Un rapport Service de renseignement extérieur russe (SVR) circulant dans le Kremlin aujourd'hui 13/7, dit qu'un haut responsable du Parti Démocrate américain qui se préparait à témoigner contre Hillary Clinton a été assassiné dimanche dernier au cours d'une réunion secrète à Washington DC. Dans cette fausse réunion, il a cru qu'il rencontrait une équipe du FBI, mais c’était en réalité une "hit team", une «équipe à succès», autrement dit, des « hommes de main » d’Hillary Clinton. Ces tueurs ont été capturés hier après une fusillade avec les forces du FBI à quelques blocs de la Maison blanche.
Selon ce rapport, les "spécialistes électroniques" du SVR ont noté, le 7 Juillet, une énorme augmentation du trafic de l'ordinateur et téléphonique entre le siège du Comité National Démocrate (DNC) à Washington DC et les bureaux de la Fondation Clinton (CF) à New York City.
En creusant dans les origines de ces communications, les analystes SVR ont déterminé que la personne à l'origine de ces communications importantes était Seth Rich, un responsable officiel au sein du DNC. Seth Rich, directeur de l’expansion des données électorales pour le DNC, travaillait sur des bases de données pour aider les électeurs à identifier les bureaux de vote. Il a contribué à l'élaboration d'un programme informatique pour le Comité national démocrate permettant aux gens de taper leur adresse et d'obtenir une carte à leur bureau de vote.
Ce qui avait attiré l'inquiétude de Seth Rich lui faisant communiquer avec la Fondation Clinton, ce rapport explique, était sa découverte d'un système «pay-to-play» (payez pour jouer) qui a impliqué les gens qui cherchent un emploi avec la prochaine et nouvelle administration présidentielle d’Hillary Clinton. L’argent était canalisé vers les Clinton à travers leur fondation avec divers postes dans le gouvernement fédéral des États-Unis, et ce le montant à payer pour occuper ce poste.
Craignant que la vie de Seth Rich ne soit en danger car il était suivi par l’équipe des tueurs des Clinton, et considérant que ce fonctionnaire du DNC est important, le Directeur SVR, Mikhail Fradkov a autorisé un contact d'urgence entre son organisme et le département d'État américain. Mais, chose choquante, lorsque les diplomates russes ont présenté les résultats du SVR aux autorités américaines, le 7 Juillet, ils ont été immédiatement expulsés des États-Unis.
Ce qui a encore plus stupéfié les responsables du SVR, c’est que, tout en expulsant ces diplomates russes hors des États-Unis, le Département d'Etat américain a remercié la Russie pour l'information fournie, indiquant qu'elle serait «prise en compte», tout en demandant aux Russes que la question reste secrète.
Cependant, moins de 24 heures plus tard, le Washington Post a sorti un «histoire abracadabrantesque» concernant cette expulsion. Le ministre adjoint des Affaires étrangères, Sergueï Ryabkov, y a répondu à publiquement en disant : "Je peux confirmer que [...] le gouvernement américain a fait la demande le départ de deux employés de l'ambassade de Russie à Washington DC sans présenter des plaintes aux employés eux-mêmes. En outre, le Département d'Etat nous a fortement demandé de ne pas rendre ce fait public. Comme vous pouvez le voir, il est d'usage que les diplomates américains tiennent parole ".
Trois jours plus tard, les faits ont confirmé que les appréhensions du SVR étaient justifiés, puisque, le 10 Juillet, Seth Rich a été abattu à Washington D.C. vers 04h19.
Selon le rapport officiel de la police des États-Unis "Les détectives de la Direction générale des homicides du Service de police métropolitaine enquêtent sur une fusillade mortelle qui a eu lieu dans le bloc 2100 de Flagler Place, du Nord-Ouest le dimanche, Juillet 10, 2016. À environ 04h19, les membres du Cinquième District patrouillaient dans la région quand ils ont entendu des coups de feu. À l'arrivée sur la scène, ils ont trouvé un homme adulte blessé par balles mais encore conscient. La victime a été transportée à un hôpital de la région, où elle a succombé à ses blessures ".
Le rapport de SVR, cependant, dit que Seth Rich a été piégé par la «hit team» des Clinton qui se présentés comme étant des agents du FBI voulant l’interroger secrètement, et que les diplomates russes expulsés avaient donné au Département d'État des États-Unis «l'accès électronique» pour que les assassins puissent être facilement trouvés.
Curieusement, les autorités américaines, et tout en étant en mesure de suivre cette "hit team" depuis le 7 Juillet, ne les a confrontés que dans la fusillade d'hier, avant de les capturer, à quelques pâtés du Capitole et de la Maison blanche.
les analystes du renseignement SVR, qui ont contribué à ce rapport, spéculent que ce dernier assassinat ordonné par les Clinton doit rendre fou et enragé le directeur du FBI, James Comey, qui, il y a à peine une semaine, a permis Hillary Clinton d’avancer vers la présidence malgré ses nombreux crimes, commis contre son propre gouvernement et sa population et qu'il n’avait pas le choix de faire autrement à cause de sa propre implication avec la Fondation Clinton. Lorsqu'il était le directeur de la banque HSBC, notoire machine de blanchiment d'argent, il avait canalisé des centaines-de-millions de dollars vers les Clinton.
