Amis lecteurs, si vous ne lisiez que la moitié des articles du jour consacrés à ce qui se passe en Israël et plus exactement ce qui s’est passé le 7 octobre et les jours qui ont suivi, vous devriez comprendre et applaudir le titre que j’ai donné à cet article, m’appuyant sur d’autres, publiés ce jour. On ne doit pas laisser une seule chance à ce nid de frelons déchaînés, sanguinaires, inhumains.
Les titres ne souffrent aucune discussion. Les tortionnaires ne peuvent avoir aucune excuse. Quand on attache des familles ensemble, enfants compris, pour les brûler vifs, juste parce qu’ils sont juifs, on n’a aucune excuse. Et ceux qui, comme Mélenchon ou les journaleux essaient de tourner autour du pot devraient être abandonnés sur un bateau en Méditerranée….
Et je ne parle même pas des manœuvres du Hamas qui cache ses djihadistes et ses bombes… sous un hôpital, se fichant même de la vie des siens !
Le Hamas opère à l’intérieur et se cache sous le plus grand hôpital de Gaza.
Leurs priorités sont claires et les habitants de Gaza n’en font pas partie. pic.twitter.com/udyHbdfKsC
— Tsahal (@Tsahal_IDF) October 27, 2023
Pendant ce temps, Insoumis et gauchistes en état de choc de pleurer, d’accuser, de menacer sur les plateaux, sur les réseaux sociaux… Eux qui depuis le 7 octobre tentent l’inversion accusatoire pour justifier les horreurs commises par les monstres musulmans du Hamas. Et quand je dis gauchistes j’englobe naturellement une bonne partie des journaleux. Ne vient-on pas d’apprendre que l’AFP a donné comme consigne de ne pas prononcer le mot terroristes pour qualifier les assassins du Hamas ? Ne vient-on pas d’apprendre que l’AFP a donné comme consigne de ne pas prononcer le mot islamistes pour qualifier les assassins du Hamas ?
Le traitement du conflit a donné lieu à l’envoi mardi dernier d’une note de service de la direction de l’AFP intitulée « consignes éditoriales sur la couverture de la guerre entre Israël et le Hamas » à laquelle Le Figaro a pu avoir accès. On y lit notamment que le Hamas peut être désigné comme un « mouvement islamiste palestinien », mais qu’il faut parler de « combattants du Hamas » et pas d’ « islamistes du Hamas ». Le qualificatif « terroriste » est « proscrit » s’agissant du mouvement palestinien pour les journalistes de l’AFP, dont la « mission », précise la même note, est de « rapporter les faits sans jugement sur des groupes ou des individus ». Les rédacteurs sont autorisés à mentionner que l’organisation palestinienne est « qualifiée de “terroriste” par les États-Unis, l’Union européenne et Israël ». Si les circonstances les conduisent à utiliser le terme « crimes de guerre », il leur est conseillé de « rappeler que selon des experts juridiques interrogés par l’AFP les deux camps pourraient être accusés de crime de guerre ».
Joint par Le Figaro Phil Chetwynd, directeur de l’information de l’AFP, a justifié le non-emploi du qualificatif de terroriste en nous expliquant que le « mot a perdu son sens ». Selon lui, « tous les gouvernements autoritaires du monde utilisent le mot pour parler de leurs opposants, par exemple. Nous privilégions les faits dont nous pouvons témoigner nous-mêmes. La description détaillée des attaques atroces en Israël est claire pour le lecteur ».
J’assume ce que d’aucuns appelleront ma dureté de cœur, mon cynisme…
Il faut tuer les chiens enragés. La vie et l’avenir des juifs en dépend. Mais aussi la vie et l’avenir de tous les non musulmans d’Europe. La vie et la survie de LA civilisation.
Ceux qui sont restés à Gaza (je ne parle pas des otages évidemment) malgré les nombreux appels de Netanyahu leur demandant de quitter Gaza pour permettre à l’armée israélienne de nettoyer ce trou à rats ne peuvent s’en prendre qu’à eux-mêmes s’il y a des victimes collatérales.
Guerre Israël-Hamas : la bande de Gaza ciblée par un raid terrestre de Tsahal et de nouveaux bombardements
Cette nouvelle incursion de l’armée israélienne dans l’enclave palestinienne avait notamment pour objectif de détruire des centres de commandement du Hamas.
