Il s’agit de la copie de la conversation révélée par le WhatsApp ou des membres du Hamas appellent leurs proches, fiers et exaltés, pendant qu’ils tuent ou enlèvent des bébés les emportant comme otages. L’un d’entre eux annonce à sa mère qu’il a tué dix juifs. Et celle-ci lui répond : « C’est bien mon fils. »
La gueule de l’enfer s’est ouverte une nouvelle fois le 7 octobre 2023. Des monstres en sont sortis, monstres qui échappent à la qualification d’homme. En effet, sont-ce des êtres humains avec leur lot de doutes et d’espoir qui ont perpétré le massacre dont voici le compte-rendu ? Il s’agit d’un soldat israélien découvrant la scène d’horreur dans une des maisons d’un kibboutz. La famille fêtait le shabbat.
« Nous les avons trouvés assis à table au milieu d’un dîner de fête — c ’était shabbat — la mère, le père et leurs trois petits-enfants. Le pied de la jeune fille avait été coupé de son vivant, chacun des parents s’est fait arracher un œil de son vivant, la main d’un enfant a été coupée et les doigts du bébé ont été coupés. Puis, les nazis du Hamas se sont assis pour manger à la même table. Et tandis qu’ils mangeaient, ils voyaient à côté d’eux, les membres de la famille qui se vidaient de leur sang. »
Est-ce cela « le combat du Hamas contre le spoliateur israélien » comme n’ont eu de cesse de le clamer des députés français et aussi des journalistes ?
Il y en a marre des juifs et de leur histoire millénaire. Marre de leur pleurnicherie avec leur extermination. Tout compte fait ne font-ils pas la même chose avec les « Palestiniens » privés de leur terre ?
Les semaines et les mois devant nous s’annoncent terribles.
Nous allons voir apparaître une foultitude de glaireux échappés de leur gourbi du 9-3, caïds, à la petite semaine, incapables de formuler une phrase en français, ni même de signer leur nom, se payer du juif à la régularité de leur humeur. Ils pourront eux aussi téléphoner à leur mère.
Les islamo-nazis expliqueront doctement à la radio et à la télévision que leur action est légitime, puisqu’elle s’inscrit dans le droit international, à se défendre. En violant des petites Françaises de confession juive, on dira qu’ils défendent la « cause palestinienne ».
Le silence de la population française sera aussi lourd qu’il le fut avec l’assassinat des enfants dans une école juive à Toulouse au mois de mars 2012. Avons-nous vu les rues encombrées par les manifestants ? Bougies, pleurs, discours. Ce fut le service minimum. Comme celui de l’Évêque de Paris devant les atrocités du Hamas.
Un retour en arrière dans l’Histoire de notre pays. Au mois de septembre 1941 s’est tenue jusqu’au 15 janvier 1941 l’exposition « Le juif et la France ». L’objectif était de venir en aide aux Français en leur fournissant des outils pédagogiques qui leur permettraient de reconnaître des juifs dans les lieux publics. Y a-t-il eu des opposants ? Y a-t-il eu des Français républicains attachés aux valeurs de la Patrie qui se sont opposés à la manifestation ? Personne !
Les communistes regardaient du côté de Moscou, guettant les ordres du Kremlin, après l’échec allemand de l’opération Barbarossa. Les communistes français d’une façon globale ne se sont jamais occupés de la déportation de la population française juive. L’exposition évoquée plus haut a fait le tour de France. Deux cent mille visiteurs s’y sont rendus.
Le 7 octobre 2023, la dignité humaine a disparu. J’en veux pour preuve ceci. Sur toute la longueur d’un mur, on peut lire, écrit à la main : « Tuer les juifs est un devoir. »
Tout est dit n’est-ce pas ?
Raphaël Delpard
"Maman, j'ai tué dix juifs, et c'est super"
Il s'agit de la copie de la conversation révélée par le WhatsApp ou des membres du Hamas appellent leurs proches, fiers et exaltés, pendant qu'ils tuent ou enlèvent des bébés les emportant c...
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