Quant à ce que va faire maintenant ce directeur du FBI Comey de cette «hit team» qui a assassiné Seth Rich, haut responsable officiel du DNC, ce rapport ne spécule pas. Mais il conclut avec une présentation des nombreux faits étonnants concernant la Fondation Clinton. Ils montrent que cette fondation n’est rien d’autre qu'une «caisse noire Clinton».
Le commandant de la Flotte de la Baltique, Viktor Kravtchouk, et le chef de la Flotte d'état-major, Sergey Popov, ont été démis de leurs fonctions, car on leur reproche d’avoir violé de nombreuses règles de sécurité nationale russes. Des documents relatifs à leur mission ont été trouvés en la possession d'un espion d’Hillary Clinton, qui a été blessé par les agents du contre-espionnage russe, le FSB (Service Fédéral de Sécurité), il y a une quinzaine de jours.
Les agents de contre-espionnage du FSB, opérant dans la région de Kaliningrad le mois dernier, ont découvert une grave anomalie dans le passeport d’un sous-traitant informatique américain d’une société privée travaillant dans la base principale des opérations de la Flotte de la Baltique à Baltiysk.
Cet informaticien était employé par la société informatique internationale ABBYY, basée à Moscou, qui avait un contrat avec le Ministère russe de la Défense (MoD) pour la numérisation des documents papier en fichiers électroniques consultables par les personnels à la retraite de la flotte de la Baltique.
Suite à la découverte de ces anomalies, tous les travailleurs d’ABBYY à Baltiysk ont été transportés à Moscou le 5 Juin dans le cadre d'un « faux stage » et mis sous surveillance, mais le matin du 6 Juin l'informaticien suspect partait en voiture de son appartement moscovite pour se diriger vers l’Ambassade US. Lorsqu’il fut à deux pâtés de maisons de l'ambassade US, dans le district d’Arbat, il a brusquement abandonné son véhicule sur la chaussée et a été entouré par 5 agents américains de sécurité privés.
Comme cet informaticien et ses gardes du corps approchaient de l'ambassade des États-Unis, les agents de sécurité du FSB ont tenté de l’arrêter, mais l’un des gardes du corps a tenté d’utiliser son arme, ce qui a provoqué une riposte d’un agent du FSB qui a tiré et blessé l’informaticien.
Le sac à dos de ce dernier a été confisqué par les agents du FSB, après quoi il a été autorisé à être remis à l'ambassade des États-Unis.
Moins d'une heure après cette mêlée, l'ambassade des États-Unis a informé le ministère russe des Affaires étrangères que l'un de ses «diplomates» était gravement malade et a demandé son rapatriement immédiat aux États-Unis, ce qui a été accordé.
En vertu des règlement de la Fédération de Russie, le FSB ne peut pas publier le nom de cet espion (comme il n'a été ni inculpé ni reconnu coupable d'un crime), les analystes du FSB disent qu'il était un agent privé américain d’une société de mercenaires appelée Triple Canopy LLCqui a été décrite comme étant «la Blackwater privée d'Obama » -en référence aux mercenaires de Blackwater notoirement connue pour ses innombrables crimes de guerre.
Lier cet espion de Triple Canopy LLC directement à Hillary Clinton, était enfantin, en raison du fait qu’il avait dans ses «documents électroniques» non aussi bien ses anciennes que se nouvelles coordonnées (e-mail, tél officiel et privé, …).
Quelles informations l'espion d’Hillary Clinton a-t-il obtenu sur la flotte de la Baltique ? le Service de renseignement extérieur russe (SVR) ne le dit pas. Mais une telle rage a saisi Obama qu’il a ordonné à son ministre de la Justice, Loretta Lynch, de rencontrer en privé le mari d’Hillary Clinton, l'ancien président Bill Clinton, pour «discuter» de la question.
Selon les dernières nouvelles, le FBI n'ayant pas pu accéder aux emails d'Hillary Clinton, car, d'une part cette dernière prétend les avoir effacés, et d'autre part, Guccifer le hacker [1], qui dispose de ces emails, a été enlevé par les agents de Clinton-Obama et est séquestré dans un endroit secret, le FBI est sur le point de demander à Poutine l'autorisation de consulter ceux qui sont disponibles en Russie. Une belle opportunité pour Poutine s'il veut plomber l'avenir présidentiel d'Hillary.
15/07 - HILLARY CLINTON FAIT ENCORE ASSASSINER UN TÉMOIN GÊNANT. Un rapport Service de renseignement extérieur russe () circulant dans le Kremlin aujourd'hui 13/7, dit qu'un haut responsable du ...
33 pays ont voté pour la résolution de l’Unesco qui cherche à dépouiller les juifs de leurs racines, afin de leur faire réintégrer de force le statut du juif errant et apatride que les antisémites espèrent ensuite lui reprocher.
Et parmi les pays signataire : la France.
2 autres pays de l’UE, la Slovénie et la Suède, ont également voté pour la résolution, tout comme l’Argentine, avec qui Israël attendait une amélioration spectaculaire des liens après les élections de l’année dernière.
6 pays ont voté contre : Estonie, Allemagne, Lituanie, Pays-Bas, Royaume-Uni et États-Unis.
17 se sont abstenu.
Comme l’Etat islamique qui a détruit Palmyre à coups de pioches, le vote du conseil exécutif de l’Unesco efface les lieux historiques juifs du Mont du Temple et du Mur occidental (Kotel, plus connu sous le terme Mur des lamentations) à coups de textes.
