Chaque jour ou presque arrivent des informations sur la réalité intentionnelle de la crise sanitaire ; elles nous conduisent à mieux saisir que ce qui a eu lieu en 2020 et 2021 fut, sans conteste, un acte de guerre biologique. Traduisez par un crime contre l’Humanité.
La dernière révélation, et qui n’est pas des moindres, nous a été assénée par le Docteur David E. Martin. Américain, spécialiste international des dépôts de brevets. Également animateur d’une émission sur la chaîne Bloomberg CNBC. Ses positions et déclarations à propos du Covid lui vaudront d’être poussé vers la sortie. Il est aussi le créateur d’un outil CNBC IQ100 considéré comme un indicateur majeur dans le secteur de l’innovation aux États-Unis et autour du monde. Après Rome (2021) Marseille (2022), s’est tenue à Bruxelles au Parlement européen la 3e édition de l’International Covid Sumit – ICS 2023.
Le Dr David E. Martin y était très attendu, car il se disait qu’il y ferait de surprenantes révélations. Le journal Libé, selon son habitude, réduira la réunion à une assemblée de covido-sceptiques et antivax. Si l’expression complotiste n’a pas été utilisé par les auteurs de l’article, c’est qu’ils l’auront oubliée en cours de route.
Tout d’abord, Martin rappelle à l’assemblée qu’il avait prévenu la société mondiale du danger de manipulation qui se faisait à la vue de tous, mais dont personne ne semblait vouloir mesurer le danger. Pour être plus précis, il s’agissait de savoir si l’Europe devait adopter la politique des États-Unis qui consiste à autoriser les brevets sur les matériaux d’origine biologique. Martin rappelle qu’il a exhorté à l’époque tous les milieux sensibles à la question : que la militarisation de la nature contre l’Humanité aurait des conséquences désastreuses.
Il rappelle ensuite que la recherche de virus infectieux a commencé au début de XXe siècle jusqu’après la Première Guerre mondiale. La grippe espagnole avait été un détenteur puissant chez les chercheurs. Les recherches ont été abandonnées sans que l’on sache trop la raison.
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Dans un article à venir je parlerai des essais pendant l’Allemagne nazie. Sous l’autorité d’Hitler, des savants allemands avec la collaboration de savants japonais – le Japon étant membre de l’Axe avec l’Espagne – avaient mis au point des virus qui auraient été capables de supprimer plus d’un quart de la population. Le projet s’appelait « La maison des virus ». Il est clairement établi que si la Seconde Guerre avait durée une année ou deux de plus, le régime hitlérien aurait pu envahir les États-Unis avant que les Américains aient eu le temps de réagir, lancer des vagues de virus sur la planète, selon leur gré. Enfin, l’Allemagne nazie aurait eu la bombe atomique et aurait été la première nation à lancer la première fusée dans l’espace.
C’est en 1965 que le coronavirus en qualité d’agent pathogène a été isolé. (Un agent pathogène est un facteur capable d’engendrer une lésion ou de causer une maladie aussi bien chez les humains que chez les animaux ou chez les plantes.) À l’époque explique Martin le coronavirus était principalement associé au rhume. Les recherches ont permis à l’époque de s’apercevoir que cet agent pouvait être utilisé et modifié et pouvait répondre à une série d’objectifs. Et c’est en 1966 que le premier Cov – coronavirus – a été utilisé dans le cadre d’une expérience biologique de manipulation humaine.
Et c’est en 1967 qu’ont eu lieu les premiers essais d’inoculation de coronavirus modifiés à des êtres humains. Il est important de noter rappelle Martin que les expériences ont été faites en TOTAL VIOLATION DES TRAITÉS SUR LES ARMES BIOLOGIQUES ET CHIMIQUES. Pas un responsable politique DANS LE MONDE, pas un seul scientifique, pas un seul intellectuel ne s’est élevé pour dénoncer la manipulation. Ils ont tous regardé ailleurs !
La vague de rhume qui a eu lieu entre les années 1970 et 1977 a été méprisé par l’ensemble du corpus scientifique, alors qu’elle était la réponse, à l’inoculation du Cov sur les êtres humains. Ensuite, une série d’expérience ont été réalisées sur des animaux : chien et porc. Les chercheurs à la manœuvre ont constaté que l’inoculation provoquait des problèmes gastro-intestinaux. Et c’est sûr sur cette base d’observation que le laboratoire Pfizer a déposé le brevet du premier vaccin.
« En quelle année, demande Martin à l’assemblée, Pfizer a-t-il déposé le premier vaccin à base de protéines de pointe (Spike) ? » Pas de réponse. « En 1990 » hurle Martin.
Or donc, mensonges et contre-vérités se sont succédé jusqu’en 2019, lorsque des scientifiques aidés par les politiques ont fait croire aux habitants de la planète terre que le COV venait d’apparaître. « Une grippette » avait déclaré en France Agnès Buzin, ministre de la Santé.
