« Lobotomie d’une femme avec un pic à glace dans un hôpital psychiatrique en 1936 à Lisbonne – Peinture »
En 1949, le neurologue portugais António Caetano de Abreu Freire Egas Moniz, reçoit le prix Nobel de médecine en récompense des lobotomies réalisées pour la première fois en 1936 sur des malades mentaux et des dépressifs (en particulier des femmes), sans que ses victimes aient été informées de ce qu’il allait leur faire, la plupart du temps sans anesthésie.
À la suite de ce prix Nobel, entre 1936 et 1956, des milliers de patients dans le Monde se sont vu être lobotomisés par des médecins qui utilisaient souvent pour cela des pics à glace.
Lobotomie réalisée comme un spectacle sur un patient par le neurologue américain
Walter Freeman
Dans son livre publié en 1901 « A vida sexual » (« À la vie sexuelle »), Egas Moniz considère que les homosexuels sont des malades mentaux, que l’homosexualité est une maladie mentale qui « mérite d’être traitée comme n’importe quelle autre ». Il explique dans ce livre que la lobotomie peut être une solution pour « guérir » ces malades et l’on se demande s’il a attendu 1936 pour pratiquer cette barbarie.
Au sujet de l’homosexualité, précisons qu’il faut attendre 1973 pour que l’« American Psychiatrist Association » supprime l’homosexualité de sa liste des maladies mentales et 1990 pour que l’OMS fasse de même.
En 1949, une de ses victimes se vengea et lui tira une balle dans la peau et le monstre termina sa vie dans un fauteuil roulant. Ce qui ne l’empêcha pas de continuer à lobotomiser des malades (en cabinet privé) jusqu’à sa mort en 1955.
Antonio Egas-Moniz n’était pas seulement neurologue, c’était également un politicien qui fut ministre des Affaires étrangères et qui a représenté le Portugal lors de la signature du traité de Versailles en 1919.
S’il existe un « médecin » de l’époque contemporaine qui représente à lui seul la nécessité démythifier la médecine occidentale et ses « médecins », c’est bien Antonio Egas-Moniz.
Tous les prix Nobel présentés dans cette mini-série permettent de comprendre que, comme toutes les institutions dans lesquelles Bill Gates investi (avec l’argent qu’il devrait payer en impôts) l’Institution du prix Nobel est une véritable arnaque intellectuelle et scientifique.
Alors, bien sûr, de nombreux lauréats méritent la consécration internationale qu’ils ont obtenue grâce à ce prix. Mais ne sont-ils pas les cautions vertueuses d’un système qui ne l’est pas et qui ne mérite en 2023 que mépris, compte tenu des lauréats du prix Nobel de médecine que nous appelons « prix Bill Nobel de la dépopulation » ?
Pour conclure, démythifions la médecine occidentale étatique, ses médecins, ses académies de médecine et n’apportons aucun crédit aux organisations internationales corrompues comme le sont la Commission européenne, l’OMS, les Nations Unies et l’Institution du prix Nobel.
Tout cela représente un ensemble également organisé pour nous asservir et supprimer nos droits d’êtres humains et nos libertés fondamentales.
Ne l’oublions pas, surtout lorsqu’on doit consulter un médecin.
Pierre Lefevre
La barbarie médicale à l'honneur
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