Parlons à nouveau du film sur le massacre du 7 octobre. On ne peut pas se taire tout à coup. Ce serait oublier ces morts, banaliser la barbarie. Il faut en parler. Il faut montrer ces images. Pour mieux comprendre contre qui on se bat et pourquoi.
Ce jour-là, 2000 hommes venant de Gaza ont pénétré en Israël par 29 brèches et n’ont pas seulement tué, ils ont torturé, violé, par plaisir de faire souffrir : perversité à l’état pur, au moins égale à celle des nazis.
La vision de ce film sur ce massacre du 7 octobre est éprouvante, très éprouvante. On y voit des horreurs absolues. Et pourtant, ne regardant jamais de films violents, je n’ai certainement pas tout compris et beaucoup m’a échappé. C’est dire.
On voit la terreur des Juifs, on voit la haine des membres du Hamas, et leur joie, leur excitation, leur exultation de tuer des Juifs.
C’est cela le pire. Voir des gens qui savent qu’ils vont mourir, qui voient la mort en face, et n’en perdent pas la tête, et en voir d’autres qui en crient de plaisir et trépignent de joie à l’idée de verser le sang.
Les images le plus terribles sont celles de corps brûlés mais reconnaissables comme des corps suppliciés. Et ce type qui s’acharne sur un corps déjà mort, avec une hache. Ces corps enchevêtrés et liés par une corde qui va déclencher un dispositif démoniaque qu’on craint d’ imaginer. Ces corps qu’on écrase sous des voitures on qu’on charge sur des pick-up, comme de la viande. Ces murs criblés de balles et de taches de sang. Ces flaques coagulées et noirâtres.
Il y a eu des mutilations et des viols sordides, on a mis le feu ensuite aux corps, pour le cas où il y aurait enquête…
La différence entre les quelques Juifs filmés alors qu’ils vont mourir et leurs tueurs est flagrante. Ceux qui vont mourir restent calmes et dignes. Les tueurs comme d’habitude chez eux gueulent de manière irrationnelle et courent dans tous les sens. On sent chez eux ce manque d’équilibre quasi habituel.
Manque d’équilibre et de discernement que j’avais bien senti dans un court séjour à l’université de Amman, à l’occasion d’un voyage en Israël.
Les étudiants jordaniens pleuraient dès qu’on parlait de la situation politique et dès qu’on marquait poliment un léger désaccord. Puis ils partaient en treillis, rangers et kalachnikov s’entraîner autour du campus, en poussant des hurlements. Franchement ils n’étaient pas convaincants. Les étudiantes elles, étaient enfermées dans une pièce où elles suivaient les cours sur une télé, et ne semblaient pas autorisées à nous parler.
Un des tueurs téléphone à sa mère et dit en substance : « j’ai tué des Juifs de mes propres mains, félicite moi ! – Rentre à Gaza mon fils. – Non, Maman. On est partis pour tuer. Ce sera la victoire ou le martyr. »
Pauvre débile qui n’a pas compris que ce serait à jamais pour lui la honte, le déshonneur et pire encore. Et qui pousse ces jeunes et leur vide la tête pour y mettre à la place un magma en forme de programme de mort ?
On ressort de cette vision littéralement essoré, et triste à mourir.
Mais ce qui fait à nouveau mourir ces gens, c’est le négationnisme. Quelqu’un m’a dit « mais il n’y a eu que 600 morts. » Essai de relativiser, toujours. 600 morts c’est déjà trop. Mais il y en a beaucoup plus. Les survivants auront du mal à survivre.
D’autres disent que ces images sont fausses, que c’est la propagande de guerre israélienne. Or ces images ont été fournies par le Hamas.
D’autres encore répondent systématiquement : « et les morts palestiniens à Gaza en ce moment ? » La réponse est que le massacre d’Israéliens déclenchera toujours plus d’indignation, chez les gens honnêtes, que le fait de tuer en justes représailles des Palestiniens, peuple fabriqué de toutes pièces par les pays arabes en 1967 pour faire la guerre à Israël.
Et pire encore, il y a tous ces actes antisémites qui ont pris des proportions inouïes depuis le massacre. A croire que toutes les banlieues islamisées trépignent de joie et rêvent de tuer des Juifs. Tuer des Juifs, n’est-ce pas demandé dans le Coran, presque à chaque page ?
Sans parler des hadiths tel que celui de Al Boukari n° 3583 : « Vous combattrez les juifs et aurez le dessus sur eux de sorte que la pierre dira : ô musulman ! Voici un juif caché derrière moi. Viens le tuer”.
Qu’on le veuille ou non, l’Occident raisonnable et rationnel sera toujours du côté d’Israël. Parce que c’est notre culture, ce sont nos valeurs, c’est notre civilisation contre la barbarie.
La France file du mauvais coton, avec tous ses collabos aveugles et sourds. Avec ce favoritisme éhonté de musulmans en toutes situations, par rapport aux Français de souche. Nous sommes gouvernés d’ores et déjà par l’islam.
En regardant ce film, on ne peut que se dire que si on ne fait rien, ce genre de pogrom se produira ou se reproduira chez nous et contre nous, un jour. Comme déjà cela s’est produit au Bataclan, à Nice, etc. Il ne faut pas nous tromper de combat. Ce sera le cercueil ou le cercueil.
Sophie Durand
Le massacre du 7 octobre : horreur, dégoût et épouvante, et plus encore
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