Revenons à 1990. Qu’est-ce qui pousse Pfizer à déposer le premier brevet et de le nommer « Ward Speed » – vitesse grand V ? Qu’est-ce qui justifie la vitesse ? Voici la réponse. Le laboratoire découvre que pas un seul vaccin ne peut fonctionner sur le coronavirus. Pour quelle raison ? Le coronavirus est un agent malléable, qui se transforme, change et mute sans cesse. Or, de 1990 jusqu’à 2018, toutes les publications scientifiques de par le monde ont conclu que le coronavirus échappe à la stimulation vaccinale parce qu’il se modifie et mute trop rapidement pour que les vaccins soient efficaces. En un mot, le vaccin n’a pas le temps d’agir. « Des milliers de publications à ce sujet, clame Martin, ont été réalisées. » Elles montrent que la vaccination contre le coronavirus est une chimère. C’est la science qui le dit, conclu le médecin américain, et elle n’a jamais été contestée. »
Il est important de préciser ceci, dit David E. Martin : « Nous avons fabriqué le SARS. Le SARS n’est pas un phénomène naturel. Le phénomène naturel s’appelle le rhume. Le SARS est le résultat d’une recherche menée par des humains, qui ont utilisé un modèle de système de vie pour s’attaquer à des êtres humains, et ils l’ont breveté en 2002. Et donc en 2003, le brevet du coronavirus humain a été déposé en violation, une fois de plus, des traités et des lois sur les armes biologiques et chimiques aux États-Unis. »
Voici maintenant ce qui est capital poursuit Martin : « Lorsque le brevet en avril 2003 sur le modèle du coronavirus du SRAS isolé chez l’homme, qu’ont-ils fait ? Ils ont téléchargé une séquence en provenance de Chine et ont déposé un brevet (un nouveau) sur cette séquence aux États-Unis. C’est un crime ! Il (le brevet) a été décrit en 2005 comme une plate-forme de technologie d’armes biologiques, permettant de mener une guerre biologique. C’est la classification officielle. »
Il y a eu une période que nous pouvons qualifier de « flottement » À compter des travaux du laboratoire de Wuhan* en Chine en 2016, le virus était potentiellement capable d’émerger chez l’homme. « Si bien que, poursuit le médecin américain, en arrivant en 2017-2018 la phrase suivante est entrée dans le langage commun chez tous les scientifiques « Il va y avoir une libération accidentelle ou intentionnelle d’un pathogène respiratoire. Est-ce que cela ressemble-t-il à une fuite ? Est-ce que cela ressemble à une chauve-souris ou à un pangolin qui seraient entrés l’un ou l’autre, ou les deux, dans un bar du marché de Wuhan, auraient traîné ensemble, eu des relations sexuelles, et voilà : nous aurions le SRAS COV2 ? Non ! Le terme libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent pathogène respiratoire a été utilisé quatre fois en avril 2019. Sept mois avant qu’apparaisse le soi-disant premier malade. Quatre demandes de brevet de Moderna ont été modifiées pour inclure l’expression « Libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent respiratoire pathogène » afin de justifier la fabrication d’un vaccin pour une épidémie qui n’existait pas. Car c’est en septembre 2019 que le monde a été informé que nous allions avoir une libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent respiratoire pathogène ; de sorte qu’en septembre 2020, il y aurait une acceptation mondiale d’un modèle de vaccin universel. Ce sont les mots qu’ils ont employés. Nous devons comprendre que leur objectif était d’amener la population mondiale à accepter un modèle de vaccin universel et d’utiliser le coronavirus pour y parvenir.
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Nous avons pu constater en France le zèle de la presse à faire accepter l’idée d’une crise d’une maladie infectieuse. Car la presse est le moteur essentiel de la propagande.
Le Dr David E. Martin ironise ensuite sur les gains colossaux engendrés par les laboratoires et autres officines s’y rattachant.
Pour conclure, il s’agit en l’espèce d’un acte de guerre biologique et chimique perpétré contre la race humaine et accepté par tous les gouvernements du monde.
Le Dr David E. Martin de conclure : « En fin de compte, à ce jour, l’Humanité a perdu. Parce que nous n’avons pas su réagir. La tâche qui nous incombe maintenant à tous est de dire : stop ! »
Raphaël Delpard
À propos du laboratoire de Wulfran, j’ai maintes fois posé la question suivante : « Qu’est-ce qui a motivé la participation française aux financements du laboratoire chinois d’où se serait échappé le coronavirus ? L’opération a eu lieu durant la mandature de François Hollande. Je n’ai jamais reçu la réponse à la question ou la justification à l’action menée par la France d’investir dans un laboratoire se trouvant à l’étranger.
Un autre crime a eu lieu.
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La crise sanitaire fut sans conteste un crime contre l'humanité
Chaque jour ou presque arrivent des informations sur la réalité intentionnelle de la crise sanitaire ; elles nous conduisent à mieux saisir que ce qui a eu lieu en 2020 et 2021 fut, sans contest...
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