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23 juin 2025 1 23 /06 /juin /2025 11:26
Forces US et terroristes islamistes coordonnés pour frapper la Russie

Le 23 juin 2024, des missiles ATACMS fournis par les USA à l’Ukraine, lancés sous la supervision de mercenaires US, et guidés vers leurs cibles par des satellites militaires américains, ont frappé des plages et des immeubles civils à Sébastopol en Crimée, faisant 4 morts et des centaines de blessés.

Tandis que, ce même jour, presque dans le même temps, une attaque terroriste de grande ampleur s’en prenait aux Russes du Daguestan tuant une vingtaine de personnes. Bilan partiel.

Coïncidences ? Les terroristes en fuite ont utilisé des armes de l’OTAN qu’on a retrouvées lorsqu’on les a neutralisés. Les impacts de balles correspondent aux munitions habituellement utilisées par l’OTAN. Ainsi qu’un pneumatique qui a amené des commandos par la mer, du même type que ceux utilisés par les Ukronazis pour débarquer des saboteurs en Crimée…

Mais bien sûr, l’OTAN et Kiev nient toute implication. Parlant de matériels de grande diffusion qu’on peut trouver assez facilement sur tous les marchés plus ou moins clandestins de l’armement. Même si ces équipements de guerre font partie des stocks livrés en abondance à l’Ukraine.

Une double opération en tenailles, d’inspiration étasunienne

La concordance des temps rappelle certaines opérations américaines au Vietnam, en Irak et en Afghanistan. 

Pour déstabiliser un pays, décourager ses habitants et affaiblir l’autorité de ses dirigeants, incapables de protéger leurs populations, deux secteurs éloignés étaient attaqués presque simultanément, ou à un intervalle très rapproché, de façon à ce que les ripostes et les secours aient du mal à se coordonner. La CIA appelait ça « pincers movements » (en français opération en tenailles).

Les événements de dimanche, à près de 1000 km l’un de l’autre, semblent s’insérer dans ce type de schéma. Une frappe de 5 missiles dont la portée n’excède pas 300 km en Crimée. Et une attaque au sol, préparée à l’avance par l’infiltration d’unités de combat et l’activation de réseaux islamistes dormants au Daguestan.

« La responsabilité de la frappe de missiles contre des civils à Sébastopol incombe avant tout à Washington, qui a fourni ces armes à l’Ukraine et aidé à les employer » a affirmé le ministre russe de la Défense. « De telles actions ne resteront pas sans réponse.»

Des assassins islamistes téléguidés par l’Ukraine

La République du Daguestan est un petit État islamo-mafieux de trois millions d’habitants. Voisin de la Tchétchénie, de la Géorgie et de l’Azerbaïdjan. Régulièrement agité par des troubles ethniques et religieux. « Un chaudron du diable » dit-on à Moscou.

En octobre, des émeutes hostiles à Israël avaient éclaté à l’aéroport de Makhatchkala où le tarmac avait été envahi par des individus menaçants, au moment de l’atterrissage d’un avion en provenance d’Israël. Sans l’intervention des forces spéciales, les passagers auraient été lynchés.

Le week-end précédant l’attaque du 23 juin, plusieurs membres de l’État islamique ont été tués après avoir pris en otage des agents pénitentiaires dans une prison. Dimanche dernier, plusieurs attentats terroristes, qui ont duré toute la journée, ont eu lieu principalement dans la capitale Makhatchkala, et la ville côtière de Derbent. Mais aussi dans plusieurs petites villes alentour.

Les médias menteurs français, avant même d’en savoir plus, ont allumé un contre-feu pour exonérer de toute responsabilité leurs amis Ukronazis. Pour ces canailles, c’est forcément l’expression du désespoir des malheureux mahométans brimés par le méchant Poutine. Puis, une fois le service minimum accompli, à l’exception de CNews et du Figaro, ils se sont hâtés de noyer l’info dans les broutilles de l’actualité. La grossesse d’une députée ou les résultats d’un match de foot. Sur ordre du gouvernement. Ne rien dire qui puisse embarrasser le grand ami barbichu du Président.

C’est comme pour les missiles sur la Crimée. Les mêmes pourritures des médias qui emploient des grands mots comme « crimes de guerre » et « crimes contre l’humanité » quand les Russes ciblent une caserne, un terrain d’aviation ou une usine électrique se taisent quand leurs amis de Kiev tuent des enfants sur une plage, par un dimanche d’été. Ou pire, trouvent de bonnes raisons pour justifier et encourager ces exactions.

