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27 décembre 2015 7 27 /12 /décembre /2015 06:19
Les lignes telluriques et leurs alignements avec les structures mégalithiques sur Terre

La preuve de civilisations plus avancées que la nôtre ainsi que nombres d’éléments d’un savoir scientique perdu existent sous nos yeux.La diffusion de ce savoir est interrompu par l’Élite au Pouvoir,le Nouvel Ordre Mondial lui-même, afin d’éviter que son pouvoir soit concurrencé par le peuple des Humains de la Terre.

La connaissance de la Vérité menace les institutions  du Nouvel Ordre Mondial ,qui s’appuient sur la haute finance,les sociétés secrètes ,le crime organisé et l’exploitation  des énergies fossiles,telles le charbon,le gaz naturel et surtout le pétrole.
L’incroyable vérité  que nous avançons  est que l’humanité a connu au  cours de l’histoire, un réseau énergétique global étendu à toute  la Terre pendant au moins plusieurs milliers d’années. La grille de la Terre a simplement été redécouvert au 21e siècle. Nous avons maintenant la preuve irréfutable que les «cultures dites primitives» du passé, les cultures anciennes qui sont supposées avoir une  «compréhension limitée de la physique», connaissaient les énergies subtiles de la Terre et de son
modèle de grille,telle qu’exposée ici!

Le fait est que la grille de la Terre elle-même est  tracée,parcourue dans la pierre ,tout autour du monde. La grille de la Terre  est un vaste système,un réseau complexe et structuré composé par  les lignes telluriques qui ont été marquées ,pointées et délimitées  par des structures mégalithiques y compris les dolmens, menhirs et cromlechs autour de la Terre. Les structures mégalithiques se trouvent partout dans le monde représentant l’emplacement précis des lignes d’énergie de la Terre. Au Royaume-Uni ,en des endroits comme Avebury et Stonehenge par exemple, elles sont situées sur de puissants courants telluriques.

Les lignes telluriques ont été  retrouvées et redécouvertes  partout dans le monde et de nombreuses cultures dans le passé ont fait référence aux lignes d’énergie de la Terre de diverses manières,.Les Chinois les appelaient les courants de dragon dans l’art ancien du Feng-shui, l’art d’équilibrer et d’harmoniser la Terre. C’est en construisant des pagodes, des temples et des structures de pierres qu’ils croyaient que cela  aiderait  à guérir la Terre. Le Feng-shui est à la terre ce que l’acupuncture est au corps, il régule la circulation du Chi, la force de vie éthérique invisible.

Les aborigènes australiens  nommèrent  lignes de la grille d’énergie  , les lignes de rêve qui pourraient être expérimentées dans leur Dreamtime (temps de rêve ,un état de conscience accrue).

Lorsque la grille de la  Terre était finalement en place, il a été découvert que toutes les pyramides et les ziggourats (pyramides à sommet plat), ensembles de temples sacrés et des cercles de pierres du monde entier ont été placés sur les sommets de la grille de la Terre. Nous mentionnons les temples des Mayas du Yucatan, les pyramides de Gizeh et le plateau de la pyramide blanche au Tibet. La Grande Pyramide sur le plateau de Gizeh, la pyramide de Khufu (Cheops en grec) est le plus important car il est situé exactement sur le pôle nord de la matrice de la grille  de la Terre. La raison pour laquelle les anciens ont choisi le plateau de Gizeh pour l’emplacement de la Grande Pyramide est parce que cet endroit est le centre du plus  puissant  vortex  d’énergie éthérée  dans le monde.

La Grande pyramide et son gardien,le Sphinx. La construction du sPhinx,telle qu'on le connait,remonterait à  au moins 12,000 ans.L'érosion sur son dos provient  de la pluie et non du sable du désert qui n'existait pas,alors

La plupart des gens ne connaissent que les  pyramides existantes en Egypte et au Mexique, mais les pyramides sont dispersés partout dans le monde en Chine, au Japon, en Equateur et El Salvador. Au Mexique (Chichen Itza), au Guatemala, et au  Pérou (Machu Picchu). Certains archéologues pensent que les pyramides se trouvent aussi bien en Europe. Ils ont trouvé  des collines anormales  et couvertes par la terre qui ont la forme d’une pyramide ,en Angleterre à Silbury Hill, en Italie, en Montevecchia (3 formes pyramidales possibles),en Serbie,en Bosnie   et en Allemagne.Aussi,mes propres recherches me font avancer   l’idée  que des pyramides ont été photographiées et approchées par des explorateurs en Antartique ,près de la zone connue sous le nom de Neu Schwabenland et ou reposeraient  de nombreuses bases secrètes nazi.

Même en cet endroit...maintenant hostile.Quels secrets conserve-t-elle?

L’endroit où la Grande Pyramide est construite est très spécial, c’est le seul endroit sur Terre où les longues étendues de terres émergées se trouvent par rapport à l’eau. Quand la terre est circonscrite par un cercle tracé à travers la Grande Pyramide, puis la superficie totale des terres sur le cercle dépasse le domaine de l’eau beaucoup plus dans cet endroit que dans n’importe quel autre endroit sur Terre. Ce fait  fut probablement reconnu dans l’Antiquité et c’est pour cette raison que le  méridien zéro ; le méridien a été marqué par l’une des structures les plus étonnantes dans le monde, la Grande Pyramide.

Le grillage de la Terre ...ou Grille de Cathie.

Le grillage de la Terre

Un certain nombre de scientifiques ont travaillé sur le modèle de la « grille de la Terre », le premier chercheur  était Ivan P. Sanderson. Sanderson a constaté que «les cimetières de diable  » qui sont au nombre de  douze à travers le monde, ont été géométriquement espacés l’une de l’autre. «Les cimetières de diable»   sont les zones triangulaires dans le monde où des anomalies physiques ont été signalés comme les mystérieuses,à cause des  disparitions de navires et d’avions ,et sans  aucune raison apparente. Le plus célèbre d’entre eux est le triangle des Bermudes, le deuxième le plus connu est la mer à l’est du Japon. Il y a eu de nombreux rapports de dilatations  de temps et d’espace  qui ont été accompagnées par la perte du contrôle  de boussole, d’altimètre, d’horizon artificiel, la perte de contact radio et d’autres phénomènes étranges que de nombreux pilotes d’avion ont connu alors qu’il survolait le triangle des Bermudes. Il y a eu des rapports de pilotes d’avions qui à  l’arrivée, semblaient avoir parcouru un fuseau horaire différent puisque toutes les montres à bord étaient en retard ,par rapport  au même temps de référence ,exactement! Sanderson a remarqué qu’il y a cinq «Cimetières du diable» dans l’hémisphère Nord, cinq dans l’hémisphère sud et deux au niveau des pôles, douze au total formant les sommets exacts de l’icosaèdre!

Trois scientifiques russes, Nikolaï Gontcharov, Viatcheslav Morozov, et Valery Makarov ont fait l’étape suivante  dans la construction de la grille de la Terre. Ils ont commencé avec les travaux de Sanderson et ont ajouté le dodécaèdre à la grille.

Bruce Cathie a indépendamment découvert le cube octaèdre et dans les champs d’énergie subtile de la Terre et ce fut plus tard qu’on lui a  donné le nom de la » grille de Cathie ».

Le couple des  scientifiques William Becker et Bethe Hagens qui sont conjoints,ont finalement établis la symétrie complète de la grille de la Terre ensemble. Becker est professeur de design industriel à l’Université de l’Illinois, Chicago et Bethe Hagens est professeur d’anthropologie à l’Université d’Etat  Governors  de l’Illinois. A partir de la grille Icosa (dodécaèdre), ils ont ajouté un polyèdre spécial développé par la géométrie sacrée de l’explorateur R. Buckminster Fuller. Le terme officiel de leur grille de la Terre finale est la géométrie vectorielle Unifiée  120 polyèdre, ou la LAA 120 aussi appelé « Earth Star « .

Nous vivons depuis peu dans une Ère Nouvelle,et si nous sommes patients et attentifs,la science ancienne viendra à nous, naturellement.

Nous sommes les Héritiers des Anciens…nous devons comprendre aussi que nous sommes les Héritiers Vivants de l’Ère Nouvelle!

Respectons toutes les Formes de Vie!

http://michelduchaine.com/

© 2015, Recherche et transmission par Michel / Arcturius.
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9 décembre 2015 3 09 /12 /décembre /2015 19:03
Des scientifiques ont découvert un secret choquant sous les têtes de l’île de Pâques

Les scientifiques ont le levé le mystérieux voile sur les fameuses grosses têtes de l’île de Pâques.Il s’avère qu’elles sont encore plus impressionnantes, et mystérieuses qu’au premier abord quand vous les voyez. Les scientifiques ont découvert qu’en réalité, les têtes ont des corps enterrés sous terre.

ile de paques statuesLe plus grand des 887 Moaï mesure plus de 10 mètres de haut et pèse plus de 82 tonnes. La version complète de celui-ci mesure 21 mètres et 270 tonnes. Beaucoup de ces statues ont été déplacées à différents endroits de l’île. Elles représentent les ancêtres et les divinités.

iles de paques statue 2Plutôt impressionnant, n’est-ce pas ? – http://www.espritsciencemetaphysiques.com

 

L’énigme de l’île de Pâques

 

Les statues en roche volcanique et à forme humaine de l’Ile de Pâques sont un des grands mystères de notre temps. Comment ces blocs, pesant plusieurs centaines de kilos, taillés à même la roche du centre de l’île ont-ils été déplacés tout autour de celle-ci il y a plusieurs siècles ? Deux archéologues et leur équipe vont tenter une expérience pour résoudre l’énigme. Tout en assistant à l’opération, le téléspectateur découvre également l’histoire de l’île, depuis les premiers hommes jusqu’à l’arrivée des colons hollandais…

Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité et de citer l’auteur, la source et le site : http://www.elishean.fr/

Copyright les Hathor © Elishean/2009-2015/ Elishean mag

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9 décembre 2015 3 09 /12 /décembre /2015 13:41
La mystérieuse pyramide au fond de la mer de Galilée…
Les archéologues ont découvert au fond de la mer de Galilée en Israël une pyramide géante de forme conique construite à partir de blocs de basalte et de roches. La pyramide pèse quelque 60 000 tonnes et a 10 m de haut.

 

Selon certaines hypothèses, de telles constructions ont été utilisées comme tombeaux.

La structure a été détectée pour la première à l’été 2003 lors d’une enquête sonar de la partie sud-ouest de la mer. Des plongeurs sont depuis descendus plus bas pour enquêter, écrivent-ils dans le dernier numéro de la revue International Journal of Nautical Archaeology.