INTERNATIONAL – Tsahal a « éliminé des éléments terroristes du Hamas », a déclaré ce vendredi 27 octobre matin sur franceinfo un porte-parole de l’armée israélienne. Et ce durant un nouveau raid terrestre, qui a eu lieu dans la nuit de jeudi à vendredi et qui était « ciblé dans le secteur central de la bande de Gaza », a précisé l’armée israélienne.
Outre cette incursion au sol, l’armée était épaulée par « des chasseurs et des drones » et a indiqué avoir bombardé des sites du Hamas « dans toute la bande de Gaza ».
Ce raid « terrestre » était « ponctuel, limité dans le temps et dans l’espace », a précisé Olivier Rafowicz, porte-parole de l’armée israélienne, au micro de franceinfo donc. Ont été détruites des rampes de lancement de roquettes, des centres de commandement du Hamas, et ont été neutralisés des hommes du mouvement islamiste palestinien, selon le communiqué de Tsahal. Les soldats ont ensuite quitté le territoire palestinien sans déplorer de blessé, a affirmé l’armée dans ce même document.
Dans la matinée, quatre Palestiniens ont également été tués lors d’autres incursions de l’armée israélienne, cette foi dans le nord de la Cisjordanie occupée, selon les chiffres de l’agence de presse locale Wafa. « De violents affrontements », ont eu lieu entre soldats israéliens et des activistes palestiniens, et douze Palestiniens ont en outre été blessés lors de cette incursion, affirme la même source. Des développements sur lesquels l’armée israélienne n’a en revanche pas communiqué.
« Assurer la protection » des 170 Français sur place
Depuis les attaques du 7 octobre menées par le Hamas sur le territoire de l’État hébreu, l’armée israélienne pilonne sans relâche le territoire palestinien, où elle mène régulièrement des incursions dans l’attente d’une offensive terrestre d’ampleur promise à de multiples reprises par les responsables politiques et militaires. Dans la nuit de mercredi à jeudi, elle a par exemple annoncé avoir mené un raid ciblé avec des chars dans le nord de la bande de Gaza.
Ces incursions et les frappes aériennes israéliennes inquiètent quant au sort des 220 personnes retenues en otages par le Hamas à Gaza. Et ces opérations militaires ont aussi des conséquences pour les Français qui se trouvent dans l’enclave palestinienne, a fait savoir Catherine Colonna, la ministre des Affaires étrangères, sur RTL ce vendredi.
« Environ 170 Français vivent à Gaza et dont nous voulons assurer la protection », a-t-elle assuré, comme vous pouvez le voir dans la séquence ci-dessous, évoquant des Français qui sont installés sur place, mais aussi des personnes qui travaillent pour des ONG ou des agents de l’Institut français de Gaza.
Le ministère de la Santé du Hamas a de son côté annoncé que les bombardements lancés en représailles aux attaques du 7 octobre ont déjà tué plus de 7 000 personnes, en immense majorité des civils parmi lesquels près de 3 000 enfants.
« Au moment où nous parlons, des gens meurent à Gaza », a déploré ce vendredi depuis Jérusalem où il donnait une conférence de presse Philippe Lazzarini, le patron de l’Agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA). « Ils ne meurent pas seulement des bombes et des frappes, beaucoup d’autres vont bientôt mourir des conséquences du siège imposé sur la bande de Gaza : les services de base s’effondrent, les médicaments s’épuisent, la nourriture et l’eau s’épuisent. »
Christine Tasin
![Tsahal bombarde Gaza, puissent-ils détruire ce nid de frelons islamistes !](https://image.over-blog.com/l8kuj59VxKU4Ca5hlqzpa4Roigo=/170x170/smart/filters:no_upscale()/https%3A%2F%2Fresistancerepublicaine.com%2Fwp-content%2Fuploads%2F2023%2F10%2Fcapture-2023-10-27-a-23-00-46.jpg)
Tsahal bombarde Gaza, puissent-ils détruire ce nid de frelons islamistes !
Amis lecteurs, si vous ne lisiez que la moitié des articles du jour consacrés à ce qui se passe en Israël et plus exactement ce qui s'est passé le 7 octobre et les jours qui ont suivi, vous de...