Le directeur du ministère des Affaires étrangères israélien Dore Gold a envoyé une lettre aux 33 pays signataires pour protester contre cette ignoble résolution.
La France, représentée par Mr Laurent Stefanini, qui a collaboré à la réécriture de l’Histoire en votant cette résolution a reçu la sienne.
Dans sa lettre, Dore Gold a qualifié la résolution de «scandaleuse» et a déclaré que celle-ci fait «partie d’une tendance inquiétante qui cherche à nier les liens profonds entre le peuple juif et l’Etat d’Israël et sa capitale historique ».
⇒ Le terme « Mont du Temple » a même été radié du texte de la résolution et remplacé par une simple référence à al-Aksa Mosque et al-Haram al-Sharif.
C’est le document non modifié (ci-dessous à la fin de l’article) qui a été présenté conjointement par l’Algérie, l’Égypte, le Liban, le Maroc, le royaume d’Oman, le Qatar et le Soudan – des pays musulmans – et qui accuse l’État juif (qu’il refuse de nommer, comme pour déjà le faire disparaitre) de profaner la mosquée Al-Aqsa et de creuser des fausses tombes juives dans les cimetières musulmans de Jérusalem.
Le mufti nazi de Jérusalem, Al Husseini (né au Liban) avait lancé cette rumeur dans les années 20, ce qui déclencha le massacre de juifs à Hebron en 1929. Les arabes massacrèrent environ 67 juifs, en blessèrent 53, et pillèrent des maisons et des synagogues.
En octobre 2015, l’Unesco avait classé le Caveau des patriarches (Adam et Ève ; Abraham et Sarah ; Isaac et Rébecca ; Jacob et Léa) et la Tombe de Rachel, deux lieux saints juifs en Israël, comme sites musulmans de l’État falestinien qui n’existe pas. Et c’est l’ancien président français Nicolas Sarkozy, qui ne cesse de se déclarer l’ami d’Israël, qui fût à l’origine de l’admission en 2012 de la Falestine à l’Unesco.
L’Unesco nie le fait que les racines du peuple juif en Israël remontent à plus de 4000 ans. Que 1000 ans avant la naissance du christianisme, le roi David a fait de Jérusalem la première ville juive. Qu’elle n’a jamais été totalement abandonnée malgré toutes les occupations étrangères et les persécutions. Qu’au cours des 2900 dernières années, les juifs ont sans jamais aucune interruption vécu sur la terre de Palestine.
L’Unesco collabore avec l’ISESCO, l’organisme culturel de l’Organisation de la Conférence Islamique, pour effacer tout lien historique et culturel du peuple juif en Palestine et faire de lui un élément colonisateur d’une terre arabe.
Le tombeau de Joseph est un lieu de pèlerinage religieux pour les juifs – pas pour les musulmans. Lorsque des dizaines de falestiniens ont attaqué avec des cocktails Molotov, l’Unesco n’a rien vu, rien entendu et ne l’a pas dénoncé.
En moins d’une décennie, l’organisation censée créer un mouvement mondial pour la promotion d’une culture de paix et de non-violence est devenue une association spécialisée dans le vol du patrimoine juif, comme les nazis volaient les tableaux de maîtres des familles juives qu’ils envoyaient dans les fours crématoires.
Jusqu’au jour où quelqu’un exigera que les juifs aient l’interdiction de prier au Kotel car ils « judaïsent » ce lieu saint de l’islam
Ce vote est ignoble. Il est inquiétant pour les juifs de France qui ont les yeux ouverts – les juifs gauchistes, eux, ne verront rien car ils nient le réel. Vous n’entendrez pas un mot d’Anne Sinclair, qui avait pourtant su pleurnicher à l’antisémitisme au sujet du film qui théâtralisait sa relation avec DSK. La France a révélé ici sa volonté perfide de bafouer l’identité, l’histoire et les droits des juifs.
Même le Mur occidental, le site le plus sacré du peuple juif après le Mont du Temple, est mentionné par l’Unesco entre guillemets. C’est pour donner une préférence à son nouveau nom : al-Buraq, nom que vous retrouverez de plus en plus souvent dans les médias, jusqu’au jour où quelqu’un exigera que les juifs aient l’interdiction d’y prier car ils « judaïsent » ce lieu saint de l’islam.
Les pays arabes se servent de l’Unesco, ou l’Unesco se sert des pays arabes ?
L’Unesco était trop heureuse de cette demande de résolution des dictatures arabes : elle permettait à l’institution internationale d’effacer tous les aspects de la tradition juive et d’en faire une fiction.
Mahomet n’a jamais mis les pieds à Jérusalem ? On s’en moque dit l’Unesco.
Le mot Jérusalem n’est pas mentionné une seule fois dans le coran ? C’est sans objet affirme l’Unesco.
La résolution parle «de fausses tombes juives» ? L’Unesco est radieuse.
Elle soutient que «ce qu’on appelle des bains rituels juifs» est une invention ? L’Unesco jubile.
La résolution va renforcer l’instrumentalisation haineuse par les arabes falestiniens de la question du Mont du Temple, qui a déjà coûté la vie à des dizaines d’Israéliens, et conduire à la mort de plus d’innocents ? L’Unesco exulte.
