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3 novembre 2023 5 03 /11 /novembre /2023 00:51
Davos : les quinze questions qui ont pulvérisé Albert Bourla et Pfizer

À Davos, deux journalistes coincent le PDG de Pfizer, Albert Bourla, dans la rue et lui posent toutes les questions indispensables : c’est succulent. Enfin des journalistes qui ont le sens de leur devoir, de leur métier ! Et ils posent des questions en forme d’implacable réquisitoire. Ils lui disent son fait, sans hésiter et sans barguigner.

Des questions que chacun d’entre nous rêve de poser à Albert Bourla.

https://planetes360.fr/albert-bourla-qui-se-fait-coincer-par-2-journalistes-dans-la-rue-aujourdhui-a-davos-qui-lui-posent-enfin-toutes-les-questions-que-les-medias-

« Monsieur, puis-je vous demander, quand avez-vous su que le vaccin n’arrêtait pas la transmission et depuis combien de temps le saviez-vous sans le dire au public ?… »

Albert Burla répond sans rougir et sans complexe « merci beaucoup » ! Le bougre est costaud ! Mais il en faut plus pour décourager les journalistes. Au contraire ces deux mots les rendent plus véhéments. Car la vérité, c’est qu’Albert Burla prend le monde entier pour des imbéciles.

Pas de réponse mais le journaliste continue, calme, imperturbable : « Je suis navré de vous reposer la question. Nous le savons maintenant, que le vaccin ne stoppait pas la transmission mais pourquoi l’avez-vous gardé secret ? Vous avez dit que le vaccin était efficace à 100 % puis 90 % puis 80 % puis 70 % mais nous savons maintenant que le vaccin ne stoppe pas la transmission. Pourquoi avez-vous gardé cela secret ? »

Albert Burla répond sans aucune gêne : « Passez une bonne journée ! » Le journaliste répond : « mais je ne peux pas passer une bonne journée si je n’ai pas de réponse à cette question ! Pourquoi avez-vous gardé le secret sur ce fait que votre vaccin ne stoppait pas la transmission ? »

Un autre journaliste prend la suite :

« Il est temps de vous excuser auprès du monde, Monsieur, de rembourser les pays qui ont investi tout leur argent dans votre vaccin ! Cela ne marche pas, votre vaccin est inefficace ! »

« N’avez-vous pas honte de ce que vous avez fait ces deux dernières années ? Juste vous excuser auprès du public, Monsieur ». Et ils continuent :

« Vous êtes fier de ce que vous avez fait ? Vous avez gagné des millions sur le dos de gens qui se battent pour gagner leur vie. Qu’est-ce que ça vous fait de marcher dans les rues comme un millionnaire avec tout cet argent fait sur le dos des gens ordinaires, chez vous, en Australie, en Angleterre, au Canada ?  » (et dans le monde entier, en fait).

«  À quoi pensez-vous sur votre yacht, dans votre jet privé ? Êtes-vous inquiet pour la responsabilité de ce produit ? Êtes-vous inquiet de la myocardite, et de ces essais ? Qu’avez-vous à dire sur ces jeunes personnes qui meurent chaque jour de crise cardiaque ? »

Voyant qu’ils n’obtiennent aucune réponse, les journalistes persévèrent :

«  Pourquoi ne répondez-vous pas à ces questions basiques ? »

« Pensez-vous que vous devriez être inculpé pour votre comportement criminel, pour les actes criminels auxquels vous avez manifestement pris part ? »

« Combien de rappels pensez-vous qu’il faudra pour que vous soyez suffisamment satisfait de vos gains ? Combien d’argent avez-vous personnellement gagné avec le vaccin,  Monsieur ? »

« Qui avez-vous rencontré en secret ici, allez-vous le divulguer, et combien de commissions avez-vous touchées ? »

« Pfizer a été condamné ces dernières années à verser 2, 3 milliards de dollars en amendes pour fausses informations. Allez-vous de nouveau adopter la même conduite ? »

«  Êtes-vous l’objet d’une enquête comme vous l’avez déjà été pour votre information mensongère  ? »

« Si un produit ne marche pas dans le monde, n’est-on pas remboursé ? Ne devriez-vous pas rembourser les pays qui ont dépensé des milliards pour vos vaccins inefficaces ? »

Burla continue de marcher dans la rue entouré des journalistes, (mais soyons-en sûrs avec des gardes du corps tout près, chèrement payés pour lui éviter tout déboire), avec un air très satisfait de lui, un air repu, n’éprouvant même pas le besoin de se calfeutrer dans son écharpe voyante, sans répondre.

« Vous avez l’habitude que les médias soient sympathiques avec vous alors vous ne savez pas répondre aux questions, c’est cela ? »

Et vient la conclusion, sans appel :

« Vous devriez avoir honte, honte à vous, Monsieur ! »

Oui ces journalistes visent en plein dans leur cible : honte à vous, Albert Burla, et espérons que chaque centime de dollar aussi malhonnêtement, aussi criminellement acquis vous sera rentré dans la gorge. Vous ne perdez rien pour attendre, et vos acolytes des labos ou des gouvernements, non plus.

Définitivement honte à vous, Albert Burla.

Un grand merci à ces journalistes qui n’ont pas eu froid aux yeux, contrairement à tant d’autres.

Sophie Durand

 

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