Toute la machine de mort des mondialistes adeptes de la dépopulation se met en marche pour imposer ces injections d’un nouveau « nouveau vaccin »…
Face à l’énumération des causes du décès des bébés cobayes par CNBC, certains demandent l’accès aux dossiers médicaux de ces bébés, ce qui leur est refusé au nom du secret médical.
Tout comme les produits à ARNm de Pfizer & Co., le Beyfortus ™ ® © est un « nouveau vaccin ». À ce titre, rien ne nous dit qu’il ne pourrait pas, tout comme les produits à ARNm de Pfizer & Co., provoquer des décès aux multiples causes.
Ainsi, ce refus des autorités de communiquer les dossiers médicaux complets des bébés décédés et ce que l’on sait des effets indésirables graves, dont de nombreux décès, provoqués par les injections à ARNm soulèvent bien des questions, comme :
• Les maladies cardiaques attribuées comme cause de la mort de 4 nourrissons n’ont-elles pas été provoquées par le Beyfortus ™ ® ©, tout comme les 2 nourrissons morts de cause inconnue avec suspicion de mort subite ?
On sait par exemple que les injections de produits à ARNm provoquent de nombreuses myocardites (une étude suisse démontrerait 1 cas de myocardite toutes les 35 injections), et que selon le professeur Julien Amour (Société française d’Anesthésie et de Réanimation) : « seuls 30 à 50 % des victimes de myocardites récupèrent les fonctions contractiles normales du cœur, alors que les autres vont évoluer vers l’insuffisance cardiaque chronique et 10 % vont être exposés au risque de mort subite ».
• La tumeur cancéreuse n’a-t-elle pas été provoquée par le Beyfortus ™ ® © ?
On peut sérieusement se poser la question lorsqu’on lit de plus en plus de communications au sujet de l’apparition de « turbo cancers » par suite des injections de produits à ARNm.
• La pneumonie n’a-t-elle pas été provoquée par le Beyfortus ™ ® © ?
On peut également sérieusement se poser la question, puisque les injections à ARNm anti-Covid, non seulement ne protègent pas du Covid, mais dans bien des cas, elles favoriseraient son apparition.
Pas de groupe placebo pour comparaison lors des « essais cliniques » qui n’auraient pas été conduits dans les règles…
À ces questions qui resteront sans réponses s’ajoutent les révélations du docteur Jefferson Jones qui est épidémiologiste auprès des CDC :
• L’essai clinique était de petite taille.
• L’état de santé des bébés qui servaient de cobayes ne correspondait pas à l’indication thérapeutique du Beyfortus ™ ® © telle que présentée par les laboratoires pharmaceutiques.
• Aucun groupe de bébés n’a été constitué pour recevoir un placebo afin de pouvoir réaliser une comparaison entre les effets des injections au Beyfortus ™ ® © et celles au produit placebo (qui devrait être du sérum physiologique)…
Ils veulent que tous les nouveau-nés occidentaux soient injectés avec leur nouveau « nouveau vaccin »
La FDA et les CDC ont donné leur feu vert pour que les nouveau-nés soient injectés, et c’est maintenant au tour des satellites de Big Pharma d’entrer dans la danse, qui risque fortement d’être macabre, mais qui rapporte tant…
C’est le cas l’American Academy of Pediatrics, qui exhorte les hôpitaux à de faire des stocks de Beyfortus ™ ® © « afin que les nouveau-nés puissent l’obtenir pendant la saison du VRS avant de rentrer chez eux ».
C’est également le cas avec l’ACIP (Comité consultatif sur les pratiques de vaccination) qui vient d’inclure dans son programme de vaccination des enfants les vaccins à base de nirsevimab dont le Beyfortus ™ ® © est, pour l’instant, le seul sur le marché. Il faut savoir que l’ACIP fournirait « gratuitement » (c’est-à-dire payés par les impôts et taxes) les produits pour la vaccination de près de la moitié des enfants vivant aux États-Unis.
Mais l’ACIP ne tient pas son immense puissance de cela, elle la tient surtout du fait que lorsqu’elle ajoute un vaccin au calendrier vaccinal des États-Unis, comme elle vient de le faire avec le Beyfortus ™ ® ©, les sociétés qui produisent et commercialisent ces vaccins bénéficient de l’exonération de responsabilité civile et pénale (ce qui signifie qu’en cas de maladie ou de décès provoqués par un vaccin inscrit au calendrier vaccinal, personne ne peut poursuivre en justice le laboratoire qui produit et commercialise ce vaccin)…
Il ne restera aux parents que leurs yeux pour pleurer…
Dans le cas du Beyfortus ™ ® ©, l’ACIP a innové puisqu’elle a également recommandé aux autorités de le classifier comme « médicament ordinaire », afin de l’écarter du Programme national d’indemnisation des blessures causées par les vaccins (NVICP).
Autrement dit, en cas de maladie grave ou de décès provoqué par Beyfortus™ ® ©, les parents qui auront eu l’imprudence de faire injecter dans le corps de leurs nourrissons ce produit ne pourront ni engager la responsabilité pénale ou civile de Sanofi ou d’AstraZeneca, ni faire appel au Programme national d’indemnisation des blessures causées par les vaccins (NVICP).
Précisons, à l’intention des parents et futurs parents de nourrissons, qu’à ce jour aucun « anticorps monoclonal » n’a été administré à grande échelle à des nouveau-nés, à des nourrissons, ou à des enfants, et qu’avant le Beyfortus ™ ® ©, aucun vaccin de ce genre n’a été approuvé pour les nouveau-nés, les nourrissons ou les enfants.
Avec le Beyfortus ™ ® ©, nous sommes donc dans la même configuration de santé publique que celle qui nous a été imposée avec la fausse pandémie de « C19 » (et les produits à ARNm qui étaient censés protéger l’humanité d’un redoutable coronavirus issus des relations coupables entretenues sur un marché de Wuhan entre une chauve-souris et un poisson – et il y en a qui ont cru à cela…).
« Changer la vie », cette obsession de Bill, de George et des psychopathes de Davos…
Comme avec les produits à ARNm, la perspective de pouvoir injecter ces « nouveaux vaccins » dans des corps humains excite un certain nombre d’individus.
C’est par exemple le cas avec une certaine Helen Keipp Talbot, médecin, membre de l’ACIP, spécialiste des maladies infectieuses à l’Université Vanderbilt (Nashville – Tennessee) qui a déclaré aux médias que le Beyfortus ™ ® © « change la vie » et qu’elle est « très excitée à ce sujet », mais qu’elle « espère juste que nous [FDA, CDC, Laboratoires, ACIP] pourrons passer à travers les obstacles ».
Terminons sur une autre déclaration du docteur Meryl Nass qui cite des chiffres publiés par les CDC : « 4 millions de bébés naissent chaque année aux États-Unis, 20 000 meurent au cours de leur première année. Le VRS tue 0,125 % d’entre eux. C’est en bas de la liste des principales causes de décès (…) Le VRS ne cause presque jamais de problèmes chroniques, sauf peut-être l’asthme. Ou peut-être que les enfants à tendance asthmatique sont également plus sensibles au VRS sévère.
Bien amicalement.
Patrick Ledrappier
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Nouveau "vaccin" : la machine de mort des mondialistes se met en marche
Toute la machine de mort des mondialistes adeptes de la dépopulation se met en marche pour imposer ces injections d'un nouveau " nouveau vaccin "... Face à l'énumération des causes du décès d...
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