Sous l’administration israélienne, les personnes de toutes les confessions peuvent profiter d’un accès à leurs lieux saints à Jérusalem, pour la première fois depuis des décennies. L’Unesco ne pourrait pas y être plus indifférent.
Jérusalem a enduré 19 ans d’occupation par la légion arabe jordanienne, qui divisa la ville avec des barbelés et des murs. Les snipers jordaniens ont fait vivre un enfer aux résidents juifs de la ville, la légion arabe détruisit plus de 57 synagogues. Là, l’Unesco et la France avaient un orgasme – qui leur manque.
Cette résolution sabote les pourparlers de paix, excite les terroristes ? C’est l’aubaine rêvée pour condamner Israël !
Jérusalem se situe en Judée, où naquit le peuple juif. Le christianisme et plus tard l’islam s’y sont installés parce que la ville était déjà sainte. Mais comme le rappelle Alain Legaret « les musulmans ont une fâcheuse manie de poser une mosquée sur les lieux saints des autres. »
Les Assyriens, les Babyloniens, les Perses, les Grecs, les Romains, les Croisés, les Arabes musulmans, les Mamelouks, les Ottomans, les Anglais, tous ont voulu à un degré ou à un autre nous anéantir. Tous ont échoué.
Ils croyaient nous jeter aux poubelles de l’histoire, et c’est eux qui ont disparu ou, pour les Européens, sont en train de disparaitre.
Et maintenant cette farce falestinienne ?!
Jérusalem juive a existé bien avant que Paris, Londres, New York ou Moscou ne voient le jour. Ces villes n’étaient que marécages pendant qu’à Jérusalem vivait une communauté juive. Ces villes redeviendraient marécages que Jérusalem ne serait pas vidée de sa communauté juive.
La France antijuive existe, je l’ai rencontrée : elle a voté la résolution révisionniste de l’Unesco.
33 pays ont voté pour la résolution de l'Unesco qui cherche à dépouiller les juifs de leurs racines, afin de leur faire réintégrer de force le statut du juif errant et apatride que les antis...
Si l’Unesco laisse plus tard, dans un avenir lointain, un souvenir, ce sera probablement quelque chose ayant malheureusement un goût d’amertume, sous la forme d’une plaie, à la manière de celles laissées par la défunte URSS.
Théoriquement, l’URSS devait être une république socialiste fédérative de conseils (Soviets) élus.
Pratiquement, elle n’aura été qu’un système totalitaire : le pouvoir s’y est concentré à l’extrême entre les mains d’un seul homme, Staline (puis ses duplications de plus en plus pâlottes), au moyen d’une police politique terroriste sur laquelle le tyran rouge avait la mainmise absolue.
Cette république fédérative, centralisée politiquement, devait construire l’égalité sociale : elle produisit, en fait, sous une égalité sociale théorique, une inégalité extrême.
Et l’Unesco ?
Née après la seconde guerre mondiale, en tant qu’outil des Nations-Unies dans les domaines visant à favoriser l’accès universel à la culture et au développement scientifique, cette agence devient le contraire de sa raison sociale.
Procès d’intention ?
C’est ainsi que pour complaire au lobby des gouvernements membres de la conférence des Etats islamiques (OCI), l’exécutif de l’Unesco a commencé à voyager dans le temps. Il est parti dans le passé pour y faire le ménage, effaçant des pans entiers d’Histoire. Les évènements passés, gommés par nos chrononautes de l’Unesco, étant, plus particulièrement, ceux ayant trait à la présence des douze tribus hébreues sur le territoire de Canaan.
L’exploit le plus récent des voyageurs du temps de l’équipe de Madame Bokova a consisté à proclamer :
que le Temple de Salomon-Hérode n’avait pas existé ;
que le puissant mur de soutènement, bâti par Hérode-le grand pour le Temple remanié, n’avait rien à voir avec le Temple
et qu’il n’était en rien une construction ayant un lien quelconque avec les Juifs…
il ne serait, et rien d’autre qu’un mur dont on ne saurait rien, sauf qu’il n’aurait aucun lien avec le Temple remanié par Hérode et rien à voir avec les Juifs.
En vertu de quoi, cette affirmation « scientifique » péremptoire ?
Mystère et boule de gomme : cette conclusion obligatoire fait partie de ces intuitions qui rendent poétiques les hypothèses scientifiques.
Ce qui est sûr et certain, pour nos scientifiques unescuesques-voyageant dans le temps pour débusquer les mythes hébreux sans fondement, c’est que le brave Mahomet y a attaché, à ce mur et pas un autre, sa monture ailée mi-cheval, mi-on-ne-sait-pas-quoi (une mule disent certaines traditions, une femme disent d’autres).
Pour l’exécutif de l’Unesco et pour ses équipes de chercheurs, c’est un fait historique, et c’est le seul recevable : (que) Bourak ayant été attaché, quelques instants d’une même nuit, à ce mur et pas à un autre, il serait lieu saint d’une religion née des siècles après qu’il ait été construit, ce mur dont on ne sait pas à quoi il servait, si ce n’est « qu’il n’était pas le mur de soutènement du Temple d’Hérode, et si ce n’est qu’il n’était pas un vestige du Temple d’où Jésus chassa les marchands ».
