Et les politicards idiots ne manquent pas, surtout sous Macron.
Un peu tard, évidemment, puisque ce projet de loi va passer demain, 19 décembre, à l’Assemblée…
Comment a-t-on pu en arriver là, lentement et sournoisement, depuis des décennies ?
Déjà, un truc m’avait choqué.
Avant, en France, on avait un « ministère de la Santé. » C’était clair.
La santé était l’affaire des scientifiques, médecins et biologistes et le politique ne s’en mêlait pas trop.
Aujourd’hui, lorsque on parle de médecine et de santé, les politiques et les médias nous balancent du « Ministère des Solidarités et de la Santé » (vous remarquez que la Santé passe en second plan…) et du « Santé Publique France. »
Ministère des Solidarités et de la Santé :
« Le ministère des solidarités et de la santé prépare et met en œuvre la politique du Gouvernement dans les domaines des affaires sociales, de la solidarité et de la cohésion sociale, de la santé publique et de l’organisation du système de soins. Sous réserve des compétences du ministre de l’économie et des finances, il prépare et met en œuvre la politique du Gouvernement dans le domaine de la protection sociale. »
https://choisirleservicepublic.gouv.fr/employeurs/ministere-des-solidarites-et-de-la-sante/
Où il est question de politique du gouvernement, de solidarité, de cohésion sociale, de protection sociale, le tout sous les compétences du ministre de l’Économie et des Finances…
Mais la santé semble bien être la cinquième roue du carrosse de ce ministère.
Dans ce ministère on trouve des services : La direction générale de la santé, la direction générale de l’offre de soins, la direction générale de la cohésion sociale, la direction de la sécurité sociale et la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques.
Mais franchement on sent bien la volonté de faire de la santé un truc marginal, négligé, méprisé et oublié du gouvernement, ce qui est l’exact reflet de l’attitude actuelle de l’État envers les Français, notamment en matière d’accès aux soins, de ressources hopitalières, de déserts médicaux, de déserts pharmaceutiques, etc.
Alors, complètement largués, ils ont inventé un nouveau service : « Santé publique France », (Agence Nationale de Santé Publique) dont les médias nous abreuvent quotidiennement, sous la tutelle d’un mystérieux « Ministère de La Santé et de la Prévention… »
https://sante.gouv.fr/ministere/acteurs/agences-et-operateurs/article/sante-publique-france
On aurait pu croire que la Santé et la Prévention auraient logiquement pu relever de la compétence du ministère de la Santé, mais pas du tout !!
https://www.santepubliquefrance.fr/
(L’Agence nationale de santé publique, aussi connue sous le nom de Santé publique France, est un établissement public à caractère administratif français, placé sous la tutelle du ministère chargé de la santé, dont le président du conseil d’administration est nommé par décret du président de la République.
Prévue par la loi de modernisation du système de santé, elle est créée le 1er mai 2016. Elle succède à l’Institut de veille sanitaire (InVS), l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes), l’Établissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires (Éprus) et Addictions Drogues Alcool Info Service (Adalis).)
Sous la tutelle de « Santé Publique France » (Agence Nationale de Santé Publique) on retrouve les « Agences Régionales de Santé » qui servent de courroie de transmission entre l’État et le bon peuple de base qui ne se pose aucune question…
Créées par la loi « Hôpital, patients, santé et territoires » (HPST) de 2009, les agences régionales de santé (ARS) constituent le relais du ministère de la Santé dans les régions. Elles ont pour mission de décliner la politique de santé publique à l’échelle régionale en tenant compte des spécificités de leur territoire, d’assurer une veille sanitaire, de promouvoir la santé et d’apporter une réponse aux situations d’urgence ou de crise.
(Ces établissements publics à caractère administratif (EPA) disposent d’une certaine autonomie pour agir dans les domaines de la prévention, du soin (ville, hôpital) et dans le domaine médico-social.)
Le système de santé en France
Le système de santé français s’appuie sur des structures multiples : ambulatoires pour les soins dits « de ville », sanitaires pour la prise en charge hospitalière et médico-sociales et sociales pour des publics dits « fragiles », âgés ou handicapés. Il repose sur la liberté de choix du patient et du résident : chaque patient est libre de choisir son médecin traitant, un spécialiste en accès direct, son établissement de santé, sa structure d’hébergement, ceci dans le secteur public comme dans le secteur privé.
https://www.cleiss.fr/particuliers/venir/soins/ue/systeme-de-sante-en-france.html
Et bien sûr vous avez aussi un Haut Conseil de la Santé Publique :
https://www.hcsp.fr/explore.cgi/Accueil
Et n’oubliez pas le fameux « Ordre des Médecins » qui a tant fait pour nous protéger de tous les maux, mais pas de ceux de Macron, hélas !