Plus de 4000 ans ?

De nouvelles fouilles archéologiques sous-marines sont nécessaires pour que les scientifiques puissent trouver des artefacts associés à cette pyramide et ainsi pouvoir déterminer la date de la structure.

Le chercheur Yitzhak Paz, de l’Autorité des Antiquités d’Israël et de l’Université Ben Gourion, estime que la pyramide pourrait remonter à plus de 4000 ans.

« La possibilité la plus logique est qu’elle appartienne au IIIe millénaire avant JC, car d’autres découvertes mégalithiques ont été mises au jour à proximité, » notant que ces sites sont associés à des habitats fortifiés.

Les chercheur ont en effet une liste de plusieurs exemples de structures mégalithiques retrouvées non loin de la mer de Galilée , qui datent de plus de 4.000 ans.

Le site monumental de Khirbet Beteiha en est un exemple et est situé à 30 kilomètres au nord-est de la structure en pierre submergée, écrivent les chercheurs.

Il se compose de trois cercles concentriques de pierres, dont le plus grand fait 56 m de diamètre.

Pour ce qui est de la pyramide, comme toujours bien sur, les chercheurs nous disent qu’il s’agit d’un tombeau, mais ça, on en a l’habitude à présent !

Le site de Khirbet Beteiha (ci-dessous)

pyramide tiberiade 2pyramide tibériade 3La mer de Galilée ou lac de Tibériade est un lac d’eau douce d’une superficie de 160 km2 situé au nord-est d’Israël. Situé à plus de 200 m au-dessous du niveau de la mer, il est traversé par le fleuve Jourdain. Riche en poissons, il est réputé pour ses tempêtes violentes à cause des différences de température avec les hauteurs environnantes.

pyramide Tiberiade-satOutre cette très mystérieuse énorme structure conique de blocs de basalte, durant l’hiver 1986, a été découvert dans le lac, près de ce qui est généralement considéré comme l’ancienne Magdala /Tarichée, un exemplaire unique de barque romaine (longueur 8,3 m, largeur 2,6 m, profondeur 1,2 m). Le carbone 14 situe la construction de cette barque au premier siècle de notre ère, ce qui lui vaut parfois le surnom de « barque de Pierre » ou « barque de Jésus ».

Le lac reçoit de l’eau principalement du fleuve Jourdain qui s’y déverse au nord et en ressort au sud.

Le lac a une grande importance pour les chrétiens. C’est sur ses rives que de nombreux épisodes de la vie de Jésus, rapportés dans les Évangiles, ont eu lieu (La tempête apaisée (Lc 8, 12,25), la pêche miraculeuse (Lc 5, 4-6), la dernière apparition aux disciples alors qu’il était ressuscité (Jn 21, 1s)).

Capharnaüm, ville où est venu prêcher Jésus et où il guérit l’esclave du centurion. Maison de saint Pierre. Dôme du Mont Thabor, lieu de la Transfiguration du Christ. Mont des Béatitudes, site du sermon sur la Montagne.

Tabgha, sur la rive ouest, le lieu du miracle de la multiplication des pains et des poissons par le Christ. Koursi, le lieu du miracle de la guérison par le Christ de deux hommes possédés par des démons.

Yardenit, à l’extrême sud du lac, là où les eaux reconstituent le Jourdain. Aujourd’hui, des pèlerins s’y rendent pour se faire baptiser en pensant qu’il s’agit d’un des deux endroits où Jean le Baptiste baptisait.

Le lac est un lieu de pèlerinage pour les Juifs. Les pèlerins juifs viennent y prier. Pour l’Islam, comme cité dans un hadith, son assèchement est un des signes majeurs de la fin des temps puisqu’il signe l’émergence du faux-messie, le dajjal.

Mais revenons aux pyramides, et souvenons-nous de cette incroyable histoire d’Edward Leedskalnin et de son fantastique, incroyable, et impossible Château de Corail !

pyramide tibériade 4Edward Leedskalnin est né en 1887 à Riga (Lettonie). À l’âge de 26 ans, il allait se marier avec Agnes Scuffs, 16 ans ; mais celle-ci, la veille du mariage, préféra « laisser tomber » Edward.

Quelques années plus tard, il émigra en Amérique du Nord (Canada puis États-Unis) ; atteint alors d’une forme de tuberculose, il déménagea vers les régions chaudes de Floride en 1919. Ne s’étant jamais remis de sa séparation douloureuse d’avec Agnes, il entreprit alors, durant plus de 20 ans, la construction d’un édifice mégalithique de pierre et de corail, dédié à son amour de jeunesse, pour sans doute, l’impressionner de cette attention.

Le mystère de la construction…

Edward Leedskalnin, qui pesait environ 40 kg pour 1,50 m, travailla seul durant les 28 années de construction, et essentiellement de nuit, à l’abri des regards.

Le mystère reste donc entier quant à la technique qu’il utilisa pour découper, déplacer, sculpter et positionner des blocs de pierre dont certains pèsent jusqu’à 30 000 kg (30 tonnes), dont une porte de 9 tonnes. Le seul outil dont l’utilisation est connue avec certitude est une grue en bois.

Pour rajouter à la confusion et au mystère autour de ce château, des enfants auraient affirmé avoir épié Leedskalnin et déclaré que ce dernier déplaçait les blocs de pierre comme de vulgaires ballons ; ce qui entraîna diverses théories sur le fait que Leedskalnin aurait eu recours à l’antigravité, au magnétisme voire à des ondes sonores harmoniques ; Leedskalnin déclara lui, qu’il avait percé le secret de la construction des Pyramides égyptiennes.

Voici un homme qui pendant 28 années de sa vie a transporté érigé et sculpté 1 100 tonnes de roche en blocs allant de 3 à 30 tonnes.

En se basant sur la durée de son œuvre et le fait qu’il l’ait réalisée tout seul, il a été calculé que les 5.273.834 tonnes constituant la grande pyramide auraient pu être taillées et mises en place par seulement 4794 ouvriers (au moins, ils ont calculés quelque chose grâce à lui).

En décembre 1951, il tomba malade, plaça sur sa porte un écriteau disant ‘’ je vais à l’hôpital ‘’ et monta dans le bus. Trois jours plus tard, au Jackson Memorial Hospital de Miami, il mourait pendant son sommeil, emportant, à 64 ans, son secret dans la tombe.

Un secret que nous aurions aimé connaitre !

Il nous a laissé, le château de Corail et un livret intitulé « Magnetic Current » rempli d’expériences à réaliser avec des aimants.

A ce jour, personne n’a élucidé son secret. Comment l’a t-il trouvé ? Comment a t-il pu le réaliser ? Mystère !

pyramide tiberiade Coral_Castle_2Cette porte seule fait ses 9 tonnes, pivotant sur un axe d’acier placé dans sa base, on pouvait la pousser d’un doigt (pour la sécurité, elle a été freinée par des propriétaires ultérieurs de Coral Castle)

pyramide tiberiade coral_10Des personnes sensibles ont dit avoir ressenti un certain mal de tête en se tenant sous l’arche de cette porte qui, pourrait être dressée sur un vortex.

pyramide tiberiade structureSource : http://homme-et-espace.over-blog.com/

LIRE AUSSI : Une mystérieuse structure engloutie dans le lac de Tibériade

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17 novembre 2015 2 17 /11 /novembre /2015 22:54
Les Anciens maîtrisèrent-ils la gravitation ?

La plus puissante force connue est l’énergie enfermée dans l’atome. La force électromagnétique est cent fois plus faible que l’énergie nucléaire. Mais la force de gravité est des quadrillions de fois plus faible que l’électricité ou le magnétisme.

Paradoxalement, la plus faible des forces est la plus difficile à dominer car nous en savons peu de chose. La gravité occupe, en physique, une place à part. Il est extraordinaire que les découvertes faites dans le monde de l’atome n’aient pas éclairci son mystère mais qu’elles aient, au contraire, ajouté de nouveaux problèmes au problème initial.

Si nous pouvions prémunir les objets contre la gravitation, ils n’auraient plus de poids, mais jusqu’ici, la tentative est restée infructueuse. La vie serait totalement transformée le jour où nous serions maîtres de cette faible force. Voitures, trains, navires, avions, rendus superflus, deviendraient pièces de musée.

L’herbe envahirait les chemins et les routes. Les maisons pourraient flotter dans l’air et les hommes voler comme les oiseaux. Cependant cette époque insensée paraît encore fort loin de nous, bien que des recherches sur l’antigravitation soient activement conduites dans quelques pays, et le mystère reste entier.

Le principal aspect dont nous ayons connaissance est que la gravitation varie avec la masse. L’obscur compagnon de la brillante étoile Sirius est composé d’une matière si dense qu’une tasse emplie de sa substance pèserait douze tonnes. Mais ce poids est aussi léger que celui d’une plume si on le compare à une tasse pleine de la matière qui compose certaines petites étoiles de Cassiopée, qui pèserait, à cette échelle hypothétique, plus de cinq millions de tonnes.

Les spéculations sur la nature de la gravité et sur les possibilités de la vaincre sont loin d’être vaines. Elles revêtent une importance capitale en astronautique et en aviation.

Des rochers en l’air

baalbeck libanBaalbeck au Liban

Quelques-uns des récits les plus incroyables de l’Antiquité se rapportent à la lévitation ou pouvoir de neutraliser la gravité. François Lenormant écrit dans la Magie chaldéenne qu’au moyen de sons qu’ils proféraient, les prêtres d’On étaient capables d’élever dans l’air des blocs de roche que mille hommes n’auraient pu soulever. [1]

Est-ce par ce procédé que Baalbek fut érigé ?

La gigantesque dalle laissée dans la carrière au pied de la terrasse du temple par les Titans qui le bâtirent, mesure 21 mètres de long, 4,80 m de large et 4,20 m d’épaisseur. Quarante mille ouvriers carriers durent être nécessaires pour mouvoir cette masse énorme. Mais encore eût-il fallu qu’une telle multitude ait accès, en même temps, autour de la dalle pour la soulever ! Quoi qu’il en soit, même dans une ère de technologie aussi brillante que la nôtre, aucune grue au monde ne pourrait aujourd’hui enlever ce monolithe de la carrière où les touristes vont le contempler.

Certains contes, de source arabe, décrivent la manière dont les Pyramides d’Egypte furent édifiées. Al-Masudi chroniqueur arabe du Xe siecle, prétend que les blocs, enveloppés de papyrus, étaient frappés d’une baguette par un prêtre. Ainsi devenaient-ils totalement dépourvus de poids et pouvait-on les déplacer jusqu’à cinquante mètres dans l’air. Le hiérophante répétait alors son geste jusqu’à ce que la pierre eût atteint l’emplacement qui lui était destiné. Cela expliquerait l’absence d’éclats sur les arêtes des blocs — le jointoiement des pierres, est d’une si grande précision qu’il est impossible d’insérer entre elles une simple feuille de papier.