Bref, ce mystérieux mur sans utilité connue, -cette énorme construction de gros blocs non édifiée par les arabes ou par les Byzantins, non bâtie par les romains, non érigée par les Grecs d’Alexandre-, n’aurait pas été construit non plus par les Hébreux ni avant eux par les Jébuséens.
Alors qui est l’auteur de cette construction, « sans lien avec un Temple n’ayant jamais existé »? L’Unesco ne veut pas le savoir. Et pour cause…
L’Unesco se contente donc de décréter ; on est en démocratie n’est-ce pas : puisque le livre saint musulman dit que la monture fantastique du fondateur de l’islam a été attachée à un mur de « la mosquée lointaine » (qui doit être Jérusalem, même si le coran ne le dit pas), ce mur est lieu saint musulman. il n’est à plus personne d’autre et c’est le mur occidental (Kotel en hébreu) ; donc les juifs ne sauraient le revendiquer ; et si c’est eux qui l’on bâti, il suffit de dire : que ce n’est pas le cas et le débat est clos !
Nous vivons de drôles de temps
L’Unesco a décidé que ce mur était un lieu sans rapport avec le Temple, mais qu’il est en rapport physique avec une créature étrange envoyée du ciel et s’appelant Bourak. En d’autres termes, par ce bref contact avec une cavale volante éphémère (que le fondateur de l’islam ne chevauchera qu’une nuit et plus jamais ensuite), le mur ne pourrait plus être ce qu’il était pour les juifs de partout depuis la destruction du Temple en l’an 70 de l’ère actuelle.
Comme le plomb que les alchimistes changeaient en or, le mur a changé de nature et d’origine, au 7ème siècle : de plomb hébreu, il est devenu or, or de l’exclusive sainteté coranique.
Et il n’y a pas à objecter, c’est ainsi : l’exécutif de l’Unesco vote et sanctionne cette décision… « culturelle et scientifique ».
C’est évident que nous sommes là en présence d’une décision purement « scientifique », et qu’il serait malvenu de critiquer le représentant du gouvernement français, qui n’a fait que se ranger à des arguments objectifs, à de purs arguments scientifiques…. c’est sûr.
Les témoins de l’Histoire
Reconstruction du temple de Jérusalem
Comme je le rappelais plus haut, le mur et le Temple ont des témoins.
Le mur a notamment Flavius Josèphe. Le Temple en a un, de taille, que je voudrai citer ici.
L’Unesco a décrété l’inexistence du Temple, dont le mur occidental est un mur de soutènement, et l’absence de liens entre les juifs et Jérusalem.
Ouvrons la Bible, au hasard. Voici Ezra, un « Prophète ».
Nous pouvons y lire : (7-27)
« béni soit le Dieu de nos pères, qui a mis ainsi au cœur du roi le désir de glorifier le Temple de l’éternel à Jérusalem » (tiens, un sioniste, Ezra, et un sioniste, ce roi ?)
La parole d’Ezra, qu’elle soit prophétique ou purement humaine et politique, témoigne : elle réfute l’assertion spoliatrice et totalitaire de l’exécutif de l’Unesco approuvée par le gouvernement français.
Cette parole d’Ezra est datée
Elle parle des « anciens », « Yehoudaï » en hébreu (Judéens, habitants de Juda, territoire et groupe ethnique).
Ezra poursuit :
« les anciens parmi les Judéens poursuivent les travaux de construction –encouragés- par les prédications du prophète Haggaï et de Zacharie, fils d’Iddo. Ils bâtirent jusqu’à complet achèvement, par la volonté du Dieu d’Israël et celle de Cyrus, de Darius et d’Artahchasta, roi de Perse. Le Temple fut terminé le troisième jour du mois d’adar, dans la sixième année du règne du roi Darius ».
Ezra précise :
« Ils offrirent, pour cette inauguration du Temple de Dieu (6-7) (…) comme sacrifice expiatoire pour tout Israël, selon le nombre des tribus d’Israël ».
Alors, mesdames et messieurs les historiens et les chefs de l’Unesco : Israël n’a aucun lien, plusieurs fois millénaires, avec Jérusalem ?
Aucun « Temple de Dieu » n’y a été bâti, par les hébreux de Juda, puis rebâti jusqu’à la destruction de 70 ?
Israël et la Perse
(Ezra 5-16) :
« Dans la première année de son règne, Cyrus roi de Babylone, le roi Cyrus rendit un édit prescrivant de rebâtir le Temple de Dieu (Beit Elaha ; Elaha s’épelant en hébreu : alef, lamed, hè, alef complété de points diacritiques servant de voyelles, d’où peut aussi provenir la forme arabe Allah).
On voit ici que les méchants faux-témoins sionistes sont nombreux et influents.
la tradition coranique, ça c’est de la preuve historique et scientifique
Dans sa très grande sagesse, l’exécutif de l’Unesco les a écartés : pensez, un prophète hébreu de la tribu de Juda et trois rois Perses du 6ème siècle avant l’ère chrétienne, sont-ce des témoignages crédibles et recevables, pour des savants, pour des experts scientifiques ?!….
