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10 juillet 2024 3 10 /07 /juillet /2024 06:21
À Gaza, ni trêve ni pardon pour les assassins

Les Juifs ont longtemps été faibles. Commerçants et artisans, avocats, écrivains et intellectuels, ils se sont laissé malmener par les remous de l’histoire. Même les premiers sionistes il y a 150 ans eurent du mal à leur insuffler un esprit combatif. Il fallut la Shoah pour que les rescapés réalisent que seuls les forts se donnent une chance de vivre. La révolte du ghetto de Varsovie avait démontré qu’ils pouvaient être des guerriers aussi pugnaces que les Boches.

Avec les nazislamistes, la lutte est perpétuelle

On ne chantera pas « c’est la lutte finale » car avec les coraniques c’est l’histoire sans fin. Une guerre qui dure depuis 1400 ans, que seuls des armistices peuvent suspendre. Mais pour que ces entractes aient des chances de durer, il faut commencer par écraser l’ennemi. Qu’il mette du temps à s’en remettre. Et craigne le pire s’il récidive. Nos anciens l’avaient compris contre les hispano-mauresques, les Turcs et les Barbaresques.

Même si la guerre a un coût élevé, en hommes et matériels, il n’y a pas d’autre alternative que d’aller jusqu’au bout. L’élimination des ennemis. Ou un affaiblissement tel qu’ils ne soient plus en mesure de nuire pour longtemps… Et s’ils croient décourager les Israéliens en diffusant des images de leurs atrocités, ils ne font que renforcer leur détermination. De plus en plus de femmes s’engagent dans les unités combattantes.

 

Le Premier ministre israélien sait bien que pour les islamistes, les cessez-le-feu sont des ruses pour se renforcer, les négociations des pièges pour gagner du temps, et les traités de paix de vulgaires torchons. Juste bons à amadouer la crapuleuse communauté internationale, donneuse hypocrite de leçons, partagée entre les effarouchés et les corrompus.

À Gaza, les lâches, les faibles, les traîtres et les salauds réclament une trêve

« Je reviens maintenant de Gaza. Nous n’arrêterons pas. Nous continuons de nous battre et nous allons intensifier les combats dans les jours à venir, ça sera une longue guerre qui n’est pas près de finir », a déclaré Benjamin Netanyahou devant les élus de son parti, après s’être rendu en personne, le 25 décembre, sur le théâtre des opérations.

C’est un chef comme ça qu’il nous faudrait en France ! Ça changerait des traîtres et des collabos vendus aux pétrodollars, et des lopettes vaincues sans se battre, qui déclarent fous les assassins pour ne pas avoir à les juger… Ces bons apôtres se drapent dans des discours humanitaires pour exiger une trêve. En insistant lourdement sur les souffrances des pauvres mahométans. Pas gênés par les clameurs de liesse que poussent leurs protégés, pour fêter les massacres de ces chiens d’infidèles par le Hamas.

Nos crapules exigent une pause non par humanisme, mais pour laisser aux ennemis de la civilisation le temps de se réarmer. Comme pendant la courte suspension des hostilités qui a permis de libérer quelques femmes et enfants, tandis que le Hamas en profitait pour récupérer des armes et des missiles. Avant de reprendre ses tirs sur des cibles civiles en Israël.

Quant aux 1500 civils égorgés comme des moutons de l’Aïd el-Kébir par les glorieux combattants d’Allah, il faudrait les passer aux pertes et profits… Les ordures ! Encore heureux que le crypto musulman Barak Hussein Obwana soit à la retraite. Il refusait de vendre à Israël des pièces de maintenance pour ses hélicos.

Quant au crétin Bergoglio, de quoi il se mêle ?

Depuis qu’il a roulé des pelles au grand mufti d’Al Ahzar, dans une mosquée salafiste, le papouillard doit se sentir tout émoustillé en évoquant « nos frères musulmans qui nous aiment tant. » (sic)

Sa Sainte Abjection verse une larme de crocodile sur les victimes (arabes, seulement arabes, les juives ne comptent pas !) et réclame l’arrêt immédiat des opérations militaires. Mais elle n’ose exiger de ses amis d’Iran et du Hezbollah qu’ils cessent de fournir aux terroristes des armes financées par les États-voyous du Golfe, qui ont des actions à la Banque du Vatican.

Sa Sainte Abjection serait un peu plus crédible si elle avait fustigé ses prédécesseurs qui ont pactisé avec Hitler et refusé de voir le judéocide… Avant de fournir des identités et des passeports aux nazis en fuite… Et plus tard, ont fermé les yeux sur les crimes sadiques perpétrés par les fellaghas sur des femmes et enfants Pieds Noirs désarmés.