Bien que la Grande Pyramide ne soit plus l’édifice le plus haut du monde, elle reste la plus importante construction mégalithique de la terre.

  • Les tablettes babyloniennes assurent aussi que le son peut soulever les pierres.
  • La Bible parle de Jéricho et des ondes sonores qui firent tomber ses murs.
  • Les textes coptes mentionnent le procédé qui consistait, pour bâtir les Pyramides, à élever les blocs par des chants.

Toutefois, au niveau actuel de nos connaissances, nous ne pouvons établir aucune relation entre le son et la disparition de la pesanteur.

Lucien (IIe siècle) atteste la réalité d’exemples d’antigravitation dans l’Histoire ancienne.

Au temple d’Apollon, à Hiérapolis, en Syrie, le poète fut, lui-même, le témoin d’un prodige: « Le dieu », écrit-il, « laissa les prêtres sur le sol et s’envola. » [2]

Les secrets de la lévitation dans l’Antiquité

La biographie de l’alchimiste chinois Liu An, dans le Shenxian zhuan (IVe siècle) contient un cas anecdotique de lévitation. Lorsque Liu An eut avalé un certain élixir taoïste, il devint aéroporté, mais ayant oublié dans la cour de la ferme le récipient qui contenait le reste de la liqueur merveilleuse, chiens et volailles ne tardèrent pas à venir laper et boire ce qui restait de l’élixir.

Le récit historique constate : « que les animaux à leur tour s’élevèrent dans l’air et qu’ainsi on entendit les coqs chanter dans le ciel et l’aboiement des chiens retentit dans les nuages ».

Ne considérons pas comme une simple anecdote ce rapport historique chinois ; nombre de récits fantastiques, nés en Orient, sont devenus des réalités scientifiques. Ne voyageons-nous pas sur des tapis enchantés et les écrans de nos télévisions ne sont-ils pas la réplique moderne des miroirs magiques d’autrefois ?

Un conte bouddhiste Jataka parle d’une gemme magique capable d’élever un homme dans l’air s’il met la pierre dans sa bouche.

Le phénomène d’apesanteur n’a plus rien de miraculeux pour nous qui sommes accoutumés, maintenant, à voir les astronautes le subir dans l’espace. Une explication scientifique doit exister pour éclaircir le fait que, dans le passé, certains êtres humains ou certains objets ont été immunisés contre la force de gravité.

La-chute-de-Simon-le-magicien

La chute de Simon le magicien

 

Un chercheur scientifique moderne eût été qualifié de magicien dans l’Antiquité. A l’inverse, les magiciens d’hier furent souvent des scientifiques ; Simon le Mage, philosophe gnostique du Ier siècle, était de ceux-là. Ce penseur juif disait que « le feu était la cause première des manifestations du monde et qu’il avait un double caractère » ; définition simplifiée de la structure atomique de la matière et de sa polarité.

La « science magique » de Simon lui permettait d’accomplir des miracles. Ses biographes et critiques, qui sont parmi les premiers Pères de l’Eglise, décrivent comment le feu descendait du ciel sur les objets préalablement désignés par le mage.

Il existe un récit qui décrit Simon s’adressant à des milliers d’auditeurs à Rome et leur exposant sa philosophie de la gnose, ou connaissance des mystères religieux. La tradition veut que « les esprits aériens » aient aidé l’orateur à s’élever très haut dans les airs devant cette foule car Simon était « un homme très versé dans les arts magiques ».

Bien que les historiens chrétiens n’eussent pas connu de façon certaine la source des pouvoirs de Simon, le don de lévitation lui fut cependant reconnu. Le mage était également réputé pour avoir fait perdre leur poids à des statues et les avoir fait planer.

Jamblique, philosophe néo-platonicien du IVe siècle, était également réputé pour avoir flotté à cinq mètres du sol – lire ici sur Gallica, Eunapius « Vies des philosophes et des sophistes », chapitre IV, p. 30.

A travers les siècles, l’Histoire atteste la réalité de la lévitation.

Dans son livre sur le développement de la science aéronautique, Jules Duhem rapporte une chronique du père Francisco Alvares, secrétaire de l’ambassade portugaise en Ethiopie au début du XVIe siècle.

En 1515, le père Alvares rédigea un rapport sur un monastère situé dans la montagne de Bidjan. Dans la chapelle, du côté de l’epître, une baguette dorée, longue de quatre pieds, flottait en l’air depuis des siècles. Cette merveille attirait de nombreux pèlerins au monastère, et le père Alvarez se déclare certain de l’authenticité du phénomène que personne ne put expliquer. [3]

levitation

Près de deux siècles plus tard, le docteur Charles-Jacques Poncet, un chirurgien français résidant au Caire qui visita souvent l’Ethiopie, contempla le même bâton flottant à la place précédemment indiquée par le père Alvares, et cela au cours de trois voyages consécutifs en 1698, 1699 et 1700.

Dans ses Lettres (1717) le docteur Poncet avoue qu’à première vue il soupçonna quelque habile supercherie et demanda au père abbé l’autorisation de vérifier le phénomène. Le moine acquiesçant à ce désir, Poncet passa la main dessous, dessus et autour de la baguette. Il écrivit qu’il « resta muet d’étonnement car il n’avait pu voir aucune cause naturelle à ce prodige ». [4]

En 1863, l’explorateur français Guillaume Lejean, visitant le monastère de Bidjan, vit encore, à plusieurs reprises, l’étonnant bâton doré. [5]

L’Eglise catholique a recensé près de deux cents saints réputés pour avoir vaincu la force de gravité. Si quelque scientiste rejette ce témoignage à cause de sa source religieuse.

Socrate le Scolastique rapporte le cas d’une mystérieuse femme en Espagne (d’après les sources de Rufin d’Aquilée), qui réussit un exploit remarquable d’antigravitation. Le roi et la reine d’Espagne faisaient bâtir une église et l’une des colonnes de l’édifice était si lourde qu’elle ne pouvait être mise en place. L’histoire dit que cette femme alla sur le chantier à minuit et se mit en prière pour implorer l’aide de Dieu. Soudain, le pilier s’éleva dans l’air et y plana jusqu’au matin. Les ouvriers, surpris (on le serait à moins !) n’eurent aucune peine à manœuvrer cette colonne sans poids pour la sceller sur son socle où elle reprit son poids normal. [6]

En Italie, au mont Cassin, existe une grande et lourde pierre qui fut, d’après la tradition, soulevée par saint Benoît (480-547) par neutralisation de la gravité. Le bloc, destiné au mur du monastère que l’on construisait à l’époque, résistait aux efforts des maçons qui ne parvenaient pas à le mouvoir. Saint Benoît fit le signe de la croix sur la pierre et alors que les sept hommes qui n’avaient pu exécuter le travail le contemplaient effarement, le saint, à lui seul, souleva le bloc sans la moindre peine. [7]

Francois_de_Paule

Le roi Ferdinand Ier était l’hôte de saint François de Paule (1416-1507), à Naples, lorsque, par une porte entrouverte, il aperçut le moine en méditation, flottant au-dessus du sol de sa cellule. [8]

Sainte Thérèse d’Avila (1515-1582) s’élevait fréquemment dans l’air et parfois inopportunément lorsque le phénomène se produisait au cours de la visite d’une abbesse ou d’un évêque et que, sous leurs yeux, la grande mystique montait tout à coup jusqu’au plafond.

Pour venir en aide à dix hommes qui s’efforçaient en vain d’ériger une croix de onze mètres, saint Joseph de Copertino (1603-1663) fit un vol de soixante mètres, saisit l’emblème dans ses bras et le mit en place.

En 1645, en présence de l’ambassadeur d’Espagne au Vatican, il s’éleva par-dessus la tête des assistants et se mit à flotter dans l’église jusqu’au pied d’une statue. L’ambassadeur, sa femme et toutes les personnes présentes furent fascinés par ce spectacle.

Des cas d’antigravitations « contemporains »

Les Anglais résidant en Inde ont fait de nombreuses descriptions de yogis qu’ils avaient vus assis en l’air ou sur l’eau dans la posture de Bouddha. Ils répugnèrent souvent à décrire ces phénomènes dans la presse britannique de peur d’être tournés en ridicule par leurs compatriotes.

Un compte rendu de 1951 d’un cas de lévitation au Népal concerne le jeune serviteur indigène d’un conseiller du Gouvernement, E. A. Smythies. Il mérite d’être cité : « La tête et le corps du garçon étaient secoués et tremblants », dit le narrateur, « son visage était baigné de sueur et il émettait les bruits les plus extraordinaires. Il me parut visiblement inconscient de ce qu’il faisait et de notre présence, alors qu’à huit ou dix pieds de la scène, assez effrayés, mes serviteurs et moi-même nous l’observions par une porte ouverte. L’état où il se trouvait dura dix à quinze minutes et, soudain (les jambes croisées et les mains jointes) il s’éleva de deux pieds dans l’air l’espace d’une seconde, pour retomber lourdement sur le sol. Le phénomène se produisit deux fois, exactement de la même façon, mais cette seconde fois, les mains et les jambes étaient séparées. »

L’épisode n’ etait nullement prémédité et Mr. Smythies fut surpris d’avoir été le témoin d’un cas de réversibilité de la force de gravité. [9]

D’après le Surya Siddhanta, vieux de 2 000 ans, les Siddhas, adeptes de hautes sciences, pouvaient à volonté devenir extrêmement lourds ou légers comme des plumes. La gravité, considérée comme une force et non une constante, est un ancien concept en lui-même assez remarquable car il n’y avait rien dans ce que nous savons des expériences physiques des brahmanes qui indique la possibilité, pour les objets, de devenir pesants ou légers.

Dans une lettre du 14 juillet 1871, Lord Lindsay raconte l’étrange expérience qu’il eut avec Daniel Dunglas Home :« J’étais assis, dit-il, avec Mr. Home, Lord Adare et l’un de ses cousins. Au cours de notre entretien, Mr. Home fut saisi de transe et, dans cet état, entraîné au dehors par la fenêtre ouverte. Nous vîmes Home flotter dans l’air. Il resta quelques minutes dans cette position puis revint en glissant dans la pièce, les pieds en avant et se rassit près de nous. »

La fenêtre mentionnée par Lord Lindsay était à vingt-trois mètres du sol !