Pensez donc, Ezra, il était juge et partie ; tandis que la tradition coranique, ça c’est de la preuve historique et scientifique ; ça c’est du témoignage fiable, objectif et impartial, s’imposant à tous et à chacun sans discuter, sans pinailler en perdant son temps en datation des blocs du mur occidental, et sans investigations dans les carrières dépôts d’ordures de Jérusalem-Est, où les responsables palestiniens s’en sont allés jeter des tonnes de gravats formés de vestiges archéologiques de toutes tailles, traités au marteau piqueur, à l’excavatrice et au camion poubelle, à l’occasion du creusement d’une vaste salle de prière sous l’esplanade dite des mosquées …
Photo prise ce jour de Pourim en Israël. Une éventuelle Reine-sorcière locale (plus adepte du couteau que de la pomme empoisonnée) aurait du souci à se faire.
Toutes ces petites lâchetés sans importance, la place qu’on ne cède plus au plus âgé, le regard que l’on baisse devant celui du voyou mineur en se disant « c’est la jeunesse », le changement de nos modes de vie que l’on excuse en s’inventant une pseudo « tolérance », toutes ces bonnes raisons qu’on se trouve pour manquer de courage et renoncer pour le confort facile du consensus et faire « comme tout le monde ».
Toutes ces occasions de se dire qu’après tout, c’est le problème du voisin, cette façon que vous avez de vous dédouaner de la moindre responsabilité en trouvant les meilleures raisons du monde, et tout ça en plus en vous permettant de donner des leçons.
Vous avez tous les prétextes et toutes les raisons: la destinée pour expliquer votre passivité devant les événements, jusqu’à la plus vile trahison de ceux qui ont donné leur vie et leur sang pour le prix de votre liberté.
Celui qui vous crache à la gueule sa haine en raison de sa peau, de ses origines ou de sa religion trouve devant vos yeux toutes les justifications d’un ethno-masochisme que même les animaux desquels vous vous croyez supérieurs ne pratiquent pas.
Votre ordinaire de suivre le chemin de milliers de moutons passés là avant vous et votre obstination à en suivre scrupuleusement les traces, surtout pas un pas de travers car on pourrait vous confondre.
Et du coup vous pointer du doigt.
Et cette façon de trouver les excuses les plus minables, dont la plus grandiose sans doute c’est « mais alors toi, qu’est-ce que tu proposes? »
Ben oui, parce que dans le dénuement complet de votre lâcheté ordinaire, il faudrait encore vous donner des solutions que vous ne prenez même pas le temps de chercher.
Et puis, en cas de coup dur, ça ferait au moins l’occasion de désigner un responsable.
Votre attitude d’aujourd’hui, c’est votre enfer de demain; ou d’après-demain, mais le temps passe vite.
A dilapider cette liberté et la céder si facilement parce qu’elle ne vous aura coûté que la naissance.
Je ne vous plains pas, vous êtes des parias, je ne vous excuse pas, vous crachez déjà sur les tombes de ceux qui se sont battus pour vous avant, et sur celles de vos enfants à qui vous allez léguer tous les problèmes que vous n’aurez pas eu ni le cran ni le courage d’affronter.
Toutes ces petites lâchetés sans importance, la place qu'on ne cède plus au plus âgé, le regard que l'on baisse devant celui du voyou mineur en se disant " c'est la jeunesse ", le changement d...
Une preuve de plus que les Chrétiens sont bien mieux en Israël que n’importe où ailleurs au Proche-Orient, cette photo d’un marché de sapins de Noël, prise à la gare centrale de Tel-Aviv.
On y trouve des sapins authentiques et d’autres synthétiques (moins agréables mais plus abordables).
Le vendeur est juif et ses clients, chrétiens, sont essentiellement des femmes philippines chrétiennes qui viennent en Israël pour y travailler comme auxiliaires de vie auprès des personnes âgées (elles gagnent 5 fois plus que dans leur pays et envoient l’argent à leurs familles restées sur place jusqu’au jour où certaines rentrent au pays tandis que d’autres s’installent définitivement en Israël).
L’année dernière (et peut-être cette année aussi si les budgets le permettent – info à vérifier), la mairie de Jérusalem avait offert des sapins à ses habitants chrétiens.
A Jérusalem, il s’agit majoritairement de ceux qui se nommaient voici peu encore « Arabes chrétiens ».
Mais à leur demande, et sans doute aussi parce qu’ils ne veulent plus être assimilés aux « Palestiniens de l’intérieur » qui sont eux des musulmans s’identifiant à ceux de Gaza et de Judée-Samarie, les Arabes chrétiens ont été renommés « Araméens », identité liée au langage-soeur de l’hébreu que parlait Jésus, en plus de l’hébreu classique.
Une preuve de plus que les Chrétiens sont bien mieux en Israël que n'importe où ailleurs au Proche-Orient, cette photo d'un marché de sapins de Noël, prise à la gare centrale de Tel-Aviv. On ...
La France, grâce à une opacité bien organisée, est un pays de petite vertu, lorsqu’il s’agit de corruption. En Europe, elle se place dans le peloton de tête des pays où la corruption prospère le mieux.
La corruption des élus politiques français bénéficie d’un contexte structurel profondément immoral qui n’est pas fait pour lutter contre cette faiblesse bien humaine, mais pour protéger les copains et les coquins, cacher les petites combines juteuses, entretenir les privilèges des uns, au détriment des payeurs qui souvent se saignent, voilà ce qui ressort du dernier rapport de Transparency international « agir contre la corruption ».
