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23 juillet 2023 7 23 /07 /juillet /2023 19:37
Il faut renverser la table et congédier nos « élites »

Depuis quelques années, toutes les décisions prises en Occident ont eu les mêmes effets. Elles ont enrichi des secteurs d’activité cannibalisant des dizaines de milliards d’argent public. Elles ont été inefficaces, n’atteignant jamais les buts pour lesquels elles étaient initiées. Elles ont eu des effets collatéraux délétères sur les personnes et la société. 

Que nous parlions de la gestion catastrophique d’une épidémie qui n’en était probablement pas une, que nous évoquions cette guerre en Ukraine organisée de longue date par les Américains, que nous regardions nos actions en Afrique qui nous valent de quitter ces pays tant nous y avons été incompétents, complaisants et là encore inefficaces, que nous examinions l’inefficacité élémentaire de nos ministères régaliens, en matière de sécurité, de justice, d’éducation ou de santé, tout est pathétique. Bref, ce constat apocalyptique va bien au-delà de la France. Il concerne les USA, l’Angleterre et les pays d’Europe continentale. 

Plusieurs phénomènes semblent expliquer cette situation.

Lobbying et cupidité

Premièrement, le lobbying incessant et la cupidité de secteurs qui, les uns après les autres, agissent en maîtres-chanteurs, pour ne pas dire en mafias extorquant des milliards, en organisant des scénarios catastrophes. N’oublions pas les banquiers en 2008 qui ont ruiné puis pillé les nations qui ont alors choisi de les renflouer sans aucune sanction ni mesure drastique pour mettre ce secteur à sa place. La crise sanitaire a fonctionné de même, avec ses produits toxiques, ses thérapies de choc et son coût pharaonique. La crise en Ukraine a elle aussi ses inspirateurs, les géants agricoles américains, les militaires et leurs industries ainsi que les prédateurs absolus que sont les minières américano-canadiennes. La défaite est bientôt là, et le coût tout aussi faramineux. Mais il y a aussi les industries pharmaceutiques dans la disparition de la médecine clinicienne au profit d’une machinisation forcée, ruineuse et suicidaire. Il y a les géants des technologies qui se piquent de savoir comment éduquer les enfants et qui font dépenser des milliards à nos collectivités en tablettes ou ordinateurs qui rendent chaque jour un peu plus bêtes et addicts ces enfants-victimes. Les études sont sans appel sur ces sujets, etc. La cupidité, pour ne pas dire la rapacité de ces géants pose un problème de liberté publique et d’orientation des actions pour le bien commun dans l’intérêt des populations. Nous ne ferons pas l’économie de leur démantèlement rapide pour briser leur influence nocive sur les choix fondamentaux de nos sociétés. C’est une absolue urgence démocratique. Pourquoi le silence au RN, chez Z ou ailleurs ? Sont-ils vraiment du côté des populations ou bien les ultimes pièges de leurs commanditaires tendus aux peuples crédules ? La clarification est urgente.

Corruption

Deuxièmement, la corruption des personnels politiques et des fonctionnaires dans toutes ces institutions supranationales. Là où les politiques n’envisageaient jamais d’être un jour salariés d’une entreprise privée, là où jamais un haut fonctionnaire n’imaginait servir autre chose que l’État, les passerelles sont devenues des véhicules de corruption et de conflits d’intérêts permanents. Les complicités, les ententes, les complaisances ont désarticulé l’action politique. Les hommes politiques visent des carrières, et la liste des corrompus serait fort longue. Pensons ne serait-ce qu’à Barroso, président de la commission, aujourd’hui président non exécutif du conseil d’administration de Goldman Sachs ! (CQFD). Nous ne ferons pas l’économie d’une règle déontologique ferme et vertueuse à l’encontre de ceux qui se promènent entre les mondes. Cette économie de complaisance est le comble de la corruption.

