Sa plainte pour internement abusif vient seulement d’être jugée au tribunal, il a reçu 5000 € quand le moindre violeur, le moindre assassin interné avec vice de forme reçoit des sommes folles.
On rappellera que les responsables du trafic de diplômes courent toujours, exercent toujours…
Jean-Louis Caccomo a écrit un livre racontant sa terrifiante histoire en psychiatrie, paru il y a un an. L’âme de fond : Le rescapé de l’âme 2.
En voici la présentation sur Amazon.
L’histoire que je raconte dans ce livre est basée sur des faits réels. Je laisse au lecteur le soin de déceler la part de mon interprétation.
Je ne prétends pas détenir la vérité, mais je témoigne ici de ce que j’ai réellement ressenti – et ces émotions sont bien authentiques. Mes ennemis vont se reconnaître et s’empresseront de s’offusquer, de m’injurier et de me diffamer, mais ils m’ont déjà fait bien pire.
La réalité dépasse souvent la fiction. C’est la raison pour laquelle les gens ont tendance à ne pas vous croire quand vous leur dites la vérité. J’ai appris cela autant dans ma carrière tourmentée d’économiste que dans ma vie personnelle. Mais je sais aussi que la pire des épreuves vous met au pied du mur et vous grandit. J’ai appris à ne compter sur personne, la plupart des gens que j’ai aidés et connus m’ayant trahi. J’ai voulu mourir tant de fois et, ironie du sort, je suis plus vivant que jamais. Je me demande encore pourquoi…
Docteur en sciences économiques de l’université de la Méditerranée et maître de conférences (HDR) à l’IAE de Perpignan, Jean-Louis Caccomo a reçu la médaille du Bibliographical Institute of Cambridge (Londres). Il est également spécialiste des questions de croissance et d’innovation, ainsi que chercheur en économie du tourisme international (consultant à l’Organisation mondiale du tourisme – Nations-Unies). Auteur d’une dizaine d’ouvrages universitaires, il a signé des chroniques dans Les Échos, Le Monde, Le Figaro, l’AGEFI (Genève) et anime un blog pédagogique (https://caccomo.blogspot.com/) à destination de ses étudiants et du grand public.
Bref, une sale affaire qui renvoie aux pires moments du stalinisme et qui ne réconcilie pas avec la Justice du Mur des cons ni de Dupond-Moretti. Il y a trop de comparaisons à faire entre l’URSS de Staline et notre monde pour que ce soit le fait du hasard. Les Français n’ont jamais voté en masse pour les communistes, les Français n’ont jamais voté en masse pour les trotskystes, les Français n’ont jamais voté en masse pour les écologistes… et tous ces dictateurs sont au pouvoir d’une façon ou d’une autre.
Il y a quelque chose de pourri au royaume de France….
Christine Tasin