« Viva la libertad, carajo ! »
(« Vive la liberté, bordel ! »)
« Respecter les premiers principes du droit à la vie, à la liberté et à l’intégrité corporelle des personnes, du droit au consentement préalable libre et éclairé en médecine… »
Une loi pour protéger les charlatans meurtriers
« Projet de loi (procédure accélérée) visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires »
Après avoir indiqué qu’il y avait 270 « va x ins » en cours de développement, Mary Holland, qui est professeur de droit à la « NYU Law » (« Faculté de droit de l’Université de New York »), déclara le 4 mai 2016 aux Nations Unies (New York) : « Si nous ne respectons pas les premiers principes du droit à la vie, à la liberté et à l’intégrité corporelle des personnes, du droit au consentement préalable libre et éclairé en médecine, nous pourrions nous retrouver dans des situations désastreuses prévisibles ou même inconnues ».
« La médecine installera un jour une dictature… »
Dans mon esprit, cette déclaration fit écho à celle, tenue 240 années plus tôt, de Benjamin Rush : « À moins que nous n’incluions la liberté thérapeutique dans notre Constitution, la médecine installera un jour une dictature que nous sommes incapables de concevoir pour le moment. »
Précisons que Benjamin Rush, qui était le médecin de George Washington, est l’un des signataires de la Déclaration d’indépendance des États-Unis en 1776.
« Protéger la santé »
« La médecine installera un jour une dictature… », redoutait Benjamin Rush. On y arrive avec le « Projet de loi visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires » qui est présenté au Sénat en procédure accélérée.
On y arrive, sauf que ce n’est pas la « médecine » qui installe une dictature au prétexte de protéger notre santé, mais ces sbires des milliardaires mondialonazis adeptes de la dépopulation de la Planète que sont les politiciens professionnels occidentaux…
Politiciens professionnels qui utilisent la médecine pour cela, et pour le plus grand plaisir de Big Pharma.
Le chapitre III de ce projet de loi est intitulé « Protéger la santé ».
Il commence avec l’article 4 :
« Après l’article 223-1-1 du Code pénal, il est inséré un article 223-1-2 ainsi rédigé :
» Art. 223-1-2. – Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon, ou cette abstention, est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique. »
(…)
Il s’agit de la formulation juridique d’un aspect de notre futur statut d’esclave, et pas seulement de Big Pharma…
L’intitulé de cette loi n’est qu’un maquillage pour masquer l’instauration juridique de notre futur statut d’esclave des mondialonazis et de leurs multiples officines : Big Pharma, l’OMS, la Commission européenne, etc.
Que chacun lise et relise cet article 4 en se remémorant tout ce que nous avons subi depuis fin 2019, au nom de cette fameuse protection de notre santé …
N’oublions pas que c’est au nom de la protection de notre santé qu’ils auraient assassiné en 2020, et à coups d’injections de « Ri**vo**tril ® », des dizaines de milliers de personnes âgées en dans les EHPAD.
En France. Chez nous.
En 2020.
Sans qu’aucun politicien professionnel ne s’en étonne ou ne s’en émeuve.
N’oublions pas qu’au Québec, toujours au nom de cette fameuse protection de la santé, le gouvernement mondialonazi dirigé par François Legault a interdit aux ambulanciers – pendant 5 mois – de réanimer les malades…
Comme en France, il leur fallait annoncer tous les soirs à la télévision des morts dus au « C19 »…
Une loi protectrice de charlatans au titre de « docteur en médecine », mais qui envoient les patients à la mort, pour s’enrichir et enrichir Big Pharma !
Prenons l’exemple des produits à ARNm de Pfizer & Co.. Produits qui auraient à ce jour provoqué 30 millions de morts et sans doute 10 fois plus de maladies graves dans le monde.
Si l’article 223-1-2 de ce projet de loi avait été en vigueur avant que la vérité n’éclate, à savoir que ces produits ne protègent pas du « C19 » et qu’ils n’empêchent pas sa transmission, ce qui est précisé noir sur blanc dans tous les contrats signés par les gouvernements occidentaux avec Pfizer, personne n’aurait pu remettre en cause les mortelles injections à ARNm.
