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4 mars 2024 1 04 /03 /mars /2024 07:07
Effroyable reportage de Paris Match sur les tueries du SS-Hamas
Nicolas Delesalle, grand reporter à Paris Match, s’est rendu sur la base de l’armée israélienne où les cadavres des 1 400 civils israéliens assassinés par les terroristes islamonazis du Hamas sont regroupés, pour identification. Il raconte des scènes de cauchemar.
 
 
J’ai pu visiter l’immense morgue de fortune où s’entassent les centaines de corps des victimes de l’attaque du 7 octobre. Cette visite éclaire la nature de ce massacre.
 
La morgue est située dans une base militaire de la banlieue de Tel Aviv. Les corps sont conservés dans des dizaines de containers réfrigérés. Plusieurs centaines de dépouilles attendent d’être identifiées.
 
L’armée israélienne cherche à donner un nom aux corps suppliciés, mais aussi à documenter les atrocités commises par les hommes du Hamas. Car il y en a eu beaucoup.
 
Les corps des militaires sont plus faciles à reconnaître puisque l’armée dispose de leur ADN. Ceux des civils demandent beaucoup plus de travail. La plupart sont en très mauvais état.
 
Cette nuit d’octobre, à la lumière de puissantes lampes halogènes, Israël Weiss, 74 ans, nous accueille en uniforme avec un regard éteint.
 
« Je suis militaire depuis 50 ans, j’ai vu beaucoup de choses, mais je n’ai jamais vu ça. Jamais, nous n’avons vu autant de corps. Tous les matins, je me lève et j’en vois de nouveaux et l’odeur s’infiltre jusque dans mon cœur. Il faut que le monde sache ce qu’ils ont fait ».
 
Selon Israël Weiss, l’attaque du Hamas ne visait pas seulement à tuer. Le déchaînement de violence, l’orgie de sévices, la récurrence dans l’horreur ne peuvent tenir du hasard. D’une voix monocorde, épuisée, il énumère les atrocités recensées.
 
Un grand nombre de victimes ont été brûlées vives. Des vieillards ont eu les doigts des mains et des pieds coupés, avant d’être tués, d’autres personnes ont été décapitées avec une hache.
 
Beaucoup de femmes ont été retrouvées nues, violées avant d’être massacrées. Une femme enceinte a été découverte le ventre ouvert, le fœtus arraché ; des hommes avec les organes internes sortis du ventre.
 
Le cadavre calciné d’une femme semblait normal, sauf au niveau du thorax. À l’imagerie médicale, les légistes ont compris qu’elle serrait son enfant dans ses bras quand ils ont été brûlés vifs.
 
Les tueurs du Hamas ont aussi brûlé un groupe d’ouvriers agricoles thaïlandais liés ensemble pour compliquer l’identification. Israël Weiss : « Ils n’étaient pourtant pas Juifs. Pourquoi ? On compare les terroristes du Hamas à l’État Islamique. Mais moi, ils me font penser aux nazis. »
 
« Ils ont tiré dans les bouches, les têtes, plusieurs fois, pour détruire les visages. Mais nous prendrons le temps d’identifier tout le monde. Aucune mère de victime ne sera oubliée. »
 
Depuis une semaine, au bord du volcan, Abigaël se pose la question en s’occupant de l’identification des femmes et des fillettes et des derniers rites de purification avant de rendre le corps aux familles pour les funérailles.
 
« Chaque fois, je pense avoir vu le pire et quelque chose d’encore plus atroce arrive. Des enfants sans tête, ou vidés de leur cervelle, des gens dont la tête est explosée par plusieurs balles, des fillettes massacrées, encore en pyjama, des corps piégés. »
 
« On croyait qu’on était préparés à ça. Mais c’est impossible. On travaille 24 heures sur 24, sept jours sur sept, depuis le lendemain de l’attaque. Cette cruauté est incompréhensible ».
 
Sur la base, des dizaines de personnels en combinaisons blanches, masque sur le nez, déambulent entre plusieurs tentes gigantesques. Des types aux yeux écarquillés, beaucoup de religieux, de jeunes soldats, des étudiants en médecine venus prêter main forte.
 
Israël Weiss demande à deux hommes équipés de combinaisons blanches et de masques de chantier d’ouvrir deux containers où gisent une centaine de victimes. Un remugle épouvantable empuantit l’air.
 
C’est une odeur pestilentielle, entêtante, un mélange d’effluves de viande pourrie, de fromage gâté, d’excréments. Dans les containers, les sacs sont de toutes les tailles.
 
À côté, régulièrement, des soldats vomissent. Les personnels ne peuvent rester longtemps sur place. Il faut organiser un roulement. Dentiste, l’officier Maayan, s’occupe de récupérer l’ADN des victimes, les empreintes, vérifie les dentitions quand elles sont encore présentes.
 
Article dédié aux anti-juifs pathologiques de Rivarol, d’Égalité et Réconciliation, aux ordures LFI et toute la gauche pro-palestinienne, et à ceux qui renvoient les belligérants dos-à-dos.
 
Jeanne Bourdillon
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commentaires

F
Personnellement, je n'ai aucune empathie pour la cause palestinienne ou le hamas, terroriste qui se sert de la population comme d'un bouclier et que la population accepte ... tous complices ... d'une idéologie terroriste et conquérante ... le 7 octobre ... une horreur ou l'agresseur est la Bête immonde ... pas pardonnable ....
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