Daniel-Dunglas-Home-levitationDaniel Dunglass Home

Un physicien anglais réputé, Sir William Crookes, assista également aux performances de lévitation de Home. « A trois occasions différentes », écrivit-il en 1874, « je l’ai vu quitter le sol de la pièce. Une fois assis dans un fauteuil, une fois agenouillé sur une chaise, une autre fois debout. »

Upton Sinclair, l’écrivain américain socialiste, peut difficilement être taxé de crédulité et, dans les années 20, il fut témoin d’une lévitation sous son propre toit. En présence d’amis écrivains et hommes de science, un homme au pouvoir étrange fit planer à 2,50 m au-dessus du romancier une table pesant 15 kg. « Je répugnais à publier ce que j’avais vu et répugnais aussi à ne pas l’écrire », dit-il, se rendant compte de l’intérêt scientifique de l’expérience. [10]

Le témoignage d’Alexandra David-Neel

alexandradavidneel

La fameuse exploratrice Alexandra David-Neel, qui mourut en 1969 âgée de 101 ans, a raconté des cas étranges de lévitation qu’elle put voir au Tibet où elle vécut quatorze ans.

Dans son livre « Mystiques et les magiciens du Tibet », elle écrit : « Me gardant de toute exagération, je suis convaincue, partant de mes expériences limitées et de ce qui me fut rapporté par des lamas dignes de foi, que l’on peut atteindre un état dans lequel on ne sent plus le poids de son corps. »

L’exploratrice française eut la bonne fortune de voir un lama somnambule ou « loung-gom-pa ». Ces personnages peuvent atteindre une incroyable légèreté et après un long entraînement, glisser dans l’air comme des planeurs. Le lama qu’elle vit au cours de son voyage dans le Tibet du Nord sautait avec « l’élasticité d’une balle et rebondissait chaque fois que ses pieds touchaient le sol ». En lisant ces mots, qui ne penserait à la « marche du kangourou » sur la Lune, composée par Armstrong !

Les Tibétains prièrent Mme David-Neel de ne pas aborder ni interpeller le lama car le choc produit par son intervention pourrait causer sa mort. Comme il passait au-dessus d’eux, dans un vol ondoyant, à une vitesse extraordinaire, l’exploratrice et ses compagnons décidèrent de le suivre à cheval. En dépit de ce mode de transport plus rapide que la marche à pied, ils ne purent rejoindre le lama somnambule ! Dans son état de transe le « loung-gom-pa » est, dit-on, tout à fait conscient des accidents de terrain qu’il survole, tel un somnambule qui sort par une fenêtre et marche sur les toits.

Quelques informations très significatives furent communiquées à Alexandra David-Neel. Le matin, le soir la nuit sont plus favorables aux évolutions somnambuliques que le milieu du jour ou l’après-midi. Il doit donc exister une corrélation entre la position du soleil et la force de gravité.

La faculté de lévitation est augmentée par un rythme respiratoire profond, accompagné d’une concentration mentale. Après de longues années d’entraînement, écrit Mme David-Neel, les pieds du lama ne touchent plus terre et il devient tout naturellement aéroporté pour glisser dans l’air à une grande vitesse. L’exploratrice ajoute, et cela est assez amusant, que certains lamas portent de lourdes chaînes, créant ainsi une pesanteur artificielle qui leur évite d’être entraînés dans l’espace contre leur gré !

Les observations de cette orientaliste devraient être étudiées pour saisir les approches asiatiques de la conquête de la gravitation qui fut abordée en Extrême-Orient depuis de longs siècles.

Pendant des milliers d’années, les hommes ont subi la loi rigoureuse de la pesanteur. Peut-être pourrions-nous découvrir, chez les Anciens, le fil conducteur qui nous manque encore pour parvenir à l’antigravitation dont la maîtrise serait si utile en astronautique et en aviation.

Notes :
Bibliographie :
  • Andrew P. Tomas, We are not the first – riddles of ancient science. G.P. Putnam’s, 1971.
  • Encyclopedie des phénomènes extraordinaires dans la vie mystique, tome 1, Joachim Bouflet, Jardin des livres, 2001.
  • Science and Civilisation in China, Joseph Needham, 1954.
  • Histoire des idées aéronautiques avant Montgolfier, Jules Duhem Nouvelles Editions Latines, 1943.
Tables des illustrations :
  • 1) Laputa, l’île volante imaginaire, illustration japonaise.
  • 2) Le temple de Baalbek au Liban
  • 3) La pyramide de Khéphren et le Sphinx en 1865.
  • 4) La chute de Simon le magicien, estampe de Jacques Callot, 1609.
  • 5) Page de faux-titre du « Verdadeira informação das Terras do Preste João das Índias »,de Francisco Alvares, Coimbra, 1540. C’est dans la version latine, parue en 1533, qu’on trouve la plus anciennes mention imprimée du « bâton flottant ».
  • 6) Saint François de Paule
  • 7) L’une des lévitations de Daniel Dunglas Home, représentée artistiquement par cette lithographie dans l’ouvrage de Louis Figuier, Les Mystères de la science, 1887.
  • 8) Alexandra David-Neel

© 2015, Recherche et transmission par Michel / Arcturius.
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15 novembre 2015 7 15 /11 /novembre /2015 14:19
La preuve de l’existence d’une haute civilisation avant le déluge grâce à une publication de la Nasa

Environ 25 millions de mesures ont permis de mesurer au millimètre près la hauteur de la glace qui recouvre l’inlandsis de l’antarctique et donc de reconstituer la géographie du continent prétendument récemment découvert. 

 

« On a ainsi découvert que le volume de glace en Antarctique est 4,6 % plus élevé qu’on ne le pensait, et qu’une plus grande quantité de glace susceptible de fondre rapidement, car vulnérable au réchauffement des courants océaniques, était présente. Toutefois, l’estimation d’une hausse de la hauteur des océans de 58 mètres en cas de fonte de la calotte polaire australe a été maintenue, quoique déterminée avec plus de précision.

 

Bedmap2 révèle aussi que le continent possède des régions en dessous du niveau de la mer plus profondes en moyenne qu’on ne le pensait. On sait ainsi que le point le plus bas est situé sous le glacier Byrd, en terre Victoria. Il se situe à 2.870 m sous le niveau de la mer, ce qui représente une augmentation de l’estimation de sa profondeur de 400 m par rapport à Bedmap1. C’est aussi le record de profondeur pour une région continentale. »

 

[Voir la source dans Futura-sciences]

 

[La vidéo de la détermination progressive. Relief multiplié par 17]

 

 

Ces progrès vont permettre de mieux comprendre le rôle de l’antarctique dans l’évolution du climat. Nous y reviendrons dans un autre article, car cela est fondamental.

 

 

En effet, d’où pouvaient bien venir les eaux du déluge dont on commence à accumuler les preuves et la montée des eaux, au point que pendant sans doute près de 400 ans, un port a été aménagé autour du Sphinx de Gizeh ? Tous les glaciers du monde n’y suffiraient pas. Il faut que toute la glace de l’antarctique ait fondu.

 

C’est progressivement ce qui semble ressortir de certaines études menées avant l’établissement de cette carte.

 

Sur cette image déduite des données collectées pour Bedmap2, la topographie réelle de l'Antarctique est révélée. Les altitudes ont été multipliées par 17, afin de rendre le relief plus facilement interprétable. © Nasa's Goddard Space Flight CenterSur cette image déduite des données collectées pour Bedmap2, la topographie réelle de l’Antarctique est révélée. Les altitudes ont été multipliées par 17, afin de rendre le relief plus facilement interprétable. © Nasa’s Goddard Space Flight Center

 

 

 

QUE S’EST-IL PASSE ?

 

 

En utilisant la méthode de datation à l’ionium, des chercheurs américains ont pu établir que de grands fleuves auraient effectivement coulé dans l’Antarctique jusqu’en 6 000 ans avant notre ère. Ce ne serait que vers 4 000 ans avant notre ère que des sédiments de type glaciaire auraient commencé à se déposer au fond de la mer Ross. Les carottages indiquent qu’un climat chaud a régné pendant longtemps avant cette date. Le plateau de Gizeh était-il immergé jusqu’à cette date, ce qui expliquerait que les peuples qui possédaient la clef de leur fonctionnement ne soient revenus qu’à cette époque ?

 

L’Antarctique jouissait d’un climat chaud à une époque où il était situé à environ 3 000 km au nord du cercle antarctique actuel. Ce fait étonnant semble bien prouvé par les découvertes récentes.

 

Mais alors, n’y a-t-il pas une contradiction sérieuse entre le fait que la glace soit absente et le fait que l’inlandsis soit à sec ?

 

Il semble précisément que non ! Pour deux raisons.

  • D’une part, la fin du glaciaire n’a pas encore libéré tous les glaciers du Nord.
  • D’autre part, l’Antarctique ne se serait pas trouvé à sa position actuelle ni non plus le pôle magnétique.

De sorte qu’à la fin du premier holocène, avec l’assèchement dû au premier grand refroidissement, une masse colossale d’eau se retrouve dans l’atmosphère, déclenche un premier déluge, entraîne le déplacement de l’antarctique et sa glaciation progressive.

 

C’est ce scénario qu’il va falloir préciser non seulement pour comprendre les risques actuels alors que le pôle magnétique semble avoir commencé une nouvelle migration mais également pour comprendre comment et pourquoi une civilisation avancée a disparu. Procédons par étape sans aller chercher des histoires abracadabrantesques.

 

I – L’antarctique a migré

 

 

L’Antarctique n’a trouvé sa position actuelle que sous l’effet du déplacement de l’écorce terrestre. Cette théorie ne doit pas être confondue avec la théorie de la tectonique des plaques et de la dérive des continents. Ce mécanisme démontre que l’ensemble de la croûte terrestre (lithosphère) peut basculer de temps en temps. Cette théorie avait été ardemment défendue par Albert Einstein. Ce qui ne prouve rien sauf qu’elle n’est pas a priori totalement absurde comme certains ont voulu le dire.

 

C’est le glissement de l’Antarctique vers le sud qui a provoqué un refroidissement progressif ainsi que la formation de sa calotte glaciaire, permettant ainsi aux eaux de redescendre malgré la sortie de l’Ere de Würms. Point que j’ai souvent expliqué lors de conférences sur le climat.