Le tuerie du 7 octobre 2023 n’était pas une « escalade qu’on n’avait pas vue venir » dans le conflit du Proche Orient, mais un modus operandi habituel chez les islamistes. Commencé il y a 14 siècles contre les Coptes, les Kabyles, les Wisigoths d’Espagne, et sans cesse réitéré depuis.

La curaille locale, se trompant d’ennemi comme d’habitude, et ayant oublié l’extermination des chrétiens d’Orient, prêche un pardon enrobé de la vindicte pleurnicharde dégobillée par des « journalistes » aux patronymes arabes. Que Moussa et BFM n’essaient pas cette fois d’appeler Kevin ou Nestor, ils les vexeraient.

À Gaza, interdit de parler de « dommages collatéraux »

Lundi avant l’aube, l’aviation israélienne a repris ses bombardements à Gaza. Et les couinements de l’ennemi ont recommencé, comptant les morts, les blessés et les bâtiments détruits quand ils servaient de caches à des terroristes. Une logorrhée destinée à l’opinion internationale, ses institutions bancales et ses ONG partisanes, pourries jusqu’à la moelle.

Quand les villes Serbes étaient frappées par les crapules de l’OTAN, dont la France faisait partie, on ne s’émouvait guère des milliers de victimes civiles innocentes, ni des destructions des immeubles d’habitation, des écoles, des hôpitaux, des centres commerciaux, des ponts et des voies de communication. C’étaient des « dégâts collatéraux » inévitables. Tandis qu’à Gaza, on reproche à Tsahal de traquer des terroristes sanguinaires.

On sait aujourd’hui que l’Arabie et les Émirats ont piloté le dépeçage de la Serbie. Clinton endetté jusqu’au cou était leur obligé. Et les médias bien arrosés ont suivi. Au nom de l’oumma, on allait sauver les mahométans sécessionnistes du Kosovo et leur organisation terroriste UCK. Les « Kosovars » en tant que nation n’existaient que sur le papier et les écrans. Un peuple préfabriqué comme les « Palestiniens » après 1948.

J’ai fait un rêve…

Vœu de Noël ou souhait pour le nouvel an, allez savoir ? Que les Français se ressaisissent. Que les civils bloquent tout le pays par des grèves interminables, à commencer par celle des impôts. Pour gripper la machine déglinguée et montrer la porte de sortie aux macronards.

Mais si la résistance passive ne suffit pas, j’ai fait un rêve que j’ose à peine exprimer. Parce qu’il doit bien y avoir quelque part une loi scélérate qui punit ceux qui rêvent de travers comme ceux qui pensent mal. Serait-il interdit de rêver d’un monde où des militaires courageux (il doit bien en rester) et des policiers honnêtes (il doit bien en rester aussi) régleraient la succession du paltoquet « à la mode roumaine » ?

Peut-on rêver d’un pays où, la présidence enfin revenue entre de bonnes mains après un demi-siècle de trahisons et de mensonges, on réglerait le problème du terrorisme islamiste « à la Netanyahou. »

Je suis un légaliste. À la différence des Macronescu qui n’ont cessé de conchier la Constitution depuis 2017, en particulier en zappant l’obligation de saisir le Parlement pour tout engagement militaire à l’étranger de plus de quatre mois, comme le prescrit l’article 35… Et j’observe que les textes en vigueur suffiraient pour mater l’insurrection permanente des islamistes.

Article 15 : Le président de la République est le chef des armées.(…) Il est le garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire et du respect des traités. Il décide de l’emploi des forces militaires.

Articles 20 et 21 : « Le Gouvernement dispose de la force armée (…) Le Premier ministre est responsable de la défense nationale (…) Il est le garant de l’action gouvernementale dans tout le champ de la défense et de la sécurité nationale.

L’indépendance nationale et l’intégrité du territoire sont bien menacées quand des bandes armées ont fait sécession dans des zones où les rebelles ont chassé les représentants de l’État, et où ils appliquent des lois étrangères incompatibles avec celles de la République, inspirées par des nations pétrolières hostiles. Lesquelles exercent en outre, de l’extérieur, des pressions diplomatiques et économiques intolérables.

Un pouvoir légitime fort (et qu’importe les glapissements de la Hyène, les borborygmes du Soros et les vomissures des juges) déciderait pour commencer de l’emploi de la centaine de véhicules blindés légers dits Centaure mis à la disposition de la gendarmerie pour rétablir l’ordre public. Pas pour écraser les Français patriotes comme prévu actuellement, mais pour reconquérir les zones de non-droit et en expulser les délinquants avérés. Si ça ne suffisait pas, on a des hélicos de combat, des paras et des forces spéciales. Avec le matériel idoine pour les combats en milieu urbain. 

Sur ce, je vais aller me siffler un punch goyave (ou deux, soyons fous !) et reprendre ma sieste à l’ombre des cocotiers, en sachant que ce rêve n’est pas près de se réaliser. Et donc je ne remettrai jamais les pieds au Francistan.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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