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26 novembre 2023 7 26 /11 /novembre /2023 01:05
L’Occident commence à en avoir ras le bol des pitreries de Zelensky

Ils ont validé ses mises en scène macabres en les qualifiant de réalités. Des enquêtes indépendantes ont démontré que c’était du mauvais spectacle. Morts qui se relevaient. Cadavres déterrés… Du jour au lendemain, leurs médias ont changé de sujet. Il n’y en avait plus que pour la contre-offensive. L’arlésienne du cirque de Kiev.

Ils ont vibré à ses rodomontades de chef de guerre. Quand ses « victoires » n’ont été remportées que dans des zones délaissées par les Russes, parce qu’elles ne justifiaient pas de lourds sacrifices pour les garder. Un déploiement sans réel combat comme à Kherson, présenté comme un haut fait d’armes… Au point que ses sponsors encouragèrent le petit homme mal rasé à lancer la contre-offensive « décisive » qu’il leur promettait. Or ses troupes piétinent ici, reculent là. Consommant des années de production de matériels de guerre et de munitions.

La guerre des images et celle sur le terrain, c’est pas pareil

Homme de spectacles télévisés pour un public facile, aidé par les psys de la CIA pour des montages susceptibles de choquer le monde entier, comme les morts en morceaux de Timisoara et les couveuses du Koweït, le Zygomyr a fait un parcours du combattant médiatique presque sans faute. Des images choc assorties de narratifs travaillés et bien cadrés. Une censure éliminant toute présentation contraire, servilement reprise par nos chaînes de désinformation continue. Le compte y était.

Même s’il est difficile de gober que les missiles russes sont tous abattus en vol, et que leurs débris retombent uniquement sur des femmes et des enfants, on peut considérer que le Zigue a gagné la guerre médiatique. D’autant plus facilement que les Russes ne s’y sont pas tellement impliqués. Sauf pour dénoncer les accusations mensongères les plus extravagantes, comme quoi ils tiraient sur leurs soldats dans la centrale nucléaire et sabotaient leurs propres gazoducs.

Ces spectacles sons et lumières ont coûté des milliards de dollars en matériels souvent détruits avant d’avoir servi. Et le fait que le Zygomyr en réclame encore et toujours plus avec une insistance déplaisante commence à embarrasser ses plus fidèles soutiens… Ils n’en sont pas encore à lui demander l’usage qu’il a fait des sommes fabuleuses transférées sur des comptes offshore, aussitôt évaporées, mais ça pourrait venir.

À Vilnius les zigzags du Zig ont zigouillé le spectacle

Ce nabot hystérique exigeait d’entrer dans l’OTAN au risque de déclencher une troisième guerre mondiale. On lui a opposé poliment mais fermement une fin de non-recevoir. Manquant alors de la courtoisie la plus élémentaire envers ses bienfaiteurs et bailleurs de fonds, le calamar déchaîné a fait une grosse colère que le monde entier a pu voir. L’artiste a improvisé des éructations en dehors du scénario. Et ses vomissures acides l’ont desservi. Pour la première fois, des otaniens se demandent s’ils n’ont pas misé sur le mauvais canasson.

« Que cela lui plaise ou non, les alliés voudraient voir un peu de gratitude », a déclaré Robert Wallace ministre de la Défense britannique, vigoureusement russophobe, mais ulcéré par les critiques incessantes du Zygomyr, ses propos discourtois envers ses bienfaiteurs, et ses caprices, limogeant son ambassadeur à Londres jugé trop poli pour être malhonnête.

À l’OTAN, les plus lucides ont admis qu’ils ne feraient pas plier la Russie comme ils ont fait naguère une bouchée de la Serbie, et les plus pragmatiques ont compris que l’ obstination à soutenir un « born loser » (en bon français : un pauvre type) allait finir par nuire à leurs intérêts. Certes l’Ukraine est entièrement hypothéquée. Mais à quoi serviraient leurs garanties si celles-ci s’envolaient en fumée ?

Du fait du décalage entre la logomachie martiale de l’histrion et ses résultats concrets, plutôt décevants, on envisage à demi-mots, en conciliabules secrets, une porte de sortie. Qui impliquerait sa mise hors jeu. Un exil doré ou un accident d’hélico, on en discute.

La solution : une paix réaliste

En toute hypothèse, faire une paix raisonnable avec la Russie devient une option envisageable. On lui laisserait ses gains territoriaux et on lèverait le blocus sur ses capitaux et marchandises. Et bien sûr on accepterait une démilitarisation de l’Ukraine pour en faire un État-tampon. En contrepartie, Vlad renoncerait à Odessa et à la Transnistrie. Et promettrait d’être neutre dans le conflit USA/Chine qui s’annonce pour Taïwan. Puisque les USA ne peuvent pas vivre en paix, une fois débarrassés du Zygomyr, ils iront traîner leurs rangers en mer de Chine.