 

Albert Einstein a parfaitement résumé le processus : « Un dépôt continuel de glace s’opère dans les régions polaires. Cette glace ne se répartit pas de manière égale autour du pôle. La rotation de la Terre agit sur ces dépôts dissymétriques, et imprime une force centrifuge qui agit sur la croûte rigide de la Terre. Cette force centrifuge induit, à partir d’un certain seuil, un déplacement de la croûte terrestre sur le reste du globe. »

Les conséquences d’un tel déplacement ont pu être considérables sur l’ensemble de la planète : extinctions massives d’espèces animales, séismes, inondations, changement radical de climat sur les continents… Un film récent sur la réalité des légendes chinoises relataient les effets de ces changements sur les fleuves de Chine. On sait également que cela a pu provoquer le départ de populations du Nord de la Chine vers le Cambodge ou vers le continent amérindien, ce que confirme les proximités des idiomes actuels et surtout les parentés génétiques. Les 600 années de retard sur le cycle antérieurement observé de l’interglaciaire ont une bonne probabilité d’être la conséquence  plus lointaine de ces changements qui ont altéré jusqu’à y compris le déroulement du cycle de précession des équinoxes.

 

Si de tels évènements devaient à nouveau se produire, notre civilisation n’aurait rien à envier à ce qui a suivi le déluge rapporté par les allégories lointaines des textes anciens. On sait que l’apocalypse n’est pas la révélation de l’avenir mais l’avertissement révélé d’une possibilité dont les hommes sont invités à se prémunir. Fondé sur l’expérience du passé.

 

De nombreuses découvertes ont été effectuées ces dernières années qui prouvent formellement que l’Antarctique a bénéficié d’un climat tempéré il y a seulement 100 000 ans. La mobilité de l’Antarctique ne fait plus aucun doute car aucun arbre ne peut pousser sur une terre plongée dans l’obscurité six mois de l’année. Or une forêt côtière fossilisée a été découverte en 1990 ne datant que de deux à trois millions d’années. Mais entre 100 000 ans et 12 à 14 000 ans, il y a une marge. Certains veulent déjà placer la fameuse Atlantide dans l’Antarctique. N’allons pas trop vite. A-t-on simplement la preuve qu’une civilisation très avancée existait avant le déluge comme semblent le rapporter les textes sumériens et de manière plus floue la Bible.

 

II – Oui, on a tout un faisceau de présomptions, sinon la preuve absolue, que le mythe de l’Atlantide que rapporte Solon mais surtout la tradition orale celte, est une réalité.

 

Ne revenons pas aujourd’hui sur les pyramides égyptiennes et mayas. Il est désormais établi, au-delà des polémiques ridicules, que certaines, pas toutes, ont été édifiées AVANT le déluge, c’est-à-dire aux environs du 12ème millénaire avant notre ère. Pour la Bosnie, les investigations sont en cours. Les pyramides chinoises semblent bien postérieures même si elles sont réalisées sur le même principe. Le baudrier d’Orion de leur implantation est dans une configuration bien postérieure. Imaginer qu’ils aient anticipé les coordonnées exactes du Baudrier avec trois millénaires d’avance ne me paraît pas très sérieux !

 

Il vient d’autres preuves qu’une civilisation technologiquement avancée semble s’être développée vers 13 000 ans avant notre ère pour disparaître ensuite. En effet toutes les parties du monde ont été cartographiée entre environ – 13 000 et – 4 000 ans. Les fonds de carte sont du 13ème millénaire et des corrections sont disponibles jusqu’à la restauration égyptienne.

 

A ce jour, un seul continent n’avait pu être exploré en raison de la couche de glace qui le recouvre : l’Antarctique. Et voilà qu’une carte moderne et les modèles qu’elle va permettre d’établir, vont permettre de décider si ces cartes représentent authentiquement une connaissance scientifique précise établie au 13ème millénaire avant notre ère. Un grand merci à la Nasa dans cette ère de révélations en chaîne.

 

Déjà  se pose la question de l’existence de vestiges de cette civilisation  sur ce continent dont la superficie est d’une fois et demi celle de l’Europe, désormais recouvert d’une couche de glace pouvant aller jusqu’à 6 km d’épaisseur ! L’exploration des sous-sols demanderait des moyens colossaux. Peut-être les satellites peuvent-ils suffire à percer une partie du mystère. Pour avoir commencé d’étudier ces cartes, je ne crois guère que s’y trouve la fameuse Atlantide mais la preuve indirecte de son existence ? Oui…

 

III – Les cartes établies avant le déluge existent

 

En 1929, on retrouve à Constantinople une carte incomplète, datée de 1513. Cette carte représente l’Amérique du Sud et l’Afrique sur des longitudes relatives correctes. Cette exactitude est pourtant impossible, car au XVIe siècle les connaissances cartographiques étaient minimes. Notamment, on ne savait pas calculer les longitudes ! La carte de Piri Reis est devenue célèbre mais elle n’est pas la seule carte ancienne, et authentifiée. Piri Reis de son vrai nom « Piri Ibn Haji Memmed, l’amiral Reis, est un Turc. Dans les notes qui accompagnent le document, il affirme que certaines des vingt cartes qui lui ont servi de sources datent d’Alexandre le Grand et que d’autres sont fondées sur les mathématiques.

 

Le capitaine Mallery découvrira que cette carte représente une partie de l’Antarctique. Ce continent est pourtant recouvert de glaces depuis au moins 10 000 ans et n’a été découvert officiellement qu’en 1818.

 

Or  la côte de la terre de la reine Maud est cartographiée sans glace, ce qui la date d’avant 4 000 ans avant J.C. D’après les géologues, il semble que ce littoral soit resté libre de glace, de manière durable, durant au moins 9 000 ans avant qu’il n’ait été englouti par la calotte glaciaire. Si cette carte de 1513 représente un continent inconnu jusqu’au 19è siècle,  elle décrit surtout une partie de la côte dans les conditions climatiques qui ont pris fin il y a environ 6 000 ans. Elles ne se sont jamais reproduites depuis. Carte antédiluvienne ou postdiluvienne ? La question reste posée. La réponse est d’importance pour la compréhension des mythes sumériens sur lesquels je travaille (j’y reviendrai).

 

Piri Reis a reconnu qu’il n’a été qu’un compilateur et un copiste. Certaines cartes dont il s’est inspiré remonteraient, d’après lui, au quatrième siècle avant J.-C, voire même avant. Il ne connaissait évidemment pas l’identité des cartographes. Mais ce qui est intéressant, c’est que cela apporte la preuve que de vraies connaissances se sont continument transmises jusqu’à la fin des empires sumériens et pour le cas d’espèce égyptien.

 

La carte fut envoyée au Professeur Hapgood. En 1966, dans son ouvrage Maps of the ancient sea kings « les cartes des anciens rois de la mer », il conclut  ainsi !

 

 « Il semble que des informations géographiques d’une grande précision se soient transmises de peuple en peuple. Ces cartes, selon toute vraisemblance, ont été dressées par un peuple inconnu, puis léguées à d’autres civilisations, peut-être les Crétois de l’époque de Minos et les Phéniciens ».

 

« La plupart de ces cartes concernaient la Méditerranée et la mer Noire. Certaines représentaient le continent américain, ainsi que les océans Arctique et Antarctique. Aussi incroyable que cela puisse paraître, nous avons la preuve qu’un peuple ancien a exploré l’Antarctique quand ce continent était encore libre de glaces. Il est manifeste que ce peuple disposait d’une technologie nettement supérieure à toutes celles des peuples de l’Antiquité, du Moyen-Age et jusqu’à la seconde moitié du 18è siècle ».

 

Malgré le soutien d’Albert Einstein, Hapgood fut ridiculisé par ses Pères jusqu’à sa mort. Aucun chercheur ne s’est penché depuis sérieusement sur ces cartes.

 

La publication de la carte de l’inlandsis par la Nasa devrait modifier cette situation. La référence aux Crétois est intéressante. Proto-celtes liés à la navigation (liens en Egéen Aegua, gael, et tout simplement Aegyptos), ils ont sans doute hérité ces cartes  des peuples anatoliens et de Bosnie d’où ils semblent descendre. On retrouve trace de ces allégories dans la tradition orale celte.  Un gigantesque travail nous attend.

 

Ces cartes représentent les continents européens et africains avec une incroyable précision à une époque où le calcul de la longitude est inconnu. Elles sont centrées sur le plateau de Gizeh et font état d’un pôle magnétique dévié de plusieurs degrés vers l’occident. En Amérique, l’énorme île de Marajo, découverte seulement en 1543 et très mal cartographiée jusqu’à la fin du 16è siècle, est dessinée avec exactitude. On y trouve également les Andes ; un lama figure dans l’ornementation alors que les européens n’ont encore jamais vu cet animal. On comprend peut-être mieux ce qui a permis de dessiner faune et flore amérindiennes sur les chapiteaux de la chapelle Roslin.

 

D’autres points sont encore plus intrigants. Il y a, par exemple, deux grandes îles au-dessus de l’équateur qui n’existent plus de nos jours. La localisation de l’une d’elle correspond au plateau sous-marin situé sous les îlots Saint-Pierre et Saint-Paul. D’autres îles figurent au Pôle Sud, cachées sous la glace, lesquelles ne seront connues qu’en 1958 !

 

Cette carte est loin d’être la seule. D’autres cartographes ont partagé les mêmes secrets. J’avais déjà émis l’hypothèse que la copie de ces cartes rapportées par les hospitaliers en 1309 en France avaient été acheminées les unes au Sud d’Edimbourg, les autres en Avignon. Les originaux (doubles sauvegardés d’Alexandrie dont certaines portent la marque) existent-ils toujours dans le saint des saints de Kashan et de Chiraz ?

 

La carte d’Oronce Fine (Oronteus Finaeus) datée de 1531 est tout aussi incroyable. Cette carte donne les précisions suivantes : plusieurs régions côtières de l’Antarctique sont également représentées libres de glaces. Le profil du terrain et les accidents du relief visibles correspondent parfaitement à la carte de la Nasa de l’Antarctique. La mer Ross est représentée, là où aujourd’hui, les grands glaciers Beardmore et Scott se déversent dans la mer. La carte fait apparaître à cet endroit des estuaires, des fjords et des cours d’eau.

 

 

Et que dire de la carte d’Hadji Ahmed datée de 1559 qui représente une cartographie très moderne des Amériques et surtout de leurs côtes ouest. La forme actuelle des Etats-Unis y est parfaitement reproduite. Cette perfection ne sera atteinte que deux siècles plus tard. Cette carte représente également une bande de terre large de plus de 1 500 km, reliant l’Alaska à la Sibérie. Ce pont a bel et bien existé (actuel détroit de Behring) mais il a été submergé par la montée des eaux à la fin de la dernière période glaciaire. Les proto asiatiques ont emprunté ce « pont » lors de l’accident (indéterminé) qui en chassa une partie vers les « Amériques ».