Rappelons que le ministre de la Santé, l’Académie de médecine, le Conseil national de l’ordre des médecins et l’immense majorité des médecins affirmaient, ou ne contredisaient pas ceux qui affirmaient le contraire, à savoir : « Les vaccins protègent à 95 % ou 99 % et ils empêchent la transmission du virus »…
Rappelons qu’en février 2020, soit deux mois après le début des injections à ARNm, Pfizer a transmis à la FDA des documents qui signalaient plus de 1 200 décès dus aux injections d’ARNm…
Et malgré cela, ils ont continué à affirmer que les produits à ARNm étaient sans aucun danger (ce que continue d’ailleurs à dire l’actuel ministre de la Santé, Aurélien Rousseau).
Ils mentaient, tous.
Ils se sont tous comportés en charlatans meurtriers.
Et cette loi nous aurait interdit, sous peine d’être ruinés et jetés en prison, de les dénoncer.
Cette loi les aurait protégé et elle aurait sans doute rendu impossible le dévoilement de la vérité.
Ruinés et emprisonnés…
Ainsi nous aurions été condamnés, car nous recommandions, et nous recommandons toujours, et plus que jamais, à nos lecteurs de ne pas se faire injecter avec ces mortels produits à ARNm (tout comme nous sommes contre toute obligation vaccinale et thérapeutique).
Cela aurait été considéré comme une incitation à « s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique [« va x in »] » qui aurait été considérée « en l’état des connaissances médicales [les affirmations mensongères des autorités de santé], manifestement susceptible d’entraîner pour elles [les personnes incitées], compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes [le « C19 »], des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique. »
Il en serait de même pour notre dénonciation des prescriptions de « Ri**vo**tril ® » ou encore du « Rem**desi**vir ® ».
Avec cette loi, seraient peut-être toujours prescrits ces poisons par des médecins qu’on ne pourrait pas accuser d’être des charlatans :
- La Dépakine ® (4 100 victimes officielles en France).
- Le Mediator ® (1 800 morts officiels en France).
- Le Vioxx ® (60 000 morts officiels dans le monde).
- Le Dengvaxia ® (des centaines d’enfants morts aux Philippines).
Sans même parler du « C19 » et des mortels produits à ARNm de Pfizer & Co., avec cette loi, la Dépakine ® le Mediator ®, le Vioxx ®, le Dengvaxia ®, etc. seraient toujours prescrits par des médecins en France. Médecins que nous ne pourrions pas accuser d’être des charlatans sous peine de nous retrouver ruinés et emprisonnés…
Ajoutons qu’avec elle, et c’est l’un des buts recherchés (museler l’information), Pierre Lefevre n’aurait pas pu poser cette simple question dans son dernier article :
« Il n’y aurait donc pas que les mortels produits à ARNm qui seraient extrêmement dangereux pour les êtres humains que nous sommes. On peut ainsi légitimement se demander si ces dangers ne concerneraient pas tous les « va x ins »…
Cette loi, c’est « No Futur » pour notre santé et nos libertés !
Cette loi s’inscrit dans le cadre général de la suppression totale de nos droits d’êtres humains et de nos libertés fondamentales.
Si elle est adoptée, nous n’aurons même plus la liberté de refuser d’avaler un médicament dont ils auront décidé qu’il est bon pour notre santé, comme l’étaient selon eux à l’époque la Dépakine ® le Mediator ® ou le Vioxx ®…
Tout comme nous n’aurons plus la liberté de refuser les injections des futurs « va x ins » à « ADNi » (ADN d’immunisation) à côté desquels les produits à ARNm passeront pour une légère plaisanterie…
La question qu’il faut se poser : que faire et comment faire pour que cette loi ne soit jamais adoptée ?
Patrick Ledrappier
Président co-fondateur
Libre Consentement Éclairé
PS : « Viva la libertad, carajo ! » (« Vive la liberté, bordel ! ») est emprunté au nouveau Président de l’Argentine, Javier Milei, qui en a fait un slogan lors de sa campagne électorale.
Dictature médicale : une loi pour protéger les charlatans meurtriers
(" Vive la liberté, bordel ! ") " Respecter les premiers principes du droit à la vie, à la liberté et à l'intégrité corporelle des personnes, du droit au consentement préalable libre et éc...
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