Lazare : ça continue................
Cassandre suspendue de l’Education nationale en toute illégalité
On utilise la Loi pour combattre des opposants politiques.
A coté de ça, un meurtre de Juif ne sera pas considéré comme de l'antisémitisme, quand c'est commis par un musulman, mais comme un moment de folie.
Le jugement est tombé concernant madame Cassandre Fristot : six mois avec sursis pour avoir exhibé une pancarte dans l’espace public comportant quelques noms connus avec la mention « traîtres » complétée du pronom interrogatif « qui ? ».
Cette interrogation a été considérée comme antisémite, alors que plusieurs des personnes nommées n’ont rien, de près ou de loin, à voir avec la religion juive ou la judéité.
Or il m’apparaît que l’on s’égare superbement dans le dévoiement de ce que certains nomment encore des lois mémorielles alors qu’il s’agirait désormais d’interdire l’Histoire et la réalité.
Petites explications qui ne tiennent qu’à moi, à vous de voir si vous me suivez.
Supposons même qu’une pancarte exhibée dans l’espace public comporte des noms de personnes exclusivement juives avec la mention « traîtres » alors que nous sommes actuellement en guerre avec les musulmans qui nous l’ont déclarée.
Que ces juifs aient pris position pour les musulmans, donc contre les Français chrétiens, laïcs et Témoins de Jéhovah par exemple, dans le conflit séculaire qui nous oppose aux Sarrazins.
Qu’y aurait-il d’antisémite dans cette pancarte, puisque qu’elle se borne à dénoncer de réels traîtres ?
Doit-on donc taire la réalité au nom d’un supposé antisémitisme ??
On est bien, depuis quelques années, dans le dévoiement le plus total des lois sur la liberté d’expression.
Prenons le texte de loi, il faut aller à la source.
Ce qui est condamnable, c’est « l’incitation à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes en raison de leur origine… leur appartenance à une ethnie… ou une religion déterminée… ».
Voici l’article 24 de la loi de 1881 :
« Ceux qui, par l’un des moyens énoncés à l’article 23, auront provoqué à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée, seront punis d’un an d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende ou de l’une de ces
deux peines seulement ».
https://www.legifrance.gouv.fr/loda/article_lc/LEGIARTI000043982456
Allons plus loin pour coller au plus près à l’affaire Cassandre : j’ai inscrit une liste de noms de personnes exclusivement juives mais je n’ai pas écrit le mot « juif », j’ai inscrit le nom « traîtres » accolé à ces noms car ces personnalités ont pris position contre la France pour les musulmans ; c’est donc la réalité, puis j’ajoute le pronom interrogatif « qui ? » sur ma pancarte.
Grammaticalement, le pronom « qui ? » renvoie-t-il aux juifs en général, ou aux seuls juifs dont les noms sont inscrits sur ma pancarte pour lesquels je n’ai pas fait état de leur judéité, mais avec raison, de leur qualité indéniable de traîtres ???
N’importe quel grammairien vous répondra qu’en toute logique, le pronom interrogatif « qui ? » renvoie directement aux seuls noms inscrits sur la pancarte, et non à l’ensemble de la communauté juive de France.
Eh bien les juges français ont perdu tout sens grammatical en condamnant madame Cassandre, ce qui démontre par le réel une fois de plus que l’Éducation nationale n’est même pas capable d’apprendre à lire et comprendre un texte de français aux futurs citoyens de ce pays, et que l’École nationale de la magistrature n’est pas plus capable d’apprendre à comprendre quelques mots de français inscrits sur une pancarte aux futurs magistrats.
Le pire drame qui touche madame Fristot et qui la tue probablement, c’est de s’apercevoir, alors qu’est dans le professorat, qu’elle vient de se faire condamner par des presque illettrés dans la compréhension d’un texte pourtant simple, un comble pour une citoyenne éclairée biberonnée aux Voltaire et Diderot de ce pays.
Or ces dévoiements dans la compréhension du français par les magistrats nous ont été expliqués dans France Bleu par l’interview du fondateur du site conspiracywatch qui nous assène que « La question n’est pas de savoir si cette pancarte est antisémite ou pas, elle est de manière éclatante antisémite pour qui sait la décoder » (Rudy Reichstadt, fondateur du site).
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/decryptage-pourquoi-la-pancarte-de-lamanifestation-antipass-a-metz-est-consideree-comme-antisemite-1628603030
Ainsi est-il demandé en 2021 aux juges français, non plus de lire et comprendre un texte de français, ce que peut-être bien un grand nombre de magistrats n’est même plus en capacité de faire compte tenu de l’état déplorable de l’école française, mais de savoir décoder un texte, peu important qu’il soit antisémite ou pas, pour le rendre et le déclarer antisémite.
Il s’agit probablement d’un des aspects les plus novateurs du progressisme revendiqué par certains de nos politiciens, sauf qui a un peu d’histoire en tête ne peut s’empêcher immédiatement de faire référence aux procès staliniens où l’on inventait ex nihilo les crimes qui servaient à exécuter les opposants.
Bref, peu importe ce que vous écrivez sur votre pancarte, ce qui vaut, c’est ce que le juge veut y lire, aiguillé dans sa lecture par toutes ces associations décodeuses-créatrices de délits imaginaires.
Dites donc, n’avez-vous pas avec moi la fâcheuse impression que l’on demande aux juges français d’inventer des délits et des crimes en matière de liberté d’expression pour l’interdire tout simplement ? Que certains magistrats français ressemblent de plus en plus furieusement aux Bérias de l’Histoire russe ?
Qui nous a dit que la France est un État de droit au contraire de la Pologne ou de la Hongrie qui ne le seraient pas ???
Que la justice française est indépendante, au contraire de celle des deux pays supra, alors qu’elle est idéologisée et dépendante, si ce n’est aux ordres, de toute une caste associative qui invente de l’antisémitisme pour exécuter les opposants au régime ?
Vous y croyez à cette fable, si grammaticalement vous avez réussi à me suivre ?
Jean d’Acre
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Cassandre condamnée : il est donc interdit de dénoncer des traîtres juifs ?
Le jugement est tombé concernant madame Cassandre Fristot : six mois avec sursis pour avoir exhibé une pancarte dans l'espace public comportant quelques noms connus avec la mention " traîtres " ...