La liste des cartes existantes serait trop longue à détailler :

  • Paul Emile Victor quand il s’est aperçu en 1950 que la carte de l’italien Zeno avait plusieurs siècles d’avance sur ses découvertes en montrant le sous-sol rocheux du Groenland ;
  • Ibn ben Zara (1487) et Benincasa (1508), cartographes arabe et portugais montrent l’Europe du Nord recouverte d’un glacier ressemblant à celui qui existait 12 000 ans avant notre ère.

Ces cartes ont toutes la même source. Où se trouve aujourd’hui cette source ? A-t-elle été détruite ? Si oui, pourquoi ? Admettre l’existence de ces cartes signifiait remettre totalement en cause l’évolution de l’espèce humaine telle qu’elle était conçue il y a encore 40 ans. Elles remettaient en cause également le monopole de l’explication darwiniste de l’apparition de l’homme. Mais il faut désormais revenir d’urgence à la vérité.

 

Alors que le sapiens-sapiens avec lequel nous sommes métissés en était encore à l’état quasi sauvage, à une époque où l’Europe n’était qu’au stade préhistorique, des hominidés, pas des extra-terrestres, ont pu explorer le globe il y a au moins 10 000 ans. Il est temps de relire les textes anciens avec un autre regard et notamment le récit de la création via les allégories sumériennes. Elles racontent en fait la rencontre entre les rescapés de ces hominidés et les sapiens de la région.

 

ALORS ?

 

 

Ecartons  toutes les possibilités farfelues et invraisemblables qui polluent le Net et spécialement Facebook. Il est normal en revanche que chacun s’interroge à sa façon, quitte en rêvant. Il est clair que les différentes cartes sont le fruit d’un travail de topographie établi sur une très longue période, plusieurs milliers d’années. Ce n’est pas un legs instantané de dieux venus d’ailleurs ! L’Antarctique apparaît à différentes périodes de sa progressive glaciation. Ce qui devrait permettre des datations en les confrontant avec une dynamique toujours mieux connue de la climatologie. Si les scientifiques acceptent de s’en donner les moyens.

 

De la même façon que l’égyptologie, ou l’étude des sites archéologiques de la Bible, ou la compréhension des textes sumériens, sont en train de sortir du monopole des découvreurs ou des gardiens des temples vers le partage d’une démarche scientifique, sémantique, archéologique, historique, il est indispensable de mener des recherches sans apriorisme sur ces cartes.

 

Une chose est certaine : des humains aussi instruits que nous ont précédé ou accompagné le sapiens-sapiens. Pourquoi ont-ils disparu ? Comment se sont-ils hybridés avec nous comme l’enseignent les mythes sumériens et égyptiens ? Que nous ont-ils vraiment légué ? Pourquoi une part de leur science a-t-elle été cachée détournée, idolâtrée ? Pourquoi les Anunnakis ne sont-ils pas plus que des Elohim et des dieux sans cervelle, tour à tour méchants ou bons ? Quel est le sens de la tentative de restauration du message ? Comment pouvons-nous éviter les erreurs passées ? Est-il déjà trop tard ? Comment ne pas partir dans des délires dangereux ? Comment arc-bouter science et connaissance ? Pourquoi certains veulent-ils s’approprier la filiation au lieu de la partager ?

 

Comment ? Pourquoi ? Où ? D’où ?

 

Accrochons-nous à la réalité et respectons nos rêves.

 

Patrice Hernu

11 juin 2013

 

(Texte provisoire avec encore trop de notes compilées ! Juste pour mémoire avant rédaction pour une publication officielle en cours. ©2014)

 

 

D’après des éléments fournis par :

 

 

Carte d'Oronce Fine qui montre l'Antarctique avec des fleuves, des chaînes de montagnes et des côtes libres de glacesCarte d’Oronce Fine qui montre l’Antarctique avec des fleuves, des chaînes de montagnes et des côtes libres de glaces

 

Copie de la carte de Piri Reis en couleurCopie de la carte de Piri Reis en couleur

 

Projection de la carte de Piri Reis qui confirme que toutes les références sont centrées sur le delta du Nil et le plateau de Gizeh à l'époque conjecturées de construction de l'ensembleProjection de la carte de Piri Reis qui confirme que toutes les références sont centrées sur le delta du Nil et le plateau de Gizeh à l’époque conjecturées de construction de l’ensemble

 

Carte reproduisant parfaitement l'Antarctique et datant de 1537Carte reproduisant parfaitement l’Antarctique et datant de 1537

 

Détail central de la carte de Piri ReisDétail central de la carte de Piri Reis

 

Carte de Piri Reis ZoomCarte de Piri Reis Zoom

 

Carte de Mercator de 1569 qui montrent les fleuves et les montagnes de l'Antarctique couverts de glaceCarte de Mercator de 1569 qui montrent les fleuves et les montagnes de l’Antarctique couverts de glace

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15 novembre 2015 7 15 /11 /novembre /2015 05:06

 

pyramide_04.jpg

Un des problèmes fondamental de notre temps n’est-il pas la diffusion d’une énergie libre accessible à tous et en abondance? Cette énergie libre à la disposition de tous sur la planète serait à même de résoudre beaucoup de crises que nous vivons en la déployant pour tous sans détruire, ni contrarier la nature. Cette énergie libre dont Tesla fût le pionnier des temps modernes est aujourd’hui encore un rêve pour l’avenir mais n’a-t-elle pas déjà été inventée et utilisée dans notre lointain passé?

L’énergie libre c’est l’électricité pour tout et pour tous. Cette électricité qui est à la base de tout fonctionnement mécanique quand on y réfléchit et je dirai même plus à la base de tout fonctionnement du vivant. Notre cerveau, comme celui des animaux, fonctionne sur des impulsions électriques irriguant notre cerveau pour lui ordonner une fonction spécifique. Cela en un espace temps réduit et répété des milliards de fois à la seconde. Voilà ce que ça donne:

neurones-synapses_8-400x225.jpg

Un réseau électrique circulant entre des neurones.

 

Dans ce billet plus ancien je vous avais proposé l’éventualité que l’univers était un vaste champ énergétique électromagnétique et que ce sont les impulsions des soleils, moteur énergétiques, relayées jusqu’aux ADN qui donnaient forme à la vie.

L’énergie libre est créée par des moteurs électromagnétiques comme l’a démontré Tesla et comme le démontrent encore aujourd’hui ses concepteurs:

Tout tourne donc autour des champs magnétiques et de leur utilisation pour créer une forme d’énergie libre disponible sur l’ensemble de la planète. Nous savons que la Terre est parcourue de lignes électromagnétiques appelées lays en anglais, et que les monuments anciens ont été élevés très précisément sur des nœuds énergétiques. Pour quelle raison si ce n’est utiliser à leur profit cette incomparable source d’énergie?

La théorie suivante sur la pyramide de Gizeh explore l’idée que ces monuments sont en fait des usines énergétiques servant à créer de l’énergie à base d’hydrogène pour la dispatcher ensuite sous forme de micro-ondes vers d’autres monuments, relayés entre eux par des obélisques, qui servent donc de relais à la propagation de cette énergie libre sur l’ensemble de la planète. A l’image des neurones de notre cerveau servant de relais à la propagation électrique synaptique.

Imaginez donc il y a des milliers d’années des usines à hydrogènes disséminées sur l’ensemble de la planète, puisque l’on sait que les pyramides sont disséminées partout, pour créer une énergie libre servant à alimenter plusieurs civilisations, alimenter en énergie des vaisseaux interstellaires fonctionnant à l’hydrogène, voire créer une atmosphère suffisamment favorable à la vie sur notre planète. Pourquoi pas? Notre planète était peut-être favorable à la vie mais couverte de glaces ou bien trop volcanique, alors l’énergie a pu être utilisée pour préparer un environnement propice à la vie en modelant notre atmosphère comme nous-mêmes nous l’envisageons pour Mars. Un retour à l’envoyeur? On sait combien le dosage vital de notre atmosphère est parfait et qu’il ne doit pas être modifié pour préserver la vie. Les animaux qui meurent en masse en ce moment ne sont-ils pas ceux qui ne supportent pas les bouleversements électromagnétiques que nous vivons? En définitive ces « machine énergétiques » n’ont-elles pas servies à l’époque pour réchauffer notre atmosphère?

Ce réseau énergétique disséminé sur l’ensemble de la planète permettrait d’expliquer les liens indéniables entre les différentes civilisations antiques que ce soit dans leur architecture mais aussi dans leurs croyances en des Dieux venus du ciel. L’idée que tous les monuments créés sur la planète ne sont en fait que des monuments énergétiques permet de disposer d’autres théories pour expliquer leur développement fantastique et leurs prouesses scientifiques alors qu’elles sont sensées être moins évoluées que nous.

A l’aune de cette analyse on comprend mieux notre développement aujourd’hui où l’humain cherche à recréer des formes d’énergie en détruisant la nature, en fractionnant des molécules naturellement existantes, en modifiant l’ADN sans avoir fait le lien que l’énergie libre que nous avons à foison et à disposition est l’énergie électromagnétique et qu’il suffit juste de l’utiliser. Elle est à notre disposition. Les civilisations antiques avant de disparaître noyées dans le déluge ou sauvées en d’autres cieux, avaient réussies à démontrer la faisabilité sur l’ensemble de la planète. Il est là le grand secret de notre planète: l’énergie libre existe.

Ainsi de nombreuses questions nous viennent à l’esprit? Pourquoi a-t-on tout fait pour éviter que cette théorie apparaisse? A qui profite la course aux énergies minérales? Et pour quelle finalité? Les stocks d’or et de diamant considérables amassés sur la planète devront bien servir un jour ou l’autre à faire autre chose que des lingots. Alors? Nous a-t-on utilisés pendant un cycle terrestre pour collecter les ressources de la planète avant de nous laisser nous détruire? Pourquoi refuser de parler de l’énergie libre et d’y investir massivement?…

Voilà tout cela pour dire que la vérité sur notre monde ne peut que progresser dans les temps qui viennent et les agissements de ceux qui nous dirigent vont nous sauter à la face tant ils sont déconnectés du véritable avenir de l’humanité qu’est la mise à disposition d’une énergie libre à tous.

Le saviez-vous ? Le mot « électricité » est né du mot « obélisque »… Etrange…

 

WS

 

Des éléments de réponse dans les travaux de Yan Lipnick:

 

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9 août 2015 7 09 /08 /août /2015 09:16

ZECHARIA_SITCHIN.jpg

 

 

Zecharia Sitchin - WikiPedia = http://fr.wikipedia.org/wiki/Zecharia_Sitchin
Le site de Zecharia Sitchin = http://www.sitchin.com



Zecharia Sitchin
July 11, 1920 - October 9, 2010


 



Ces ouvrages contiennent beaucoup d'affirmations vraiment surprenantes - en voici quelques-unes :

- Des milliers d’années avant la NASA , les sumériens connaissaient les planètes Uranus , Neptune et Pluton , de même que la ceinture d’astéroïdes entre Mars et Jupiter.

