Mais qu’est-ce qu’il était terriblement agaçant et grinçant ce « Salava Oukra’ini » (Gloire à l’Ukraine) avec lequel le Zelensky, le bouffon ex-chéri de l’Occident, finissait ses allocutions et discours qui étaient diffusés urbi et orbi dans le monde.
Quand on loge un bouffon dans un palais, le palais devient un cirque, dit un vieux dicton.
C’est un grand soulagement que de ne plus l’entendre.
Il n’y avait pas un seul jour où on ne l’entendait pas. Et c’était sur toutes les chaînes de télévision officielles de France et d’ailleurs.
Le Zelensky était si fier de proclamer ce « Gloire à l’Ukraine ». On avait l’impression qu’il disait « Gloire à Zelensky », comme Hitler semblait dire « Heil Hitler », notre Macron toujours murmurer « Vive Macron » ou le Mélenchon « La République, c’est moi ».
Ils ont tous issus d’une copulation d’une hyène et d’un coyote.
Le Zelensky voudrait encore crier son « Slava Oukra’ini » (transcription de la prononciation en ukrainien), mais il sait qu’il ne ferait que se ridiculiser.
Les années de gloire, c’est du passé. C’était quand les vautours de l’OTAN pensaient pouvoir pousser cette jeune graine hyène-coyote contre la Russie pour la dépecer et la présenter à ses maîtres dans une cocotte-minute prête à être dévorée avec du Schnaps allemand.
Même le croquignole dit BHL a été séduit par ce slogan. Il a en fait un film. Un « film de BHL sur BHL joué par BHL (qui) renouvelle le genre du film de guerre en le mettant au service des deux seules véritables valeurs contemporaines : le narcissisme et l’onanisme », commente Marianne dans un article publié en août dernier.
Le Zelensky aurait dû se méfier. Le BHL porte malheur.
Il fut un moment où les visiteurs occidentaux, chefs d’État, Premiers ministres, responsables européens, élus nationaux et parlementaires européens faisaient la queue pour venir à Kiev serrer la main au bouffon et l’enlacer.
Aujourd’hui, on ne se bouscule plus au portillon.
L’étoile Zelensky s’est éteinte.
Le Zelensky aurait dû le comprendre quand il s’est retrouvé tout seul comme un pestiféré au milieu du beau monde au sommet de l’OTAN à Vilnius, le 12 juillet dernier (voir photo en haut du texte).
Il faisait pitié.
Tu aurais dû comprendre, Volodymyr, le bouffon-pestiféré, que tu n’étais plus rien. Que tu étais déjà fini.
Et comme un malheur n’arrive jamais seul, la situation de l’Ukraine du Zelensky sur le plan militaire semble s’orienter vers une débâcle, en dépit des gigantesques fournitures d’armes et de matériels qui coûtent des milliards de dollars aux USA et aux pays de l’UE.
De quoi nourrir pendant des années les 86 millions de personnes survivant dans la pauvreté en Europe.
Mais, pour toi, Volodymyr, c’est une chaîne de malheurs. Un malheur après l’autre.
Tu t’es réveillé en sanglots le 7 octobre, non parce que tu es d’origine juive et que tes ex-coreligionnaires s’étaient fait charcuter par des terroristes musulmans, non, tu ne pensais pas à eux. Tu t’en fiches. Tu es un traître. Cela ne t’aurait servi à rien de faire semblant de pleurer tes ex-coreligionnaires. Tu pleurais sur ton avenir. Tu avais vite compris que l’actualité allait se déplacer vers Israël. Kaput l’Ukraine.
Désormais, plus aucune place pour l’Ukraine dans l’actualité. Plus aucune place pour le Zelensky.
Tu aurais voulu exterminer Juifs et Arabes d’un seul coup, pour que l’Ukraine reprenne sa place privilégiée dans les médias, hein Volodomyr ?
Mais, ce n’est pas possible.
Cela lui fait mal au Volodymyr, mais il peut se consoler dans les bras de l’Ursula (La Leyen que vous connaissez…)
Elle a accouru à son secours.
Elle dit que c’est pour discuter de l’élargissement de l’Union européenne.
Un sujet qui aurait pu faire l’objet d’une communication téléphonique de pas plus de 5 minutes.
Mais La Leyen veut plus. Elle demande plus de temps de « discussions ».
Elle va donc passer la nuit dans le palais du Zelensky.
Soyons sincères. Honni soit qui mal n’y pense pas.
Les meilleurs accords se signent au lit.
Et durent au moins jusqu’au matin.
Ce qui n’est pas mal.
Venant d’un rejeton de hyène et de coyote…
Messin’Issa
https://resistancerepublicaine.com/2023/11/06/ukraine-alors-volodymyr-on-ne-crie-plus-slava-ukraini/
Ukraine : alors, Volodymyr, on ne crie plus " Slava Ukraini " ?
Mais qu'est-ce qu'il était terriblement agaçant et grinçant ce " Salava Oukra'ini " ( Gloire à l'Ukraine) avec lequel le Zelensky, le bouffon ex-chéri de l'Occident, finissait ses allocutions ...
https://ripostelaique.com/ukraine-alors-volodymyr-on-ne-crie-plus-slava-ukraini.html