S’il est difficile de citer un deus ex machina, la coordination des deux attaques est plus que probable, en raison des armes et munitions de l’OTAN utilisées, et des procédures semblables à celles qu’affectionnent les officines de déstabilisation des USA.

L’implication de l’Ukraine au Daguestan est probable

Peu après 20 h, la situation n’était toujours pas stabilisée. La garde nationale était sur place, des hélicoptères et des blindés avaient été déployés, quadrillant plusieurs agglomérations.

Le bilan provisoire recensait une synagogue entièrement détruite par le feu, plusieurs églises orthodoxes attaquées et partiellement détruites, un prêtre égorgé comme un mouton, ainsi qu’un commissariat de police saccagé. On comptait une vingtaine de morts dont 15 flics ou militaires, 25 blessés et 40 personnes retenues en otages. Plus 5 ou 6 terroristes liquidés et 2 ou 3 capturés. Sans doute seront-ils un peu secoués pour permettre aux pourris de nos médias de vilipender la brutalité des vilains Russes.

En outre, les ordures de nos chaînes de désinformation qui prennent pour saintes paroles les imprécations de Zelensky, et pour vérité d’évangile ses mises en scène macabres accusant les Russes des pires atrocités… là, osent mettre en doute l’authenticité des reportages. D’avertissements en sous-entendus, ils se démènent pour semer le doute, et discréditer les témoins et les images. Le méchant, c’est Poutine. Les gentils, c’est les Ukronazis et Daesch.

Des personnalités locales loyales à la Fédération de Russie ont dit qu’elles disposaient d’informations selon lesquelles l’Ukraine serait derrière ces attaques terroristes. On peut imaginer que des terroristes capturés se sont mis à table. Ces grands guerriers crachent vite le morceau après quelques baffes.

Le FSB (service de renseignements de la Russie) parle de cellules dormantes identifiées qui ont aidé à préparer les attentats, fournissant faux papiers, logements, nourriture et véhicules aux terroristes. Un vaste ratissage des zones susceptibles d’abriter d’autres terroristes ou leurs complices est en cours. 

Il convient de rappeler que le Daguestan avait servi de base arrière aux terroristes qui avaient fait 150 morts et deux fois plus de blessés au Crocus City Hall de Moscou en mars dernier. Un attentat revendiqué tardivement par l’État islamique. Sans qu’aucune revendication habituelle ne soit présentée, assortie des menaces aux impies. Sans non plus les hurlements d’énergumènes brandissant des corans, avertissant tout le monde qu’Allah est au bar.

Ces assassins, à la différence de leurs coreligionnaires cherchant à mourir en martyrs, avaient préparé un itinéraire de repli pour éviter d’aller trop vite au paradis d’Allah où, paraît-il, 80 pétasses les attendent, cuisses écartées… Tandis qu’une force d’exfiltration était postée à la frontière ukrainienne pour accueillir ces criminels qualifiés de « héros magnifiques » sur un site internet de Kiev. Un enthousiasme vite effacé sur ordre des Ricains.

Les ennemis de leurs ennemis sont leurs amis

On ne doit pas oublier non plus que la Russie est confrontée à une rébellion islamiste dans le Caucase, tantôt larvée, tantôt déclarée, depuis le début des années 1990. Dès qu’ils ont compris que l’ex-URSS était affaiblie, les mahométans ont attaqué la Russie. Relançant un djihad séculaire que les tsars, puis les communistes, avaient réussi à réduire en utilisant des méthodes brutales, les seules que ces fanatiques comprennent.

Certains moudjahidines de 2024 sont d’anciens combattants tchétchènes et des moudjahidines de l’émirat du Caucase, défaits par les Russes, qui sont allés ensuite les combattre en Irak et en Syrie dans les rangs de Daesch.

On estime que 4 500 y ont été recrutés à titre de supplétifs (pour ne pas dire mercenaires) par le gouvernement de Kiev, dans les premiers mois de 2022. Une grosse moitié est morte. Un quart a déserté en emportant du butin prélevé aussi bien sur les Russes que sur les Ukrainiens.

Il doit en rester un millier qui entretiennent des contacts réguliers avec leurs coreligionnaires. Plus assidus dans la gestion des trafics d’armes, de véhicules et de nourriture que motivés à mourir pour les koufars de Kiev.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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