- Ils savaient aussi qu’il y a de l’eau sur Io et Europa , 2 des lunes de Jupiter , et aussi sur 2 des lunes de Saturne – Affirmations des sumériens confirmées par la NASA.

- Ils savaient tout cela des milliers d’années avant la NASA.
Surprenant … et pourtant vrai.


Ces ouvrages contiennent surtout 3 affirmations surprenantes , faites par des scientifiques de renom.
Voici donc les 3 affirmations :

Citation:


Dr Randolpho Pozos – cultural anthropologist
Il y a des artefacts sur Mars.
 


 

Citation:

Dr Michael Zimmerman – professeur Tulane University
Sommes-nous le résultat d’une ingénérie génétique ?
 


 

Citation:

Robert Harrington- superviseur au US Naval Observatory
Pluton ne peut pas avoir de grande influence sur Uranus et Neptune.
Donc, il y a une autre planète à découvrir , et elle doit avoir 3 ou 4 fois la masse de la terre.
 

Mentionnons aussi la participation de Carl Sagan.

Si une sommité comme Carl Sagan a accepté de s'associer avec d'autres scientifiques pour commenter la thèse de Sitchin, c'est important de constater le crédit que ces chercheurs accordent à Sitchin , sinon ils auraient refusé que leur nom soit associé de près ou de loin à une théorie à laquelle ils ne croient même pas.

Je vais maintenant commenter les 3 points suivant :

- Est-ce qu'il y a vraiment des artéfacts sur Mars ?
- Reste-t-il une autre planète à découvrir qui aurait plusieurs fois la masse de la terre ?
- Sommes-nous le résultat de modifications génétiques par des extra-terrestres ?

 

 


 

 

Voici comment l'homme a été créé , selon les 2 théories les plus connues.

1
Le créationnisme
L'homme a été créé par un Dieu unique , invisible et tout-puissant.

2
L'évolutionnisme
L'homme est le résultat d'une longue évolution animale.


Maintenant , il nous faut ajouter une troisième option :

3
La manipulation génétique extra-terrestre


 

Citation:

Dr Michael Zimmerman – professeur Tulane University
Sommes-nous le résultat d’une ingénérie génétique ?

 


C'est du moins ce que les sumériens ont écrit il y a plus de 6,000 ans,
selon la traduction des textes anciens effectuée par Zecharia Sitchin.

Voici à ce sujet un article très révélateur :

http://ovnis-direct.com/adnhumainetcivil.html

jeudi 29 mars 2012 Nos gènes ne seraient peut-être pas terrien

Découverte de gènes extraterrestres dans l’ADN humain

Voici un extrait de ce site :

 

Citation:

Dans la revue scientifique Nature (409, 860-921, 15/2/2001), un article faisant le point sur l'avancement du Projet Génome Humain montre (dans son tableau 24) que 223 gènes humains n'ont aucun prédécesseur évolutionnaire et ont été apportés dans notre chromosome 21 par "transfert horizontal probable", c'est-à-dire hors évolution.
 


Attention - ceci est important = 223 gènes humainsn'ont absolument rien à voir avec l'évolution.

Ainsi, la revue scientifique Nature donne raison aux sumériens d'il y a plus de 6,000 ans.

Nous ne savons pas combien de scientifiques ont rejoint les théories de Sitchin à part le Dr Michael Zimmerman , mais il y a fort à parier que plusieurs autres sont d'accord , mais sans oser le dire.

Voici une image intéressante - comment l'ADN est représenté depuis des millénaires jusqu'à notre époque.



Il faut avouer que la similarité entre ces dessins provenant d'époques très différentes est étonnante.

 


 


Artéfacts extra-terrestres

 

Citation:
Dr Randolpho Pozos – cultural anthropologist
Il y a des artefacts sur Mars.

 

À partir des années 1970, les sondes Mariner et Viking ont commencé à sonder la planète Mars.
C'est vers la fin des années '70 que j'entendais pour le première fois la rumeur = il y a des pyramides sur Mars.
Puis un peu pus tard, dans une revue, je voyais la photo suivante :



C'était bien avant l'apparition de internet , avec ses "hoax" et ses nombreux "fakes".

J'ai retrouvé l'image ici = http://www.artivision.fr
Et bien plus tard, l'existence de la région appelée Cydonia sur Mars intriguait bien des internautes.

Cydonia = http://fr.wikipedia.org/wiki/Cydonia_Mensae
 



Voilà pour Mars ... et sur la Lune, est-ce qu'il y a des artéfacts ?

Dès 2002 , la Pravda - le numéro 1 de l'information en Russie - affirmait qu'il y a des villes sur la Lune.

http://english.pravda.ru/news/russia/05-10-2002/13626-0/
 

 

Citation:

Here is an extract from the official press-release: “NASA scientists and engineers participating in exploration of Mars and the Moon reported the results of their discoveries at a briefing at the Washington National Press Club on March 21, 1996. It was announced for the first time that man-made structures and objects have been discovered on the Moon.”


Traduction :

Citation:
Voici un extrait du communiqué de presse officiel: "Des scientifiques de la NASA et des ingénieurs participant à l'exploration de Mars et de la Lune ont rapporté les résultats de leurs découvertes lors d'une conférence au Club national de la presse à Washington le 21 Mars 1996. Il a été annoncé pour la première fois que des structures faites par des humains ont été découverts sur la Lune. "


Il y a une très grande quantité de documentation et d'images de ces structures.

Prenez Google Images
et recherchez les mots suivant = "artefacts Mars" ou "artefacts Moon".

Mais attention - méfiez-vous des nombreux "fakes" ...

 

 


 

Et Nibiru ?

 

Citation:

Robert Harrington- superviseur au US Naval Observatory
Pluton ne peut pas avoir de grande influence sur Uranus et Neptune.
Donc, il y a une autre planète à découvrir , et elle doit avoir 3 ou 4 fois la masse de la terre.



 

Dès 1983 , la NASA cherchait la raison pour expliquer la cause des orbites déviantes de Uranus et Neptune.
La seule raison possible pour expliquer cela est qu'une énorme planète non encore découverte influence l'orbite de ces 2 planètes.



En 1983, les médias annonçaient la découverte de l'objet en question.

Washington Post = 30 décembre 1983 = l'objet recherché est finalement découvert.

Et depuis ... Plus rien.
Pire , La NASA nie fermement l'existence de Nibiru - ou Planète X

Plusieurs voient dans cette contradiction évidente de la part de la NASA
la preuve qu'ils l'ont cherchée - trouvée - et que maintenant, ils tiennent à ce que la vérité demeure cachée.


 

 

 


 

Pour terminer ...

La théorie de Zecharia Sitchin a fait le New York Times avec le titre suivant :

"L'origine des espèces d'un point de vue extra-terrestre"


C'est intéressant de constater que sa thèse a fait son chemin.
Maintenant , un nombre grandissant de scientifiques croient au résultat de ses travaux.

Il y aura toujours des opposants à ses théories bien entendu , mais Zecharia Sitchin aura toujours ses partisans.
Le résultat de ses travaux ne mourra jamais.




Pour en savoir plus sur Nibiru , les annunakis et les sumériens ...

http://www4.fnac.com/Zecharia-Sitchin/ia1069812

 

Source :

http://poles.xooit.fr/t290-L-oeuvre-de-Zecharia-Sitchin-reconsideree.htm

 


 

 

 

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22 juillet 2015 3 22 /07 /juillet /2015 03:43

Par La Voix de la Russie | Les pays dont on peut dire qu’ils constituent un musée à ciel ouvert ne sont pas si nombreux dans le monde. C’est le cas de l’Irak d’avant l’opération militaire des Américains et de leurs alliés en 2003.

L’ancienne Babylone détruite par la guerre et la présence militaire US

Le territoire de l’Irak, sur lequel se trouvaient les civilisations anciennes de Sumer, d’Assyrie et de Babylone, renferme une variété extraordinaire de monuments archéologiques, historiques et culturels. Trois villes qui font partie des villes les plus anciennes de la planète, Samarra, Hatra et Assur, figurent sur la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. Mais deux villes irakiennes sont menacées de destruction. Quant à la ville ancienne de Babylone, son sort est encore plus triste.

« La destruction de l’ancienne Babylone est une perte énorme pour le patrimoine mondial »,souligne Sergueï Demidenko, expert de l’Institut d’étude et d’analyse stratégique. « Une base militaire américaine avec des blindés se trouvait sur ce site détruit, ce qui a eu des conséquences graves. Pour l'armée américaine, Babylone ne représentait aucune valeur. Un tas de pierres, qu’on peut utiliser en cas d’attaque contre les snipers. »

Selon le commandement de la coalition en Irak, les militaires américains avaient pour mission de « protéger les sites historiques des pillage et des dommages physiques ». Mais en réalité, ces sites ont subi des dommages « qu’on ne peut pas évaluer, tellement cette perte est inestimable », a indiqué un employé du Musée britannique. Les vandales ont ainsi endommagé l’un des remparts de la ville ancienne, où sont conservées des briques avec des inscriptions datant du XVIIIe siècle av. J.-C. Quant aux couches archéologiques du site, où le travail des experts a été interrompu par la guerre, ils ont été remplis de diesel et d’huile de graissage.

« Non seulement ce site a été détruit, mais il a également été pillé », souligne Boris Dolgov, chercheur du Centre d’études arabes à l’Institut d’études orientales. « Le musée national a été pillé à Bagdad. Des bijoux anciens en or, volés dans ce musée, se vendaient dans la rue après l'invasion des Etats-Unis en Irak. Ces vestiges historiques sont pillés par des forces qui sont venues dans le pays soi-disant pour apporter la civilisation, la liberté et la démocratie. Mais malheureusement personne ne peut répondre de ces méfaits. Les musées de Bagdad sont dans un état lamentable à l’heure actuelle, dans lequel ils ont été mis pendant la guerre… »

Comme l’a indiqué le directeur du musée de Bagdad, ce ne sont pas les habitants de Bagdad qui ont pillé les trésoreries des musées, mais bien des pilleurs professionnels. Aucune copie en plâtre n’a disparu du musée. Uniquement des objets qui représentaient une valeur historique quelconque. C’est d’autant plus tragique que le Musée national de Bagdad était le seul au monde à renfermer des preuves de la présence discontinue d’une civilisation sur une période de 5.000 ans. Et du jour au lendemain, le travail qui était mené depuis une centaine d'années, notamment grâce à la participation des employés du musée de l'Hermitage de Saint-Pétersbourg, a été complètement détruit. Selon la directrice générale de l'UNESCO Irina Bokova, il aurait fallu faire tout son possible pour prévenir ces pillages.