L’Ordre des Médecins :
Institution de droit privé chargée d’une mission de service public, l’Ordre assure la régulation déontologique de la profession médicale. Présent sur tous les territoires l’Ordre agit au plus près des médecins dans leur exercice. Il leur apporte un éclairage déontologique, des conseils juridiques, accompagne leur installation, les guide dans leurs démarches administratives, les soutient en cas de difficultés. L’Ordre veille également à préserver l’intérêt du patient et la relation médecin-patient est au cœur de ses préoccupations. Il dispose à cet égard d’instances disciplinaires.
https://www.has-sante.fr/jcms/c_454914/fr/conseil-national-de-l-ordre-des-medecins
C’est cet Ordre des Médecins qui contrôle le « Numérus Clausus » qui limite le nombre de médecins qui doivent être formés chaque année. Bien que la page web en lien soit pleine de bonnes intentions et de prétextes vertueux, tout le monde sait que la limitation du nombre de médecins et faite pour assurer et maintenir aux médecins des revenus confortables et certainement pas pour réduire les dépenses de santé…
Il aurait été supprimé en 2021, mais remplacé par un concept inversé.
https://etudiant.lefigaro.fr/vos-etudes/etudes-superieures/33870-numerus-clausus-de-quoi-parle-t-on-en-medecine/
Actuellement, l’Ordre des Médecins est tout sauf indépendant et se trouve sous la coupe absolue du président de la République, ce qui est un scandale absolu. Le but étant que la Santé Publique soit SA Chose et lui permette de servir ses maîtres de l’UE liés à l’industrie pharmaceutique américaine qui vend à l’UE des milliards de doses de pseudo-vaccins anticovid inutiles et dangereux ?
Tout comme le fait que la magistrature soit également totalement sous la coupe du même personnage, car c’est lui qui nomme ou vire les membres de l’Ordre des Médecins comme il le fait pour le garde des Sceaux ou n’importe quel ministre, ainsi, bien sûr, que les présidents des chaînes de radio et de télévision.
Lorsque Macron réunit son fameux « Conseil scientifique » à l’Élysée, c’est un prétexte pour faire croire que ce sont des scientifiques qui décident avec lui de la politique sanitaire du pays. C’est faux !
Macron est le seul à parler et à donner des ordres et les autres ferment leur gueule et font profil bas.
D’ailleurs, ce Conseil scientifique change tout le temps, compte tenu du nombre incroyable de démissions et de désistements.
Comme vous pouvez le voir depuis le début de cet article, la santé publique en France, c’est tout sauf un truc simple et c’est tout sauf scientifique et médical.
La santé publique c’est aussi jongler avec les milliards des labos américains, très loin du souci de la vraie santé des Français qui peuvent crever massivement.
C’est le politique, Macron et ses sbires, qui décident de tout et leurs décisions sont uniquement politiciennes et allant dans le sens de leurs intérêts personnels politiques et financiers.
La santé publique est devenue une usine à gaz totalement ingérable à laquelle personne ne comprend plus rien et qui devra être entièrement réformée à la première occasion.
Les salariés qui travaillent dans ces organismes de santé publique ne comprennent rien à leur travail ni aux directives qu’on leur donne.
J’en arrive au plus grave. Macron veut en finir avec ceux qui critiquent sa politique sanitaire. À ce titre, il se prépare une nouvelle loi qui va pénaliser et permettre de condamner à des amendes lourdes et des peines de prison tous ceux qui se permettront de critiquer la politique sanitaire de l’État et donc de Macron.
N’oubliez jamais que Macron veut tuer un maximum de Français pour les remplacer à terme, par des immigrés. Tout ce qu’il décide et fait est dans ce but.
« Article 4 : Dans son projet de loi contre les dérives sectaires, le gouvernement vise-t-il les praticiens de la santé plus que les charlatans ? »
https://www.francesoir.fr/politique-france/dans-son-projet-de-loi-contre-les-derives-sectaires-le-gouvernement-vise-t-il-les
Sont surtout visés, à mon avis, ceux qui disent la vérité…
Un projet de loi destiné à mettre la médecine sout tutelle et à faire des médecins des pantins contraints de se soumettre à la dictature d’État.
Vous devez absolument lire l’article en lien (très intéressant) et, de préférence, signer la pétition qui y est attachée.
« NON au projet de loi « Protéger la santé » du 19 décembre ! »
https://www.mesopinions.com/petition/sante/projet-loi-proteger-sante-19-decembre/222433
Il y a d’ailleurs une autre pétition allant dans le même sens de
« l’Association Internationale pour une Santé Naturelle, Scientifique et Humaniste »
https://www.abolition-article-4.com/signature
Laurent DROIT