Les plus lucides se disent qu’il vaudrait lieux ne pas trop attendre une éventuelle victoire électorale des Républicains pour larguer le nain du cirque de Kiev. Tout pourrait se jouer avant. Car si l’élection présidentielle américaine est prévue début novembre 2024, des candidats grands électeurs sont déjà entrés en campagne et le mouvement ne pourra que s’accélérer un an avant le scrutin final.

Dans ce contexte, les positions des uns et des autres sur la guerre en Ukraine, et surtout sur le soutien ruineux apporté au Zygomyr, sans espoir de retour sur investissement, s’ajouteront aux clivages traditionnels. Ou même les estomperont… La politique étrangère n’a jamais trop passionné les Yankees. Mais quand ses dommages collatéraux conduisent à une réduction de leur pouvoir d’achat et une augmentation de leurs impôts, ça les intéresse et oriente leurs votes.

Si le Zygomyr continue son numéro de mendigot mi-pleurnichard mi-imprécateur, ce sera un bonus pour ceux qui se dissocieront de cet énergumène et diront qu’on a assez donné pour rien. D’autant que son attitude est une de celles que la plupart des Yankees détestent. Ils ont le culte du dynamisme et de l’efficacité, la religion de la réussite. Les rhétoriques vaseuses et des excuses filandreuses les exaspèrent.

Le Zygomyr s’enferre dans ses délires et l’OTAN perd patience

Le Lilliputien mal fringué et mal rasé trépigne et couine que, si on doit faire la paix, ce sera uniquement à ses conditions. Lesquelles impliquent une capitulation sans conditions de Moscou. Le départ de tous les Russes. L’abandon de la Crimée et du Donbass. Et le versement de colossales indemnités dont on peut prédire que peuple d’Ukraine ne verrait pas la couleur d’un kopeck.

Tout ça est tellement grotesque que l’on ne manque pas, pour expliquer une telle attitude, de ressortir son addiction à la poudre à éternuer, comme en avaient témoigné plusieurs personnes de son entourage avant la guerre. Depuis, il semble être en surchauffe permanente.

Il y a pire. Dans son obsession poutinophobe, le petit clown entend entraîner tout le continent européen dans une guerre économique contre la Russie, préjudiciable aux économies de l’Occident et dont les effets négatifs impacteraient encore plus le niveau de vie des populations. Lesquelles, malgré le martelage de la propagande, ne suivront peut-être plus longtemps les maîtres penseurs et les fact checkers des chaînes de désinformation continue qui leur chantent que tout va bien.

À ces exigences insensées s’ajoutent l’étouffement des industries de l’armement et de leurs sous-traitants dont les stocks ont été vidés, et qui ne produisent pas des armes à la vitesse que le Zygomyr exige dans ses réclamations courroucées. Les assortissant de critiques acerbes et de propos discourtois contre ses généreux donateurs.

Les Bulgares (qui eux au moins ont consulté leur Parlement) ont essayé de le calmer en lui refilant 100 chars datant de l’ex-URSS. Le Zygomyr pavoise, ignorant que les Russes en connaissent les points faibles mieux que quiconque. 

D’une réclamation à l’autre, il n’y a plus de limite

Le Zygomyr, alignant son comportement de quémandeur perpétuel sur celui des migrants pour lesquels on n’en fait jamais assez, nourrit un ressentiment méchant contre l’Occident accusé de le laisser tomber. Et il le rend responsable de l’échec de sa contre-offensive tant claironnée.

Il se prend pour un chef de guerre invincible, ses stratèges sont géniaux, ses troufions sont les meilleurs du monde. Si ça coince de partout, c’est à cause des livraisons d’armes insuffisantes, inadaptées et de mauvaise qualité… Ses oligarques et ses généraux n’auraient pas dû revendre le matos de pointe au Kosovo et aux islamistes pour augmenter leur argent de poche.

Si on écoutait le Zygomyr, qui préconise des frappes nucléaires d’intimidation contre la Russie, on se laisserait entraîner dans un conflit atomique. Simplement pour satisfaire son hybris. Sa folie russophobe est telle qu’il est incapable de voir la réalité en face, et croit Poutine trop faible pour riposter à ce genre d’agression.

Même les plus nuls des généraux de l’OTAN, sauf les Polacks encore traumatisés par l’URSS et les Français devenus des figurants de plateaux télé, admettent que cette guerre ne peut être gagnée contre les Russes. L’alternative est simple : ou on continue des batailles de tranchées, longues et coûteuses, et il y a fort à parier que l’Occident ruiné se lassera avant la Russie. Ou on pousse à bout Poutine, en s’engageant encore plus dans la cobelligérance comme fait Macronescu, ce sale gamin provocateur qui marche à côté de ses pompes, et là, on ne répond plus de rien.

Mais bien évidemment, avant d’en arriver à des excès regrettables, on peut toujours laisser tomber le virtuose du piano à queue, et le renvoyer se produire dans des cabarets de soldatesque pour distraire les GI’s. Après avoir saisi sa fortune mal acquise…

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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