich dans une interview à la radio militaire en réponse à une question sur l’opportunité de restaurer des établissements israéliens dans la bande de Gaza.
Bezalel Smotrich est le chef du parti « Sionisme religieux ». En France, on lui reproche ses croyances. Mais on s’abstient de critiquer la furie des mahométans… Smotrich qui fait partie de la coalition gouvernementale au pouvoir, considère qu’Israël devrait encourager les quelques 2,4 millions de coraniques de Gaza à quitter le territoire pour émigrer vers d’autres pays. Mahométans comme eux. Où ils seraient plus heureux. Ou pas. Comme en Arabie où on décapite au sabre les trublions.
On aurait dû les virer en 1948, mais il n’est jamais trop tard pour les bonnes décisions. Avec le zakât, l’aumône légale qui est un des piliers de l’islam, les princes arabes subventionnent le terrorisme, mais ils ne veulent pas de ces lascars chez eux. Il faut les leur imposer. En usant de la force si nécessaire. Puisque c’est le seul langage qu’ils comprennent.
« Si nous adoptons les mesures adéquates et qu’il ne reste que 100.000 ou 200.000 Arabes à Gaza au lieu de 2 millions, leur discours guerrier sera complètement différent », dit Smotrich. Mettant les Nations désunies et les monarchies richissimes face à leurs responsabilités. Même s’il faut leur forcer un peu la main.
« Nous aiderons ces réfugiés à se réinstaller dans d’autres pays d’une manière appropriée et humaine, avec la coopération de la communauté internationale et des pays arabes autour de nous ». Les centaines de milliards dilapidés pour armer les terroristes pourraient être utilisés pour construire la paix. Chez les mahométans. Et entre eux. Puisqu’il est surabondamment démontré qu’ils ne sont pas miscibles pacifiquement aux autres peuples.
Le dégazage de Gaza est à suivre de près par nous, Français. Si cette entreprise d’éradication du fanatisme et du terrorisme réussit, il y aurait des leçons à prendre. Les collabos de la cinquième colonne ne pourront pas interdire indéfiniment aux Français de se défendre.
En 2003, ils auraient mieux fait d’écouter Ehoud Olmert
Bien qu’ils soient du même parti, le Likoud, il est de notoriété publique que Sharon et Olmert ne s’aimaient guère, même s’ils devaient travailler ensemble. Et Olmert a été nommé Premier ministre en 2006. Un an trop tard. La grosse connerie venait d’être faite.
À la place d’un plan de désengagement reposant sur de vagues promesses, Olmert aurait préféré un statut de séparation. Chacun restant chez soi. Mais le mot « séparation» contrariait la crapuleuse communauté internationale parce qu’il évoquait une forme d’apartheid… En novembre 2003, Ehoud Olmert avait expliqué sa vision politique d’un développement séparé.
« Il ne fait aucun doute dans mon esprit que très bientôt le gouvernement d’Israël va devoir aborder la question démographique avec le plus grand sérieux et la plus grande résolution. En l’absence d’un accord négocié – et je ne crois pas à la perspective réaliste d’un accord –, nous devrons garder l’initiative des opérations (…)
De plus en plus de « Palestiniens » ne sont pas intéressés par une solution négociée car ils veulent changer l’essence du conflit. Passer d’un paradigme « algérien » à un paradigme « sud-africain» . De la « lutte contre l’occupation » dans leur langage, à la lutte pour un homme-un-vote (…)
Pour nous, cela signifierait la fin de l’État juif… Les paramètres d’une solution viable sont : maximiser le nombre de Juifs, minimiser le nombre de « Palestiniens», ne pas se retirer à la frontière de 1967 et ne pas diviser Jérusalem. »
Dans un monde parfait, tous les peuples vivraient en paix. Mais ce monde idéal n’existe pas. Il faut donc être fort et se battre pour vaincre ses ennemis. Ou disparaître. C’est la dure loi de la Nature.
Christian Navis