Il est clair que l’hydroxychloroquine n’a jamais tué personne. Des millions de personnes voyageant en milieu exposé en ont bénéficié, depuis trois quarts de siècle.
L’Afrique est quotidiennement protégée de la malaria par ce produit, et par d’autres. Depuis soixante-quinze ans.
Il est tout aussi clair que l’Azythromycine n’a jamais tué personne. Des millions de patients infectés par le streptocoque ont été guéris par son administration.
Il est évident que l’association de ces deux médicaments a eu le mérite d’être expérimentée avec des résultats positifs attestés.
Cela s’appelle recherche clinique. Cela existe depuis la nuit des temps.
Didier Raoult a contre lui, aujourd’hui, à distance d’un terrifiant scandale dont il a tenté, avec courage et lucidité, de démonter le mécanisme :
– l’industrie pharmaceutique concentrée sous les dômes financiers qui ont effacé, opaques, toute concurrence de la part des “petits” industriels autrefois inventifs et surtout responsables de leurs découvertes,
– Bill Gates et ses clones, fascinés par la créature numérique qu’ils ont enfantée, et, dès lors, engagés dans une entreprise de rédemption qui les fera se débarrasser de tout ce qui encombre leur conscience de Frankenstein en mode trans-humaniste,
– les gouvernants, principalement occidentaux, que cette industrie a corrompus, l’un après l’autre, ou mis sous influence, ce qui revient au même,
– la communauté médicale française et occidentale assiégée, menacée, fragmentée, terrorisée, en fin de compte manipulée, comme les autres, et forcée de de soumettre,
– les médias dominants dont la morale se résume à ce mots d’une absolue simplicité : “en liquide plutôt qu’en chèque”.
Face à cela, le Prof se défend, seul ou presque, cerné par la meute qui prétend lui faire payer le fourrage d’une mangeoire qu’elle finira par liquider avant de se tourner vers la prochaine pandémie, de la souhaiter, de lui préparer le gîte et le couvert, de se coucher, cuisses bien ouvertes, pour recevoir son hommage sonnant et trébuchant.
Didier Raoult est un type bien.
Le drame de la France est que les types bien sont de plus en plus ouvertement offerts en pâture aux médiocres, aux jaloux, aux impuissants et, pire, aux petits malins qui tirent depuis toujours les marrons du feu des guerres.
Ceux-là sont les vrais vainqueurs. Et c’est fort dommage.
Jean Sobieski
Didier Raoult est un type bien
Il est clair que l'hydroxychloroquine n'a jamais tué personne. Des millions de personnes voyageant en milieu exposé en ont bénéficié, depuis trois quarts de siècle. L'Afrique est quotidiennem...
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