Idéologies mondialistes

Troisièmement, le règne des idéologies institutionnelles. Je pense à l’OMS, au GIEC, au FMI, à l’OMC et à ces nombreuses institutions internationales qui sont devenues des machines de guerre du mondialisme contre les peuples et contre la libre recherche scientifique. Le FMI est sans doute la plus caricaturale de ces institutions au service des bailleurs internationaux qui prêtent sans vergogne à des pays comme on prête à des personnes modestes qui ne pourront jamais rembourser. Et après, comme dans Le marchand de Venise de Shakespeare, il s’agit de leur arracher le cœur, de leur faire rendre gorge, ces salauds de pauvres, pour qu’ils remboursent. Il en est des nations comme des personnes. Or, le FMI est intervenu systématiquement pour ruiner des pays, sauver la mise des prêteurs, privatiser et voler les quelques entreprises ou activités publiques ayant de la valeur. Lire Stiglitz. Le procès est sans appel.

N’en est-il pas de même de l’OMS dont les positions ont été ahurissantes ? Juste une anecdote. Si nous avions vécu une véritable épidémie, il existe un principe absolu. Sa diffusion géographique est progressive depuis une région origine d’où une vague spatio-temporelle. En clair, le pic épidémique se déplace de pays en pays. Or, nos bureaucrates nous présentent des courbes où tous les pays du monde ont en même temps subi l’épidémie. C’est simplement impossible. Ceci est la preuve d’une mesure bureaucratique où certains ont décidé de dénombrer des morts en les attribuant à cette maladie : scandale, manipulation, supercherie, idéologie qui reboucle avec la corruption en bonne partie.

Nous évoquerons le GIEC dans quelques articles prochains, après une étude approfondie, mais le culte des transitions énergétiques qui s’ensuivent sont du même tonneau. En un mot, il n’existe pas une équation et une théorie du climat. Par contre, il existe des grands manipulateurs de données statistiques, comme Ferguson à Oxford menaçant de millions de morts et justifiant de la distanciation sociale, cette mesure délirante jamais fondée par l’expérience des médecins depuis la nuit des temps, et ne figurant dans aucun des schémas de gestion des crises épidémiques, où que ce soit dans le monde ! CQFD là encore. Les délires statistiques du dernier rapport du GIEC et la faiblesse de la qualité de ses preuves expérimentales sont édifiantes. Par contre, la stratégie mafieuse des maîtres-chanteurs qui insultent les chercheurs libres, elle est bien là. À propos, l’intimidation, ne serait-ce pas le grand point commun de toutes ces actions contre les peuples ?

En matière climatique, les États s’endettent comme jamais pour financer la transition énergétique. Ils prêtent à des entreprises qui vont ou ont déjà développé des solutions onéreuses, peu fiables et peu efficaces. Un exemple suffit, le scandale des éoliennes qu’on impose partout pour les beaux yeux du géant allemand Siemens, encore un à démanteler d’urgence.

Un dernier exemple, la décision anti-scientifique absolue de légiférer sur les farines : la poudre de grillon. Visiblement, le scandale sanitaire des farines animales pour les bovins est oublié. Le lobbying et la corruption  sont bien au rendez-vous. Pourtant, des médecins alertent sur les dangers d’une diffusion de parasites et d’effets secondaires. Perseverare diabolicum

Des élites à congédier d’urgence

Il y a en fait trois problèmes majeurs. Ces élites se croient plus intelligentes que nous tous pour décider à notre place de notre destin et des perspectives de la société future. Ces élites sont les complices d’une fausse science construite de toute pièce en grande partie par cupidité par des géants économiques qui prétendent régenter l’avenir de l’humanité. Ces élites se croient Élues pour assumer des choix de civilisation à notre place. Elles agissent en une secte organisée et obéissent aux injonctions de Schwab et de ses délires néo-nazis. Je voudrais lancer ici une initiative pour commencer la lutte contre ces élites. La liste des dirigeants d’entreprise qui se rendent à Davos est à rendre publique. Ensuite, les salariés de ces entreprises doivent exiger que leurs dirigeants renoncent à participer à des actions anti-démocratiques et moralement répréhensibles, eu égard à ce qu’a écrit Schwab. Et pour terminer, tous les consommateurs de cette terre doivent ne plus acheter les produits des entreprises dont les dirigeants participent activement à Davos. Nous avons tous ensemble le pouvoir, comme le disait La Boétie. Vive le Contr’Un, titre de son fameux ouvrage sur la servitude volontaire. Il faut démanteler Davos, démanteler les géants économiques qui menacent chaque jour un peu plus nos libertés. Mais il faut que des mouvements politiques prennent la mesure de ces menaces. 

Pierre-Antoine Pontoizeau

 

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