Premier constat douloureux : pour cacher la corruption, la France « n’a pas créé la base de données publique essentielle qui recense les condamnations pour corruption » déplore le rapport, et permettre à chaque contribuable de recevoir l’information à laquelle il a droit. Cela, dans une hypocrisie ambiante de débauche de « solidarité citoyenne. » Solidarité oui, mais pas touche aux élus.
Second constat : « Il est donc très difficile d’avoir, en France, une vision précise des formes que prend la corruption », au point que Transparency France a du faire appel à des bénévoles pour dresser la carte de la corruption, et que l’ONG lance un appel au public : « Aidez-nous à enrichir la base de données en nous adressant les décisions de justice dont vous avez connaissance » car « nous avons besoin de vous pour connaître les condamnations qui n’apparaissent pas encore sur notre carte, » expliquent-ils.
Les mairies savent trouver de l’argent pour des projets électoralistes et acheter les voix des uns avec l’argent des autres, mais pour financer la lutte contre la corruption, il n’y a plus personne…
Une culture de l’impunité dans laquelle la corruption prospère
Troisième constat : une justice complaisante, voire complice.
« Ce qui a le plus frappé nos bénévoles? La durée des procédures: 45 affaires ont un délai > 15 ans entre les faits et la condamnation » constate l’ONG.
15 ans entre les faits et la condamnation, la justice est généreuse avec les ripoux : elle leur laisse tout le temps pour s’organiser, accumuler un petit pactole sur le dos des contribuables, étouffer les affaires et enfouir leurs détails, perdre quelques dossiers, et pourquoi pas, jouer sur la mort naturelle de quelques témoins ou acteurs gênants, sans compter sur l’immense bénéfice que le temps offre à l’effacement des mémoires. C’est dans cette culture de l’impunité que la corruption prospère.
« Avoir accès à ce type de données est pourtant essentiel pour savoir quels sont les domaines, régions et catégories de personnes les plus vulnérables et, ainsi, éclairer l’action des acteurs de la lutte contre la corruption (pouvoirs publics, citoyens, ONG, médias) ».
Pots de vin, prises illégales d’intérêts, les maires épinglés
Quatrième constat : En France, on déteste les patrons, mais les vrais ripoux, ce sont les maires
Europe 1, qui a étudié en détail le rapport, note que « les maires sont les personnes les plus condamnées, surtout pour des affaires relatives à l’attribution de marchés publics », « deux fois plus que les patrons », précise la radio.
Le scandale Kader Arif, l’arbre qui cache la forêt
Pour autant, le contrat du ministère de la défense qui a fait tomber Kader Arif, l’ancien ministre des anciens combattants, est une paille dans une botte de foin. « Les chiffres ne portent … que sur les affaires dont nous avons eu connaissance », nuance Transparency France qui laisse entendre que la réalité est par essence difficile à cerner, puisque précisément il s’agit d’affaires illégales, secrètes et bien cachées.
Conclusion
Transparency France fait un travail indispensable et qu’il convient de saluer. Mais l’ONG pourrait elle-même faire preuve d’un peu plus de transparence.
Il est regrettable que la base de donnée ne permette pas d’afficher un tableau avec les noms des ripoux en clair, et les villes où ils exercent leur vice. Il faut, pour les trouver, faire une recherche extrêmement longue département par département, et une suite de copiés collés impossibles.
Il serait bon, également, puisque l’étude fait une distinction entre la situation des pays émergents et celle des pays industrialisés, que les tableaux reprennent cette distinction. C’est cette lecture qui m’a révélé que la France avant d’être 26e sur la liste, est surtout parmi les pays d’Europe les plus corrompus.
Où sont les chiffres ? Pour mesurer l’ampleur de la corruption, il faut ses chiffres. L’indispensable classement par le nombre de condamnation ne permet pas de visualiser l’ampleur des dégâts. Un procès pour une corruption de 3 000 euros, ce n’est pas la même chose qu’un autre pour 300 000.
A la tête du Théâtre National de Strasbourg, le gendre de Jack Lang vient de remplacer la nièce de Martine Aubry. Aucun contribuable n’a été dépouillé, aucun logement (encore que) destiné aux défavorisés n’a été détourné, et pourtant, nous sommes en plein cœur d’un système oligarchique, d’un népotisme qui représente une forme de corruption jamais sanctionnée – sauf lorsqu’il s’agit de dénoncer Nicolas Sarkozy bien entendu (il a du renoncer à installer son fils Jean à la tête de l’EPAD lorsque les médias en ont fait à juste raison tout un fromage. Cela n’a pas empêché le gouvernement socialiste de choisir Amin Khiari, fils de la vice-présidente PS du Sénat pour diriger le même EPAD, en comptant sur la complicité des médias, qui pour une fois n’ont pas cédé.)
La France, grâce à une opacité bien organisée, est un pays de petite vertu, lorsqu'il s'agit de corruption. En Europe, elle se place dans le peloton de tête des pays où la corruption prospèr...
En France, seuls 10% des viols feraient l'objet d'une plainte. - Rafael Ben-Ari/Cham/NEWSCOM/SIPA
Le nombre de viols dénoncés aux autorités françaises a augmenté de 18 % en cinq ans, de 10.762 faits répertoriés en 2010 à 12.768 en 2014, détaille ce mardi Le Figaro. Selon les chiffres examinés par le quotidien, « les viols sur mineurs ont grimpé, dans le même temps, de plus de 20 % (de 5 751 à 6 936 faits répertoriés) ».