« La conscience de l'importance de ce patrimoine et la préservation des biens culturels est d’autant plus évidente dans le contexte des événements qui se produisent dans les pays du monde arabe. L’une des premières mesures que nous essayons de prendre est d'attirer l’attention des différents pays impliqués dans le conflit sur la nécessité de préserver le patrimoine culturel dans la zone, en dépit des causes de ce conflit. »

Malheureusement, l'histoire militaire contemporaine démontre que les appels de l'UNESCO n’ont aucun effet sur les parties en conflit. Et des reliques rares continuent à disparaître des musées dans les régions en guerre. N

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25 mai 2015 1 25 /05 /mai /2015 18:10

Des montagnes de l'Antarctique ressemblent étrangement à des Pyramides !

Formations Pyramidales en Antarctique

Trois anciennes pyramides auraient été découvertes dans l'Antarctique par une équipe de scientifiques américains et européens.
Deux des pyramides ont été découvertes à environ 30 km à l'intérieur, tandis que la troisième était très proche de la côte.
Les premiers rapports des pyramides sont apparus dans la presse de l'Ouest l'an dernier.
Quelques photos ont été affichées sur certains sites Web avec un commentaire que les structures étranges pourraient servir de preuve que le continent de glace a déjà du être assez chaud pour avoir eu une ancienne civilisation.
L'image aérienne prise à travers la glace du pôle Sud semble en montrer deux ou peut-être trois dans une configuration similaire aux pyramides de Gizeh .
Jusqu'à présent, on en sait peu sur ces pyramides et l'équipe continue à garder le silence sur la découverte.

 

https://investigationsoanisetoceanographiee.files.wordpress.com/2013/06/antartica.jpg


La seule informations fiable fournie par les scientifiques était qu'ils prévoyaient une expédition vers les pyramides pour poursuivre l'enquête et pour déterminer avec certitude si les structures étaient artificielles ou naturelles.
Aucun détail sur les délais de l'expédition ont été fournis.
Si les chercheurs peuvent prouver que les pyramides sont des structures artificielles, la découverte pourrait obliger à une révision de l'histoire de l'humanité comme jamais auparavant.
Pendant ce temps, une série de découvertes étranges mais intéressantes ont été réalisées récemment dans l'Antarctique.
En 2009, les scientifiques climatiques ont trouvé des grains de pollen, ce qui pourrait éventuellement signifier que des palmiers ont autrefois agrémenté le paysage de l'Antarctique, que et les températures estivales ont déjà atteint 21°C.
Trois ans plus tard, en 2012, les scientifiques du Desert Research Institute du Nevada ont identifiés 32 espèces de bactéries dans des échantillons d'eau du lac en vie dans l'est de l'Antarctique.
 


http://images.lpcdn.ca/924x615/201210/17/600282-madagascar-compte-192-especes-palmiers.jpg


Une civilisation possible dont l'histoire officielle ignore !
Est-il possible que l'Antarctique était autrefois assez chaude dans le passé récent pour qu'une ancienne civilisation puisse y vivre ?
Encore plus surprenant, c'est la question de savoir si une culture avancée s'y est développé et est-ce qu'il y a des structures restantes qui sont encore cachées sous la glace ?


Les chercheurs et les égyptologues ont longtemps soupçonné que le Sphinx est beaucoup plus ancien que prévu, il a peut-être plus de 10.000 ans.
Les scientifiques ont constaté des éléments de preuve de l'érosion de l'eau sur la statue antique, le plus grand dans le monde, raconte une histoire du changement climatique dans une forêt tropicale à la chaleur du désert en quelques milliers d'années.
Si le climat en Égypte a changé si vite, il est également possible que le climat de l'Antarctique pourrait aussi avoir changé de façon spectaculaire pendant la même période ?
Selon la théorie de la corrélation de Robert Bauval et Adrian Gilbert, la construction des pyramides de Gizeh ont eu lieu dans la période précédant 10.500 ou 12.500 années avant J.C., motivant cette rétroaction à la corrélation entre l'emplacement des trois principaux Pyramides de Gizeh et les trois étoiles de la constellation d'Orion, et que cette corrélation a été intentionnellement créé par des gens qui ont construit les pyramides.

 

http://p4.storage.canalblog.com/45/32/402294/86414469_o.jpg


La référence à la date d'il y a 12.500 années est significative pour Hancock, puisque la position des pyramides indique le moment précis où une civilisation avancée précédente a vu son déclin dû à un cataclysme mondial.
Dans son livre Le Empreintes des Dieux, Graham Hancock a trouvé des indices qui conduisent tous à un point précis.
Selon Hancock, les pyramides ont été construites dans toutes les cultures du monde et certains de ces monuments contiennent plus ou moins des évidentes configurations astronomiques.
De anciens témoignages de nombreuses sources - le Grand Sphinx de l'Égypte, les temples mystérieux de Tiahuanaco, les lignes géants du Pérou Nazca, des pyramides massives du Soleil et de la Lune du Mexique - et les a comparés avec les mythes et les légendes universelle, à l'étude des cartes datant de l'Antiquité, le savant suggère l'existence d'un peuple doté d'une intelligence supérieure, de technologies sophistiquées et d'une connaissance scientifique détaillée, dont les "empreintes", cependant, ont été exterminés complètement par un désastre aux proportions énormes.
Chaque culture a adoré leurs rois comme des dieux.
Leurs religions ont toutes pour but de trouver l'immortalité de l'âme et certains de leurs prêtres étaient des astronomes, une connaissance anticipée des mouvements célestes.
Le serpent reptile est une figure symbolique présente dans toutes les cultures et est considéré comme sacré.

 

https://investigationsoanisetoceanographiee.files.wordpress.com/2013/02/carte-oronte-finaeus.jpg?w=1000
Carte de 1513 dessinée, à partir d'autres cartes, pour l'Amiral Turc Piri Reis montrant l'Antarctique sans glace et vu de l'espace !

Cette grande unité culturelle, selon Hancock, suggère que la civilisation humaine n'est pas né soudainement de nulle part, mais a été "aidée" par quelqu'un de technologiquement et culturellement très avancé en connaissances.
La preuve à l'appui de cette théorie est l'expansion de l'agriculture.
Il est avéré que l'agriculture est née simultanément dans au moins six régions du monde qui n'ont pas de lien apparent entre eux : l'Amérique Centrale et du Sud, le Croissant Fertile, l'Afrique centrale, de l'Est de la Chine et Asie du Sud.
En conclusion
Si nous regardons les rapports alarmistes du réchauffement climatique annonçant que l'Arctique et de l'Antarctique vont fondrent (ce qui n'est pas du tout certain selon d'autres informations que nous avons déjà diffusé), nous pourrions peut-être voir les vestiges d'anciennes civilisations inconnues.
S'il y a une pyramide géante construite en Antarctique, cela va changer les réalité du monde pour toujours.
 

https://michelduchaine.files.wordpress.com/2013/12/antarctic-pyramids.jpg


Sources :
http://elpolvorin.over-blog.es/article-el-derretimiento-de-los-glaciares-en-la-antartida-estan-revelando-piramides-122273815.html
http://laverdad2punto0.com/?p=1223 et http://elpolvorin.over-blog.es/article-el-derretimiento-de-los-glaciares-en-la-antartida-estan-revelando-piramides-122273815.html

http://bestofactus.blogspot.fr/2015/04/histoire-cachee-les-glaciers-fondent.html

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 00:29

Michael Tellinger qui étudie les Cercles de Pierres en Afrique du Sud fait le lien avec les Sumeriens et les Annunakis !

Très bon entretien avec Michæl Tellinger qui fait une très bonne synthèse sur notre histoire terrienne et ses différentes civilisations, et cosmique !
Vidéo : Cercles de Pierres en Afrique du Sud

 Michael Tellinger, auteur, scientifique, explorateur, est devenu un vrai Indiana Jones, grâce à ses découvertes révolutionnaires sur les anciennes civilisations disparues d'Afrique du sud.
Ses efforts continus et son approche scientifique analytique ont apporté d'étonnantes nouvelles preuves qui nous obligent à repenser nos origines et à réécrire nos livres d'histoire.


 

http://www.michaeltellinger.com/images/stone-circles/P9200513.jpg
 
Il est devenu une autorité internationale concernant les origines de l'humanité et les civilisations disparues d'Afrique du sud.
Les experts nous ont dit que la première civilisation sur Terre a émergé dans un pays appelé Sumer il y a 6.000 ans.
De nouvelles découvertes archéologiques et scientifiques réalisées par Michael Tellinger, Johan Heine et une équipe de scientifiques montrent que les Sumériens et même les égyptiens ont hérité leur connaissances d'une civilisation antérieure qui vivait à la pointe sud de l'Afrique il y a plus de 200.000 ans... et qui exploitait des mines d'or.

La recherche de Michael révèle une bonne partie des dernières mesures scientifiques et présente des preuves que cette civilisation disparue possédait une connaissance subtile des lois de la nature et de la création d'énergie libre à partir de la Terre-Mère pour tous leurs besoins.
Ils utilisaient le pouvoir du son et des fréquences comme source d'énergie.

 

 



 

Adams Calendar, en Afrique du Sud, serait la plus ancienne construction humaine avec 250.000 ans !
 


Dans cette vidéo, Michael Tellinger évoque ses recherches concernant les millions de cercles de pierre qui existent sur le sol de l'Afrique du Sud.
Il nous explique en quoi ceux-ci étaient en fait des générateurs d'énergies libres qui utilisaient des technologies de fréquences sonores et d'électro-magnétisme émanant de la Terre.



 

 


 

Entretien avec Michael Tellinger :


Il nous montre ensuite comment on peut faire le lien entre ces structures de pierre, la civilisation sumérienne, et le mythe des Anunakis, les "êtres qui sont venus du ciel".

 

http://3.bp.blogspot.com/-ejeliU5fQIk/UkctIU8fT4I/AAAAAAAACbE/w0wtfPjG3k8/s640/anunnaki_sumeria_1.jpg


Sources :
http://www.tistryaprod.com
Le site officiel de Michael Tellinger : http://www.michaeltellinger.com
Page Facebook Tistrya :
http://www.facebook.com/tistryaproduc...
Page Twitter Tistrya :
https://twitter.com/Tistrya_Prod?lang=fr
http://bistrobarblog.blogspot.fr/2015/04/cercles-de-pierre-sumer-et-annunakis.html

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