Un viol dénoncé toutes les 40 minutes
Une hausse d’autant plus préoccupante que ces chiffres ne révèle que « la partie émergée de l’iceberg », écrit Le Figaro. il ne s’agit en effet que des cas de viols signalés à la police et transmises à la justice. Or « les enquêtes réalisées auprès des victimes attestent que 10 % seulement des agressions sexuelles donnent lieu à un dépôt de plainte ».
D’une part, toutes les victimes ne déposent pas plainte. D’autre part, certaines plaintes ne sont pas poursuivies, « faute d’aveux, de preuves ou d’indices suffisamment concluants ». Selon le journal, 33 viols sont déclarés chaque jour en France, « soit un toutes les quarante minutes en moyenne ».
600 viols déclarés à Paris en 2014
« La zone grise demeure considérable. Les enquêtes de victimation (ces sondages de grande ampleur réalisés par l’Insee auprès de victimes, NDLR), attestent que le taux de plainte pour viol est inférieur à 10 % », explique au journal Christophe Soullez, le directeur de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP).
Le nombre de faits rapportés à la population place « la Guyane en tête des départements les plus exposés à ce type d’atteintes, statistiquement parlant : un viol annuel pour 2.000 habitants en moyenne. La Martinique et la Guadeloupe affichent également des taux de signalement particulièrement élevés », détaille le journal.
« Paris arrive juste en dessous dans le classement, avec plus de 600 viols déclarés en 2014. Ailleurs en métropole, ce sont les secteurs ruraux comme la Sarthe, l’Yonne, l’Orne ou le Loiret qui déclarent le plus d’affaires par habitants, » conclut Le Figaro.
FRANCE Selon des enquêtes auprès des victimes, 10 % des agressions donnent lieu à un dépôt de plainte... L.C. avec AFP Le nombre de viols dénoncés aux autorités françaises a augmenté de 1...
En débarquant en Italie, ces migrants n'imaginent surement pas devenir la proie de la Mafia. (REUTERS/Antonio Parrinello)
Depuis jeudi dernier, la police anti-mafia a arrêté une quarantaine d’hommes politiques et d’hommes d’affaires. Un secrétaire d’Etat est même soupçonné. Tous auraient truqué les contrats publics pour la gestion des centres pour les migrants. Un trafic très lucratif.
“As-tu au moins idée de l’argent que je me fais grâce aux migrants ? Le trafic de drogue est moins rentable.” Quand il s’emporte sur son nouveau business, le bras droit du parrain de la Ville éternelle n’imagine pas que sa conversation téléphonique est écoutée. Dommage pour lui. Jeudi dernier, la police anti-mafia romaine a arrêté 44 personnes. Toutes sont soupçonnées de profiter de la situation des milliers de migrants arrivés en Italie. Ce week-end, les enquêteurs sont même remontés jusqu’au secrétaire d’Etat à l’Agriculture, Giuseppe Castiglione.
L’année dernière plus de 170 000 migrants ont débarqué sur les côtes italiennes. Depuis janvier, 50 000 autres les ont déjà rejoints. Alors que l’Europe peine à se mettre en ordre de marche sur la question de leur accueil, d’autres, moins scrupuleux, ont vu dans cet afflux une bonne opportunité. Racket, pots-de-vin, et bakchich sont devenus les piliers des centres d’accueil.
“Un réseau important et structuré de corruption”
“Que seule une infime partie des aides destinées aux réfugiés arrivent jusqu’aux réfugiés, cela est abject !” s’est emporté Laurens Jolles, le représentant du Haut Commissariat aux réfugiés de l’ONU pour l’Europe du Sud. D’autant que comme il l’explique, cela est dû à un “réseau important et structuré de corruption”.
Les investigations de la police anti-mafia ont mis au jour un système très étendu. Un certain nombre de sociétés ont ainsi remporté des contrats publics pour gérer des centres d’hébergement. Des contrat évidemment très lucratifs. La police italienne a précisé que ce système mafieux excluait les entreprises rivales, permettant à ce “cartel” d’engranger des “bénéfices économiques importants“.
Tout est bon pour attirer les subventions
Avec l’arrivée de milliers de réfugiés sur ses côtes, l’Italie a dû improviser pour tous les accueillir. Des hôtels et des maisons de retraite ont été, dans la précipitation, transformés en centres d’hébergement. Dès lors, facile pour des personnes peu scrupuleuses de se faire de l’argent sur le dos des migrants. Afin d’empocher la majorité des subventions, les coûts d’hébergement sont comprimés : les réfugiés sont parqués dans des pièces surpeuplées, leurs repas sont frugaux.
Aux côtés des hommes d’affaires arrêtés, de nombreux centres d’accueil sont pointés du doigt – même parmi ceux censés aider les mineurs. Ils auraient promis des places à des migrants, tout en sachant qu’ils ne pourraient pas les loger. Leur seul but : recevoir des allocations.
A l’occasion du G7, le Premier ministre italien a répété que pour mettre fin au système, il fallait que l’Union européenne se saisisse de la question des réfugiés. “Nous devons reconnaître que le plan européen est insuffisant“, a-t-il ainsi déploré.
Depuis jeudi dernier, la police anti-mafia a arrêté une quarantaine d'hommes politiques et d'hommes d'affaires. Un secrétaire d'Etat est même soupçonné. Tous auraient truqué les contrats pub...